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VON O. LEHMANN. — Ueber das Wandern der Jonen bei geschmolzenem und festem Jodsilber (Sur le transport des ions dans l'iodure d'argent fondu et solide); Wied. Ann., t. XXXVIII, p. 396; 1889

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HAL Id: jpa-00239166

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00239166

Submitted on 1 Jan 1890

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VON O. LEHMANN. - Ueber das Wandern der Jonen bei geschmolzenem und festem Jodsilber (Sur le transport des ions dans l’iodure d’argent fondu et

solide); Wied. Ann., t. XXXVIII, p. 396; 1889

Bernard Brunhes

To cite this version:

Bernard Brunhes. VON O. LEHMANN. - Ueber das Wandern der Jonen bei geschmolzenem und festem Jodsilber (Sur le transport des ions dans l’iodure d’argent fondu et solide); Wied.

Ann., t. XXXVIII, p. 396; 1889. J. Phys. Theor. Appl., 1890, 9 (1), pp.57-59.

�10.1051/jphystap:01890009005701�. �jpa-00239166�

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57 d’où l’on déduit

On voit dès lors que, si ÓI est assez petit pour que le produit Eô, diffère peu de o, comme E2 est négligeable devant l’unité, la

formule qui donne l’amplitude a se réduit très sensiblement à la suivante

c’est-à-dire que l’action produite au point l P est la même que s’il

n’y avait pas d’écran.

Les formules générales de diffraction convenablement modifiées

reproduisent donc le résultat indiqué par Fresnel.

-

VON O. LEHMANN. 2014 Uebcr das Wandern der Jonen bei geschmolzenem und

festem Jodsilber (Sur le transport des ions dans l’iodure d’argent fondu et solide); Wied. Ann., t. XXXVIII, p. 396; I889.

L’auteur a perfectionné la méthode expérimentale déjà em- ployée par lui ( ~ ), et qui consiste à observer au microscope le sel

fondu électrolysé.

Le résultat essentiel est que, dans l’électrolyse de l’iodure d’ar-

gent solide, l’argen t seul est transporté par le courant, comme le sodium dans les expériences de VBTarburg sur l’électrolyse du

verre.

Prenzier cas.

-

Un cristal d’argent se trouve enfermé dans

de l’iodure d’argent régulièrement cristallisé. On observe que le cristal est déplacé dans le sens du courant, et que, si on l’empêche

de bouger, l’iodure d’argent présente des déformations qui

accusent une pression du côté négatif du cristal d’argent et une

traction du côté positif.

Peuxièine cas.

-

tJn cristal d’iodure d’argent se trouve dans un

_ - ~-_ - ~_- -~- _- _-- - _

( ~ ) O. LEHMANN, I~ied. Ann., t. XXIY, p. 18; 1885.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01890009005701

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bain d’iodLire d’argent fondu. Ce cristal est transporté dans le

sens opposé à celui dans lequel se mouvait précédemment le cristal d’argent. On ne constate aucun mouvemen t dans le liquide, mou-

vement qui se produirait si les atomes d’argent avaient une vitesse

de convection différente dans le liquide et dans le cristal ; car il ;

aurait accumulation d’un côté, et vide de l’autre. Les cristaux ne

changent pas de forme dans un champ électrique uniforme.

Si l’on élève la température assez pour qu’il ne reste que quel-

ques cristaux isolés, leur mouvement présente cette curieuse par- ticularité qu’ils respectent les moindres obstacles, même des

bulles d’air; la forme de ces hulles n’est pas changée et elles ne

sont point déplacées par le mouvement des cristaux.

I’nozscèn2e cas.

-

Un cristal d’iod ure d’argent au milieu d’une

solution d’iodure c.l’argent (par exemples, dans de l’iodure de

zinc).

On peut arriver à isoler par des changements brusques et ré- pétés du sens du courant des parcelles d’iodure d’argent dans la

solution. On les voit croître du côté positif, et fondre du côté né- gatif.

La croissance au côté positif s’explique en remarquant que, dans la solution électrolytique, le cristal se comporte comme une élec- trode sur laquelle vient se déposer l’argent.

La fusion au côté négatif tient peut-être en partie à une éléva-

tion de température due au phénomène de Peltier, mais surtout,

sans doute, à une modification dans la constitution de la molécule d’iodure d’argent.

~ctcct~°tén2e cas.

-

Une -~oi-itue d’iodlire d’argent isolée au mi-

lieu d’une solution d’iodure d’argent. Les gouttes, assez grosses,

présentent des mouvements rapides : du côté positif, elles présen-

tent des prolongements qui peuvent être ou arrondis ou aigus, ,

B

suivant les cas. Si l’on renverse le courant, ces prolongements se

retirent et la surface limite s’aplanit. Le phénomène est compa- rable à celui que présente le mercure dans l’acide sulfurique

étendu.

Ces changements superficiels accompagnent des changements

de constitution chimique, du côté par entre le courant; l’iodure

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59 fondu est d’un jaune pâle qui peut devenir incolore, et le point de

fusion y est abaissée de l’autre côté, il prend une teinte jaune

foncé qui va jusqu’au rouge brun, et le point de fusion est élevé.

Cinquième cas: percernent électrolytique d’une paroi de

verre.

-

Lorsque le porte-objet et, le verre protecteur sont assez chaufl’és pour se ramollir, on peut, en appuyant sur celui-ci, les

souder sur une certaine étendue et isoler ainsi les deux régions

distinctes de l’iodure d’arbent fondu. Si l’on fait passer un cou-

rant alternatif, on voit des parcelles d’argent s’incruster dans le

verre et arriver jusqu’à rétablir entre les deux régions une com-

munication métallique. Cet argent n’est pas bien cristallisé,

comme l’argent pur; mais il est spongieux, probablement à cause

de la présence du sodium provenant de la décomposition partielle

du verre. G’est~là sans doute ce qui explique que, dans l’emploi

des courants alternatifs puissants, les isolants soient percés au

bout de peu de temps. BERNARD BRUNHES.

J. ML THALER. 2014 Ucber die Veränderlichkeit der specifischen Wärme des Quecksilbers mit der Temperatur (Variation de la chaleur spécifique du mer-

cure avec la température); Wied. Ann., t. XXXVI, p. 897; I889.

La Inê5ure des chaleurs spécifiques est faite en mélangeant une

masse de mercure portée à une température connue avec une autre masse à la température ambiante. Le vase contenant le mercure à chauffer est ’placé dans l’intérieur d’un cylindre qui peut tourner

dans un autre cylindre i double paroi; ce dernier est percé à la partie inférieure d’un trou en face duquel on peut amener une

ouverture pratiquée dans le premier, de façon à faire écouler le

mercure dans le calorimé re placé au-dessous. L’appareil est tout

entier en cuivre ; il porte latéralement deux barres du même métal, qu’on chauffe avec des becs Bunsen et qui permettent d’amener par conductibilité tout l’appareil à une température supérieure

à 2000 et de maintenir cette température constante pendant un cer-

tain temps. Le calorimètre est aussi en cuivre mince ; il a été d’a-

vance recouvert, comme toutes les autres pièces en contact avec

le mercure, d’une forte couche d’oxyde, pour éviter l’an1algall1ation.

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