HAL Id: jpa-00237941
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Submitted on 1 Jan 1882
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CARL PULFRICH. - Photometrische Untersuchungen über Absorption des Lichtes in isotropen und
anisotropen Medien (Recherches sur l’absorption de la lumière dans les milieux isotropes et anisotropes); Ann.
der Physik, t. XIV, p. 177; 1881
J. Macé de Lépinay
To cite this version:
J. Macé de Lépinay. CARL PULFRICH. - Photometrische Untersuchungen über Absorption des
Lichtes in isotropen und anisotropen Medien (Recherches sur l’absorption de la lumière dans les
milieux isotropes et anisotropes); Ann. der Physik, t. XIV, p. 177; 1881. J. Phys. Theor. Appl.,
1882, 1 (1), pp.285-286. �10.1051/jphystap:018820010028500�. �jpa-00237941�
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CARL PULFRICH. - Photometrische Untersuchungen über Absorption des Lichtes
in isotropen und anisotropen Medien (Recherches sur l’absorption de la lumière
dans les milieux isotropes et anisotropes); Ann. der Physik, t. XIV, p. 177; 1881.
Le
spectrophotomètre employé
est celui de Glan(1).
On détermi-nait,
pour chacun des corps absorbantsétudiés,
et pour ungrand
nombre de
régions
différentes des spectres, les coefficients d’extinc- tion s, coefficients donnés par la formuleiz est l’intensité lumineuse d’un rayon
qui
a traversé uneépais-
seur de z millimètres du corps
(l’intensité
de la lumière incidente étantprise
pourunité).
])ans laformule,
M est le module deslogarithmes.
1. Dissolutions colorées. - La
cyanine présente
une bandeunique d’absorption
voisine de D,qui
sedéplace
un peu vers le rougequand
la concentration diminue. Elle sedéplace
notablementavec la nature du dissolvant.
Le pernlanganate de potasse
présente cinq
bandesd’absorption
pour les
régions A=0, 57
1( faible ) , 0,547
et o, 52J(fortes
toutesdeux), o,5o5 (faible, 0,191
i(très faible).
II.
Préparations dichrol"scopiqucs
et cristaux. - Les recher-ches ont
porté
sur le caoutchoucétiré,
l’oxalate double de chromeet
d’ammontaquie,
des tourmalines verte et rouge, la titanite etl’épidote.
Pour chacune de ces substances on déterminait de la manière suivante les coefficients
d’absorption
pour les rayons ordinaires et extraordinaires : la lamecrisualline
recouvrait d’abord les deux moitiés de la fente. La sectionprincipale
étant amenée à se con-fondre avec celle du
Wollaston,
onpouvait
déterminer le rapportV
= i’3 iz
desproportions
de lumière transmises dans la radiation(1) Wied. Annalen, t. 1, p. 353; 1877. Voir aussi le Mémoire de M. Crova (An-
nales de Chirrde et de Physique) 56 série, t. XIX; 1880).
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018820010028500
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ordinaire et extraordinaire de la
plaque.
Soulevant alors laplaque,
sans
changer
son orientation, de manière à ne lui faire recouvrir qiie la moitiésupérieure
de lafente,
on mesurait directement1§.
La tourmaline verte absorbe si fortement la radiation ordinaire
qu’on
n’a pu faire quequelques
mesures auvoisinage
dumaximum de lumière transmise
(À = Oy,575).
Le minimum d’ab-sorption
de la radiation extraordinairecorrespond
à la même lon-gueur d’onde. La tourmaline rouge ne diffère de la
précédente qu’en
ce que le minimumd’absorption
s’estdéplacé
verts le rouge(À = 0y,637).
III. 1../a
comparaison
des nombres obtenus dans les cas lesplus simples (une
seule banded’absorption),
avec la formule deKetteler
( ),
montre que, si cette formulereprésente
assez bien lamarche
générale
duphénomène,
les différences entre le calcul etl’observation varient d’une manière si
régulière, qu’on
doit enconclure,
contrairement à 81. Hesse(2),
que la formule de Kettelerest insuffisante. J. MACÉ DE LÉPINAY.
W. FEUSSNER. - Ueber die Interferenzerscheinungen dünner Blättchen, mit
besonderer Rücksicht auf die Theorie der Newton’schen Ringe (Sur les interfé-
rences dans les lames minces, et application aux anneaux de Newton); Wied.
Annalen, t. XIV) p. 545; 1881.
Ce Mémoire est un résumé de deux Mémoires
(3)
dontlie
pre-linier a
précédé
le travail de MM. Sohncke etWangerin analysé précédemment (1).
L’auteur faitplusieurs objections
à la théoriedonnée par
Wangerin.
io
Wangerin
admet que, pour chercher lespoints
del’espace
on les
franges
d’interférenceprésentent
leur maximum de netteté,il suffit de considérer deux groupes
particuliers
de deux rayonschacun, qu’il appelle
groupesprincipaux (Hauptpaare).
L’auteurmontre que cette
hypothèse
est inadmissible.(’ ) Wied. Ann., t. VII, p. 117 et p. 658; 1879.
(2) Wied. Ann., t. XI, p. ,36; 1880.
(3) Ber. der Ges. zur Bef. d. Ges. JBTaturwine zu Marbourg, p. 1, 1880, et p. i, 188I.
(4) Journal de Physique, 2e série, t. 1, p. 140.