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FR. RUDORFF. — Ueber die Bestimmung des specifischen Gewichtes pulveriger Kôrper (Sur la détermination du poids spécifique des corps en poudre); Annalen der Physik und Chemie, nouvelle série, t. VI, p. 288; 1879

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00237521

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237521

Submitted on 1 Jan 1879

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FR. RUDORFF. - Ueber die Bestimmung des specifischen Gewichtes pulveriger Kôrper (Sur la détermination du poids spécifique des corps en poudre);

Annalen der Physik und Chemie, nouvelle série, t. VI, p. 288; 1879

E. Bichat

To cite this version:

E. Bichat. FR. RUDORFF. - Ueber die Bestimmung des specifischen Gewichtes pulveriger Kôr- per (Sur la détermination du poids spécifique des corps en poudre); Annalen der Physik und Chemie, nouvelle série, t. VI, p. 288; 1879. J. Phys. Theor. Appl., 1879, 8 (1), pp.237-240.

�10.1051/jphystap:018790080023701�. �jpa-00237521�

(2)

237

la calorie en

kilogrammètres

et obtenait ainsi

l’expression

de l’é-

nergie dissipée

par le

jeu

de la machine. M. Tait

ajoutait :

« Telle

est

l’expression

donnée par Thomson de la

quantité

de chaleur

dissipée pendant

le

cycle (Philos. J11ag.

e t Proc. R. S.

E., I852;

On a ulliversal

tendency

in nature to

dissipation o f’ez2enb yy. C’e s t,

bien

entendu,

une

conséquence

immédiate de son

importante

formule sur le travail d’une machine

parfaite.

»

Or,

dans la deuxième Partie de la récente édition de la Théorie

nlécaniqlle

de la

chaleur,

M. Clausius considère le raisonnement de M. Taist comme ne

s’appliquant qu’aux cycles réversibles,

in- firmant par cela même

l’interprétation

de

l’intégrale

pour le cas d’un

cycle

non réversible et la valeur du raisonnement de sir -WT.

Thomson. M. Clausius conteste même que

l’intégrale

en

question

se trouve dans le travail cité

plus

haut.

Dans sa

Note,

sir W. Thomson maintient que son travail de 1852

s’applique

à tous les

cycles,

réversibles ou non. « Je pense,

ajoute-t-il,

que M. le

professeur

Tait a

parfaitement

raison

de s’en référer à ce même travail pour la formule

t0 dq t.

Le tout

est contenu dans la formule M s

-1J 03BCdt laquelle

est donnée

expli-

citement dans cet article. » L’auteur pense aussi

avoir,

au même

,endroit de ce

travail,

le

premier proposé

de

prendre

l’inverse de

la fonction de Carnot comme définition de la

température

absolue.

Lui-même, toutefois,

n’a introduit définitivement cette

expression

dans les formules fondamentales de la

Thermodynamiques qu’a- près

avoir constaté

(de

I852 à

I854)

la

petitesse

du travail inté-

rieur des gaz. G. LIPPMANN.

FR. RUDORFF. 2014 Ueber die Bestimmung des specifischen Gewichtes pulveriger Kôr-

per (Sur la détermination du poids spécifique des corps en poudre); Annalen der Physik und Chemie, nouvelle série, t. VI, p. 288; I879.

La méthode

employée

est la méthode

voluménométrique

ap-

pliquée

à un instrument de forme

spéciale.

Le nouveau volumé-

nomètre se compose d’un réservoir

cylindrique

en verre

A,

de

25cc de

capacité, portant

à la

partie

inférieure un tube T muni d’un

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018790080023701

(3)

renflement B et d’un robinet R. A la

partie supérieure,

ce réser-

voir

peut

être fermé au moyen d’un bouchon creux en verre,

éga-

lement muni d’un robinet R’. Un manomètre à mercure, soudé au

réservoir,

donne la

pression

de l’air

qui

y est contenu. On verse

du mercure dans le tube

T, jusqu’à

un certain

point

de

repère

r.

Le niveau du mercure dans le manomètre est alors en m. On ferme le robinet R’ et l’on ouvre le robinet R. Le mercure

qui

s’écoule

Fig. i.

est

recueilli

dans un vase taré à

l’avance ;

la

pression baisse,

et

l’on s’arrête au moment où la différence des niveaux dans les deux branches du manomètre est

égale

à la. Soit P le

poids

de mercure

recueilli. On introduit de nouveau du mercure dans le tube

T,

jusqu’au point

de

repère,

et l’on

place

dans le réservoir A la sub-

stance dont on veut déterminer le

poids spécifique.

On laisse

encore écouler le mercure par le robinet R

jusqu’au

moment la

différence des niveaux est redevenue A. Soit P’ le nouveau

poids

(4)

239 de mercure recueilli. Soient H la

pression atmosphérique,

V le vo-

lume du réservoir A et du tube

manométrique jusqu’en

n2, v le

volume

m03B2,

et D la densité du mercure à la

température

de

l’expé-

rience ;

soit enfin x le volume du corps que l’on cherche. On a

immédiatement les deux

équations

suivantes :

d’où l’on tire facilement

Ce voluménomètre est

peut-être plus

facile à manier que celui de

Regnault;

mais comme ce

dernier,

et d’une

façon générale

comme tous les

voluménomètre,

il

présente

de graves inconvé- nients. Tout d’abord il ne

peut

servir pour les corps en

poudre,

car on sait que cette classe de corps

jouit

de la

propriété

d’absorber

l’air ou les gaz avec une

plus

ou moins

grande énergie

et d’une

façon

variable avec la

pression,

de telle sorte que, si la

pression

augmente,

la

proportion

de gaz absorbé devient

plus

considérable : elle

diminue,

au

contraire,

si la

pression

baisse. Il en résulte que, dans tous les cas, la masse gazeuse sur

laquelle

on

opère

ne de-

meure pas constante, et,

par suite,

on ne

peut appliquer

la loi de

3Iariotte. Des

expériences que j’ai

faites avec du

bioxyde

de man-

ganèse

et du soufre en

poudre parfaitement

lavés ne me laissent

aucun doute à ce

sujet.

En observant le niveau du mercure au

moyen d’un

cathétomètre,

on constate des

changements

dans sa

position,

même au bout d’un

temps

très-court. Les différences

entre les nombres obtenus par la méthode du tacon et la méthode

voluménométrique

sont

beaucoup trop grandes

pour que l’on

puisse

les attribuer à des erreurs

d’expérience.

Elles

atteignent

sou-

vent

3B

et même

1 20

du volume à mesurer.

D’autre

part,

la méthode

voluménométrique qui

repose sur la loi de Nlariotte

exige

que la

température

soit constante

pendant

toute la durée de

l’expérience.

Cela est bien difficile à réaliser

avec la

disposition

actuelle des instruiments. On est

obligé

de tou-

(5)

cher à

l’appareil,

de verser du mercure, d’en

enlever,

etc. Ces

opérations

ont

toujours

pour résultat de faire varier la

tempéra-

ture.

Or,

une différence de

température

de seulement

produit

une variation de

pression qui dépasse 2nlm,

et cette différence de

pression

avec le voluménomètre ordinaire de

Regnault peut

amener

une différence de volume de 2cc, ce

qui

est énorme.

Ce sont ces inconvénients

qui

ont fait

rejeter l’emploi

du volu-

ménomètre pour la détermination du volume des

poudres

en

gé- néral,

et, en

particulier,

de la

poudre

de guerre.

Aujourd’hui,

en

France,

on obtient le volume de la

poudre

en mesurant le volume

de mercure

déplacé

par cette

poudre,

que l’on a eu soin de débar- rasser, par le

vide,

de l’air

qu’elle

con tient

touj ours (1).

E. BICHAT.

Pu. VON JOLLY. 2014 Die Anwendung der Waage auf Probleme der Gravitation (L’em- ploi de la balance dans le problème de la gravitation); Annalen der Physik, t. V, p. II2; I878.

Dans la

première

Partie de son

Mémoire,

l’auteur examine les conditions

générales

de bonne construction de la balance de

pré-

cision et l’influence des

changements

de

température

sur les indi-

cations de cet instrument.

Il observe

toujours

1 état

d’équilibre

au moyen d’une lunette immobile visant une échelle

graduée

par réflexion sur un

petit

miroir fixé au milieu du fléau et

perpendiculaire

à celui-ci. Des

expériences préliminaires,

faites sur deux balances

différentes,

in-

diquent qu’un déplacement

de 10 de l’échelle

correspond

à une

surcharge

sur un des

plateaux

de

omg’’, II73

pour la balance n° 1

et de omgr, I82 pour la balance 2.

Les

expériences

se font

toujours

sous

charge

constante. Les

poids

ordinairement

employés

sont deux masses de Ikg

environ,

en laiton

nickelé,

à surfaces bien

polies.

On

place

ces masses dans les deux

plateaux,

et

l’équilibre

est établi en

ajoutant

à l’une

d’elles un

petit poids

additionnel. On note la division de l’échelle

Foir, à ce sujet, Revue d’Artillerie, t. III, p. 353 (I874), et t. XI, p. 320 (I878).

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