J. VON KOWALSKI. — Untersuchungen über die Festigkeit des Glases [Recherches sur la solidité du verre (résistance à la rupture)] ; Wied. Ann., t. XXXVI, p. 307 ; 1889

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Submitted on 1 Jan 1890

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J. VON KOWALSKI. - Untersuchungen über die Festigkeit des Glases [Recherches sur la solidité du verre

(résistance à la rupture)] ; Wied. Ann., t. XXXVI, p.

307 ; 1889

Ch.-Ed. Guillaume

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Ch.-Ed. Guillaume. J. VON KOWALSKI. - Untersuchungen über die Festigkeit des Glases [Recherches sur la solidité du verre (résistance à la rupture)] ; Wied. Ann., t. XXXVI, p. 307 ; 1889. J. Phys.

Theor. Appl., 1890, 9 (1), pp.160-161. �10.1051/jphystap:018900090016001�. �jpa-00239057�

I60

Les courbes représentant ^ce pouvoir réflecteur en fonction de la longueur d’onde, présentent, pour ^{le fer et le} nickel, ^la plus grande analogie. ^{Toutes deux} présentent ^{un minimum} peu accusé, pour  - oil, 5 ^{environ. J. MACÉ DE LÉPINAY.}

J. VON KOWALSKI. 2014 Untersuchungen ^{über die} Festigkeit ^{des Glases} [Recherches

sur la solidité du verre (résistance ^{à la} rupture)] ; ^Wied. Ann., ^t. XXXVI, p. 307 ; I889.

Ce travail, ^{exécuté sous les} auspices ^{de M. le} professeur V oigt,

avait pour but de ^{soumettre au} contrôle de l’expérience ^{les deux} hypothèses ^{suivan t} lesquelles ^un corps ^se rompt : i ° lorsque ^les

tensions maxima arrivent à une certaine limite (Clebsch); 2° lorsque

la dilatation élastique, ^{en un} point ^{donné, atteint une valeur dé-}

terminée (Mariotte, 1BTeun~.ann, ^{Barré de} Sain t-Venant).

Des tiges cylindriques ^{de verre} (l’auteur ^ne dit pas de quelle espèce), après ^avoir été mesurées avec soin suivant quatre ^diamè- Lres, ^{et en} divers endroits, étaient soumises à des expériences ^de

flexion (sur ^{de ux} supports), ^{ou de torsion. Les} expériences ^bien

concordantes donnent (notation ^de Lamé)

Les expériences ^de rupture ^furent entreprises ^{sur 3o} tiges par

traction, _{29 par} ^{flexion sur deux} _{supports, 33 par} torsion, i4 par

compression ; ^enfin 9 tiges ^{furen t en même} temps ^{tordues et tirées.}

Dans le cas de la flexion, le maximum de tension se produit ^au point ^le plus ^{bas de la} tige ; ^{dans la} torsion, ^à l’extrémité du petit

axe de l’ellipse ^de section : c’est pour ^ces points que ^les résultats

ont été calculés.

Les résultats sont résumés dans le Tableau suivan t; ^C désigne

la charge, X rallongement : ^:

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018900090016001

I6I

Dans le dernier _cas, les extrêmes limites de À sont 0,00154 ^et

0~00121; ^on peut donc dire que les valeurs de l’allongement ^sont identiques pour la traction, la flexion et la compression.

L’auteur ne définit pas exactement la signification des lettres

qu’il emploie ; ^{mais on voit,} diaprés les formules dont il fait usage, que C désigne, ^{dans le dernier cas, la} pression ^{dans le sens} perpendiculaire ^{à la} rupture. ^{Ces nombres ne} permet,tent donc pas

de contrôler l’hypothèse ^{de Ciebsch.} CH.-ED. GUILLAUME.

A. KOCH. 2014 Ueber die Dämpfung ^der Torsionsschwingungen ^von verschiedenen Metalldrähten (Sur l’amortissement des oscillations de torsion dans divers fils métalliques); ^Wied. Ann., ^t. XXXVI, p. I22; I889.

L’auteur étudie l’amortissement des oscillations d’un aimant

suspendu ^{à divers fils} métalliqucs. Les fils de 1 fi de long, ^{et de} 0~~,2’y ^de diamètre, ^{étaient fixés à une} potence ^et protégés par

un tube de _verre; ils supportaient ^un poids ^{et un} aimant, ^{dont la}

force directrice pouvait ^être modifiée; la durée des oscillations était ainsi changée ^à volonté. Afin d’étudier l’effet du frottement de l’air, ^le poids cylindrique ^{était enfermé dans une douille de}

laiton que l’ on tirait, ^{dans certaines} expériences, de manière à doubler la longueur ^du poids ; ^on admettait alors que le frottement était doublé. Tous les fils subissaient exactement le même traite- ment ; après ^{avoir été} passés ^{à la} filière, ^{ils restèrent} tendus pen- dant deux mois avant les observations.

En désignant par L le décrémen u Iogarithinlqtie ^des oscillations,

par ^T leur durée, ^{l’auteur trouve} que, contrairement ^aux conclu- sions simplifiées ^{de la} théorie de 112. l3oltZma11I1, ~L .r2 ^{n’est n pas une} constante. On peut écrire, ^{avec une} approximation suffisante,

Lorsqu’on ^{recuit un fil, les} haramétres cz ^{et b varient en restant}

dans le même rapport; ^{le décrément est} plus grand dans les fils durs que dans ^{les fils} recuits.

Les métaux examinés se rangent ^dans l’ordre suivant pour ^une

force d’amortissement décroissante :