HAL Id: jpa-00237599
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Submitted on 1 Jan 1880
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W. KOHLRAUSCH. - Ueber das Verhalten von Membranen in tönenden Luftsäulen (Sur la façon dont
les membranes se comportent dans les colonnes d’air sonores); Annalen der Physik und Chemie, nouvelle
série, t. VIII, p. 584; 1879
E. Bichat
To cite this version:
E. Bichat. W. KOHLRAUSCH. - Ueber das Verhalten von Membranen in tönenden Luftsäulen (Sur la façon dont les membranes se comportent dans les colonnes d’air sonores); Annalen der Physik und Chemie, nouvelle série, t. VIII, p. 584; 1879. J. Phys. Theor. Appl., 1880, 9 (1), pp.102-103.
�10.1051/jphystap:018800090010201�. �jpa-00237599�
I02
stances transparentes pour le rouge et comme les métaux à me- sure
qu’on
serapproche
du violet. C’est ainsi que M. Glan a trouvé,pour 1=
19° 1 0’ :
.J. MACÉ DE LÉPINAY.
W. KOHLRAUSCH. 2014 Ueber das Verhalten von Membranen in tönenden Luftsäulen
(Sur la façon dont les membranes se comportent dans les colonnes d’air sonores);
Annalen der Physik und Chemie, nouvelle série, t. VIII, p. 584; I879.
Dans cette Note, l’auteur donne entre autres choses un moyen de
répéter
lesexpériences
deSavart
et de Seebeck relativement à laposition
des ventres et des noeuds fixesproduits
par la comhinaison de l’onde sonore directe et de l’onde réfléchie.Au moyen d’un sifflet
analogue
à celui que l’on rencontre danstous les Cabinets de
Physique
etqui
sert à montrer les divers har-moniques
d’un méme tuyau, on peutrépéter
cetteexpérience,
àcondition que le tube ait une
largeur
suffisante. Il sufit pour cela de descendre dans ce tuyausupposé
fermé une membrane en caout-chouc tendue à l’extrémité d’un tube ouvert soutenu par une ficelle
qui
traverse un bouchon servant à fermer le tuyau. On trouve ainsi que, si la membranecommunique
librement avec l’air dutuyau des deux cô tés, elle vibre aux ventres et reste immobile aux
noeuds. Si l’on vient alors à fermer l’extrémité du tube de verre
qui
ne porte pas demembrane,
on trouve, aucontraihe,
que cettemembrane, qui
n’estplus
en contact avec l’air du tuyau que par un seulcôté,
vibre fortement aux noeuds et reste immohile aux ventres.Seebeck,
comme onsait,
aexpliqué
ce fait en faisant remarquer que dans ce dernier cas l’une des deuxondes,
soit l’ondedirecte,
soit l’onde
réfléchie,
estobligée
de contourner le tube avant d’ar- river à la membrane. Les vitessesapportées
par cette onde sont ainsichangées
designe,
cequi
met les n0153uds à laplace
des ven tres etréciproquement.
Depuis lontemps déjà, j’ai
l’habitude derépéter
lesexpériences
de Savart et Seebeck d’une
façon analogue
à cellequi
estindiquée
dans la Note de M. Kohlrausch.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018800090010201
I03 La méthode
que j’emploie est, je croisa meilleure,
en ce sens queInexpérience
peut être suivie par un nombreux auditoire. Ce n’estautre chose d’ailleurs
qu’une
modification de ladisposition
em-ployée
par M.K0153nig
dans ses tuyaux àcapsules manométriques.
On
prend
le tuyau portant uneparoi
en verre que l’on trouve dans toutes les collectionsd’Acoustique.
On ferme ce tuyau parune
plaque
de bois ou deliège.
Enforçant
un peu le vent de lasoufflerie,
on obtient facilement le soncorrespondant
à un noeudsitué à peu
près
au tiers du tuyau àpartir
de sa base et à un ventresitué au tiers du tuyau à
partir
de son extrémité fermée.On descend alors dans ce tuyau une membrane en
baudruche,
tendue sur un anneau
rigide,
que l’on utilise à la manière ordinaire pour montrerqu’elle
vibre aux ventres et que le sable dont elleest recouverte reste immobile aux noeuds. Puis on descend à la
place
de cette membrane unepetite capsule manométrique
quetout le monde peut
préparer,
etqui
estsupportée
par deux tubes étroits en verre traversant à frottement le couvercle du tuyau,. L’un des tubes amène le gaz del’éclaxrage,
que l’on allume à l’ex- trémité de l’autre. La flamn1e ainsi obtenue reste immobile aux ventres et vibre au contraireénergiquement
aux noeuds.Cette
disposition
mesemble,
pourl’enseignement, préférable
àcelle de M.
K0153nig,
où lesmembranes, disposées latéralement,
nemontrent pas immédiatement ce
qui
se passe dans la direction même de lapropagation
du mouvementvibratoire,
seul casqui,
cii
général,
est traitéthéoriquement
dans les Cours. E. BICHAT.V. v. LANG. 2014 Neue Beobachtungen an tönenden Luftsäulen (Nouvelles observations
sur les colonnes d’air vibrantes); Annalen der Physik und Chemie, nouvelle série,
t. VII, p. 292; I879.
Dans ces
expériences,
l’air d’un tuyau de verre était mis en vi- brations au moyen d’uneplaque élastique placée
horizontalement àune
petite
distance de l’ouverture inférieure du tube. A l’extré- mitésupérieure
du tuyau se trouvait un tube en cartonqu’on
pou- vait élever ou abaisser defaçon
à accorder la colonne vibranteavec la
plaque.
Pour déterminer la