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F. KOCH. — Untersuchungen über die magnetelectrischen Rotationserscheinungen (Rotations magnéto-électriques); Wied. Ann. der Physik und Chemie, t. XIX, p. 143; 1883

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00238161

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238161

Submitted on 1 Jan 1883

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F. KOCH. - Untersuchungen über die

magnetelectrischen Rotationserscheinungen (Rotations magnéto-électriques); Wied. Ann. der Physik und

Chemie, t. XIX, p. 143; 1883

Ch. Gomien

To cite this version:

Ch. Gomien. F. KOCH. - Untersuchungen über die magnetelectrischen Rotationserscheinungen (Ro- tations magnéto-électriques); Wied. Ann. der Physik und Chemie, t. XIX, p. 143; 1883. J. Phys.

Theor. Appl., 1883, 2 (1), pp.515-518. �10.1051/jphystap:018830020051501�. �jpa-00238161�

(2)

515 sa

conductibilité,

si celle-ci est au-dessous du

luaxinlunl,

et la di-

minute si elle est

au-dessus,

ce

qui

est bien conforme au résultat de

l’expérience.

Quant

à 1 existence d’une force électromotrice

spéciale, analogue

à celle

qui

a été

invoquée

par M.

Hall,

NI. Roiti n’a pu en démon-

trer l’existence en

employant,

soit du sull’ate de

zinc,

soit du chlo-

rure de

fer,

soit mène une lame de mercure

deomm,045 d’épaisseur.

Le résultat

général

des

expériences

est donc

négatif.

~1. Roiti in-

cline à penser que, dans aucun cas, mêlne avec les conducteurs

solides,

il

n’y

a de force électromotrice de cette

espèce,

et que le résultat obtenu par 31. Hall devrait être

expliqué

d’une autre ma-

nière.

Adiiieutons,

en

effets, qu’un

conducteur soumis à une action

électrodynanljque

cesse d’être

isotrope électriquement

eu

pré-

sente une résistance différente dans les diverses directions : il b’ensuit que deux

points qui

se trouvent sur une

ligne équipoten-

tielle en l’absence du

champ magnétique

extérieur cessent

d’y

être dès que ce

champ

est

produit,

d’où

l’origine

du courant dé-

rivé dans le

galvanomètre.

L’hypothèse

de

l’anisotropie électrique

d’un conducteur soumis à un

champ magnétique

a été

proposée

par Sir M7.

Thomson, il

a

déjà

fort

longtemps

et bien avant la découverte de 1M. Hall.

E. BOUTY.

F. KOCH. 2014 Untersuchungen über die magnetelectrischen Rotationserscheinun- gen (Rotations magnéto-électriques); Wied. Ann. der Physik und Chemie,

t. XIX, p. 143; 1883.

M. I~och a

étudié,

dans ce

Mémoire,

les

phénomènes

d’induc-

tion

qui accompagnent

les rotations

magnéto-électriques.

Dans ses

expériences,

comme dans les recherches faites an- tériellrenlent sur le Illéllle

sujet,

le circuit induit est

composé

de deux

parties :

l’une A linéaire et

homogène,

l’autre B hété-

rogène.

Le conducteur B peut être ou non invariablement lié à l’aimant : dans le

premier

cas, il sera animé de la même vitesse de rotation que

l’aimant;

dans le

second,

sa rotation sera indé-

pendante.

On démontre aisément que, dans ce dernier cas, la ro-

tation du conducteur -’- seule

produit

une induction

qui

est indé-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018830020051501

(3)

516

pendante

de la rotation de l’ainian L. On

peut

donc énoncer la loi suivante :

Dans les

j~~zéjtom2èmes

de rotation

j~2a~n2~to-é~cctjvlue.s,

le

sic-’,,-e

de la

force

électronlotrice cl’il2di~ctLOm

ures~cZe r~i~ilzccnient

clans le comclzcctctci~

ILO~~20~’è~2c

A.

En

appliquant

le calcul à l’étude de ces

phénomènes

et consi-

dérant un aimant conme formé d’une série d’aimants linéaires que l’on

peut remplacer

par des

solénoïdes,

c’est-à-dire par des

systèmes

de courants circulaires dont les axes seraient L

paral-

lèles à celui de

1"aimant,

.!vs. Koch arrive à une formule

qui

lui

montre que la force électromotrice

développée dépend :

i’ de

toutes les dimensions de

l’aimant ;

de sa distance à l’axe

de

rotation;

3° de la

position

des extrémités cc eu b du conduc-

teur A.

La formule finale donnée par l’auteur est la suivante :

~1,, wI3

et N étant des constantes à

déterminer,

et e,

1’, g" ayant

les valeurs suivantes:

Ao, A1, A2, A3 représentent

des

intégrales

rentrant dans Fex-

pressIon générale

_

l’axe des x coïncidant avec l’axe de l’aimant. 9- 1 est la

longueur

de

l’ailnant, ~

est l’abscisse d’un

point quelconque

du

circuit,

R sa distance à l’axe de rotation.

Pour vérifier cette

formule,

M. Koch

employa

un barreau ai- mante

cylindrique qui portait

deux

disques

de cuivre dont Fun était

placé

au milieu du

barreau,

I’allthe

pouvant

occuper difé-

rentes

positions.

On faisait six

expériences

en faisant occuper à ce dernier six

places

différen tes. Les

disques

Venaient

plonger

dans

(4)

517 des

godets pleins

de mercure aboutissaient les extrémités du circuit.

Chaque expérience comprenait

deux

observations,

sui-

vant le sens de la rotation : on

prenait

la moyenne. La vitesse de rotation étant déterminée à l’aide d’un

compteur,

on mesurait la force électromotrice au moyen de la méthode de

Poggendorff,

en

employant

un

galvanomètre

de Wiedemann comme instrument de mesure, comme

galvanoscope

un

multiplicateur

à

aiguilles

asta-

tiques

et, comme force électromotrice constante, un élément Da- niell.

Soient W la résistance à

in terposer

entre les deux forces élec- tronlotrices pour maintenir le

galvanoscope

au

zéro, % l’impulsion galvanométrique correspondant

à

W, v

le nombre de tours du

système

en une

seconde,

1 la distance du miroir du

galvanomètre

à

l’échelle, 1

la constante du

galvanomètre :

on a, en unités abso-

lues,

En

posant 3W -

Il, la

formule (1) peut

s’écrire

l~ étant une constante. On pose enfin

La formule devien t

Chaque

série

d’expériences

donnera six

équations

semblables.

On

déterminer

q, r,

puis

n,

c’est-à-dire -*-2013’

·

v

On

peut

alors comparer la valeur obtenue à la valeur donnée par

l’expérience.

Ainsi

qu’il

résulte des Tableaux donnés par

l’auteLir,

l’accord

n’est pas

parfaite

ce que l’auteur attribue au peu de

précision

que

présentent

forcément les

expériences.

En

résumé,

la formule de 1VI. Koch

peut

être considérée comme

suffisamment exacte et, par

suite,

la force électromotrice

dépend

(5)

518

de la

position

des

points

de

jonction

des deux

portions

du con-

ducteur,

et a son

siège

dans la

portion qui

est

indépendante

de

l’aiiiiant. CH. GOMIEN.

IL NUOVO CIMENTO.

3e série. 2014 Tome XI; 1882.

MANFREDO BELLATI et R. HOlBIANESE. - Sur la rapidité avec laquelle la lumière modifie la résistance électrique du sélénium, p. 5-Ii .

Un

récepteur photophonique

de

Breguet reçoit

la lumière d’une

lampe

à

pétrole, dépouillée

de ses rayons obscurs par son passage à travers une cuve d’alun. Le

récepteur

et un rhéostat de MM. Siemens et Halske sont

installés,

y dans le circuit d’une

pile

de i o éléments

Bunsen,

sur les deux branches d’un

galvanomètre

différentiel dont on amène

l’aiguille

au

zéro,

à

chaque expérience.

à l’aide du rhéostat. Entre la source lumineuse et le

récepteur,

con-

venablement

protégé,

tourne un

disque

opaque

percé

de trous sui-

vant un certain nombre de secteurs. En modifiant la vitesse de rotation du

disque

dans le

rapport

de i à

4,

les auteurs n’ont pu

constater aucune variation

appréciable

de la résistance rnoyenne du

récepteur :

or celle-ci varierait certainement si l’action de la lumière sur le sélénium n’était pas instantanée.

GUGLIELMO DE LUCCHI. 2013 Détermination du rapport entre les deux chaleur, spécifiques pour les vapeurs surchauffées de l’eau et du phosphore, p. 11-28.

I.~

Pour un gaz dont la molécule ne

comprend qu’un

seul atome,

de dimensions infiniment

petites, l’énergie cinétique K,

résultant

du mouvement de translation des

molécules,

doit être

égale

à l’é-

nergie

totale H. La théorie

des

gaz donne d’ailleiirs la relation

connue

dans

laquelle

A

représente

le

rapport

des chaleurs

spécifiques

du

gaz sous

pression

constante et sous volume constant.

Quand

on

>

fait,

dans la formule

( ),

H =

K,

on obtient,

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