HAL Id: jpa-00237862
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Submitted on 1 Jan 1881
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H. KNOBLAUCH. - Ueber das Verhalten verschiedener Wärmefarben bei der Reflexion polarisirter Strahlen von
Metallen (Phénomènes que présentent les diverses couleurs calorifiques dans la réflexion métallique de la lumière polarisée); Ann. der Physik und Chemie, t. X,
p. 654; 1880
H. Dufet
To cite this version:
H. Dufet. H. KNOBLAUCH. - Ueber das Verhalten verschiedener Wärmefarben bei der Reflexion polarisirter Strahlen von Metallen (Phénomènes que présentent les diverses couleurs calorifiques dans la réflexion métallique de la lumière polarisée); Ann. der Physik und Chemie, t. X, p. 654; 1880. J.
Phys. Theor. Appl., 1881, 10 (1), pp.504-505. �10.1051/jphystap:0188100100050401�. �jpa-00237862�
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reusement, ne
peut
être considéré comme connu ; les valeursdu"on
en a
proposées dépendent
de certaineshypothèses
et deplus
ellessont
exprimées
par unepuissance
de 10 dontl’exposant, d’après
l’auteur,
nepeut
être encore exactement connu. G. LIPPMANN.H. KNOBLAUCH. 2014 Ueber das Verhalten verschiedener Wärmefarben bei der Re- flexion polarisirter Strahlen von Metallen (Phénomènes que présentent les diverses couleurs calorifiques dans la réflexion métallique de la lumière polarisée); Ann.
der Physik und Chemie, t. X, p. 654; 1880.
Un faisceau de rayons
solaires, renvoyé
horizontalement par un ,héliostat,
traverse un nicol dont la sectionprincipale
est à45°
ettombe sur un miroir
métallique vertical;
le faisceau réfléchi tra-verse un second nicol et est reçu sur la
pile thermo-électrique.
Comme
l’angle
depolarisation
maximum n’est pas le mème pour les différentescouleurs,
lapile reçoit
sous une incidence donnée des rayonselliptiques
dont les axes sont orientés différemment(1);
ces divers rayons seront donc éteints par
l’analyseur
dans des rap-ports différents pour
les diverses incidences.C’est,
pour lachaleur,
le même
phénomène
que lechangement
de teinte de la lumièreréfléchie.
Voici le
procédé emplové
par M. Knoblauch pourapprécier
cechangelllent
de teintecalorifique.
Le faisceau est reçu d’abord surla
pile
eLl’analyseur
tournéjusclu’â
ce que la déviation soit mini-mum. On
interpose
alors entre le nicol et lapile
une substancediathermane, qui
réduit ladéviation;
il est clair que, si la teinte est constante, lerapport
de cette seconde déviation à lapremière
seraconstant pour une substance diathermane donnée.
M. Knoblauch a
employé
trois verrescolorés,
un verre rouge,un verre bleu et un verre
orangé ;
il se borne à cette indication de couleur : il semblequ’il
y aurait euavantage
à en déter miner lepouvoir
diathermane pour les diverses radiations lumineuses oucalorifiques.
Cette incertitude sur lepouvoir
absorbant de ces(1) Voir à ce propos, dans ce Journal, un travail de M. Mouton, t. vII, p. 157;
1878.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0188100100050401
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verres ne
laisse,
à cequ’il
noussemble,
aux nombres de l’auteurqu’une
valeurqualitative.
Nous
reproduisons
le Tableau de M.Iinoblauch ;
les nombres inscrits sont lesquantités
de chaleur quereçoit
lapile
avec inter-position
du verrecoloré,
laquantité
de chaleur reçue directement étantégale
à 100. Pourchaque métal,
l’incidence depolarisation
maximum moyenne est
marquée
d’unastérisque.
On voit que le
phénomène
est surtoutmarqué
pourl’or,
un peu moins pourl’argent
et pour lecuivre ;
dans tous les cas, le verrerouge et le verre
orangé
deviennent deplus
enplus diathermanes,
le verre bleu au contraire le devient de moins en moins. Les nombres trouves pour
l’angle
depolarisation
maximum sont à très peuprès
la moyenne des nombres
qui correspondent
à des incidenceséga-
lement distantes de
part
et d’autre de l’incidence depolarisation
maximum.
Le
plomb
et l’arsenic fontexception ;
pour cesmétaux,
la com-position
du faisceau réfléchit nechange
pas avecl’incilleiice,
lateinte reste la 111 ênl e. H. DUFET