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(1)Edition, impression, administration: Imprimerie Fragnière SA - 35, route de la Glâne - 1700 Fribourg - Tél

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Edition, impression, administration:

Imprimerie Fragnière SA - 35, route de la Glâne - 1700 Fribourg - Tél. 037 24 75 75 Rédaction: Case postale 331 - 1701 Fribourg - Tél. 037 24 75 75 - Télex 36 157

Rédacteur responsable: Gérard Bourquenoud moGazine

(2)

Organe officiel des Fribourgeois

«hors les murs» depuis 1967

Rédacteur en chef responsable et photographe:

Gérard Bourquenoud Bureau: 037 24 75 75 Privé: 037 46 45 27

Collaboratrice de la rédaction:

Monique Pichonnaz Correspondants régionaux

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André Vial, Bulle Bureau: 037 22 40 60 Privé: 029 2 55 30

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de réception des annonces:

Quinze jours avant la parution Annonces Suisses SA (ASSA) 8, bd de Pérolles

1700 Fribourg Tél. 037 22 40 60

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1/1 page Fr. 780.- Rabais de répétition et sur abon¬

nements d'annonces.

Abonnements:

Suisse Annuel Six mois

Fr. 40.80 24.- Etranger

Envoi normal: Fr. 54.- Envoi par avion: 78.- Compte de chèque postaux 17-2851

La reproduction de textes ou d'il¬

lustrations ne peut se faire qu'avec l'autorisation de la rédac¬

tion.

La rédaction n'assume aucune responsabilité pour les manuscrits et photos non commandés.

Sommaire

Reflets divers Chasseurs fribourgeois Hors les murs

Hissez les voiles, montez les tentes Jouez avec nous

Le Châtelard Belfaux

Entre la pinte et l'église Elle chez elle

Nous les jeunes Culture et littérature Arts et spectacles Fête des musiques à Sales Gastronomie

Sport

Le temps de la soif Le sport équestre pour tous Programme TV

Echarlens Les défunts

Notre couverture:

Toutes voiles au vent, les bateaux prennent le large, voguent vers des horizons nouveaux. Temps heureux des vacances, temps enri¬

chissant des loisirs, temps du rêve et du repos...

Notre prochaine édition:

21 juin

Font:

Fidèle à la tradition

Les jeunes de Font ont eu diablement raison de redonner vie à la coutume du jeu des œufs, longtemps à l'état de léthargie. Gérard Duriaux et Romain Lambert s'affrontèrent donc sous le signe d'une chaleureuse ambiance que prolongea longtemps encore un public passionné. C'est en chansons, autour de la piste de danse, que s'acheva cette journée organisée par le comité que préside M. Marcel Brasey. (Photo FI)

L'aviation militaire à l'heure du «Tiger»

Une journée d'information organisée à l'aérodrome de Payerne a permis à de nombreux journalistes helvétiques de se familiariser avec le nouvel appareil suisse de combat, le «Tiger», appelé à remplacer des escadrilles d'anciens «Venom».

Conférences et démonstrations donnèrent aux gens de presse l'occasion d'apprécier la valeur de cet avion, rapide, maniable et... redoutable. On reconnaît le pilote payernois Alfred Bohnenblust initiant les journalistes aux secrets d'un canon du «Tiger». (Photo FI)

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Les chasseurs fribourgeois feront la chasse aux braconniers

M. Barras, doyen des chasseurs fri¬

bourgeois

Réunis en assemblée annuelle à Vuis- ternens-en-Ogoz, les chasseurs fri¬

bourgeois ont nettement fait sentir qu'ils n'ont pas seulement l'intention d'agir, mais de sévir contre tous ceux qui pratiquent encore le braconnage dans notre canton. Le Dr Francis Lang, de Romont, président de la Fédération, a précisé que les chas¬

seurs ne sont pas des tueurs, mais des régulateurs. La chasse n'est ni un sport, ni un délassement, c'est une responsabilité. Les présidents des sections ont aussi dit leur mot à propos des tueurs sans scrupules que sont les braconniers. Le nouvel arrêté sur la chasse, actuellement en prépa¬

ration, permettra peut-être d'agir plus efficacement dans ce domaine.

En ce qui concerne le cheptel gibier, il se porte à merveille, le chevreuil est.

T

h J

Le comité de la société

St-Aubin:

Go»

A St-Aubin, Mme Marie Collaud- Verdon est entrée dans sa 80e année sous le signe d'une magnifique jour¬

née qui fut, pour son mari et les siens, l'occasion de remercier cette maman et grand-maman aimée et estimée.

(Photo FI)

paraît-il, en surnombre, tout particu¬

lièrement dans le district du Lac. Le lièvre est également en augmentation et il est possible qu'il se multipliera, vu que le nombre des renards est en régression, décimé spécialement par la rage. L'an passé, les braconniers, les machines agricoles, le trafic rou¬

tier, les maladies et la faim ont tué plus de bêtes que les chasseurs.

Le président de la Fédération fribour- geoise a d'autre part soulevé l'échec de réunir les chasseurs singinois. Il garde toutefois bon espoir de rappro¬

cher la section de ce district dont les dirigeants vouent une attention toute particulière à la campagne antichasse.

Notons que cette assemblée était honorée par la présence de MM.

Hubert Lauper, préfet de la Sarine;

Paul Demierre, ingénieur forestier;

Alphonse Renevey, président d'hon¬

neur; Léon Bays, membre d'honneur et ancien secrétaire de la Fédération, et Grand, syndic de Vuisternens-en- Ogoz.

Sections qui sont membres de la Fédération

fribourgeoise des chasseurs

Sarine: 170 membres Pierre Devaud, président Gruyère: 112 membres Ernest Toffel, président Veveyse: 65 membres Robert Genoud, président Broyé: 61 membres Jules Bourqui, président Lac: 60 membres Fredy Kilchoer, président Glane: 41 membres André Codoarey, président Giboux: 32 membres Roger Spycher, président Texte et photos G. Bourquenoud-FI

Noces de diamant à Fétigny

C'est au domicile de leur beau-fils, à Ménières, que M. et Mme Joseph Marguet- Thierrin ont fêté le 60e anniversaire de leur mariage. Bien connus dans cette région de la Broyé, M. et Mme Marguet étaient entourés de leur fille, de leurs deux petits-enfants et deux arrière-petits-enfants. Nous leur présentons nos vives félicitations.

(Photo FI)

(4)

Une rubrique «hors les murs» de Gérard Bourquenoud

Cercle fribourgeois de Genève:

La vie n'est pas un chemin qu'on suit et qui conduit en d'autres lieux; la vie est un point déterminé de la terre qu'on occupe jusqu'au dernier moment, que d'autres occuperont après nous et toujours. La vie ne doit pas tendre à la richesse mais simplement à la continuation, comme le fait si bien le Cercle fribourgeois de Genève qui, en date du 5 mai 1979, a inauguré un nouveau drapeau qui incitera tous nos compatriotes à poursuivre l'œuvre commencée par les anciens et les aînés, c'est-à-dire réunir sous le même symbole les 500 membres que compte actuellement ce beau fleuron de l'Association Joseph Bovet.

. •. maur?^

M, Jules Zay, ancien porte-drapeau, entouré de dames d'honneur

Un symbole de ralliement

Dans une précédente édition, nous avons publié «Flottez, drapeau!», un texte de Gilbert Bersier, président du Cercle. Nous n'y reviendrons donc pas. Cependant, nous aimerions pré¬

ciser que le drapeau datant de 1961 avait été offert par M. Jules Moret, membre d'honneur, lequel est aussi le donateur du nouvel emblème que nous vous présentons avec une cer¬

taine fierté puisqu'il porte les écus- sons des sept districts du canton de Fribourg ainsi que celui de l'Associa¬

tion Joseph Bovet appelé communé¬

ment «huitième district fribourgeois»

par notre magazine. Ce drapeau est décoré d'un jeune couple en bredzon et dzaquillon, du jet d'eau de Genève et du château de Gruyères dominé par le Moléson. Tout cela forme une unité qui représente la force et le ralliement de tous nos compatriotes vivant dans la cité de Calvin.

Une cérémonie émouvante Tous les bancs de l'église du Sacré- Cœur étaient occupés pour la messe célébrée par l'abbé Girardin, curé de la paroisse qui, dans son homélie, a défini le sens du drapeau dans une société telle que celle qui réunit les Fribourgeois de Genève. Cet office solennel était chanté par le chœur mixte «Le Moléson» d'Onex-Lancy, dirigé par M. Jean-Marie Tornare, en remplacement de M. Claude Dupas- quier, retenu à une autre manifesta¬

tion. Le nouveau drapeau a ensuite été béni et présenté à l'assistance par quatre petits enfants costumés, au¬

près desquels avaient pris place la charmante marraine, Mme Chantai Mauron. et le distingué parrain, M.

Robert Aebischer. Durant quelques instants, tous les yeux étaient fixés sur les couleurs de ce magnifique emblème qui flottera sur la Ville de Genève et le pays de Fribourg. Cette cérémonie simple, mais empreinte de dignité, a connu son moment d'inten¬

sité lors de l'accolade des bannières des sociétés amies, pendant qu'un musicien jouait le traditionnel salut au drapeau.

Un nouveau drapeau comme symbole de fidélité

Le porte-drapeau, M. Gaston Niclass, entouré des parrain et marraine et des donateurs du drapeau, M. et Mme Jules Moret

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M. Gilbert Bersier, l'élégant président du Cercle

Une ambiance dzodzette très cha¬

leureuse

Un apéritif a ensuite permis à M.

Gilbert Bersier, président du Cercle, de saluer tous ses invités. Ses paroles de bienvenue ont été enveloppées de joie et de bonheur par des chansons de la terre d'origine, interprétées par le chœur mixte «Le Moléson» qui a droit à un grand coup de chapeau.

Cette détente arrosée a facilité des échanges de propos entre invités, délégués et membres du Cercle.

De la gastronomie aux allocutions Le repas de fête, excellemment pré¬

paré par un cuisinier dont le talent mérite tous nos compliments, a été servi chaud par un personnel distin¬

gué, à plus de 250 personnes réunies dans la salle des Vieux Grenadiers, place des Augustins. Dans une at¬

mosphère qui réchauffait tous les cœurs, de brèves allocutions de circonstance de MM. Robert Aebis¬

cher, au nom de la marraine et du parrain; Raymond Perroud, président de l'AJB; Marcel Grandjean, prési¬

dent du Cercle de Nyon; Yves Ge- noud, président de la Chorale «La Marjolaine» qui fêtera son quart de siècle d'existence l'an prochain; Gé¬

rard Bourquenoud, rédacteur de FI et Charles Jousson, président du Cer¬

cle vaudois de Genève, on dit l'hon¬

neur et la fierté qui se dégagent d'une telle inauguration. M. Gilbert Bersier, président, son épouse Janine, aide de camp et les membres du comité du Cercle, ont été vivement félicités par chacun des orateurs. Grâce à leur dynamisme, à leur accueil, à leur hospitalité, et surtout à leur gentil¬

lesse, la grande famille fribourgeoise de Genève a vécu une journée mer¬

veilleuse qui n'est pas près d'être oubliée. Notons encore que cette manifestation était honorée par la présence de nombreuses personnali¬

tés et de délégués des Cercles «Le Vieux Chalet - Intre No - Bal Ethèla - la chorale «La Marjolaine» - le chœur mixte «Le Moléson» - L'As¬

sociation sportive fribourgeoise - l'Association radicale fribourgeoise - le Freiburger-Verein, tous de Ge¬

nève, les cercles de Nyon et Lau¬

sanne, ainsi que les sociétés confé¬

dérées du Tessin, Neuchâtel, Vaud, et Valais.

Une promesse pour l'avenir Cette soirée étincelante, animée par un groupe de musiciens «Les Bo-Bo- Mens», a été aussi variée qu'attrac¬

tive. Elle a permis à chacun de passer des heures agréables en profitant de ces instants de détente pour côtoyer ses amis et renforcer cette amitié indispensable à l'épanouissement du Cercle fribourgeois de Genève qui, l'an prochain, aura l'honneur de fêter le soixantième anniversaire de sa fondation et d'organiser l'assemblée des délégués de l'Association Joseph Bovet.

Quand le soleil brille dans le cœur de chaque Fribourgeois, le président et son comité ont tout lieu d'être satis¬

faits de cette journée réussie à cent pour cent. N'est-ce pas là une pro¬

messe pour l'avenir du Cercle?

Invités et costumés réunis sous le porche de l'église

Une allocution du parrain, M. Robert Aebischer

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Répartition des charges au sein du comité de l'Association Joseph Bovet (AJB)

A l'assemblée des délégués de l'AJB qui s'est déroulée le 22 avril dernier à Berne, trois nouveaux membres ont été nommés au comité. Celui-ci a tenu une séance très positive le samedi 12 mai à Neirivue, sous la présidence de M. Raymond Perroud, de Bâle. L'objet principal de cette rencontre était la répartition des charges qui s'est faite après une discussion très nourrie.

Etant donné qu'aucun des nouveaux venus n'a voulu accepter la place de trésorier, c'est M. Félix Brülhart, de Montreux, membre du comité AJB depuis trois ans, qui assumera cette responsabilité. Nous lui devons un grand coup de chapeau.

Le comité de l'Association se pré¬

sente donc de la manière suivante:

Raymond Perroud (Bâle), président;

Aloïs Schmutz (Sion), 1er vice-prési- dent; Ernest Gross (Genève), 2e vice-

président; Marlyse Jolliet (Muttenz), secrétaire à la correspondance; Ro¬

bert Purro (Delémont), secrétaire des verbaux; Félix Brülhart (Montreux), trésorier; Romain Rossier (Cornaux,

nouveau), trésorier-adjoint; François Chassot (Vverdon, nouveau) respon¬

sable des loisirs; Louis Joye (Neyruz), relations et organisation du prochain rassemblement à Fribourg, en 1981.

Pique-nique du 24 juin à Enney Cette rencontre estivale de l'AJB aura lieu à la colonie Plein Soleil, à Enney.

A 10 h. 30, une messe sera chantée par le chœur mixte «Le Moléson»

d'Onex (GE). Elle sera suivie d'un apéritif sur la terrasse et ensuite du pique-nique que chacun aura soin de prendre avec lui, ainsi que les servi¬

ces. De la soupe, des saucisses et des boissons seront à la disposition des participants, sur place. Des jeux pour les enfants et les adultes seront organisés par la commission des loisirs. Il y a également une coupe en jeu. Le comité vous invite à venir nombreux découvrir ce beau coin de la Gruyère. Compatriotes du dehors, sachez que vous avez la possibilité de vous rendre à Enney la veille déjà, car des chambres et des dortoirs sont à votre disposition.

Finances de l'AJB

Le problème des finances de l'AJB a également été très discuté. Comme l'organisation d'un loto n'a pas re¬

cueilli l'enthousiasme, le comité a décidé d'étudier d'autres moyens pour améliorer la situation financière.

Nous y reviendrons dans une pro¬

chaine édition.

G. Bd

Une jeune fribourgeoise

se distingue

dans la boulangerie-pâtisserie

Au terme de trois années de formation dans le laboratoire de M. Joseph Waeber, boulanger-pâtissier à Bourguillon, Mlle Marie-Claire Portmann, dix-huit ans, a passé avec succès ses examens de fin d'apprentissage de boulangère-pâtissière.

L'expert était M. Robert Lehmann, maître-boulanger, à La Roche, qui s'est déclaré très satisfait du travail réalisé par cette candidate qui s'est distinguée non seulement dans la fabrication du pain, mais également dans celle de la pâtisserie.

Toutes nos félicitations à cette jeune boulangère-pâtissière qui est la fille aînée de M. Marcel Portmann, agriculteur, à Pierrafortscha.

Photo G. Bd

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AS-

Succès mérité pour le «Bluet»

La population de la paroisse de Marly et environs a réservé un véritable triomphe au «Bluet», samedi 5 mai, lors de la traditionnelle soirée folklorique organisée par ce dynamique groupement. Près de 450 personnes étaient en effet rassemblées dans la grande salle de Marly-Cité pour écouter et apprécier un riche programme de danses et de chants. Le Président, M. Henri Kolly, y salua la présence de quelques invités, notamment celle de MM. Pierre Kuenlin, syndic, et Antoine Brulhart, Président de la Société de développement.

Ce succès, le «Bluet» le doit avant tout à sa persévérance dans la difficile voie du progrès, que ce soit pour ce qui concerne les chants ou la danse. M. Michel Ducarroz. directeur, et M. Antoine Magnin, moniteur, ont des raisons d'être satisfaits. Le groupe a réellement enthousiasmé les gens présents dans la salle.

Preuves en sont les chaleureux applaudissements et les nombreux chants bissés.

Et puis, il y eut également les interprétations des trois solistes: Mme Marianne Berset, M. Jean-Paul Aebischer, et le jeune Jean-Marc Horner qui laissera un excellent souvenir de sa «Chanson du Chevrier».

La soirée folklorique de Marly fut aussi marquée par une agréable surprise avec l'apparition de toute une phalange de jeunes chanteurs et danseurs. Ce fut une bonne bouffée d'air frais! Nous mentionnerons plus particulièrement le «Petit chœur du Bluet», dirigé par M. Ducarroz. Ce groupe composé d'une quarantaine de garçons et filles âgés de 7 à 12 ans, a été créé au début de cette année, pour marquer l'«Année de l'Enfance». Il a interprété trois chansons: «L'âne gris»,

«Vassilis, l'enfant grec» et la «Poupée mécanique». La réaction des auditeurs fut enthousiaste. Certains nous ont affirmé qu'ils attendaient depuis longtemps déjà cette troupe de tous jeunes afin d'assurer l'existence du «Bluet». C'est maintenant chose faite, aussi bien pour les chanteurs que pour les danseurs. Les responsables peuvent poursuivre courageusement dans la voie tracée; ils ont la caution d'un public qui a su apprécier à sa juste valeur l'effort fourni.

Au cours d'une brève partie officielle toute axée sur la reconnaissance, on rendit hommage au directeur et au moniteur; à Mlles Marguerite Kuenlin et Catherine Boehlen, responsables des juniors; mais aussi à M. Gaston Horner, qui s'occupe plus spécialement de la formation des jeunes. Le Président fut également fleuri et remercié pour son travail à la tête d'un groupe folklorique qui a su axer ses efforts sur la qualité des interprétations et sur l'augmentation des effectifs des jeunes.

Le «Bluet», dirigé par M. MicheI Ducarroz, avec J.-P. Aebischer, soliste

/

Le *Petit chœur du Bluet», une relève qui promet

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Départ 13 h. 19.- 17.- Vendr. 22 juin Grandes floralies suisses au Palais de

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Départ 13 h. 20.- 17.- Samedi 23 juin Grandes floralies suisses au Palais de

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Départ 13 h. 18.- 16.- Une course à ne pas manquer dont la date

exacte n'est pas encore fixée en juin: La montée à l'alpage dans un immense pâ¬

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Depuis la plus haute antiquité, des hommes se sont abrités sous des tentes; ce n'est cependant qu'au début du vingtième siècle que le camping, sous sa forme actuelle, est né. Grâce au scoutisme - lequel copiait en cela l'usage des armées - on s'est rendu compte qu'il était possible de vivre et de dormir en plein air, à l'abri d'une simple bâche.

cessoires de plus en plus spécialisés ont été conçus: tables et sièges, lits de camp ou matelas pneumatiques, réchauds et matériel de cuisine, vais¬

selle.

L'augmentation du nombre des véhi¬

cules automobiles a donné au cam¬

ping, depuis une vingtaine d'années, un essor auquel ses premiers adeptes

flïVf'i

La découverte et les voyages, un retour à la nature sont souvent des attraits puissants chez le campeur

D'année en année, le matériel a évolué, s'est amélioré dans le sens de la facilité d'emploi, du poids, de la solidité. La tente en lourde toile de bâche, au tapis de sol caoutchouté, aux montants et piquets en bois, a cédé la place aux tentes à armature moderne, aux «canadiennes» légères et résistantes. Parallèlement, des ac-

étaient loin de s'attendre. Puis appa¬

rurent les premières caravanes, soeurs évoluées de la roulotte des romani¬

chels, qui répondaient au besoin d'un logement plus vaste, sans nécessiter de fastidieux montages et démonta¬

ges.

De sport qu'il était à son origine, le camping - sous tente ou en carava-

(9)

Hissez les voiles...

...montez les tentes

ne - est devenu une forme de tou¬

risme qui, actuellement, par le nombre des nuitées se rapproche de plus en plus de celui que totalisent les autres formes d'hébergement, le dépasse même dans certaines régions.

Face à l'attitude étonnée et sceptique, parfois même hostile, de leurs con¬

temporains, les premiers campeurs ont cherché à se grouper. A l'instar de ce qui se faisait dans les pays voisins, des clubs régionaux et une fédération nationale ont été créés. Le premier club, l'Auto Camping Club de Suisse, a vu le jour à Genève, en 1933; l'année suivante, c'était la naissance de la Fédération Nationale Suisse des Clubs de Camping. Peu à peu, des clubs cantonaux ou régionaux toujours plus nombreux se répartirent le territoire de notre pays. L'arrivée des caravanes nécessita un changement de nom de la part de ces associations. A l'heure actuelle, la Fédération Suisse de Cam¬

ping et Caravaning (FSCC), dont le siège est à Lucerne, compte quelque quarante clubs affiliés. De son côté, le Touring Club Suisse a vu se créer en son sein, vers 1947, des groupes de campeurs directement rattachés à ses sections cantonales. On peut évaluer à 150 000 personnes le nombre des membres d'un club ou d'une associa¬

tion, ce qui ne représente pourtant que le quart de tous les campeurs de notre pays.

Les clubs s'efforcent de faire profiter leurs membres de divers avantages:

carnet camping international, assu¬

rances, terrains aménagés, réductions de taxes, entre autres. Ils ont égale¬

ment une activité propre, organisent des rencontres ou des sorties, partici¬

pent aux rassemblements nationaux ou internationaux.

On dénombre en Suisse environ 500 places de camping appartenant soit à des propriétaires privés, soit à des communes ou aux clubs eux-mêmes.

Bien qu'important, ce nombre est toutefois insuffisant. La situation est encore aggravée par un phénomène nouveau: le caravaning résidentiel, dans lequel caravanes ou mobil- homes sont utilisés comme résiden¬

ces secondaires et ne quittent plus leur emplacement, restreignant d'au¬

tant la place réservée aux campeurs et caravaniers itinérants, aux touristes suisses et étrangers. L'expansion du camping et du caravaning, formes modernes du tourisme, place les autorités, les associations et les parti¬

culiers en face d'un problème qu'il convient de résoudre.

Tranquillité, richesse de la nature... un monde à redécouvrir!

du soleil et

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(10)

Hissez tes voiles...

Vacances, plein air, loisirs Quelle définition faut-il donner au mot vacances? Est-ce un repos, un délas¬

sement, une détente? Le dictionnaire précise que c'est un temps de repos accordé à ceux qui travaillent. Les vacances signifient avant tout chan¬

gement d'occupation, de rythme de vie, libération de vos soucis, évasion hors des contraintes de la vie quoti¬

dienne, élargissement de votre hori¬

zon, acquisition de connaissances nouvelles, enrichissement de votre être par des expériences vécues, etc.

Pour se reposer, on est souvent mieux chez soi. Mais pour s'évader? Il n'est pas besoin de franchir des centaines ou des milliers de kilomètres, car avec un peu d'imagination, vous pouvez pénétrer dans un monde inexploré et découvrir, à portée de votre main, des trésors que vous aviez ignorés. L'uni¬

vers, avec ses inépuisables richesses, est une unité qui ne commence pas aux antipodes, mais à votre porte.

A la mer comme à la montagne

Chaque matin, en vous levant, lorsqu'il fait beau, vous irez humer l'air frais et planer des yeux sur l'horizon d'un beau lac dont les rives et les montagnes qui le bordent enchantent la vue. Etendu dans l'herbe ou sur une chaise longue, vous

«rc

...et montez les tentes

écouterez le chant des oiseaux si vous êtes dans un chalet en montagne, ou le bruit des vagues et l'agitation de l'eau si vous vous trouvez au bord de la mer. Tout cela vous plongera dans une rêverie délicieuse.

Si vous aimez le camping, vous aurez du plaisir à vous sentir chez vous où que vous vous trouviez. Pour ceux qui souhaitent faire de la voile, les lacs de la Gruyère, de Schiffenen, de Morat et de Neuchâtel, se prêtent admirable¬

ment à ce genre de distraction. Il faut posséder un sens de l'observation, un bon réflexe, avoir le goût du rixe.

Comme la pratique de la voile n'est pas à la portée de tout le monde, il est préférable de s'adresser à un club comme celui qui existe à Estavayer- le-Lac.

La santé par la bicyclette Faire de la bicyclette, même en promenade, est un exercice physique

très complet, qui fortifie bien sûr les jambes tout en les assouplissant, mais assure aussi le travail des muscles du bas du dos et de l'abdomen. La pratique de la bicyclette active la respiration et fortifie le cœur. Une journée de vélo dans la campagne fribourgeoise = une bonne nuit. Et bonnes vacances...

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Mots croisés de notre édition du 2 mai 1979

Pele-mele

1. Métal brillant, inaltérable à l'air 2 Qui laisse passer la lumière 3. Incertitude, scepticisme, soupçon 4. Faculté de se "souvenir, de retenir 5. Centième partie de l'are

6. Petite partie d'une chose 7. Ensemble de la végétation d'un

pays

8. Bouton placé sur le canon d'une arme à feu

Géographie

Ce concours était plus facile, raison pour laquelle nous avons reçu une avalanche de cartes. Voici les noms de ceux et celles qui nous ont donné la solution juste:

Marie-Jeanne Risse, Villarepos; Manuella Sprenger, Rue de Lausanne 17, Payerne;

Amélie Pigueron, Rue de la Tour 2, Payerne; Jean Vionnet, Rue de la Prulay 53, Meyrin; Georgette Siffert, Cottens; Gabriel Pythoud, Rue des Agges 12, Bulle;

Marie Dupont, Grandvillard; Maurice Jaquet, Lilienstr. 9, Brugg; Monney-Haenni, Grosse-Pierre 9, Morges; Gabrielle Jemmely, Vauderens; Yvonne Chassot, Ancienne école. Courroux; Cécile Bussard, Ch. du Taux 4, Montreux; Jean- Jacques Brohy, Combettaz 23, Marly; Léon Barras, Auboranges; Candide Droux, Claire 10, Le Locle; Gilberte Maillard, Rue du Jura 5, Avenches; Charles Meyer, La Tour-de-Trême; Evelyne Tinguely, Moncor 11, Villars-sur-Glâne; Paul Sudan, Bourg-de-l'Auge, Broc; Paul Pesse, La Joux; Françoise Gremaud, Villaraboud;

Marie-Antoinette Rossalet, Le Marchet 18, Neyruz; François Häni, Missy; R.

Eberard, Rte d'Yverdon 52, Payerne; J.-Paul Bourqui, Rue de Lausanne 91, Fribourg; Marcel Giller, Rue de la Borde 22 bis, Lausanne; Gertrude Gaillet, Mont- Aubert 8, Payerne; Angèle Zappa-Castella, Courtételle; Solange Schouwey, Corpataux; Jacques Ansermet, La Lorraine, Bevaix; Roland Bossel, Av. Vibert 28, Carouge; Bernard Charrière, Bel Air 1, Neuchâtel; Crausaz-Ayer, Grand-Rue 1, Fribourg; Alice Doudin, Pl. du Tribunal 3, Payerne; Eugène Berset, Rue Vidollet 41, Genève; Pierre Pasquier, Maules; Marie-Thérèse Rosset, Chemin du Bac 12, Petit- Lancy; François Mauron-Barras, Villaraboud; Jeannette Déjardin, Ch. des Creuses 19, Prilly; Georges Schmid, Av. Gare 9, Bulle; André Pittet, Derrière-les-Remparts 3, Fribourg; Marguerite Richoz, Villaz-St-Pierre; Lucie et Jeanne Gisler, Rte du Jura 22, Fribourg; Jeanne Huguenot, Monséjour 42, Fribourg; Albert Roulin, rte de Bourguillon 25, Marly; Pierre Gumy, Pérolles 59, Fribourg; Michel Wicht, Riedelet 22, Marly; Jacqueline Cudré, Autigny; Nelly Chappuis, Farvagny-le-Grand;

Josiane Martig, Niederdorfweg 2, Turbenthal; Agnès Raboud, Orsonnens; Maria Dématraz, Les Bruyères 596, La Tour-de-Trême; Alice Monney, Porsel; Elise Meier-Ulrich, Lussy; R. Raccoursier, R. Mont-Aubert 6, Payerne; Suzanne Rouiller, Konrad llg. Str. 29, Zurich; Albert Sallin, Bd des Promenades 2, Carouge; Alice Thorimbert, Prez-vers-Siviriez; Fernande Blanc, Rioux, Rössens; Gisèle Lottaz, Neyruz; Marie-Thérèse Ding, Rue des Vernes 1, Payerne; Michel Pache, 16, av. du Lignon, Le Lignon; Janine Rey, rue du Château, Môtiers (NE); Daniel Curty, laiterie, Châtonnaye; Louis Pittet, Vuisternens-dt-Romont; Andréa Genoud, 8, rue de Vevey, Châtel-St-Denis; Marie Baeriswyl, Pérolles 63, Fribourg; Maria Pittet-Ayer, Vuisternens-dt-Romont; Astrid Roubaty, Rimbotzat, Ecuvillens; Jean-Luc Stucky, Courtepin; Simone Devaud, Le Frète 1, Malleray; Gabrielle Losey, Bevaix.

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La devinette

de Fribourg-lllustré

De 1798 à 1803, je faisais partie du canton de Fribourg.

En février 1803, je fus attri¬

bué à un autre canton.

En étant un chef-lieu, je suis aussi une ville historique.

Qui suis-je?

La réponse juste à la devinette du 2 mai était: Lac de Morat.

Nos lecteurs sont de plus en plus nombreux à participer à notre jeu.

Cela fait très plaisir. Nous citons ceux qui nous ont donné une réponse juste;

René Heimoz, Grimoux, Fribourg; Ma¬

ria Page, Villaz-St-Pierre; Marie Col- laud, Buvelot, Morges; Elise Meier- Ulrich, Lussy; Nadia Ramuz, Bertigny 13, Fribourg; Chantai Pythoud, Agges 12, Bulle; Georgette Siffert, Cottens;

André Pittet, Vuisternens-dt-Romont;

Hélène Raccoursier, Mont-Aubert 6, Payerne; Jeannette Déjardin, Creuses 19, Prilly; Gisèle Lottaz, Neyruz; Frère Antoine-Marie Dafflon, Collège St- Charles, Porrentruy; Lisette Bergny, Stade 31, Payerne; Fernand Gaillet, Mont-Aubert 8, Payerne; Raymond Clerc, La Tuffière, Corpataux; Patrick Tinguely, Ferpicloz; André Droux, Col- des-Roches; Paul Pesse, La Joux;

Lydia Frein-Feller, Fontenattes 5, Bon- court; Candide Droux, Claire 10, Le Locle; Gilberte Maillard, Jura 5, Aven¬

ches; Jean-Jacques Brohy, 23, Com¬

bettaz, Marly; Max Gavillet, Esmonts;

Marie-Louise Gavillet, Esmonts; Vin¬

cent Devaud, Le Frète 1, Malleray;

Edith Barras, Granges-Paccot.

Connaissez-vous cet endroit

9. Partie la plus élevée d'un fronton 10. Mouvement de l'air atmosphé¬

rique

Il suffit de coller ces mots croisés sur une carte postale adressée à

«Jouez avec nous»

Rédaction de Fribourg-lllustré Case postale 331

1701 Fribourg Délai 16 juin 1979

6

8 -io 9

Votre réponse devra nous parvenir sur carte postale uniquement jusqu'au 16 juin 1979.

Rédaction de Fribourg-lllustré - 35, rte de la Glane - 1701 Fribourg

Photo parue dans notre édition du 2 mai 1979 La photo en question a été prise lors de la Fête cantonale de lutte suisse à Châtel- St-Denis, le 2 juillet 1978. A gauche, la fanfare du chef-lieu de la Vevey se. A droite, la délégation du Club des lutteurs attend la bannière cantonale.

Index des personnes qui nous ont donné une réponse exacte:

Marie-Louise Saudan, ruelle Thomas, Châtel-St-Denis; Georgette Siffert, Cottens;

Cyprien Genoud, Châtel-St-Denis; Thérèse Losio, Porsel; Christian Rouiller, Zurich; André Seydoux, Riaz; Philippe Guillet, Treyvaux; Nelly Oberson, Grand- Rue 71, Châtel-St-Denis; Patrick Risse, rue de Gruyères 58, Bulle; Jacquy Monnard, forestier, Attalens; Annelyse Berthoud, Pré Fleuri, Châtel-St-Denis;

Maria Genoud, Jura 11, Crissier; Andréa Genoud, rue de Vevey 8, Châtel-St- Denis; Gérard Python, Ecuvillens; Hélène Dewarrat, Remaufens; Riedo-Lagger, Village, Planfayon; Antoinette Savary, Le Battoir, Châtel-St-Denis; Gérard Gothuey, Semsales; Claudine Mesot, Besencens; Florence Villard, Les Marrais, Châtel-St-Denis; Michel Kolly, Les Gottes, Essert; Jean-Pierre Maillard, rue de Vevey 15, Châtel-St-Denis; Emile Duding.Pérala 260, Châtel-St-Denis; Louis Devaud, Porsel.

Le gagnant au tirage au sort est: André Seydoux, 1632 Riaz.

Un abonnement de trois mois gratuit à Fribourg-lllustré lui est offert.

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Le Châtelard

Des milliers de spectateurs enthousiastes ont applaudi le

cortège de la 28e Fête des musiques glânoises

Quelques tambours au pas

La laiterie, char de la famille Léon Gremaud

Le Châtelard est un point remarquable qui, pour l'instant, est ignoré des touristes. On ne pourra peut-être pas en dire autant dans quelques années, car les milliers de personnes qui ont découvert ce charmant coin de terre lors de la Fête des musiques glânoises, pourraient bien y revenir souvent et même s'y attacher. Le dimanche 6 mai, ce village s'était paré de ses plus beaux atours pour recevoir dignement tous les musiciens d'un district au cœur d'une nature encore intacte.

Après une semaine perturbée par le froid et la neige, les organisateurs de cette manifestation ont été récom¬

pensés par une journée radieuse bien que fraîche pour la saison. Plus de 10 000 personnes se sont déplacées au sommet de cette colline du Gibloux pour applaudir un cortège haut en couleurs dont le thème était: «Mon pays au fil des ans». Nous avons constaté que dans la plupart des fanfares la relève semble assurée par une jeunesse qui a de plus en plus d'enthousiasme pour la musique ins¬

trumentale. La fin du monde n'est donc pas pour demain.

Les concerts et concours donnés en l'église paroissiale ont été écoutés par des centaines d'auditeurs qui n'ont pas ménagé leurs applaudissements.

Le jury était composé de MM. Jean Balissat, de Corcelles-le-Jorat, et de Jean-Michel Hayoz, directeur du Conservatoire de Fribourg. Le con¬

cours de marche était jugé par MM.

Marcel Rossalet, directeur de l'Union Instrumentale de Fribourg, et Jean- Pierre Aeby, professeur à Tavel.

La population du Châtelard avait bien fait les choses. La décoration des fermes et des maisons était soignée, l'accueil était chaleureux. Elle a même réussi, avec beaucoup de dévouement et d'ingéniosité, à préparer des chars du plus bel effet qui ont fait l'admira¬

tion du public.

Tant qu'il y aura des hommes et des femmes qui unissent leurs efforts pour animer un village, tant qu'il y aura des jeunes pour reprendre le flambeau, tant qu'il y aura de la musique et de l'harmonie, Le Châte¬

lard comme le district de la Glâne, restera ce coin de terre où il fait bon vivre et que l'on ne quitte jamais définitivement. Les musiciens glânois ont prouvé, à cette fête pleinement réussie, que ces affirmations étaient fondées.

(Texte et photos G. Bourquenoud-FI)

Les amis du Castel, char de la Société de jeunesse

Lentigny 50 ans

de mariage

Entourés de leurs enfants et leurs conjoints, de leurs petits-enfants et arrière-petite-fille, M. et Mme Léon et Alice Bulliard-Sallin viennent de fêter leurs noces d'or. Cette journée fut marquée par une messe d'action de grâces en l'église de Lentigny et par

un concert-apéritif agrémenté par la fanfare de Cottens. Toute la famille se retrouva ensuite pour un repas de circonstance. Aux heureux jubilaires nous présentons nos félicitations et nos vœux.

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Dimanche 13 mai, à Belfaux

Une journée radieuse pour la

13e Fête des musiques de la Sarine

Toute la population s'était unie pour présenter

les plus beaux corseaux fleuris Plaisir des yeux... Joie des cœurs,

c'était la fête à Belfaux!

Durant trois jours, le village de Belfaux était en liesse populaire et n'a vécu qu'en fanfare et flonflons. Dans la cantine comme dans les rues, on ne voyait que des casquettes, des uni¬

formes, des képis, des plumets et toute la gamme des instruments qui brillait au soleil. Les habitants de cette localité magnifiquement décorée pour la circonstance, ne sont pas près d'oublier cette ambiance exception¬

nelle qui s'est emparée d'un village en effervescence et qui était envahi par quelque 10 000 spectateurs le diman¬

che après-midi dont le chiffre 13 a certainement porté bonheur à nos musiciens. Le cortège dont le thème était: «Fables, contes et chansonnet¬

tes» comprenait 19 groupes, ^fanfa¬

res et 19 chars. Ouvert par le char de la commune de Belfaux «Un p'tit train s'en va dans la campagne», qui présentait les armoiries en fleurs des

19 communes du district ayant la chance d'avoir une fanfare dans leurs murs, ce cortège tout de couleurs, de charme et de gaieté, s'est déroulé dans un ordre parfait. Les musiciens ont fait honneur à leur idéal tant par leur belle tenue et leurs prestations que par l'organisation, mise sur pied par un comité efficace, présidé par M.

Hubert Lauper, préfet de la Sarine.

Au terme de cette manifestation merveilleusement réussie, les organi¬

sateurs ne pouvaient que dire leur joie et leur satisfaction. Bien d'autres mots et félicitations encore, bien d'autres allocutions, toutes aussi sympathiques que bien comprises, de la musique, une chaleur estivale bien¬

venue ont fait un week-end heureux pour toute une population qui sou¬

tient admirablement nos fanfares vil¬

lageoises. Oui, c'est vrai, ce fut un véritable bouquet de printemps.

(Texte et photos G. Bd)

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En buvant«,

alb trois décis.

Devant la justice

- J'ai fait citer votre femme comme témoin, dit un avocat à son client, accusé d'avoir tué sa belle-mère. Je suis à peu près certain de votre acquittement, à une condition toute¬

fois: que votre femme pleure devant le jury.

- Si vous voulez que ma femme pleure, répond le pauvre homme, sans illusion, dites-lui que je vais être acquitté.

Une idée comme une autre

- Quand un homme vient acheter un soutien-gorge, dit la patronne d'une boutique de lingerie à sa jeune em¬

ployée, ne l'embrouillez pas avec des chiffres auxquels il ne comprendra rien. Expliquez-lui que ces sous- vêtements se font en trois tailles: la petite, la moyenne et «vous voyez ce que je veux dire!»

Tac-Tac

Une automobiliste, très jeune et ti¬

mide, demande à une très jeune agente de police de Fribourg qui vient de glisser un papillon sous son es¬

suie-glace:

- Excusez-moi, madame, mais c'est ma première contravention. Est-ce que le service est compris?

Un monde fou

- Tu es allé à la piscine? demande une maman à son grand fils.

- Oui. Et il y avait tellement de monde que j'ai dû plonger à trois reprises avant de trouver l'eau.

Un exploit

- Le soir de mon arrivée, je repère une belle petite rivière à truites. Je m'y rends à l'aube, avec tout mon attirail.

A peine avais-je lancé ma ligne que j'en avais une.

- Une truite?

- Non. Une contravention. La pêche est interdite à cet endroit-là.

«Le père Mathurin se sentant peu bien, se décide à consulter un méde¬

cin spécialiste. Dans la salle d'attente, il lit sur un écriteau: «Première visite, 20 francs, les suivantes, 5 francs».

C'est bon pense Mathurin, je m'arran¬

gerai. Quand vient son tour, il entre dans le cabinet de consultation avec un air de vieille connaissance.

Bonjour docteur, c'est encore moi, je reviens, mais d'abord permettez... et il dépose 5 francs sur la table! Le médecin le regarde mais ne le re¬

connaît pas. Cependant, il soupçonne quelque chose. Alors, tranquillement, il visite le client et lui dit: «Cher monsieur, il y a de grands progrès depuis votre dernière visite, continuez donc le même traitement, au revoir».

Et il le pousse dehors».

Trombert Armand Champéry

Le plaisir de promener madame est-il si pressant qu'il ne peut attendre?

Ou... Madame surveille-t-elle les travaux de près?

La voix du citoyen mécontent L'été est une saison d'une beauté si prenante qu'aucune autre ne l'égale. Montagnes et vallées se parent des couleurs les plus vives. C'est la plus belle des saisons de l'année qui déploie ses charmes devant nous. Et pour ajouter au charme de l'ensemble, les torrents, les rivières et les ruisseaux sont aussi limpides que peut l'être le cristal. Même la forêt, avec son aspect flatteur, se mire dans l'eau, comme un coucher de soleil sur la mer. Les paysages évoquent une tapisserie écla¬

tante de couleurs multiples.

Protection de l'environnement Et cependant comme la plaine, la montagne n'échappe pas au plus redoutable fléau de l'an 2000: les foules qui, sans trêve, envahissent le moindre sentier, abandonnant des détritus de toutes sortes après une prome¬

nade ou un pique-nique dans la nature. Il y a une semaine, lors d'une excursion dans une forêt proche de Bulle, ma famille a surpris en flagrant délit une femme dans la cinquantaine qui, en voiture, a fait plusieurs kilomètres pour venir déverser sous un bosquet, un sac en papier rempli de bottes, de bouteilles, de chiffons, de vieux souliers et même des lettres d'amour... Pourquoi va-t-elle souiller la forêt alors qu'elle dispose d'un container devant l'immeuble qu'elle habite. Son comportement est un véritable mépris à la nature.

En détruisant la nature, c'est notre propre environnement que nous altérons aussi incon¬

sidérément. Préserver les sites naturels, empêcher leur des¬

truction irréversible, devraient rendre notre existence plus saine et plus agréable. C'est en contemplant de magnifiques paysages, de belles montagnes et des forêts sauvages, que les premiers hommes ont appris la beauté, la compréhension, la générosité. Ils avaient à l'égard de la nature une attention toute particulière, ils adoraient même toutes les forces naturelles.

Aujourd'hui, nous sommes à l'autre extrémité, sous prétexte de modernisme. Un jour, il faudra bien revenir aux sources.

La terre étant une richesse pour le monde, nous citerons juste une phrase de la Bible: «Cul¬

tive-la et améliore-la mais ne la détruis en aucun cas...»

Constatant que la destruction est beaucoup plus rapide que la préservation, le moment est venu de lancer un mouvement humanitaire pour la protection de notre environnement. C'est une tâche urgente que nous devons mener à bien et qui doit être envisagée comme une œuvre créatrice.

Le rat des champs

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A l'heure du

reve il

\

Fraîcheur du matin dans des robes d'intérieur légères qui invitent à com¬

mencer la journée en détente. Gais ou tout de charme, les modèles «Home- wear» osent se montrer dès le saut du lit. Peignoir de coton fleuri, tunique de tendre jersey, kimono souple et lumi¬

neux, overall à fermeture-éclair, la gamme est variée et respecte tous les goûts. Les imprimés sont essentielle¬

ment d'inspiration graphique ou égayés de fleurs, de bordures et de rayures. Les tissus unis laissent devi¬

ner un porté particulièrement doux et agréable.

Les collections actuelles redonnent toute sa noblesse à la tenue d'inté¬

rieur qui n'est plus un peignoir dé¬

fraîchi, comme le dit la chanson, mais vêtement confortable et souvent d'un grand chic.

Photos: Swiss Cotton Centre et Triumph International.

Pour l'été 79, les créateurs conçoivent leurs modèles dans des tissus divers mais toujours agréables à la peau. Le trend des fibres naturelles se poursuit sur toute la ligne. Des cotons 100%

pour celles qui aiment à se couler dans des matières vivantes. Celles qui misent sur le côté pratique adopteront les mélanges: coton et polyester ou modal. Quant au tricot, il est entiè¬

rement réalisé en polyamide. Pour la lingerie de nuit en mailles, les matières souples et fluides dominent toujours;

elle s'orne de bordures, de motifs floraux, de dentelles tissées, de smocks à la taille et aux épaules.

A l'heure du

reve

Douceur du soir en chemises de nuit romantiques ou baby-dolls enjoués, la lingerie estivale, quel que soit son genre, garde un petit air nostalgique et une élégance très féminine.

Les modèles tissés offrent toute lati¬

tude de choix entre les chemises de nuit de forme classique, tombantes, à boutonnage sur pattes et le style juvénile délicieusement romantique avec dentelles, rubans coulissants et broderies anglaises.

Le style «empire» - quoiqu'en perte de vitesse - figure toujours dans les collections: ainsi, celles qui ont un faible pour cette ligne figurative trou¬

veront également leur compte dans la mode de nuit actuelle.

M. Pz

Hôtellerie:

nuages sur la saison d'été 1979 Le tourisme hôtelier, en perte de vitesse depuis juin 1978, a continué de régresser durant la saison d'hiver. De décembre 1978 à février 1979, les nuitées ont diminué de 13%, celles de Suisses baissant de 5% et celles d'étrangers de 20%.

Parmi les 40 stations touristiques interrogées par l'UBS, près de la moitié pronostiquent un nouveau fléchissement des nuitées durant la saison d'été 1979, ne serait-ce qu'en raison de la concurrence toujours plus forte d'autres pays sur le plan des vacances estivales. Seules cinq stations s'attendent à une stabilisation. L'hôtellerie sera obligée de conserver des prix pratiquement inchangés depuis 1974, tandis que les charges salariales continueront de s'alourdir en raison du manque de personnel. La capacité bénéficiaire de l'hôtellerie risque donc de se détériorer encore en dépit des facilités qui lui sont accordées pour limiter ses pertes de change.

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Du 25 août au 3 septembre 1979,

cinquième édition des Rencontres Folkloriques Internationales de Fribourg Au fil des années les Rencontres Folkloriques Internationales de Fribourg n'ont cessé de prendre de l'importance et, c'est avec une certaine impatience qu'un certain public attend la fin août pour assister à ce festival annuel unique en Suisse.

La quatrième édition qui a eu lieu l'année passée à la même époque a remporté un succès sans precedent. L engouement populaire pour ces Rencontres Folklo¬

riques Internationales va grandissant puisque pas moins de 30'000 personnes ont assisté l'an dernier aux divers spectacles en salles et en plein air. Tout le monde se souvient encore de la vitalité de l'ensemble bulgare de la ville de Varna, ou encore de la touche orientale apportée par la troupe de masques coréens de Pongsan.

Les 15 000 personnes qui sont descendues dans la rue à l'occasion de la Fête populaire et les 15 000 autres qui ont suivi le cortège se sont reconnues unanimement dans leurs critiques pour voir dans ces Rencontres Folkloriques Internationales, un événement marquant de la vie culturelle de la cité des Zaehringen et un grand rendez-vous du folklore mondial.

Depuis plusieurs mois, les organisateurs ont remis l'ouvrage sur le métier pour mener à bien les cinquièmes Rencontres Folkloriques Internationales de Fribourg.

Celles-ci seront à nouveau d'une rare qualité, avec des groupes provenant d'outre-Atlantique, d'Union Soviétique, d'Afrique du Nord, de toute l'Europe et bien sûr de Suisse. Le programme se calquera plus ou moins sur celui des années précédentes. Durant dix jours, spectacles de gala, fêtes populaires, animations, cortèges et colloques déploieront leur faste et leurs couleurs sur une ville de Fribourg qui saura se parer pour la circonstance. En effet, du samedi 25 août au dimanche 2 septembre, les méandres de la Sarine vivront aux accents internationaux et, toutes les manifestations ont été organisées de façon à présenter le plus complètement possible les différents aspects de chaque folklore dont les groupes se feront les ambassadeurs.

Fétigny:

Un habit neuf pour le chœur mixte Dirigé par M. Hubert Loup, le choeur mixte de Fétigny s'est paré d'un magnifique habit, dont l'inauguration a réuni un très nombreux public à la grande salle de l'Auberge communale. La soirée fut marquée par une suite de chansons entrecoupées de sketcnes créés et interprétés par des membres de la société.

(Photo FI)

Villarlod:

Chanteurs honorés

Deux membres du chœur mixte de Villarlod ont reçu des mains de l'abbé Henri Monneron, curé de Villarsiviriaux-Villarlod, la médaille Bene Merenti en reconnaissance de leur longue activité au service du chant sacré. Il s'agit de MM.

Arsène Perritaz et Pierre Waeber que plusieurs orateurs, au cours du repas de midi, félicitèrent du bel exemple donné. Le choeur mixte de Villarlod que préside Mme Huguette Python est dirigé par M. Hubert Carrel. Notre photo: les deux médaillés entourés du Conseil paroissial et de l'abbé Monneron. (Photo FI) Reconnaissance à

Autigny-Chénens Double motif d'allégresse dans la paroisse d'Autigny-Chénens qui a réservé une lumineuse journée à son curé, l'abbé Isidore Hauser, pour ses 40 ans de vie sacerdotale, et à Sœur Jeanne-Louise, pour son demi-siècle de vie religieuse. Présidé par M.

Bernard Berset, le Conseil paroissial avait fort bien fait les choses pour exprimer à deux jubilaires la gratitude de la communauté. La joie des parois¬

siens d'Autigny-Chénens ne fut tou¬

tefois pas complète puisque cette journée marquait aussi le départ de l'abbé Hauser, leur chef spirituel de¬

puis 17 ans. On reconnaît sur notre photo les membres du Conseil parois¬

sial entourant prêtres, religieuses et quelques invités. (Photo FI)

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nom -c: jeunes

Des vedettes et des chansons

BELLE EPOQUE

Le groupe BELLE EPOQUE a son origine à Paris, en 1976, et débuta par la rencontre de la vocaliste composi- teur-interprète EVELYNE LENTON, avec deux chanteuses-danseuses noi¬

res.

Actuellement BELLE EPOQUE est fer¬

mement établi en tant que l'un des groupe Disco les plus prestigieux de la scène musicale.

Le groupe fut l'hôte de plusieurs shows TV internationaux très impor¬

tants et a reçu plusieurs disques d'or.

L'activité du groupe s'intensifie entre l'enregistrement de plusieurs chan¬

sons et des shows promotionnels où BELLE EPOQUE se présente dans différentes tournées avec beaucoup

de succès.

L'amour d'Evelyne pour la scène, le groupe est un des seuls groupes Disco capable de suivre sa propre ligne de show.

En 1979, BELLE EPOQUE présente

«Now» un album qui, pour la diversité de son style (disco, pop, rock, West coast) constitue une nouveauté abso¬

lue pour le groupe. Ces styles musi¬

caux, quoique différents sont parfai¬

tement amalgamés, grâce à la per¬

sonnalité et à la voix particulière d'Evelyne Lenton qui à cette occasion est capable de donner le meilleur d'elle-même.

Distribution: Disques-Office

Vedettes de chez nous:

Le groupe choral de rintyamon

Si on parle musique, chanson, d'emblée on pense disque, vedet¬

tes, radio, TV. Pourquoi ne pas se tourner, pour une fois, vers les groupes ou chorales qui abondent dans ce canton? Certes, ils se présentent sans imprésario, sans

«sono» ou tout autre artifice qui propulse d'habitude les artistes au firmament de la gloire, mais ils exercent aussi un art: le chant. S'ils n'ambitionnent pas le disque d'or,

ils contribuent néanmoins à l'ani¬

mation des soirées villageoises et offrent à la population de «bons moments».

Le samedi 5 mai, le concert annuel de la Chorale de l'Intyamon faisait salle comble à Albeuve. Préparées de longue date, les pièces exécu¬

tées sous l'experte baguette de Pierre Robadey relevaient du fol¬

klore, de la tradition, et formaient un programme vivant et coloré où le patois occupait une place de choix. Les œuvres commentées, avec toute la saveur du langage, par MM. Justin Michel et Michel Savary méritèrent amplement leur succès.

Le chœur de la police fribour- geoise apporta une note de grand large à la soirée avec ses chansons de marins, un genre toujours jovial qui crée sans peine l'ambiance d'une salle.

Et pour clore le programme, Jac¬

queline Vallélian, Anne et Pierre Lanthmann, André Castella, quatre acteurs du groupe de l'Intyamon, amusèrent les spectateurs avec une comédie en patois de Joseph Yerly, interprétée avec talent. Une soirée couleur locale, bien vivante et toujours sympathique!

M. Pz

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Gnlture et littérature

En marge d'un prix littéraire

La

devanture du

libraire

«La Sarine»: un livre qui se veut une évocation

«Ce n'est pas à moi qu'on a décerné un prix, mais au livre», explique modestement M. Eric Thilo, auteur de «La Sarine». Il aime à relever la collaboration qui lui fut indispensable pour la réalisation de son livre et donne, en quelques réponses, son point de vue sur l'ouvrage.

F.l. - M. Thilo, avez-vous éprouvé un coup de foudre pour la Sarine ou alors, y pensiez- vous depuis longtemps?

E.T. - Le sujet m'intéresse depuis longtemps, mais j'estimais qu'un ouvrage de cette veine devait trouver sa place dans une collec¬

tion. Un jour, tout par hasard, j'ai découvert dans le catalogue d'un éditeur soleurois un volume sur l'Aar et un autre sur la Reuss.

Après des contacts, cette maison a donné suite à mon désir et accepté de publier «La Sarine», à condition qu'il se trouve un éditeur d'expression française pour sa dif¬

fusion en Suisse romande, vu le bilinguisme de l'ouvrage.

F.l. - Les questions pratiques réglées, le livre paraît et vous remportez un prix. Quelle im¬

portance pour vous?

E.T. - Avant tout, je tiens à associer le traducteur allemand et le photographe à ce succès. Cer¬

tes, l'idée vient de moi, j'ai rédigé le texte français, mais il est d'abord le fruit d'une collaboration de qualité.

F.l. - Que ressentez-vous per¬

sonnellement?

E.T. - L'un de mes dadas était de prouver que la Sarine ne sépare pas mais unit, bien qu'elle symbo¬

lise la frontière des langues. J'ai voulu écrire un livre relatant l'en¬

tente et la paix, un livre très positif.

F.l. - Est-ce une œuvre d'histo¬

rien?

E.T. - Pas du tout, je me défends d'ailleurs d'une telle ambition. J'ai entrepris des recherches qui m'ont permis de citer des anecdotes, de créer la vie autour de la Sarine. Je ne suis pas un puits de science, je la filtre seulement.

F.l. - Pouvez-vous éclairer cette notion de «filtre»?

E.T. - Je ne suis pas un historien mais un de leurs clients. Je cher¬

che è raconter d'une façon plai¬

sante la vie des habitants, leurs ambitions, les astuces et prétextes dont ils usent pour arriver à leurs fins.

F.l. - Certains ne vous repro¬

chent-ils pas de ne pas citer vos sources?

E. T. - Voyez-vous, l'histoire des gens n'est pas faite de références;

elle est un fil qui se tisse çà et là, sur un coin de terre, au long d'une rivière, c'est de cela que j'ai voulu parler. Ce sont des faits connus de tous.

F.l. - Qu'attendez-vous de vos lecteurs, M. Thilo?

E.T. - Le plus important serait qu'ils reconnaissent le style éla¬

boré de ce livre. Qu'ils en décou¬

vrent le rythme, car un texte doit être bien rythmé. Pour moi, l'art de l'écriture est un art de l'oreille; le texte doit donc être doux à enten¬

dre. Réalisé pour le plaisir de l'écriture, ce livre est une évoca¬

tion.

Monique Pichonnaz

«Anthologie des lectures érotiques de Guillaume Apolinaire à Philippe Pé- tain»

de Jean-Jacques Pauvert

L'originalité de l'entreprise tient à ce que cette anthologie n'est pas un choix de textes fait par J.-J.

Pauvert selon sa propre définition de l'érotisme mais selon des cri¬

tères objectifs de «valeur d'usage», c'est-à-dire à partir de ce que les gens, les lecteurs ont considéré, à leur époque, comme des textes érotiques.

Ed. Jean-Claude Somoën.

«Les cinq girouettes (ou servitudes et souplesses de Son Altesse Sérénis- sime le Prince Archichan- celier de l'Empire Jean Jacques Régis de Camba- cères. Duc de Parme»

de Jean-Louis Bory

Ce Robespierre qui ne le fut pas assez pour laisser sa tête sur la guillotine, thermodorien, certes, mais pas trop, noble ne dédai¬

gnant pas de se laisser conduire par la «populace» quand celle-ci décide de prendre les rênes, bona¬

partiste mais pas au point de dégoûter la Restauration, homme, oui, mais enfin... a suscité la curiosité amusée et l'antipathie bénévole de J.-L. Bory. Vous voyez ce que cela peut donner?

Ramsey.

«Le carnaval de Romans»

d'Emmanuel le Roy Ladurie Historien de ce que l'on appelle «la nouvelle histoire», Jacques le Goff a publié un livre portant ce titre, recueil d'articles émanant d'histo¬

riens très connus et suivis pour leurs recherches. C'est en même temps une explication très claire et une passionnante introduction en la matière. Le Roy Ladurie nous restitue un moment fort agité de la petite ville de Romans en 1580. La question qui occupe ici l'historien est celle de savoir pourquoi tout à coup une telle violence se dé¬

chaîne dans une communauté ap¬

paremment très tranquille et ce que cette violence révèle de ten¬

sions souterraines qui parcourent la France entière.

Coll. Bibliothèque des Histoires Gallimard.

M. Pz

Défense du français Micro

D'un correspondant du Journal de Genève à Madère: «La végétation luxuriante, les m/cro-climats. l'ambiance d'éternel été...»

Le préfixe grec micro (petit) et toujours invariable.

Les mots formés avec lui ne prennent généralement pas de trait d'union (microampère, microanalyse, microbiologique, microclimat, microcosme, etc.).

sauf exceptions (micro-économie, micro-onde, micro-organisme).

Les mots de fantaisie prennent le trait d'union (exemple: ce n'est qu'une micro¬

station).

(19)

Gros plan sur le petit théâtre

de l'Arlequin à Fétigny

La culture et l'art ne sont pas seulement l'apanage des villes. De nombreux villages ont une longue tradition théâtrale. Si, dans l'un ou l'autre cas, une interruption peut se produire, certaines troupes connaissent un regain d'activité.

C'est un 1977 que le «Petit théâtre de l'Arlequin» de Fétigny s'affilie officiellement à l'association des théâtres amateurs. Sous l'initiative de Mme Aeby, il se fait une place au soleil et prouve que dynamisme et bonne ambiance permettent une constante progression. Formée d'une poignée d'acteurs au départ, la troupe compte aujourd'hui plus de 20 personnes, de tous milieux - apprentis, étudiants, écoliers -.

Selon la responsable, le seul pro¬

blème est la jeunesse de la société, car monter une pièce demande beaucoup de discipline et un nom¬

bre indéfini d'heures de travail, ce qui est exigeant lorsqu'on a 14, 16 ou 18 ans.

Cheville ouvrière de cette troupe, Mme Aeby n'est pas seulement l'initiatrice; de par sa formation dans ce domaine, elle s'occupe aussi de la mise en scène, des costumes, des décors, mais chaque spectacle reste un travail d'équipe où chacun met la main à la pâte afin d'atteindre le but fixé.

A Fétigny, on joue par intérêt et

pour le plaisir. Habituellement in¬

vité par une société pour animer une soirée, en mars dernier, le théâtre de l'Arlequin innovait en se produisant, de son propre chef, à Estavayer avec un atout sérieux au programme: un drame de William Thomy «Le Voile de Feu». Rare¬

ment jouée, cette pièce créée en 1947, revêt un caractère régional puisque l'intrigue se noue à Che- vroux. Ce genre est nouveau pour les acteurs de Fétigny qui, jusqu'à ce jour, jouaient Feydaux, Labiche ou Roussin. De ce dernier, on avait prévu de présenter «Lorsque l'en¬

fant paraît». Mais des personnes soucieuses de la moralité des villageois trouvèrent cette pièce trop osée. Alors, pour plaire à tout le monde, on conserve l'auteur et se décide pour «La Voyante». Ce souci de maintenir la bonne en¬

tente dans la région montre l'esprit de la troupe qui mérite bien le soutien que lui apportent les habi¬

tants. De toute évidence, lorsqu'on s'appelle «Arlequin», bouffon de l'ancienne comédie italienne, on est forcément popu¬

laire.

M. Pz

Maxime Baroncelli:

Plaidoyer pour une rue La Galerie des «Pas Perdus», à Bulle, présentait dernièrement une exposition revendicative. Ce jeune artiste de Savona, en Italie, mais établi à la Tour-de-Trême, présen¬

tait non seulement ses dessins du café du Musée voué à la démoli¬

tion, mais aussi toute la rue Tissot avec ses bâtiments 1900.

Sans attache particulière avec cette dernière, Baroncelli est néan¬

moins très touché par la dispari¬

tion de ces demeures «sans que personne ne lève le petit doigt»

aime-t-il à relever.

Cette exposition divisée en plu¬

sieurs volets offrait des dessins restituant, dans le moindre détail, les maisons en question puis une série de tableaux où se mêlaient fiction et réalité. L'ensemble se démantibule avec, en surimpres¬

sion, des personnages impassi¬

bles. L'artiste y a sciemment in¬

versé ou cassé toits, façades, murs, pour exprimer plus encore ce sentiment de destruction.

Aux murs, des textes de Cesa accentuaient l'aspect «plaidoyer»

de cette exposition.

M. Pz

Rencontre avec Irène Wyss-Villard

Subtilité, finesse, transparence dans les œuvres d'Irène Wyss- Villard exposées actuellement à

«l'Arcade». Des peintures, toutes dans le ton de la galerie: simplicité chaleureuse. Les pierres et la lu¬

mière s'allient pour mettre en valeur les tableaux.

Dans ses natures mortes, ses paysages, ses bouquets, elle joue avec les couleurs, les dégradés tout en finesse, du gris -qui de¬

vient même lumineux -, du beige, du jaune. Très féminine, cette peinture en a l'élégance et la profondeur qui compensent

peut-être une absence de recher¬

che, mais Irène Wyss-Villard est plus sensibilité qu'originalité.

Une artiste toute émotionnée lors du vernissage: «C'est comme si je passais un examen» dit-elle.

Professeur à l'école des Beaux- Arts de Genève, elle reste l'une des rares peintres de chevalet. Par beau temps, elle emporte pinceaux et couleurs dans la nature, par temps maussade, elle peint à la maison.

Elle aime faire ce qui lui plaît.

Fichtre pour la mode!

«J'aime l'huile, elle me permet une très large utilisation des couleurs comme de cerner le ton d'un objet, d'un paysage».

Elle pense bien avoir dépassé l'âge des modes et préfère se confiner dans un style qui lui convient et lui procure la joie intérieure.

Une exposition à ne pas manquer.

Jusqu'au 7 juillet, rue de la Samari¬

taine 34, à Fribourg.

M. Pz

Don du Crédit Suisse pour le nouveau musée d'art et d'histoire de Fribourg

Une manifestation toute empreinte de simplicité et animée par le quatuor à cordes du Conservatoire de Fribourg, a eu lieu récemment au Musée d'art et d'histoire, à l'occasion de la remise d'un don de 25 000 francs par le Crédit Suisse. C'est M. André Dela- loye, directeur de la succursale fri- bourgeoise, qui a eu l'honneur d'expli¬

quer le sens de ce geste et de remettre le chèque à M. Claude

Blancpain, président de la commis¬

sion de construction du nouveau musée. Ce dernier a, d'une manière tangible, remercié cette banque suisse pour son apport financier bien¬

venu. M. Blancpain a également an¬

noncé qu'une grande kermesse sera organisé l'an prochain sur l'emplace¬

ment même du nouveau musée, afin de recueillir les fonds manquants et nécessaires à cette réalisation.

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