HAL Id: jpa-00237172
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Submitted on 1 Jan 1876
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R. CLAUSIUS. - Ueber ein neues Grundgesetz der Elektrodynamik (Sur un nouveau principe de
l’électrodynamique); Annales de Poggendorff, t. CLVI, p. 657; déc. 1875. - Ueber das Verhalten des elektrody
namischen Grundgesetzes zum Princip von der Erhaltung der Energie, und über eine noch weitere Vereinfachung des ersteren (Rapports de ce nouveau principe avec le principe de la conservation de l’énergie.
Simplification de son énoncé); Annales de Poggendorff, t. CLVII, p. 489; 18I6
Potier
To cite this version:
Potier. R. CLAUSIUS. - Ueber ein neues Grundgesetz der Elektrodynamik (Sur un nouveau principe de l’électrodynamique); Annales de Poggendorff, t. CLVI, p. 657; déc. 1875. - Ueber das Verhalten des elektrody namischen Grundgesetzes zum Princip von der Erhaltung der Energie, und über eine noch weitere Vereinfachung des ersteren (Rapports de ce nouveau principe avec le principe de la conservation de l’énergie. Simplification de son énoncé); Annales de Poggendorff, t. CLVII, p. 489; 18I6. J. Phys.
Theor. Appl., 1876, 5 (1), pp.194-195. �10.1051/jphystap:018760050019401�. �jpa-00237172�
I94
cherché est donc
EFG,
OH est le rayonémergent
et AOH la dévia-tion ;
la construction sesimplifie lorsque
les deux faces enregard
sont
paralèlles,
EF se confond avecEC,
et EF’ G’ estl’angle
de-mandé.
Une construction
analogue s’applique
auspectroscope
à vision directe(RADAU,
Ann.Pogg. ,
t .CXVIII).
L’auteur termine en
appliquant
sa méthode à la théorie de l’arc-en-ciel. A. DAGUENET.
R. CLAUSIUS. 2014 Ueber ein neues Grundgesetz der Elektrodynamik (Sur un nouveau principe de l’électrodynamique); Annales de Poggendorff, t. CLVI, p. 657; dée. I875.
2014 Ueber das Verhalten des elektrody namischen Grundgesetzes zum Princip von der
Erhaltung der Energie, und über eine noch weitere Vereinfachung des ersteren (Rapports de ce nouveau principe avec le principe de la conservation de l’énergie.
Simplification de son énoncé); Annales de Poggendorff, t. CLVII, p. 489; I8I6.
On sait que la formole
d’.A.mpère, exprimant
l’actionréciproque
de deux éléments de courants, peut être modifiée d’une infinité de
manières,
dèsqu’on
ne s’astreint pas à supposer que la forceest
dirigée
suivant la droitequi joint
les deuxéléments ;
il estpermis d’ajouter
à chacune descomposantes
un termequi dispa-
raisse par
l’intégration, lorsque
l’on calculera l’action d’un cou- rant fermé sur un élément. 31. Clausius propose la formulepour la
composante
de cette forceparallèle
à l’axe des x. De mêmeque M. Weber a rattaché la formule
d’Ampère
à des attractions ourépulsions
des moléculesélectriques, dépendant
à la fois des dis-tances et des vitesses relatives de
celles-ci,
NI. Clausius montre que la formuleproposée
par luipeut
se déduire del’hypothèse
sui-vante : La force
qui
sollicite une molécule ed’électricité,
dont lescoordonnées sont x, y, z et la vitesse v, en
présence
d’une autremolécule e, dont les coordonnées sont
x’, y 11
z’ et la vitessev’,
apour
composante,
suivant l’axe des x, 03B5 étantl’angle
desvitesses,
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018760050019401
I95 Cette force n’est pas
dirigée
suivant ee’ et l’action de e, sur e’n’est pas
égale
à celle de ef sur e; mais le travailproduit
par un dé-placement
infinimentpetit
des massesélectriques
peut se mettresous la forme
et est, par
conséquent,
une dinerentielle exacte, seulavantage
deces formules sur celle de Weber.
POTIER.
V.
DVO0158ÁK. 2014
Ueber die Schallgeschwindiglseit des Wassers in Röhren (Sur la vi-tesse du son dans les colonnes liquides); Annales de Poggendorff, t. CLIV, p. 157;
I875.
1VI.
Dvorak
avaittenté, depuis longtemps, l’expérience
que firent MM. Kundt et Leh1ann(1),
defaire vibrer,
parcommunication,
des colonnes
liquides.
Au lieu de limaille de
fer,
M. Dvoàkemploya
de lapoudre
iltirer, privée
du nitre par lelavage.
En fai s an t vibrer
longitudinalement
un tube de verrerempli d’eau,
on obtient des stries dans la
poudre,
lnais peurégulières.
M. Dvorakréussit mieux par la méthode suivante :
Il
prit
un tube horizontal de 2 mètres delong,
ayant une extré- mité fermée à lalampe,
et l’autre extrémité ouverterepliée
verti-calement,
environ de lalargeur
d’unemain;
onremplit
d’eau letube,
de telle sorte que lapartie
verticale ne soi tqu’en partie
rem-plie.
On ébranle ensuite fortement la colonne d’airqui
reste ensoudant avec la
bouche;
onchange
la hauteur du son enajoutant
ou ôtant de 1 eau. La
poudre,
mise dans letube,
montre,après quatre
oucinq ébranlements,
des ridestrès-régulières;
néanmoinsla distance des noeuds était
irrégulière,
et de là M. Dvorak conclut que l’on nepeut employer
lesfigures
données par lespoudres
dansdes
tuyaux fermés,
pour déterminer la vitesse du son dans les li-quides.
_(I) Voir Journal de Physique, t. Y, p. I59, 18,6.