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Edition, impression, administration: Imprimerie Fragnière SA 35, route de la Glâne 1700 Fribourg Tél

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Academic year: 2021

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(1)

I I I

G)

I

LA VIE MUSICALE

Fr. 2.20

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YN fC*-

(2)

FRIBOURG - ILLUSTRE La vie musicale

Organe officiel des Fribourgeois «hors les murs» depuis 1957

Depuis le 1er octobre 1975, organe de liaison de:

— Société cantonale des Musiques fribourgeoises

— Société cantonale des chanteurs fribourgeois

— Céciliennes

— Fédération fribourgeoise du cos¬

tume et des coutumes

— Fédération fribourgeoise des ac¬

cordéonistes

— Association des organistes

— Conservatoire de musique.

Notre couverture:

Le village de Châtel-sur-Montsalvens dominant le lac du même nom.

Photo prise depuis Motélon.

La vie musicale

Magazine bimensuel paraissant le premier et le troisième mercredi de chaque mois.

Edition, impression, administration:

Imprimerie Fragnière SA 35, route de la Glâne 1700 Fribourg Tél. 037 24 75 75 Rédaction:

Case postale 66 1701 Fribourg Tél. 037 24 75 75 Télex: 36 157

Rédacteur en chef responsable et photographe:

Gérard Bourquenoud Bureau: 037 24 75 75 Privé: 037 46 45 27

Rédacteur «La vie musicale»

Pierre Kaelin Bureau 037 22 16 03 Privé: 037 26 23 69

Quinze jours avant la parution Abonnements:

Suisse Annuel Six mois Trois mois Etranger Envoi normal:

Envoi par avion:

Fr. 36.90 21.—

10.—

Fr. 49 — 73 — Compte de chèques postaux 17-2851

«Fribourg-lllustré» et le supplément

«La Vie musicale» ne peuvent être vendus séparément.

La reproduction de textes ou d'illus¬

trations ne peut se faire qu'avec l'autorisation de la rédaction.

La rédaction n'assume aucune res¬

ponsabilité pour les manuscrits et photos non commandés.

Annonces Suisses SA (ASSA) 8, bd de Pérolles

1700 Fribourg Tél. 037 22 40 60

Acquisiteur en annonces pour Fribourg-lllustré:

André Vial, Bulle Bureau: 037 22 40 60 Privé: 029 2 55 30 Tarif de publicité:

1/1 page Fr. 635.—

1/2 page 340.—

1/4 page 180.—

1/8 page 95.—

1/16 page 53.—

Supplément «La Vie musicale»

Une case 50 x 34 m/m Fr. 40.—

Reportage publicitaire:

1/1 page Fr. 750.—

Rabais de répétition et sur abonne¬

ments d'annonces.

SOMMAIRE Courrier des lecteurs Vers un grand rassemblement des

Fribourgeois du dehors à Bulle

Art de bien manger Fromagerie de Sommentier Notre feuilleton 8e district fribourgeois Programme TV romande Institut «Les Buissonnets»

La vie musicale Un village de la Gruyère: Marsens 76e marché-concours de taureaux.

Bulle Bénichon de Châtel-Saint-Denis Finale romande des pupilles Flashes de la Broyé Nos défunts

Monsieur le Rédacteur,

Je tiens à vous féliciter pour la magni¬

fique présentation de votre magazine qui est fort intéressant. Le contenu de vos pages fait la joie et le plaisir de tous les Fribourgeois du dehors. Lorsque l'on contemple vos belles photos, on ne peut que penser à sa patrie d'origine.

Aussi, je me rends compte de tout le dévouement et du travail que vous de¬

vez accomplir pour satisfaire vos lec¬

teurs. Je vous adresse mes remercie¬

ments et mes salutations.

Jules Moret Meyrin (GE)

ETES-VOUS NOTRE GAGNANT?

L'Association Joseph Bovet, qui compte aujourd'hui trente-cinq cercles et sociétés des Fribourgeois du dehors, fêtera les 21 et 22 mai 1977, à Bulle, le vingtième anniversaire de sa fondation dans cette ville. Pour marquer cet événement, elle organisera un nouveau grand rassemblement dans le chef-lieu gruérien. A cette occasion, l'AJB en collaboration avec les Coraules de Bulle et l'Association gruérienne du costume et des coutumes, envisage de présenter une nouvelle fois le festival «Grevire»de l'abbé Joseph Bovet, qui fut déjà joué dans la cité en 1930. Mais trouvera-t-on une salle assez grande pour présenter un tel spectacle et accueillir six mille Fribourgeois du dehors? C'est sans aucun doute le problème le plus difficile à résoudre par les responsables de la manifestation.

Au cours d'un séance d'information de l'AJBqui eut lieu à Bulle, sous la présidence de M. Max Pasquier, le projet en question a retenu l'attention de toutes les personnalités présentes, parmi lesquelles, Mlle Agnès Bovet, nièce du compositeur: MM. Michel Corpataux, professeur de musique et de chant: Henri Gremaud, conservateur du Musée Gruérien: Gérald Gremaud, conseiller communal. M. Robert Menoud, préfet de la Gruyère, a accepté d'assumer la présidence du comité d'organisation de ce grand rassemblement qui fera vivre des heures merveilleuses à nos compatriotes «en et hors les murs».

G. Bd

La personne dont le visage est entouré d'un cercle, est invitée à se présenter à notre bureau jusqu'au 25 octobre 1975 ou de nous faire parvenir une photo récente. Le gagnant touchera un abonnement gratuit de trois mois à «Fribourg-lllustré - La vie musicale.»

Dans notre prochain numéro qui paraîtra le 5 novembre:

Pour le plaisir de votre palais - Nouveau complexe scolaire du Jura - Reflets du Comptoir de Fribourg et des districts - 75e anniversaire du Syndicat d'élevage de Châtel-Saint-Denis - Inauguration des nouveaux bâtiments de l'Institut Saint-Joseph, à Villars-sur-Glâne - 8e distnct fribourgeois - La vie musicale - Défunts - Sports dans le canton.

(3)

L 'art de

bien manger

Café de la

Croix-Blanche, Châtonnaye

Au milieu d'une campagne fertile et bien cultivée, à vingt kilomètres de Fribourg par Corserey, sept de Romont et Payerne, le village de Châtonnaye est un endroit pittoresque et paisible. En bor¬

dure de la route cantonale, proche de la frontière vaudoise, voici le Café de la Croix-Blanche, seul établissement pu¬

blic de cette localité glânoise, exploité depuis huit ans par M. et Mme Georges Mettraux-Périsset.

En entrant dans cet établissement, nous découvrons dans un décor simple mais accueillant, une salle à boire de quarante chaises où les clients, parmi lesquels il y a énormément de jeunes, forment une grande famille. Tous sont considérés comme des amis. Le restau¬

rant, qui a été complètement rénové l'an passé, se présente dans un ton no¬

ble et soutenu, agréable à l'œil. Son cachet s'allie admirablement avec l'en¬

vironnement et son confort comme son humeur rustique font que cette salle à manger est celle d'une maison familiale, où le choix des nappes et des verres est heureux. Son intimité lui permet d'ac¬

cueillir septante personnes pour des repas de noces ou banquets de sociétés.

La nouvelle salle à manger très spacieuse Le Café de la Croix-Blanche est aussi le lieu de rencontre des membres de la fanfare «L'Echo des Roches», de la société de tir et du F.C. Châtonnaye. La cave, elle, vous réserve d'excellents vins suisses et français et quelques crus comme le Fleurie, Château Neuf du Pape et Saint-Amour. Le parcage des véhicules est facilité aux alentours de l'établissement.

Georges Mettraux, locataire et tenan¬

cier du Café de la Croix-Blanche, aime cuisiner. Avec Jeannine, sa gentille femme, qui veille à la bonne tenue de la maison, il assure une petite restauration fort bienvenue pour la clientèle de pas¬

sage dans cette région glânoise. C'est un homme jeune, plein d'ardeur, qui est heureux de vous servir le menu du jour sur plat, et quelques spécialités de son choix; filets mignons aux morilles, jam¬

bon à l'os, tournedos à la mode du pa¬

tron, fondue moitié-moitié. Le service est assuré par deux jeunes filles sympa¬

thiques, Marianne et Laurence.

N'hésitez point. Le Café de la Croix- Blanche, à Châtonnaye, c'est la joie des retrouvailles dans une atmosphère cha¬

leureuse.

(texte et photos G. Bourquenoud)

Les tenanciers, M. et Mme Mettraux, entourés par leur personnel

OU L'intimité du restaurant

^ Café Restaurant

-L de la Croix-Blanche

■JF. , 1531 CHATONNAYE Tél. 037/68 11 19 Menu du jour

1 lt*xs Spécialités:

Jm. —r4PL.—-—J|jj Jambon de campagne

H * ~ . jjtß Filets Mignons

Entrecôte Maison

lull m* m Im ,,m Fondues

m 1 m. jy§nCafla Salle pour sociétés

banquets

G. Mettraux-Périsset Fermé le mardi

(4)

Sommentier

Fromagerie rénovée et nouvelles installations

Situé à 912 mètres d'altitude, Sommen¬

tier est le village le plus élevé du district de la Glâne. Environné de verdure et d'arbres fruitiers, il compte aujourd'hui

192 habitants.

Dans cette localité essentiellement agricole, une société de laiterie qui comprend vingt-trois producteurs et un troupeau laitier de 450 vaches. La production annuelle de lait qui était de 350.000 litres en 1940, a passé actuelle¬

ment à 1.500.000 kilos. Avec cette aug¬

mentation massive de lait, il fallut pen¬

ser à de nouvelles installations et à améliorer en même temps les condi¬

tions de travail du fromager et son per¬

sonnel. C'est pourquoi, la société de laiterie, soucieuse d'assurer une pro¬

duction de fromage de qualité, décida la transformation des locaux et l'amé¬

nagement d'installations modernes facilitant la fabrication de tous les pro¬

duits laitiers: fromage de Gruyère, va¬

cherin fribourgeois, beurre de table et de cuisine, crème, etc. La rénovation de l'intérieur du bâtiment et les nouvelles installations ont coûté la coquette somme de 474 000 francs.

M. Marcel Dewarrat, qui est l'acheteur de lait depuis trente-quatre ans, connaît tous les secrets du métier. Ses qualités professionnelles sont fort appréciées de la population. Il est aidé dans sa tâche par Jean-Pierre, le cadet de la famille, qui vient de passer avec succès son examen de fin d'apprentis¬

sage, et un ouvrier espagnol, M. Joseph Martinez, qui quittera définitivement notre pays au mois de décembre pro¬

chain, pour retrouver sa famille en Es¬

pagne. Ce fidèle collaborateur sera vi¬

vement regretté par son employeur.

Toute la production de fromage de la fromagerie de Sommentier, soit en moyenne douze meules de quarante kilos chacune, par jour, est vendue à Fromage de Gruyère SA, à Bulle. Avec un lait de qualité comme celui de Som¬

mentier, il ne fait aucun doute que le fromage soit à l'honneur dans chaque maison de ce joli village campagnard.

M. Michel Rouillier, agriculteur avisé, président de la sociétéde laiterie, ne me contredira certainement pas!

(Texte et photos G. Bd)

Le local de fabrication avec ses nouvelles installations

M. Marcel Dewarrat lau centre) entouré par son fils Jean-Pierre là droite) et un ouvrier espagnol

600 meules dans les caves

Machines pour l'industrie fl PII/\A laitière et alimentaire

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Feuilleton de Fribourg-Illustré

Les Labours

d'Espérance par Albert-Louis Chappuis

Il fit front.

Il ne fit que répeter ce que sa mère venait d'entendre. Sa voix s'était faite plus dure, plus sèche. Il s'adressait à son père. Il y avait un homme qui s'adressait à un autre homme. Mona- chon écouta, sans bouger, François qui vidait sa rancœur.

— Tu veux faire de moi un paysan!

— Tu l'es déjà! Tu en as donné des preuves.

— Alors pourquoi t'es-tu obstiné à ne pas me laisser aller à l'école d'agriculture?

— Ça...

— Je voulais y aller, parce que tout métier s'apprend. I! n'y a pas que la tradition. C'est pas parce qu'on a toujours fait d'une façon que cette façon-là est seule bonne. Tu sais aussi bien que moi que c'est de plus en plus dur. Il faut connaître son métier! Tout évolue: on évolue sinon on ne fait rien de bon. Ce qui était juste hier ne l'est

plus aujourd'hui et sera faux demain.

Un mécanicien ne devient pas mécanicien parce que son père est mécanicien, mais il apprend méca¬

nicien... Il apprend pendant trois ans, quatre ans et après il est méca¬

nicien. Il a un diplôme. Il peut alors gagner sa vie, parce qu'il sait, parce qu'il connaît son métier. Paysan c'est pareil.

Je ne te demandais pas trois ans. Il n'y avait que deux semestres, et encore, deux hivers. Pas davantage!

— François, reprit le père, tu fais bien d'en parler de ton école. Je n'ai jamais été contre...

— Tu n'as jamais été favorable, ajouta précipitamment François, re¬

prenant son père qui semblait con¬

tourner le sujet. Non, tu n'as jamais été favorable!

— Tu es allé à ton école de recrues.

Tu as voulu aller dans la cavalerie. Tu y es allé. Tu voulais une monture. Tu l'as. C'était ton droit. Eh bien! rap¬

pelle-toi que, durant ton absence, ta mère, qui n'est plus jeune, et moi ton père qui, heureusement, peux en mettre encore un coup, nous avons travaillé seuls, les deux. Ta mère se levait matin pour travailler à l'étable avant de faire le déjeuner. C'est elle qui sortait le fumier, qui m'aidait, qui me secondait.

— Il n'y avait qu'à prendre un domes¬

tique!

— Ne l'ai-je pas cherché? Combien d'annonces n'a-t-on pas mises dans les journaux? Personne. Alors, on a fait le travail, tout le travail, les deux et on ne s'en est jamais plaint. Je n'ai pas voulu que ça recommence, lors¬

que tu m'as demandé de t'absenter encore deux hivers; ce n'est pas pour

moi, mais pour ta mère, qui était fatiguée. Une femme, ça peut nous aider, mais il ne faut pas confondre les rôles trop longtemps. Tout se repaie ensuite.

Et puis, François, rappelle-toi que, dans notre métier, ce qui compte avant tout, ce n'est pas tant l'étude, mais c'est l'amour de ce que tu fais, c'est l'expérience aussi. Ton mécanicien, avec son diplôme, il tra¬

vaillera toujours à l'abri, sous un toit.

Notre toit, à nous, c'est le ciel. Et c'est avec le ciel qu'il faut travailler. C'est lui qui t'ordonne soit d'aller, soit d'arrê¬

ter. Il n'a pas d'horaire.

Tu me reproches qu'on ne sait pas s'arrêter. Peut-être bien qu'on a tort de ne pas suivre un horaire. Mais pour le paysan qui a l'amour de son métier, il y a toujours la perspective des arrêts que le ciel vous dicte. C'est pourquoi, tant qu'on peut travailler, on travaille!

Ne voulant céder, François préféra se soustraire. Il se replia plutôt que de poursuivre une conversation dont il connaissait par avance le résultat. Il ne faisait qu'entendre sans écouter son père qui poursuivait:

— Tu es jeune, tu es comme tous les jeunes. Tu veux voir avant de connaître. Il faut connaître pour voir.

Cette formule n'est peut-être pas toujours la meilleure mais, dans notre métier, c'est celle qui compte parce que c'est la plus sûre.

Peu à peu, l'atmosphère parut se détendre. L'orage, prêt à éclater, paraissait entraîné subitement par un vent contraire pour faire place à un climat plus serein.

L'horloge se remit à sonner ses heures, la lampe à éclairer, les meu¬

bles à retrouver leur place, (à suivre)

LA GLANE

Lussy

Un bel anniversaire Entourée par sa belle famille, Mme Thérèse Oberson-Kolly, maman du député et ancien syndic, M. Léon Ober- son, a fêté récemment son nonante- quatrième anniversaire. Doyenne de la paroisse de Villaz-Saint-Pierre, elle jouit d'une excellente santé. La jubilaire est choyée par ses deux enfants, cinq petits-enfants et cinq arrière-petits- enfants.

Nous lui adressons nos félicitations et vœux de bonheur.

AUBERGE DU LION D OR

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Chaque dimanche, délices de la borne (jambon à l'os)

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FONDUE selon désir du client Filets mignons

Entrecôtes aux morilles SPÉCIALITÉS DE LA CHASSE (selles-gigues-civets)

Menu du jour

Salles pour noces et sociétés

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le huitième district îril»onr<»eois Une chronique «Hors les Murs»

de Gérard Bourquenoud

Le Cercle fribourgeois de Nyon et environs:

une belle fille de trente ans Le 30 septembre 1945, dix-huit compatriotes émigrés sur les bords du Léman fondaient le Cercle fribourgeois de Nyon et environs. Cette belle section de l'Associa¬

tion Joseph Bovet compte actuellement 222 membres. Elle est présidée avec une rare compétence et beaucoup de dynamisme par M. Marcel Grandjean, membre du Comité AJB. Le chemin parcouru jusqu'à ce jour n'est-il pas un gage de vitalité et d'avenir? Les fondateurs et tous les membres qui ont travailléau sein du comité ont su la maintenir jeune et vivante, La fidélité des membres y est aussi pour quelque chose.

Depuis sa fondation, il y a trente ans, le Cercle s'est livré à la joie sans réserve des rencontres, entre gens pour lesquels, et à juste titre, nos costumes et coutumes gardent toute leur valeur. Ce magnifique fleuron dzodzet «hors les murs» comprend également un groupe patoisant baptisé «Le Pekoji» dont M. Robert Perrotti est l'animateur infatigable.

Quelle idée généreuse que celle du co¬

mité d'amener les membres au pays de Fribourg pour fêter le trentième anni¬

versaire de fondation du Cercle fribour¬

geois de Nyon et environs. C'était le dimanche 28 septembre dernier. Ils étaient plus de 130 à prendre place dans les cars, tôt le matin. Après une pause- café à Châtel-Saint-Denis, ils furent conduits au Lac des Joncs. Dans ce merveilleux paysage alpestre, un petit coupde blanc fut servi aux participants.

Chacun emporta un excellent bol d'air de la montagne, cependant qu'une joie exceptionnelle se lisait sur tous les visa¬

ges. Nos compatriotes prirent ensuite la route pour Saint-Martin où ils furent accueillis en musique par la fanfare pa¬

roissiale du lieu. Avec un excellent cru tiré au guillon du tonnelet, l'atmosphère était chaleureuse.

Au cours du banquet qui fut excellem¬

ment servi dans la grande salle de l'Hô¬

tel du Lion d'Or à Saint-Martin, par la famille Schrago et son personnel, plu¬

sieurs allocutions furent prononcées.

M. Marcel Grandjean, président du Cer¬

cle, fit un bref historique de ce dernier, puis adressa de gentilles paroles à l'égard de ses collaborateurs qui ont oeuvré à la réussite de cette journée de retrouvailles organisée sur la terre d'ori¬

gine. Il eut le plaisir de remettre le di¬

plôme de membre d'honneur à Mme Marie-Louise Perrotti, MM. Urbain Rime( 1er vice-président), Maxime Mo¬

rel ( 1 er ecrétaire), Albert Maillard, Louis Remy, Joseph Raboud, Léon Jacquat, Ces membres dévoués à la cause du Cercle furent chaleureusement applau¬

dis par l'assemblée. Un cadeau a aussi été remis à Mme Thérèse Ramuz (La Roche), marraine du drapeau. M. Ro¬

bert Perrotti s'exprima au nom des membres fondateurs et gratifia le président d'un magnifique cadeau, en reconnaissance de son dévouement pour le Cercle. Sa sympathique épouse reçut un splendide bouquet de fleurs.

Très ému par cetteattention, M. Grand¬

jean remercia ses compatriotes. Prirent également la parole au cours de cette partie oratoire fort bien ordonnée par M. Henri Page, municipal à Nyon, mem¬

bre fidèle du Cercle, MM. André Vua- gnaux, syndic de Saint-Martin; Max Pasquier, président de l'Association Joseph Bovet; Paul Savary, syndic de Vieques; et Gérard Bourquenoud,

rédacteur de Fribourg-lllustré. Il faut re¬

connaître que nos compatriotes de Nyon ont été comblés. Le quatuor des Armaillis de la Veveyse, le chœur d'en¬

fants du Cercle ont apporté la preuve que la joie de chanter n'a pas disparu de la vie moderne. Les deux majorettes de Nyon furent aussi très applaudies. Les chansons de Mme Bise étaient de bon goût. Etquelle belle voix! Le programme ne pouvait être plus alléchant. Les orga¬

nisateurs méritent un grand coup de chapeau, car c'était non seulement beau, mais enrichissant.

En fin d'après-midi, nos compatriotes quittèrent Saint-Martin pour Billens où une partie récréative permit aux mem¬

bres du Cercle de virevolter sur un pont de danse en plein air.

Cette excursion en pays fribourgeois fut avant tout la fête de ceux qui ont un dénominateur commun, leur patrie, et qui ont fraternisé en faisant abstraction de toute étiquette ou classe sociale. Cet exemple a été donné avec beaucoup de chaleur humaine et de compréhension réciproque. Une journée comme celle qui a été vécue par les Fribourgeois de Nyon et environs ne se conte pas, elle se vit. Bon vent pour le cinquantenaire.

G. Bd

Le groupe costumé et patoisant du Cercle

Le Comité du Cercle est formé de MM. Marcel Grand/ean, président; Victor Cottet, vice-président et porte drapeau; Mme Marie Remy, secrétaire; MM. Henri Ducrest, sous-secrétaire; Pierre Moura, caissier; Robert Perrotti, correspondant; Léon Jacquat, service des malades; Claude Bon/ils, matériel; Armand Moullet, Jean Pierre Musy, Louis Geinoz, membres adjoints. (MM. Musy et Ducrest ne figurent pas sur la photo}

Les membres du Cercle fribourgeois de Nyon et environs

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TELEVISION ROMANDE

Sélection du 15 octobre au 1er novembre 1975

Mercredi 15 octobre Dimanche 19 octobre 17.35 Les 4 coins 10.15 Il Balcun tort 17.55 Téléjournal 11.00 Téléjournal 18.00 TV-Jeunesse 11.05 Tél-hebdo 18.25 Des Arts - des Hommes 11.30 Table ouverte 18.50 Aglaé et Sidonie 12.45 Cigales et fourmis 18.55 Le Chirurgien de Saint-Chad 13.15 Horizons

19.15 Un jour, une heure 13.35 Qu'elle était verte, ma Vallée 19.40 Téléjournal 15.30 Fièvre

20.00 Un jour, une heure 15.45 Bernard Stern 20.15 Elections fédérales 16.30 Félix Mendelssohn 20.40 Spécial cinéma 17.15 TV-Jeunesse

17.40 W.-A. Visser't Hooft 18.00 Téléjournal 18.05 Documentaire 18.55 Dessins animés 19.05 Les actualités sportives 19.40 Téléjournal

Jeudi 16 octobre 19.55 La Leçon d'allemand 21.55 Entretiens 18.00 Téléjournal 22.20 Vespérales

18.05 TV-Jeunesse 22.40 Bonne nuit en musique 18.30 Courrier romand

18.50 Aglaé et Sidonie

18.55 Le Chirurgien de Saint-Chad 19.15 Un jour, une heure 19.40 Téléjournal 20.00 Un jour, une heure 20.15 Elections fédérales 20.40 Temps présent

21.40 Les Peupliers de la Prétentaine 22.35 A témoin

Vendredi 17 octobre 17.35 Les 4 coins 18.00 Téléjournal 18.05 II faut savoir 18.10 Agenda 18.50 Aglaé et Sidonie

18.55 Le Chirurgien de Saint-Chad 19.15 Un jour, une heure 19.40 Téléjournal 20.00 Un jour, une heure 20.15 Elections fédérales 20.40 La Leçon d'allemand 22.20 Un bémol à la clé

Lundi 20 octobre

17.35 Les 4 coins de Martin et Martine 18.00 Téléjournal

18.05 TV-Jeunesse

18.30 Un avenir pour notre passé 18.50 Aglaé et Sidonie

18.55 Le Chirurgien de Saint-Chad 19.15 Un jour, une heure 19.40 Téléjournal 20.00 Un jour, une heure 20.15 Face à l'opinion Mardi 21 octobre 18.00 Téléjournal 18.05 TV-Jeunesse 18.30 Courrier romand 18.50 Aglaé et Sidonie

18.55 Le Chirurgien de Saint-Chad 19.15 Un jour, une heure 19.40 Téléjournal 20.00 Un jour, une heure 20.15 A vous... Michel Dami 21.15 Jazz panorama 21.55 La voix au chapitre

Jeudi 23 octobre 18.00 Téléjournal 18.05 TV-Jeunesse 18.30 Courrier romand 18.50 Aglaé et Sidonie

18.55 Le Chirurgien de Saint-Chad 19.15 Un jour, une heure 19.40 Téléjournal 20.00 Un jour, une heure 20.20 Temps présent

21.20 Splendeur et Misère des Courtisanes 22.20 Charles-Cros Olsommer

Vendredi 24 octobre 17.35 Les 4 coins 18.00 Téléjournal 18.05 II faut savoir 18.10 Agenda 18.50 Aglaé et Sidonie

18.55 Le Chirurgien de Saint-Chad 19.15 Un jour, une heure 19.40 Téléjournal 20.00 Un jour, une heure 20.15 Les personnages 21.45 Un bémol à la clé 22.10 Peter Ibbetson Samedi 25 octobre 13.30 Un'orapervoi 14.45 TV-Contacts 17.00 TV-Jeunesse 18.30 Téléjournal 18.35 Rendez-vous 19.05 Affaires publiques 19.40 Téléjournal

19.55 Loterie suisse à numéros 20.05 A vos lettres

20.30 Secrets de la mer 21.20 Les oiseaux de nuit Dimanche 26 octobre 11.00 Téléjournal 11.05 Tél-Hebdo 11.30 Table ouverte 12.45 Cigales et fourmis 13.15 Un bémol à la clé 13.40 Anastasia

15.15 Tous les pays du monde 16.30 Elections fédérales 16.35 Wolfgang Sawallisch 17.10 Elections fédérales 17.15 TV-Jeunesse

17.40 Eglise et développement 18.00 Elections fédérales 19.05 Les actualités sportives 19.40 Téléjournal

19.50 Soirée des élections fédérales

Mardi 28 octobre 18.00 Téléjournal 18.05 TV-Jeunesse 18.30 Courrier romand 18.50 Aglaé et Sidonie

18.55 Le Chirurgien de Saint-Chad 19.15 Un jour, une heure 19.40 Téléjournal 20.00 Un jour, une heure 20.15 Faits divers 21.05 Plateau libre 22.05 Jazz panorama

Mercredi 29 octobre 17.35

18.00 18.05 18.30 18.50 18.55 19.15 19.40 20.00 20.15

Les 4 coins Téléjournal TV-Jeunesse Tremplin Aglaé et Sidonie La vérité tient à un fil Un jour, une heure Téléjournal Un jour, une heure Spécial cinéma

Jeudi 30 octobre 18.00 Téléjournal 18.05 TV-Jeunesse 18.30 Courrier romand 18.50 Aglaé et Sidonie 18.55 La vérité tient à un fil 19.15 Un jour, une heure 19.40 Téléjournal 20.00 Un jour, une heure 20.20 Temps présent

21.20 Splendeur et Misère des Courtisanes 22.15 A témoin

Vendredi 31 octobre 17.35

18.00 18.05 18.10 18.50 18.55 19.15 19.40 20.00 20.15 22.20 22.50

Les 4 coins Téléjournal Il faut savoir Agenda Aglaé et Sidonie La vérité tient à un fil Un jour, une heure Téléjournal Un jour, une heure Spectacle d'un soir Some Times Plaisirs du Cinéma

Samedi 1er novembre

Samedi 18 octobre Lundi 27 octobre

Mercredi 22 octobre

17.35 13.30 Tele-Revista

13.30 Télé-revista Les 4 coins 13.40 Un'orapervoi

13.40 Un'ora per voi 17.35 Les 4 coins 18.00 Téléjournal 14.55 TV-Contacts

14.55 TV-Contacts 18.00 Téléjournal 18.05 TV-Jeunesse 17.00 TV-Jeunesse

17.00 TV-Jeunesse 18.05 TV-Jeunesse 18.30 La recette du chef sur un plateau 18.30 Téléjournal 18.30 Téléjournal 18.30 Outre-Sarine, outre-Gothard 18.50 Aglaé et Sidonie 18.35 Rendez-vous 18.35 Rendez-vous 18.50 Aglaé et Sidonie 18.55 Le Chirurgien de Saint-Chad 19.05 Affaires publiques 19.05 Affaires publiques 18.55 Le Chirurgien de Saint-Chad 19.15 Un jour, une heure 19.40 Téléjournal

19.40 Téléjournal 19.15 Un jour, une heure 19.40 Téléjournal 19.55 Loterie suisse à numéros 19.55 Loterie suisse à numéro 19.40 Téléjournal 20.00 Elections fédérales 20.05 A vos lettres

20.05 A vos lettres 20.00 Un jour, une heure 21.00 Variétés 20.30 Escale à Constantine

20.30 Faits divers 20.15 Mosaïque 21.45 La voix au chapitre 21.30 Divertimento

21.20 Caf conc' 21.15 Face au sport 22.20 Sous la loupe 22.00 Sport

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qui souscrira un abonnement à«Fribourg- lllustré / La vie musicale» pour 1976, rece¬

vra notre magazine GRATUITEMENT jusqu'à la fin 1975.

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* Biffer ce qui ne convient pas.

A retourner à «Fribourg-lllustré», 35, route de la Glâne 1700 Fribourg.

(8)

Institut

d'éducation spécialisée et centre IMC

«Les Buissonnets», Fribourg

Cet institut est l'un des plus impor¬

tants centres médico-pédagogique de Suisse s'occupant d'enfants handi¬

capés au bénéfice des prestations d'assurance-invalidité pour la forma¬

tion scolaire spéciale. Depuis sa fonda¬

tion, en 1965, il connut d'importantes mutations, notamment: l'admission des filles en 1971, l'annexion du centre IMC en 1973, l'ouverture de la maison aux élèves externes, l'intégration de l'école de la «Farandole» et le change¬

ment de support juridique en 1975.

L'institution «Les Buissonnets» peut accueillir aujourd'hui 220 élèves dont 120 en internat, et quelque 130 enfants IMC traités ambulatoirement.

L'origine des «Buissonnets» remonte à 1932, année où grâce à l'initiative de Mgr Besson, la Fédération diocésaine des Oeuvres de charité fonda l'Institut Sainte-Thérèse, à la Verrerie, près de Châtel-Saint-Denis. A cette époque, cette institution accueillait une quaran¬

taine d'enfants débiles dont l'éducation et l'instruction furent confiés aux bons soins de la Congrégation des sœurs de Baldegg. Par la suite, la maison devint propriété de l'Association «Foyer Saint-Joseph» à Fribourg-Courtepin

qui en assuma la gestion financière.

Avec l'entrée en vigueur de la loi sur l'assurance invalidité qui mettait à dis¬

position les moyens financiers nécessaires, l'Association décida de construire, à Fribourg, une maison mieux adaptée aux exigences de l'édu¬

cation spécialisée. L'institut «Les Buis¬

sonnets» fut inauguré en 1966. Après avoir ouvert un centre de traitement ambulatoire, les responsables envisa¬

gèrent la construction d'un centre IMC comprenant un home-école et un cen¬

tre de traitement. La construction fut confiée à l'Association Foyer Saint-Jo- seph, qui érigea la pouponnière pour IMC «Le Bosquet» à Givisiez, et le centre IMC «Les Buissonnets», inauguré au mois de septembre dernier.

Après avoir construit et exploité le complexe des «Buissonnets» durant dix ans, l'Association Foyer Saint-Joseph le céda à la «Fondation fribourgeoise des parents d'enfants mentalement handicapés». Cette opération permit la fusion des écoles spéciales de la «Fa¬

randole» et des «Buissonnets» qui est effective depuis la rentrée scolaire

1975.

Les bâtiments de l'institution «Les Buissonnets» entourés de verdure

Trois responsables de l'institution: de gauche à droite, MM. Alexandre Overney, directeur des «Buissonnets», Joseph Joye, président de l'Association Foyer Saint Joseph, Marcel Bongard, administrateur de la Fondation fribourgeoise pour l'enfance handicapée

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d'éducation spécialisée et centre IMC

«Les Buissonnets», Fribourg

Le nouveau centre IMC Les «Buissonnets» est une institution dépendant tout d'abord de l'Office fédéral des assurances sociales à Berne (OFAS)qui lui assure le principal appui financier et lui donne les directives pour son exploitation comme école spéciale et centre de traitement reconnu par l'assurance-invalidité (Al). Sur le plan cantonal, l'institution est soumise au contrôle de la Direction de la Santé pu¬

blique et des Affaires sociales en ce qui concerne l'exploitation, et à celui de la Direction de l'Instruction publique pour l'enseignement et l'éducation.

Précisons que «Les Buissonnets» est une institution privée qui, après avoir été fondée et exploitée par l'Associa¬

tion Foyer Saint-Joseph, a été cédée à la «Fondation fribourgeoise en faveur de l'enfance handicapée» qui s'appuie sur deux organisations très actives:

l'Association fribourgeoise des parents d'enfants handicapés mentaux et du Groupement fribourgeois des parents d'enfants IMC; L'institution «Les Buis¬

sonnets» comprend deux bâtiments bien distincts: l'ancien qui abrite l'insti¬

tut d'éducation spécialisée affecté es¬

sentiellement à l'éducation et à l'ins¬

truction des débiles mentaux d'âge scolaire; et le nouveau Centre IMC qui accueille aujourd'hui 165 enfants infir¬

mes moteurs cérébraux. L'enseigne¬

ment est donné par 135 personnes dont 115 à plein temps. Le coût de cette réalisation, y compris la place de sport, le mobilier et les aménagements extérieurs, se monte à douze millions de francs.

Une belle cérémonie d'inauguration Le centre de traitement et home-école pour enfants et adolescents infirmes moteurs cérébraux et handicapés phy¬

siques a été inauguré vendredi 19 sep¬

tembre dernier en présence de nom¬

breuses personnalités, parmi lesquel¬

les, Mgr Pierre Mamie; MM. Georges Friedly, président du Grand Conseil fri¬

bourgeois; Pierre Dreyer, conseiller d'Etat; Lucien Nussbaumer, syndic de la

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Ville de Fribourg; Mme Liselotte Spreng, conseiller national; de nom¬

breux députés et responsables d'insti¬

tutions. Prirent la parole au cours de la cérémonie, MM. Alexandre Overney, directeur des «Buissonnets»; Joseph Joye, président de l'Association Foyer Saint-Joseph; Pierre Wolhauser, président de la Fondation fribourgeoise en faveur de l'enfance handicapée; Dr Pierre Dietrich, médecin du centre IMC;

Claude Crevoisier, chef de division à l'OFAS; Denis Clerc, conseiller d'Etat, directeur de la Santé publique et des Affaires sociales; Jean-Claude Lateltin, architecte. Toutes ces allocutions étaient entrecoupées par les belles pro¬

ductions des «Petits Chanteurs de Fri¬

bourg» placés sous la direction de l'abbé Pierre Kaelin et un groupe de gymnastes des «Buissonnets» dirigé par M. André Vienne. Cette sympa¬

thique manifestation s'est déroulée dans la plus pure amitié des responsa¬

bles de l'institution, des parents des élèves et ceux qui cherchent à se faire un chemin pour la vie.

(Texte et photos G. Bd)

Toutes les entreprises figurant dans ce

reportage ont collaboré

à la construction du

nouveau centre IMC

«Les Buissonnets»

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(11)

N°2

LA VIE MUSICALE SUPPLÉMENT BIMENSUEL DE FRIBOURG-ILLUSTRE 15 octobre 1975

Editorial

Mieux s'écouter pour bien... s'entendre _ U**

Le butdeJs «Vw musicale», on le sait, c'est de mieux nous connaître lè&uns tes autres, rfousqui pratiquons et écoulons la musique au pays de Fribourg. En se connaissant mieux, on s'entend mieux, on se comprend mieux et la musique joue rïjieux son rôle fondamental: créer l'amitié paria beauté. ^ Pour se connaître, il faudrait souvent s'écouteiMes un&Jfisautres, fréquenter les concerts et pas seulement ceux de sa spécialité: un choriste ou un fanfaron ne devrait pas se désintéresser d'un concert d'orgue; un professionnel chevronné ne devrait pas bouder les soirées d'amateurs etc. etc.

Seulement, souvent, c'est le temps qui manque. Dans un pays à forte densité musicale, chacun est tellement pris par sa propre société, qu'il ne peut guère trouver du temps pour les autres. Et puis les sociétés se concentrent sur le samedi: or on ne peut pas quitter sa famille chaque week-end. Et encore, il y a la dépense.

Cependant, nous serons tous d'accord, je crois, pour promouvoir cette amitié en allant nous écouter les uns les autres chaque fois que c'est possible. Les sociétés pourraient parfois programmer leur concert sur semaine* et non sur le samedi encombré; elles pourraient, sous une forme ou sous une autre, accorder des réductions de prix.

Enfin, et c'est heureux, on organise de plus en plus des soirées avec plusieurs ensembles: on a davantage de public, on ressent mieux au delà d'une concurrence aussi inutile que nuisible, l'amitié qui règne entre les sociétés d'un village ou d'une région.

Mieux s'écouter, c'est une affaire d'oreille.

Bien s'entendre,c'est une affaire de cœur. VM

• Dans certains, cas, c'est impossible. Par exemple le samedi 8 novembre il y aura le concert du Chœur symphonique de la Cathédrale; comme l'orchestre vient de Berne, on a dû choisir un samedi pour pouvoir faire la répétition le même après-midi afin d'éviter des frais de déplacement.

-FEDERA TION FRIBOUHGEO/SE DU COSTUME ET DES COUTUMES =

Le «bureau» ou Comité restreint de la Fédération Fribourgeoise du Costume et des Coutumes: de gauche à droite:

MM. J.J. Glasson et A. Hofstetten vice-présidents, Chs Maquelin, trésorier, Fr. Chappuis, président, Mme H. Renz, secrétaire, P. Yerly, membre (Suite au verso)

Merci à Auguste Rody pour le motif décoratif

Pour que vos affaires aussi soient empreintes de l'har¬

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de LA FEDERATION FRIBOUR- GEOISE DU COSTUME ET DES COUTUMES. (suite) Un premier projet de statuts fut passé au crible, remanié et adapté aux besoins du futur groupement. L'an 1927 s'achevait. Les travaux étant à chef, une nouvelle séance se tint au musée Gruérien. Aux promoteurs déjà cités, s'adjoignirent le groupe de Gruyères et la Caecilia de Châtel-St- Denis. Un nouvel échange de vues s'amorça et l'on constata qu'il suffirait de donner l'élan pour en faire jaillir quelque chose de noble et viable.

C'est ainsi que fut fondée, le 13 mai 1928, l'Association Gruérienne pour le Costume et les coutumes, dans une séance constitutive qui se tint à l'Hôtel de Ville, à Bulle, comprenant déjà cinq cents participants.

Lors de cette séance, on procéda à l'élection du premier comité formé du président Cyprien Ruffieux le popu¬

sieurs ouvrages en patois bien con¬

nus, du banneret Henri Naef âme du mouvement, du secrétaire Fernand Ruffieux, du trésorier Raymond Pey- raud et de Mlles Marthe Perroulaz et Marie Ruffieux, membres de la Com¬

mission des Costumes. Pour sa part, l'Abbé Bernard Kolly, curé de Châtel- St-Denis, fut chargé de présider la Commission musicale.

Et l'on se mit à l'œuvre! En août 1928 déjà, le travail de nos tisserandes et dentellières fut mis en évidence à l'exposition de la «SAFFA» à Berne, conçue, dirigée et organisée par les Femmes suisses. Avec bravoure, on présenta au cortège inaugural les

«dzakillons» authentiques trouvés dans les familles et que l'on ne portaient plus guère aux labeurs des champs. Ce moment était important, car, il ouvrit la voie au magnifique déploiement de nos tissages, grâce à une gamme nouvelle de coloris, qui plurent à la jeunesse, au goût et à l'habileté des tisserandes.

l'étude. En mai 1929, la jeune Associa¬

tion tint sa seconde assemblée géné¬

rale et put ainsi dénombrer ses forces.

Quatorze sociétés et près d'un millier d'adhérents formaient alors ce faisceau bien vivant, tandis que le dimanche en¬

soleillé du premier juin, M. Henri Naef proposait l'adhésion du mouvement qui devait se prénommer «Association Gruérienne pour le Costume et les Cou¬

tumes et Groupes affiliés du Canton», à la Fédération Suisse des Costumes Na¬

tionaux et des Traditions Populaires.

Patois, chants, danses, théâtres, cos¬

tumes populaires, sont alors l'objet de son intense activité. La tradition est sui¬

vie, continuée, adaptée au temps présent. On collabore avec l'Abbé Bo- vet, Carlo Boller, Georges Aeby, Jo Baeriswyl, dans divers jeux com- mémoratifs, festivals, scènes populai¬

res ou autres activités folkloriques, tant au sein qu'à l'extérieur du canton.

(à suivre) Albert Jaquet

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L'Université de Dunakanyar a organisé à Estergon, du 17 au 31 juillet 1975, un cours «L'éducation musicale en Hon¬

grie par la méthode Kodaly».

Participants: 85 personnes, tous pédagogues-musiciens, provenant de 18 pays. Le cours est donné en 4 lan¬

gues: italien, allemand, anglais, français. Jean-Marie Gachet, profes¬

seur de musique à l'Ecole Secondaire de Châtel-St-Denis, Gilbert Maillard, pro¬

fesseur à l'Ecole Secondaire de Bulle et moi-même étions les 3 premiers et seuls Suisses à assister à cette session depuis qu'elle est organisée, c.à.d. en

1967.

Une journée: le matin, de 9 à 10.30 h.

démonstration appliquée de la mé¬

thode par une classe hongroise de 5ème primaire et leur institutrice. De 10.45 à 12.30 h. cours pratique et exer¬

cice de la méthode pour les partici¬

pants. L'après-midi, répétition chorale et cours d'interprétation de la musique chorale hongroise: Bartok, Kodaly, Bar- dos, etc. Le soir, nous avons assisté à des concerts de musique chorale, ins¬

trumentale et tzigane, à des conférence et à des films.

Ce que la méthode a d'original: elle est basée sur le chant folklorique hon¬

grois ou sur le chant folklorique du pays dans lequel elle est enseignée. Elle pra¬

tique la solmisation relative à un haut degré de virtuosité. Elle possède un geste mélodique très précis qui permet, par exemple, d'improviser à 2 voix avec

t*

un choeur. Elle utilise un langage ryth¬

mique suggestif qui facilite grandement l'apprentissage des formules ryth¬

miques les plus complexes.

Avantages de cette méthode: non seulement elle peut être, mais elle doit être adaptée à chaque pays, voire à chaque contrée.

Efficacité de la méthode: nous avons pu nous rendre compte de son effica¬

cité en voyant et en écoutant les en¬

fants de la classe de démonstration.

Sous forme de dictée mélodico-ryth-

mique j'ai eu le plaisir de leur enseigner

«Là-haut sur la montagne» de Joseph Bovet et ceci en moins de 10 minutes, nuances comprises. C'est tout de même remarquable pour des enfants de 11 et 12 ans.

La classe de démonstration que l'on a entendue lors de la réception des parti¬

cipants a chanté 2 ou 3 chansons du folkore des 18 pays représentés, (voir photo)

Pierre Martignoni, instituteur Bulle

SOCIETE CANTONALE DES CHANTEURS FRIBOURGEOIS

L'année suivante, le 18 mai 1851, c'est à Fribourg que la troisième réunion eut lieu. Pour la circonstance, on invita une société du dehors, la Liedertafel de Berne..«venue en d'élégantes voitures pavoisées, précédées de deux ours.» La Société de chant de Bulle venait de voir le jour lorsqu'elle organisa en ses murs la quatrième fête le 29 août 1852, à laquelle s'inscrivit la Société de chant de La Tour-de-Trême. Les chanteurs du Männerchor de Morat quittèrent leur chef-lieu la veille déjà en chars à bancs, ornés de sapelots et de fleurs en papier! C'est de cette année que date la première subvention de l'Etat de Fribourg qui octroya Fr. 100.- à la nouvelle Cantonale. Estavayer-le-Lac reçut pour la seconde fois les chanteurs fribourgeois en 1853. Douze chorales participèrent à la fête dont les trois chorales vaudoises d'Yvonand, de Thierrens et de Provence. C'est à Romont que l'année suivante, le 7 mai 1854 eut lieu la 6ème fête. Les effectifs des sociétés étaient en baisse: Chiètres notamment se présenta avec 9 chanteurs seulement. Ce désintéressement explique peut-être pourquoi aucune fête n'eut lieu en 1855. Mais le 8 juin 1856, le Tir cantonal fribourgeois fut le prétexte de la 7ème fête cantonale de chant qui connut un grand succès. La période héroique de notre Cantonale arriva pourtant à son déclin. Les difficultés matérielles et l'agitation politique firent péricliter, voire s'effondrer certaines sociétés de chant et... on en parla plus de la Cantonale.

à suivre Henri Mauron, Président

(13)

SOCIETE CANTONALE DES MUSIQUES FRIBOURGEOISES 1. Fondation (suite)

Les sociétés suivantes qui ont signé le premier procès-verbal sont con¬

sidérées comme sociétés-fondatrices, en voici les noms:

Barberêche-courtepin: l'Avenir; Bulle:

Corps de musique de la ville: Châtel- St-Denis: Union instrumentale; Corpa- taux: La jeune Lyre; Ecuvillens: Société de musique; Fribourg: La Landwehr;

Fribourg: Union instrumentale; Guin:

Musikgesellschaft: La Tour-de-Trême:

Société de musique; Morat: Stadtmu- sik; Rue: La Lyre; Tavel: Musikgesell¬

schaft.

Le but de cette «Cantonale» est le suivant: grouper les corps de musique

fribourgeois en vue de cultiver et de développer l'art musical, d'organiser à cet effet des fêtes cantonales de musique et des cours destinés aux directeurs de musique et aux instru¬

mentistes.

Très vite la petite «Cantonale» s'est développée en une association des plus conséquentes du Canton. Dès qu'une nouvelle société de musique voyait le jour, elle fut admise à la

«Cantonale». Selon une statistique dernièrement établie: 21 sociétés de musique dans notre canton furent fondées avant 1900 (les plus ancien¬

nes sont: Guin (1798), Bulle (1803), Fribourg-Landwehr (1804 - Musique

du Corps francs), Romont (1818), 17 sociétés de musique furent fondées entre 1900 à 1920, 43 entre 1920 et 1950 et 15 après 1950. La Société cantonale des musiques fribourgeoi- ses actuelle compte 96 sections avec au total 3700 membres actifs. Toutes ces sociétés forment aussi nos sept associations de district.

Les Présidents cantonaux

Antoine Sauser (1910-1931), Ulrich Dietrich (1932-1960), Fridolin Aeby (1961-1968), Marius Barras (1968-

1971), René Pillonel (depuis 1972).

Fridolin Aeby à suivre Président d'honneur

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Président de la fanfare «Gérinia»

Marly

NOS SOLISTES Notice biographique. Né à Cheiry le 12 février 1920. Etudes à St-Maurice. Ren¬

contre l'abbé Bovet en 1937, Bernard Chenaux et Pierre Kaelin pendant la Mob. en 1940; devient le soliste du Chœur du Régiment et du «Joli Chœur deBercher», puis dès 1952 de La «Chan¬

son de Fribourg» et du Chœur sympho- nique. En 1944, sur le conseil de Geor¬

ges Aeby, il entre au Conservatoire de Neuchâtel dans la classe du baryton Ernest Bauer. En 1952, travaille à Genève avec le Maestro Fernando Carpi. En 1954, couronnement de ses études avec Paul Sandoz: Premier prix de virtuosité au Conservatoire de Lau¬

sanne.

Une personnalité particulière On lira plus loin les qualificatifs qui re¬

viennent régulièrement sous la plume des critiques lorsqu'ils parlent de sa voix et de son art. Auparavant il n'est pas inutile de rappeler un fait assez rare:

sa double vocation d'artiste classique et d'artiste populaire au meilleur sens du terme.

Etre à la fois spécialiste du «Ranz des vaches» et assumer brillamment les rôles de ténor d'oratorio aux côtés de grands solistes internationaux, n'est pas courant. D'abord c'est courageux, parce que pour certains critiques c'est impossible de faire bien les deux styles;

donc on risque des coups degriffes(et il y en a eu!). Or qui peut le plus peut le

CHARLES JAUQUIER moins. Pourquoi aurait-on dû priver no¬

tre répertoire populaire d'un tel prota¬

goniste? La collaboration d'un artiste professionnel et amoureux de son ter¬

roir ne peut qu'élever le niveau de nos publics et nos chorales. Bravo donc et merci à Charles Jauquier d'avoir as¬

sumé pour notre plus grande joie ce rôle de chantre fribourgeois.

Ce qu'en dit la presse

Charles Jauquier s'est acquis à l'étran¬

ger un renom dont nous n'avons aucune idée ici. Il fut applaudi au Royal Festival Hall de Londres, au festival de Salz- bourg sous la direction de Baumgart¬

ner, à Milan avec l'Orchestre de la Scala, et sur les ondes des Radios eu¬

ropéennes. Voici quelques échos trop brefs, de la presse de langue française.

Quant au ténor Charles Jauquier, de Fribourg, qui fit un départ superbe, il faut le féliciter de sa remarqua - ble égalité et de l'utilisation qu'il fait de sa voix solide et facile à des fins musicales et purement artis¬

tiques. On ne pouvait souhaiter davantage, bien qu'on pût beaucoup espérer.

(à suivre) Ed. H. Gazette de Lausanne, 1957

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NOS MUSIQUES Fanfare paroissiale de Siviriez. Fondée officiellement en 1906, mais existe de¬

puis 1900. En 1914, bénit son premier drapeau, parrainé par la fanfare de Guin et la Chorale de Romont. Un nouveau drapeau sera béni en 1971. En 1908 la fanfare inaugure ses premiers unifor¬

mes. Ces derniers seront changés en 1945 et en 1965. En 1955, on inaugure une instrumentation neuve. Cette der¬

nière sera entièrement changée en 1973. Dès cette date, la fanfare n'a plus de bugles mais joue en formation an¬

glaise pure. Président actuel: Gabriel Giroud depuis 1963. Président précé¬

dent: Fernand Maillard durant 2 ans et Fausto Albisetti durant plus de 20 ans.

Directeur: François Raemy. Directeur précédent: Louis Mugny. Effectif: 48 souffleurs et 10 tambours. Du corps de cadets fondé en 1971, vont entrer à la fanfare cette année, 15 jeunes musi¬

ciens. Prestations: 1 concert annuel en collaboration avec le Chœur mixte, avec en plus un concert dans chaque village de la paroisse. En 1971,1a fanfare participe à Aguenau (Alsacelà la fête du Houblon, en 1972, à Selestat (Alsace)

LA FANFARE DE SIVIRIEZ

La fanfare marie son directeur aux fêtes marquant le 14juillet,en 1973,

à Selestat, au grand Corso fleuri, en 1974 à Clamart (Paris) aux fêtes des petits pois. Fait partie de la cantonale et de l'amicale folklorique internationnale.

En 1976, fêtera son 70e anniversaire,et organisera le 25e giron des fanfares glânoises. Les 18 et 19 octobre 75, elle

recevra l'assemblée des directeurs de musique de la suisse romande. A inau¬

guré la tournée Sahel à Siviriez. Uni¬

forme: bleu à revers rouges, (inspiré de l'uniforme de l'école militaire de St Cyr) avec shako et casoar. Répète le mardi et le vendredi à la salle de musique sise sous l'église.

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Fribourg - Bd de Pérolles 32

Studio HI-FI

J.-P. PAILLARD Rue de Romont 11 Fribourg

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NOS CHORALES: :le choeur mixte de siviriez: A NOTER

Au siècle passé déjà, à Siviriez, on culti¬

vait l'art choral. En effet, c'est en no¬

vembre 1893 que fut fondée la Société de chant.

Formée tout d'abord d'un chœur d'hommes et d'un chœur mixte occa¬

sionnel pour les fêtes, les deux Sociétés fusionnèrent en 1957. Ainsi débuta l'in¬

tense activité du chœur mixte qui

compte actuellement une cinquantaine de membres actifs.

Plusieurs directeurs de grande valeur se succédèrent au pupitre. Nous rappelle¬

rons le souvenir de l'inoubliable M. Ju¬

lien Phillot qui exerça la fonction de directeur-organiste pendant 34 ans.

A l'âge de sa retraite, en 1965, M. Phillot céda la place à des forces plus jeunes et

M. Gabriel Dématraz, de Chavannes- les-Forts, instituteur à Siviriez, assura la relève. M. Dématraz a rempli la tâche de directeur durant 8 ans, tout en assu¬

mant la charge d'organiste pendant une période de 10 ans.

En septembre 1975, nous avons fait ap¬

pel à un jeune directeur, M. Yves Piller, de Villaz-St-Pierre, futur instituteur.

Au sein du comité, M. Joseph Bosson a fonctionné durant 11 ans en qualité de président. Puis, en 1968, il a été rem¬

placé par M. François Girard.

Le comité actuel est donc composé de:

M. François Girard, président, Mme Claire-José Wicht, vice-présidente, M.

Léon Conus, caissier, Mlle Gemma Menétrey, secrétaire, M. Clovis Sudan, M. Max Giroud, M. Nicolas Cosandey Comme tout se fait dans l'ordre à Sivi¬

riez, nous avons un livre de caisse qui date de 1897.

Depuis 1966, en collaboration avec la fanfare paroissiale, le chœur mixte donne un concert au printemps.

L'amicale romande des directeurs de musique tiendra ses assises les 18 et 19 octobre 1975 à Siviriez, organisées par la section fribourgeoise. En pro¬

gramme: démonstration par M. Balissat sur la manière d'entreprendre un nou¬

veau morceau de concours. Tous ren¬

seignements à Fr. Raemy

Rte d'Arruffens 22 A 1680Romont A RESERVER Les dates du 22 au 30 mai 1976. Lors de la Fête cantonale des chanteurs fribourgeois à Fribourg, grandes représentations: «FESTIVALS DE L'ABBE BOVET». Sélection pour le 25e anniversaire de sa mort. «La Vie mu¬

sicale» y consacrera son numéro du 5 mai.

Notre adresse:

Vie musicale case postale 822 1700 Fribourg

C'était en 1952. Il y avait à Fribourg, déjà, de nombreuses chorales: chœurs d'églises, chœurs d'hommes, chœurs folkloriques etc. Pourtant, il manquait à l'équipement musical de notre ville uni¬

versitaire un ensemble qui puisse assu¬

rer régulièrement des exécutions d'œuvres chorales symphoniques: no¬

tre public le désirait, des chanteurs éga¬

lement et le rayonnement par la radio n'en serait que plus bénéfique pour no¬

tre ville. L'idée n'était pas nouvelle en soi: l'abbé Bovet avait déjà monté, de temps en temps, de tels concerts.

Aussi, l'abbé Kaelin suggéra-t-il alors la création d'un ensemble d'un centaine de choristes. Les sociétés qu'il dirigeait à l'époque, soit la Société de Chant de la Ville, le Chœur Mixte de St-Nicolas, La Chanson de Fribourg formèrent le pre¬

mier noyau qui devint, juridiquement, une société avec statuts en 1957. Le premier président en fut Michel Huwiler auquel succéda aujourd'hui le Dr Rémi Goumaz président actuel. Notre direc¬

teur a choisi le répertoire de manière à ce que les choristes et le public de Fri¬

bourg aient l'occasion de connaître les plus grands chefs-d'œuvre des anciens aux contemporains. C'est ainsi que nous avons travaillé: Bach: Actus tragi- cus, Magnificat, Passion selon St-Jean;

Haydn: La Création, la Nelson Messe:

Mozart: Messe du couronnement, le Requiem; Beethoven: la Missa Solem- nis: Liszt: Christus, Messe de Gran;

Bruckner: Messe en fa: Honegger: Le Roi David: Scymanowski: Stabat Ma-

LE CHOEUR SYMPHONIQUE DE LA CATHEDRALE Le Chœur symphonique chante «ISCHA» à l'Aula. Mars 1974.

ter: Kodaly: Psalmus Hungaricus; Ra¬

vel: Daphnis et Chloé; Borodine: Le Prince Igor; Prokofieff: Alexander Nevski; Schubert: Messe en sib; For- nerod: Messe solennelle (dédiée à P.

Kaelin); Corrette, Desmarets, Mo- reau pour notre concert du 8 novembre 1975; Mahler: la Ville Symphonie en 1976; sans oublier «Mon Pays» de l'abbé Bovet, ainsi que La «Joie par- tagée»et l'opéra «Ischa» de notre direc¬

teur.

Le Chœur symphonique a chanté à Berne, Genève, La Chaux-de-Fonds, Bienne, St-Maurice, Lausanne ainsi qu'à l'étranger: Paris (Salle Pleyel et Pa¬

lais de Chaillot) et Monte Carlo à deux reprises. La plupart des solistes fribour¬

geois aujourd'hui justement réputés ont fait leurs premières armes dans nos concerts. De plus, notre directeur a préparé notre chœur lorsqu'il chantait sous la direction d'Igor Markevitch, de Charles Dutoit ou de Jean-Marie Au-

berson.

Le Chœur symphonique accueille tout bon choriste mais plus particulièrement des ténors et des basses. La répétition a lieu le lundi, à la Maison de justice. Il n'y a pas de cotisation: cependant les chanteurs achètent leurs partitions. On peut également s'inscrire comme «Ami du Chœur symphonique»: cotisation Fr. 10.-.

Le Chœur symphonique

PROCHAINS CONCERTS SYMPHONIQUES: ON CHERCHEZ

samedi 8 novembre à 20 h. 30 à l'Aula Concert du chœur symphonique de la Cathédrale

Au programme: Trois chefs-d'œuvre peu ou pas connus en Suisse:

LA MUSIQUE SACREE A L'EPOQUE DES ROIS DE FRANCE.

1. Musiques pour les Tragédies de Racine: Athalie et Esther de Jean Baptiste Moreau (1656-1738) 2. Les Mystères de N.S.J.C. de Henry Desmarets (1661-1741) élève de Lully et successeur de Charpentier.

3. Laudate Dominum Psaume de Michel Corrette (1709-1795) d'après le concerto «Le Printemps» des Quatre Saisons de Vivaldi (1678-1741).

Chacune de ces trois œuvres sera accompagnée par l'Orchestre de Chambre de Berne et jouira de la collaboration de Karin Rosat, soprano, Daniel Monnet, ténor et Michel Brodard. basse. Direction P. Kaelin Réductions pour les membres des sociétés musicales Location à l'Office du Tourisme

Un directeur-organiste ou un directeur seulement pour le chœur mixte parois¬

sial de Semsales - Faire des offres au Conseil de paroisse.

De très bons chanteurs ténors et basses pour compléter le Chœur sym¬

phonique à l'occasion des concerts extraordinaires des 10, 11, 12 avril 1976 à Berne et à Fribourg-en-Bris- gau: La Ville symphonie de Mahler sous la direction de Charles Dutoit — Fribourg doit fournir 200 chanteurs — Ecrire au Chœur symphonique B.P.

822 Fribourg.

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Exclusif pour Fribourg-lllustré

BONJOUR

Monsieur te syndic de Marsens

Bâti dans un site très agréable, sur les contre¬

forts du Gibloux, à environ vingt-cinq kilo¬

mètres de Fribourg et cinq de Bulle, Marsens est composé du village même, noyau princi¬

pal où se trouve l'école, la chapelle, et le complexe hospitalier de Marsens et d'Humi- limont quelques hameaux comme la Croix- les-Gottes en direction des Monts-de-Riaz, Chamufens et les Monts de Marsens sur la route qui conduit à Romanens. D'une superfi¬

cie de 584 ha, cette commune comprend ac¬

tuellement 565 ha de terres productives dont 141 en forêts. C'estun village en pleine évolu¬

tion. Sa population est en constante augmen¬

tation. De 520 habitants en 1960, elle a passé à 627 en 1970. Aujourd'hui, elle compte 750 habitants.

Ce beau village gruérien est dirigé par un Conseil communal de sept membres, présidé par M. Françis Kolly, trente-huit ans, père de trois enfants, administrateur des Etablisse¬

ment hospitaliers de Marsens et d'Humili- mont, qui assume la charge de syndic depuis son élection à l'exécutif de la commune en

1970.

Monsieur Françis Kolly, syndic, nous dit...

FI - Monsieur le syndic, comment se présente la situation économique ac¬

tuelle de votre commune?

Françis Kolly - Les principales ressour¬

ces de la commune proviennent des impôts, location de parcelles commu¬

nales et du produit des forêts. Compte tenu des importants travaux d'infra¬

structure réalisés ces dernières années, la situation financière peut être con¬

sidérée comme saine. D'autre part, nous avons constaté depuis quelques années, une augmentation de notre po¬

pulation, ce qui, pour l'autorité commu¬

nale, est une garantie pour l'avenir.

FI - Les autorités de votre village ont-elles déjà résolu les grands problèmes de l'heure? (Aménagement du territoire, alimentation en eau pota¬

ble, réseau routier, épuration des eaux, traitement des ordures)

L'étude du plan local d'aménagement est terminée. Elle a déjà fait l'objet de la mise à l'enquête publique. Le dossier sera soumis encore cette année au Conseil d'Etat pour approbation. Les buts recherchés dans ce plan d'aménagement se résument de la ma¬

nière suivante:

- sauvegarder les intérêts de l'agricul¬

ture

- favoriser l'implantation de résidences primaires et, dans une me¬

sure raisonnable, de résidences secon¬

daires

- développer l'artisanat.

Grâce à une excellente collaboration avec les communes d'Echarlens et de Riaz, nous avons pu mettre en chantier, en 1972, une adduction d'eau potable et un réseau complet de défense contre l'incendie sur le plan régional. La der¬

nière étape de cette réalisation sera ter¬

minée d'ici quelques mois.

Le réseau routier communal est en grande partie asphalté et répond aux exigences techniques de la circulation.

En 1971 -72, la commune a fait un effort particulier en réalisant un tronçon de trois kilomètres de la route intercom¬

munale Marsens-Romanens jusqu'à la dernière ferme située sur les Monts. En 1973 et 1974, quelques chemins agri¬

coles et forestiers ont également été améliorés ou reconstruits. Dans le con¬

cept des travaux de la RN 12, la route principale Echarlens-Marsens-Vuip- pens fait l'objet actuellement d'une nouvelle construction avec trottoir pour le tronçon qui nous relie à Vuip- pens. Une partie de ces travaux sont à la charge des communes intéressées.

Le problème de l'épuration des eaux fait l'objet d'une étude régionale groupant toutes les communes de la Basse- Gruyère, y compris Bulle et les commu¬

nes périphériques. Pour ce qui nous concerne, le plan directeur des égoûts est pratiquement terminé. Seules, les formalités d'approbation restent à réaliser.

Quant au traitement des ordures, là aussi une solution pour l'ensemble de la Gruyère a été trouvée. Dès la fin octo¬

bre, les déchets seront amenés dans la décharge contrôlée de Saumont, près de Châtel-Saint-Denis.

Aucune église à Marsens, mais une cha¬

pelle.

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Marsens:

un coin de paradis

pittoresque

développement de Marsens, a fait aménager quelques bancs qui invitent les promeneurs à profiter d'un moment de détente.

m màm ni

Le bâtiment scolaire.

FI - Quelle place tient l'agriculture dans votre commune?

L'agriculture joue encore un rôle impor¬

tant dans l'économie de notre village. Il existe encore un vingtaine d'exploita¬

tions agricoles qui comptent au total 600 têtes de bétail. La production de lait est de 1.200.000 kilos par année.

FI - Comment est organisée l'instruction de la jeunesse sur la plan primaire et secondaire?

En 1968, les autorités communales de Marsens et Vuippens décidèrent de grouper les classes primaires. Par la suite, une troisième commune, celle d'Echarlens, venait grossir les rangs et

actuellement ce n'est pas moins de 180 élèves qui fréquentent l'école primaire de notre cercle. Une classe enfantine a été créée en 1972. Les bâtiments sco¬

laires des trois villages ont été con¬

servés. Les écoliers sont conduits chaque jour dans leur classe respective au moyen de deux bus. L'expérience faite jusqu'ici, tant sur le plan scolaire que financier, est très positive.

Les élèves du cycle secondaire fréquentent l'Ecole secondaire de la Gruyère, à Bulle.

FI - L'activité culturelle et sportive de la population s'insère-t-elle dans la vie

quotidienne?

Les sociétés de notre village sont dyna¬

miques et très actives. Plusieurs d'entre elles recrutent une partie de leurs mem¬

bres également à Vuippens, commune avec laquelle nous faisons paroisse. Ce sont: la société de théâtre qui, chaque hiver, présente une pièce; la société de développement qui, d'un chalet d'al¬

page tombant en ruines, a pris la lourde initiative de le reconstruire pour en faire un lieu de rencontre et de détente pour les sociétés locales, les enfants des écoles, etc; le chœur paroissial et la chorale de l'hôpital qui rehaussent les offices religieux; le choeur mixte et le club d'accordéonistes qui organisent régulièrement des concerts; le groupe¬

ment des dames de la paroisse qui s'oc¬

cupent des personnes âgées et des ma¬

lades hospitalisés; la toute jeune société de gymnastique, qui en est à ses premiers pas, cherche à promouvoir l'éducation physique et sportive dans notre village. Il ne manque qu'une société de musique et un club de foot¬

ball qui, sait-on jamais, deviendront peut-être un jour réalité.

FI - Que font les autorités pour améliorer les contacts humains?

Le Conseil communal, dans la mesure de ses possibilités, appuie les efforts des sociétés et les encourage dans leurs initiatives. Nous nous efforçons

Hôtel de la Croix-Blanche 1633 MARSENS (FR) Téléphone (029) 5 15 24

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