• Aucun résultat trouvé

V. v. LANG. — Neue Beobachtungen an tönenden Luftsäulen (Nouvelles observations sur les colonnes d'air vibrantes); Annalen der Physik und Chemie, nouvelle série, t. VII, p. 292; 1879

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "V. v. LANG. — Neue Beobachtungen an tönenden Luftsäulen (Nouvelles observations sur les colonnes d'air vibrantes); Annalen der Physik und Chemie, nouvelle série, t. VII, p. 292; 1879"

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237600

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237600

Submitted on 1 Jan 1880

HAL

is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire

HAL, est

destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

V. v. LANG. - Neue Beobachtungen an tönenden Luftsäulen (Nouvelles observations sur les colonnes d’air

vibrantes); Annalen der Physik und Chemie, nouvelle série, t. VII, p. 292; 1879

E. Masse

To cite this version:

E. Masse. V. v. LANG. - Neue Beobachtungen an tönenden Luftsäulen (Nouvelles observations sur les colonnes d’air vibrantes); Annalen der Physik und Chemie, nouvelle série, t. VII, p. 292; 1879. J.

Phys. Theor. Appl., 1880, 9 (1), pp.103-105. �10.1051/jphystap:018800090010301�. �jpa-00237600�

(2)

I03 La méthode

que j’emploie est, je croisa meilleure,

en ce sens que

Inexpérience

peut être suivie par un nombreux auditoire. Ce n’est

autre chose d’ailleurs

qu’une

modification de la

disposition

em-

ployée

par M.

K0153nig

dans ses tuyaux à

capsules manométriques.

On

prend

le tuyau portant une

paroi

en verre que l’on trouve dans toutes les collections

d’Acoustique.

On ferme ce tuyau par

une

plaque

de bois ou de

liège.

En

forçant

un peu le vent de la

soufflerie,

on obtient facilement le son

correspondant

à un noeud

situé à peu

près

au tiers du tuyau à

partir

de sa base et à un ventre

situé au tiers du tuyau à

partir

de son extrémité fermée.

On descend alors dans ce tuyau une membrane en

baudruche,

tendue sur un anneau

rigide,

que l’on utilise à la manière ordinaire pour montrer

qu’elle

vibre aux ventres et que le sable dont elle

est recouverte reste immobile aux noeuds. Puis on descend à la

place

de cette membrane une

petite capsule manométrique

que

tout le monde peut

préparer,

et

qui

est

supportée

par deux tubes étroits en verre traversant à frottement le couvercle du tuyau,. L’un des tubes amène le gaz de

l’éclaxrage,

que l’on allume à l’ex- trémité de l’autre. La flamn1e ainsi obtenue reste immobile aux ventres et vibre au contraire

énergiquement

aux noeuds.

Cette

disposition

me

semble,

pour

l’enseignement, préférable

à

celle de M.

K0153nig,

les

membranes, disposées latéralement,

ne

montrent pas immédiatement ce

qui

se passe dans la direction même de la

propagation

du mouvement

vibratoire,

seul cas

qui,

cii

général,

est traité

théoriquement

dans les Cours. E. BICHAT.

V. v. LANG. 2014 Neue Beobachtungen an tönenden Luftsäulen (Nouvelles observations

sur les colonnes d’air vibrantes); Annalen der Physik und Chemie, nouvelle série,

t. VII, p. 292; I879.

Dans ces

expériences,

l’air d’un tuyau de verre était mis en vi- brations au moyen d’une

plaque élastique placée

horizontalement à

une

petite

distance de l’ouverture inférieure du tube. A l’extré- mité

supérieure

du tuyau se trouvait un tube en carton

qu’on

pou- vait élever ou abaisser de

façon

à accorder la colonne vibrante

avec la

plaque.

Pour déterminer la

position

des

noeuds,

l’auteur descendai t dans

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018800090010301

(3)

I04

le tuyau un chercheur

A,

formé d’un tube de verre fermé à sa

partie

inférieure par une membrane sur

laquelle

était

répandue

du

sable ;

une

plaque

de

liège découpée

en forme de croix bouchait la

partie supérieure.

Le sable semé sur la membrane se mettait partout en mouvement

sous l’influence de la résonnance de

l’air,

et cela à

n’importe quel niveau ;

la différence entre les ventres et les n0153uds était très peu

marquée,

comme

Hopkins

en avait

déjà

fait la remarque.

Seulement, pendant

l’ascension ou la descente du chercheur dans le tuyau un

phénomène

très intéressant se

produisit : chaque

fois

que le chercheur rencontrait un noeud, le son s’élevait d’une ma-

nière très

rermarquable,

au

point,

dit

l’auteur, qu’on croyait

en-

tendre un siffle t.

Le son de la

plaque correspondait

à 1229

vibrations,

et, la lon- gueur du tuyau étant

égale

à

872mm,

la colonne d’air

présentait

six

noeuds. Tirait-on le chercheur à travers le tuyau, on entendait le

son augmenter six fois.

Au lieu d’un chercheur

composé

d’une membrane et d’un tuyau,

on

prit

un

simple

tube fermé en bas par une

plaque

de laiton. Le tuyau de laiton fut exac temen t lnis au ton de la

plaque

en

y j e tant

de

petits

morceaux de cire

qu’on

faisait fondre. Ce chercheur B donna les mémes résultats que le

premier.

On est tout d’abord

porté

à voir dans ce renforcement une ré-

sonnance du chercheur. Il est vrai que, si l’on verse dans le cher- cheur B une couche de sable un peu

épaisse,

son effet cesse presque

complètement; mais,

en

agissant

de même avec

A,

le

phénomène

de tout à l’heure subsiste. Il faut donc voir ici une cause autre que la résonnance.

Voici

l’explication

de l’auteur:

Les noeuds successifs d’un tuyau sonore envoient à notre oreille des ondes sonores de

phases

exactement

contraires;

si donc un de

ces mouvements d’onde est

supprimé par l’introduction

d’un corps

étranger

dans le

n0153ud,

l’intensité du son doit augmenter.

En d’autres termes, le chercheur détruit l’interférence de deux

phases

vibratoires

contraires,

résultat

qui rappelle

celui obtenu

par M.

Lissajous

dans

l’expérience classique

il renforce le son

d’une

plaque

vibrante en lnaintenant au-dessus un ou

plusieurs

secteurs de carton.

(4)

I05

Quand

on fait passer vivement un résonnateur dans le tuyau, on obtient un autre

phénomène

curieux : le son baisse

pendant

l’as-

cension du chercheur eu augmente

pendant

sa descente; la diié-

rence entre les deux sons peut atteindre un demi-ton.

E. MASSE.

W. ROSICKY. 2014 Ueber die optischen Eigenschaften des Russes (Propriétés optiques du noir de fumée); Sitzungsb. der Wien. Acad., t. LXXVIII; I878.

r

La densité du noir de

fumée,

déterminée en pesant une

plaque

de verre recouverte d’une couche

d’épaisseur

connue, est

o,05

pour des

plaques

récemment

préparées,

et

0,06

pour des

plaques pré- parées depuis plusieurs jours.

On détermine l’indice de réfraction

en

plaçant

dans

l’appareil

de M. Jamin une

plaque

recouverte en

partie

d’une couche de noir de fumée

d’épaisseur

connue et mesu-

rant le

déplacement

des

franges

fournies par la

partie

du faisceau

qui

a traversé le noir : cet indice est

1,039.

On constate que le re- tard est aux

parcelles

de charbon et non aux couches d’air in-

terposées ;

en

plongeant

en

partie

la

plaque

dans de l’huile de pavot, de

petites

bulles d’air se

dégagent

et le noir retarde les rayons

plus

que l’huile. Soient Dn la densité réelle du

noir,

/ln son indice de

réfraction,

7lh celui de

l’huile, p2

et

q À

les retards

produits

par le noir dans l’air et dans

l’huile ;

les relations

donnent n,t =

2,38g,

indice du

diamant,

et Dn =

2,3,

valeur voi- sine de la densité du

graphite.

Les anneaux colorés obtenus en enfumant

légèrement

sur une

lampe

une

plaque

de verre ou de métal suivent les mêmes lois que les anneaux des lames

minces;

leur intensité est

beaucoup plus

faible : elle diminue

rapidement

avec

l’angle

d’incidence.

La relation i =

Je-kd ,

dans

laquelle

J est l’intensité du faisceau

incident,

i celle du faisceau

qui

a traversé une couche

d’épaisseur d,

permet de calculer le coefficient d’extinction k. Les mesures

d’intensité faites au moyen des

disques

tournants de Talbot

(1)

Philosophical Magazine, 3e série, t. V, p. 3 2ï.

Références

Documents relatifs

donc difficile d’admettre que toute la vapeur d’eau est, absorbée par l’acide sulfurique dans un temps suffisamment court pour que la température reste

- Ueber die Brechung der Schallwellen (Réfraction des ondes sonores); Annalen der Physik und Chemie, nouvelle série, t... I69 tel est le cas des corps portés à de hautes

- Ueber die Phasenänderungen des Lichtes durch Reflexion (Sur le changement de phase de la lumière par la réflexion); Annalen der Physik und Chemie, neue Folge, t... Aussitôt que les

plus convaincante qu’il n’existe pas de différence entre la double réfraction obtenue par un moyen mécanique et la double réfraction naturelle ; chaque place

couples de deux barreaux identiques soumis pendant des temps égaux à l’action d’une même force magnétisante l’un pendant.. la trempe, l’autre

- Experimentelle Bestimmung von Lichtgeschwindigkeiten in Krystallen (Mesure expérimentale des vitesses de la lumière dans les cristaux); Annalen der Physik und Chemie, neue Folge,

- Ueber die Verdichtung der Gase auf Glasoberflächen (Sur la condensation des gaz à la surface du verre); Annalen der Physik und Chemie, nouvelle série,

- Ueber zwei neue fluorescirende Substanzen (Sur deux nouvelles substances fluorescentes); Annalen der Physik und Chemie, nouvelle série, t... 8° Cas de deux courants horizontaux se