HAL Id: jpa-00237598
https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237598
Submitted on 1 Jan 1880
HAL
is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.
L’archive ouverte pluridisciplinaire
HAL, estdestinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.
P. GLAN. - Ueber die Phasenänderungen des Lichtes durch Reflexion (Sur le changement de phase de la
lumière par la réflexion); Annalen der Physik und Chemie, neue Folge, t. VII, p. 640; 1879
J. Macé de Lépinay
To cite this version:
J. Macé de Lépinay. P. GLAN. - Ueber die Phasenänderungen des Lichtes durch Reflexion (Sur le changement de phase de la lumière par la réflexion); Annalen der Physik und Chemie, neue Folge, t. VII, p. 640; 1879. J. Phys. Theor. Appl., 1880, 9 (1), pp.100-102.
�10.1051/jphystap:018800090010002�. �jpa-00237598�
I00
dans le cas d’électrodes de zinc dans du sulfate de zinc prouve que, dans la
polarisation
engénéral,
les gaz nejouent
pas un rôle essentiel.... Aussitôt que les électrodes sont rendues différentes l’une de l’autre par une causequelconque,
parexemple
par le pas- sage d’un courantélectrique
à traversl’électrolyte,
lapolarisation prend
naissance et tend à détruire cetteinégalité.
La force électro- motrice depolarisation
des électrodes es t, parconséquent,
la forceavec
laquelle
l’électricité tend à revenir à la distributionqui
cor-respond
à son étatd’équilibre stable,
momentanément troublé. »R. BLONDLOT.
F. NIEMOELLER. 2014 Ueber die Anwendung des Telephons zu Widerstandmessungen (Sur l’emploi du téléphone pour la mesure des résistances); Annalen der Phy sik, nouvelle série, t. VIII, p. 656; I879.
Gomme M.
Wietlisbach,
M. Niemöller a cherché àappliquer
le
téléphone
à la mesure de la résistance desliquides;
ilemploie également
le pont deWheatstone,
avec la substitution d’un appa- reil d’induction à lapile
et d’untéléphone
augalvanonlètre.
Quoique postérieur
à celui de M.Wietlisbach,
le travail de M. Niemöller est moinssatisfaisant;
l’auteur se croit en droit denégliger
lapolarisation,
à cause del’emploi
de courantsalternatifs,
et cette assertion n’est aucunement
justifée;
deplus,
M. Niemôlleradmet que la
position
du pont donnant le minimum du son estcelle
qui correspond
àl’équilibre, proposition qui
est en désac-cord
complet
avec le calcul de Ii2. Wietlisbach.Il est difficile
d’apprécier
l’exactitude de mesures faites sur de tellesbases ; j’ajouterai
seulement que l’auteur a cru vérifier lefait,
annoncé par M.
Overbeck,
que la résistance desliquides
pour lescourants alternatifs à oscillations
rapides
estplus petite
que larésistance normale. R. BLONDLOT.
P. GLAN. 2014 Ueber die Phasenänderungen des Lichtes durch Reflexion (Sur le chan- gement de phase de la lumière par la réflexion); Annalen der Physik und Chemie,
neue Folge, t. VII, p. 640; I879.
L’auteur s’est
proposé
de mesurer directement lechangement
dephase
que subit un rayon de lumièrepolarisée
dans leplan
d’inci-Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018800090010002
I0I
dence en se réfléchissant sur une surface
plane
de naturequel-
conque. Il utilise à cet effet les anneaux de Newton
produits
entrela surface étudiée et des lentilles de rayons assez
petits
et trèslégères.
Il mesure les diamètres des anneaux au moyen d’unmicroscope
muni d’une croisée de fils mobile.La difficulté
principale
dans cesexpériences
n’est pas seulement d’obtenir le contactparfait
aupoint
central des anneaux(
les 111e-sures effectuées dans le cas du verre montrent
qu’on
peut y parve-nir) :
elle consiste surtout dans les déformations que subissent les deux surfaceslorsqu’on
les amène au contact.Pour tenir compte de cette
déformation,
l’auteur suppose que les deuxsurfaces,
auvoisinage
dupoint
de contact, sont sensiblementsphériques.
Enappelant
alors n et r’ leurs deux rayons, x la diffé-rence de marche
cherchée,
p le rayon du nième anneau, on auraLes mesures eiectuées âansle cas du verre montrent que les dé-
, formations sont bien telles
qu’on
les asupposées, du moins jusqu’au
deuxième anneau, en
employant
des lentilles de7gr
auplus,
par- faitement propres, mais nonpressées.
Dèslors,
enappelant pi
etP’2 les rayons des deux
premiers
anneaux, et posanton trouve
Il suffit
donc,
pour trouver la différence demarche,
de mesu-rer les diamètres des deux
premiers
anneaux.Les
expériences,
malheureusement peunombreuses,
ontporté
d’une part sur le verre, surtout pour contrôler la
méthode,
d’antre part surl’acier, l’argent,
le sélénium et la fuchsine. Ces dernièresprésentent
un intérêt toutparticulier,
car elles montrent, ainsi que les recherches de M. E. Wiedemann l’avaientdéjà
mis en évi-dence (1),
que la fuchsineagit
tout à la fois à la manière des sub-(’ ) Voir Journal de Physique, t. IV, p. 20.
I02
stances transparentes pour le rouge et comme les métaux à me- sure
qu’on
serapproche
du violet. C’est ainsi que M. Glan a trouvé,pour 1=
19° 1 0’ :
.J. MACÉ DE LÉPINAY.
W. KOHLRAUSCH. 2014 Ueber das Verhalten von Membranen in tönenden Luftsäulen
(Sur la façon dont les membranes se comportent dans les colonnes d’air sonores);
Annalen der Physik und Chemie, nouvelle série, t. VIII, p. 584; I879.
Dans cette Note, l’auteur donne entre autres choses un moyen de
répéter
lesexpériences
deSavart
et de Seebeck relativement à laposition
des ventres et des noeuds fixesproduits
par la comhinaison de l’onde sonore directe et de l’onde réfléchie.Au moyen d’un sifflet
analogue
à celui que l’on rencontre danstous les Cabinets de
Physique
etqui
sert à montrer les divers har-moniques
d’un méme tuyau, on peutrépéter
cetteexpérience,
àcondition que le tube ait une
largeur
suffisante. Il sufit pour cela de descendre dans ce tuyausupposé
fermé une membrane en caout-chouc tendue à l’extrémité d’un tube ouvert soutenu par une ficelle
qui
traverse un bouchon servant à fermer le tuyau. On trouve ainsi que, si la membranecommunique
librement avec l’air dutuyau des deux cô tés, elle vibre aux ventres et reste immobile aux
noeuds. Si l’on vient alors à fermer l’extrémité du tube de verre
qui
ne porte pas demembrane,
on trouve, aucontraihe,
que cettemembrane, qui
n’estplus
en contact avec l’air du tuyau que par un seulcôté,
vibre fortement aux noeuds et reste immohile aux ventres.Seebeck,
comme onsait,
aexpliqué
ce fait en faisant remarquer que dans ce dernier cas l’une des deuxondes,
soit l’ondedirecte,
soit l’onde
réfléchie,
estobligée
de contourner le tube avant d’ar- river à la membrane. Les vitessesapportées
par cette onde sont ainsichangées
designe,
cequi
met les n0153uds à laplace
des ven tres etréciproquement.
Depuis lontemps déjà, j’ai
l’habitude derépéter
lesexpériences
de Savart et Seebeck d’une
façon analogue
à cellequi
estindiquée
dans la Note de M. Kohlrausch.