HAL Id: jpa-00237852
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Submitted on 1 Jan 1881
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S. DOUBRAVA. - Untersuchungen über die beiden electrischen Zustände (Recherches sur les deux états
électriques); Prague, 1881
G. Lippmann
To cite this version:
G. Lippmann. S. DOUBRAVA. - Untersuchungen über die beiden electrischen Zustände (Recherches sur les deux états électriques); Prague, 1881. J. Phys. Theor. Appl., 1881, 10 (1), pp.48-49.
�10.1051/jphystap:018810010004801�. �jpa-00237852�
48
Cette méthode est
parfaitement rigoureuse, puisque
les conditionssont les mêmes dans les deux
expériences.
L’inconvénient de re- froidir le calorimètrejusqu’à
latempérature
initialeaprès
le mé-lange
a donné l’idée d’abaisser cettetempérature
pour diminuer laperte
d’eau parévaporation :
de là la méthodesirnplifiée
de Re-gnault publiée
par lui en 1866.Dans cette
méthode,
onapplique
la formuleprécédente;
seule-ment dans le calcul de EAt : 10 on suppose
que la
courbe despertes
de chaleur estremplacée
par une droite déterminée par deux ordon- nées voisines l’une de latempérature initiale,
l’autre de latempé-
rature
finale;
2° on ne tient pascompte
de la variation de la sur-face
rayonnante (objection
de M.Wülllier);
3° on suppose que latempérature
extérieure est constante,puisqu’on
introduit dans le calcul lestempératures
au lieu des différences detempérature.
Les
quantités négligées d’après
i et 3 sont peuimportantes
dans des
expériences
bienfaites;
l’autre est trèspetite
si le volumeet la valeur en’ eau du corps sont
petits
parrapport
aux mêmesquantités
relatives au calorimètre. Onpeut,
dans ce cas, leremplir presque jusqu’au
bord et supposer toute laparoi
à latempérature
0 :l’erreur est très
faible, quand
même v ne serait pas trèspetit.
Dansle cas
contraire,
il fautemployer
laméthode complète de Regnault
et
prendre
leplus petit possible.
Quant
à la formule de M.Wiillner,
elle estthéoriquement
in-complète
ettrop compliquée
pour être d’unemploi général
dansla
pratique.
C. DAGUENET.S. DOUBRAVA. 2014 Untersuchungen über die beiden electrischen Zustände
(Recherches sur les deux états électriques); Prague, 1881.
L’auteur construit de
petits
électromètres fondés sur larépulsion qui
a lieu entre corps électrisés de mêmesigne ;
il lescharge
assezfortement pour
qu’il
y ait une fortedéperdition
à leur surface sousforme
d’aigrette
ou par convection. Dans cesconditions,
il trouvequ’une charge positive produit
uneplus grande
déviationqu’une charge négative
de mêmepotentiel.
Une seconde série
d expériences porte sur la longueur
relative desaigrettes positives
etnégatives produites
soit au milieu del’air,
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018810010004801
49 soit le
long
d’une feuille depapier.
Lesaigrettes positives
sonttoujours
lesplus longues, quand
d’ailleurs la valeur absolue dupotentiel
et la forme des conducteurs sont restées les mêmes pour les deux électricités.Si,
au lieud’opérer
dansl’air,
onopère
dans l’huiled’olive,
lephénomène
est inverse.L’auteur conclut de ces
expériences
que, dansl’air,
la valeurdu
potentiel change plus rapidement
avec la distance auvoisinage
d’un conducteur
positif qu’au voisinage
d’un conducteurnégatif,
et que l’inverse a lieu dans l’huile d’olive. L’auteur n’a pas fait
d’expériences
oùl’équilibre électrique
soit conservé.G. LIPPMANN.
J. -H. POYNTING. 2014 On a simple form of saccharimeter (Sur une disposition sim- plifiée du saccharimètre); Phil. Magazine, 5e série, t. IV, p. 18; 1880.
Dans ce
saccharimètre, après
lepolariseur,
se trouve une lamede
quartz perpendiculaire
àl’axe,
que l’on apartagée
en deuxmoitiés dont l’une a été un peu réduite
d’épaisseur.
Il en résulteque
chaque
moitié de laplaque imprime
aux rayonsémergents
unerotation
diff’éren te,
et ellesparaîtront également
éclairées si la sec-tion
principale
del’analyseur
estégalement
inclinée sur chacundes
plans
depolarisation.
On doit d’ailleurs se servir de lumièrehomogène. C’est,
comme on levoit,
leprincipe
du saccharin1ètre àpénombre.
Ladifficulté, ici,
est deplacer
laplaque
suivant unedirection
rigoureusement perpendiculaire
aux rayons.Cette difficulté se fait surtout sentir
quand,
ainsi que le proposel’auteur,
ondispose
l’une des moitiés de laplaque
comme un com-pensateur
deBabinet,
de manière à faire varierl’angle
des deuxplans
depolarisation
de la lumièreémergente,
et par suite la sen- sibilité del’appareil.
Ladisposition employée
depréférence
par l’auteur est deplacer
devant laplaque
dequartz
une cuve conte-nant une
liqueur
sucréeactive,
et d’introduire dans cette cuve, sur letrajet
d’une des moitiés dufaisceau,
une lame de verre dequel-
ques millimètres
d’épaisseur.
La sensibilité del’appareil dépend
alors du
pouvoir
rotatoire de la dissolution sucrée.La construction est