W. WERNICKE. — Ueber die Absorption und Brechung des Lichtes in metallisch undurchsichtigen Körpern (Sur l'absorption et la réfraction de la lumière dans les corps d'opacité métallique); Annales de Poggendorff, t. CLV, p. 17; 1875

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HAL Id: jpa-00237095

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Submitted on 1 Jan 1875

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W. WERNICKE. - Ueber die Absorption und Brechung des Lichtes in metallisch undurchsichtigen Körpern (Sur l’absorption et la réfraction de la lumière dans les corps d’opacité métallique); Annales de Poggendorff, t. CLV,

p. 17; 1875

E. Bouty

To cite this version:

E. Bouty. W. WERNICKE. - Ueber die Absorption und Brechung des Lichtes in metallisch undurchsichtigen Körpern (Sur l’absorption et la réfraction de la lumière dans les corps d’opacité métallique);

Annales de Poggendorff, t. CLV, p. 17; 1875. J. Phys. Theor. Appl., 1875, 4 (1), pp.314-315.

�10.1051/jphystap:018750040031401�. �jpa-00237095�

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314

un peu

large,

^soufflez^une^bulle^de^sai-on

(ou

^{mieux de}

liquide glycérique), puis présentez

1 autre extrémité du tube à la flamme d’une

bougie.

^Vouesvoyez la bulle ^secontracter

jusque

^revenir^com-

plétement

^surêlle-mêmeêtên^mêmetemps ^la^flamme^de^la

bougie

s’incliner sous le vent sortant du tube. La bulle de savon se resserre

donc en pressant ^sur^l’air^intérieurexactement comme le ferait une

111embrane de caoutchouc

gonilée

^àl’extrémité du tube.

W. WERNICKE. 2014 Ueber die Absorption ^undBrechung ^desLichtes in metallisch

undurchsichtigen Körpern (Sur l’absorption ^et^laréfraction de la lumière dans les corps d’opacité métallique); Annales de Poggendorff, ^t.CLV, p. 17; 1875.

Nous nous bornerons à

signaler

^la^méthode^assez

originale

que l’aiiteur a

employée

^pourdéterminer les indices de réfraction de

ces corps. ^Admettonsque

l’absorption

de la lumière soit liée à

l’épaisseur d

de la couche absorbante par ^larelation connue

A ^wAoK~. ^Si^nous

employons,

^par

cxcmple ,

la fuchsine ou l’argent ^en^couches^assezminces pour laisser _passerla

lumière,

^nous

pourrons comparcr les intensités lumineuses transmises par des

épaisseurs

ditrérentes d et di ^{de la}^même

substance,

^etpour ^une

longueur

^d’onde

quelconque

^dela lumière incidente. On

emploie

un

spectromètre

^de

Meyerstcin,

^à^doublc

fente,

^l’une^{B de}

largeur

b invariable, l’autre B’

qui

peut ^être

élargie

^à

volonté ;

les couches

absorbantes, d’épaisscurs ~l.

^et

d~,

^sont

placées

normalement sur le

trajet

des faisceaux lumineux issus des deux

fentes,

^et^l’on

règle

^la

fente B’ de manière que les intensités transmises soient

identiques.

On a alors une ouverture bo ^de

B’,

^etl’on peut ^écrire

ou

Inclinons maintenant les couches absorbantes de manière

qu’elles reçoivent

la lumière sous une incidence i que l’on ^mesure

avec soin, et rétablissons

l’égalité

d’intensité en donnant à la fente

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018750040031401

(3)

315

B’ Ia

largeur bi;

^{on a}

La

comparaison

^de

(i)

^et

(2)

^fournit

et par suite donne la valeur de r. On calcule ensuite 1"iiidice n _par la relation

Dans le cas de

l’argent,

les valeurs trouvées pour ^~~^sonttrès-

grandes (3

^à⁴^enmoyenne pour les rayons

compris

^entre^C^et

H ~ .

Les valeurs de cet

indice,

^calculées

d’après

^lathéorie de la réflexion de

Caucly

^et

d’après

^les^mesures^des

angles

d’incidence

princi- pale

^etdes azimuts

principaux, seraient,

^au

contraire,

inférieures à i.

’

E. BOUTY.

F.-C.-G. MULLER. 2014 Ueber den Uebergangsividerstand ân^denBerührungstellen ^me- tallischer Leiter (Résistance âu^contact^de^deuxconducteurs métalliques); Ânnales

de Poggendorff, ^t.^CLIV,^p.^361;1875.

L’auteur a constaté que la résistance

opposée

^au^courantpar ^un

contact

(dans l’espèce,

^unfil de cuivre recourbé et accroclié à un

autre )

^{est tout}^à^fait

négligeable

dès que les ^deux

pièces

^sontpres- sées l’une contre l’autre _parune force très-faible

( 40o grammes).

A. POTIER.

K.-A. HOLMGREN. 2014 Einige Bermerkungen ^zu^demThomson’schen Electrometer (Re-

marques ^surl’électromètre Thomson); Annales de Poggendorff, ^t.^CLIV,^p.^630;

1875.

Si l’une des

paires

^de

quadrants

^del’électromètre est à la terre, ^on n’obtient _paset l’on ne doit pas obtenir des déviations

égales

^et^de