• Aucun résultat trouvé

Prix du n u m é r o 10 centimes

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Prix du n u m é r o 10 centimes "

Copied!
6
0
0

Texte intégral

(1)

c / V4*tX*<^

, · • ·

L e s C o n s u l a t s s u i s s e s à l ' é t r a n g e r r e ç o i v e n t l e j o u r n a l . pa Douzième Année. — N

0

72.

Prix du n u m é r o 10 centimes

Jeudi 9 Septembre 1897.

Bureaux: Rue de la Serre, 58.

ABONNEMENTS

Un a n : Six mois:

Suisse . . . . Fr. 6»— Fr. 3»—

Union postale » 12»— » 6»—

Oa s'abonne a tous les bureaux de poste.

Paraissant le Jeudi et ie i-Fonds

ANNONSES

Provenant de la Suisse 20 et. la ligne

» de l'étranger 26 » » Minimum d'une annonce SO cent.

Les annonces se paient d'avance.

K i ' s m i i ' «le In S o c i é t é i i i t c r c a i i t o n a l e «les* i i u i t i M t r i o «lu J u r a , îles* C h a m b r e s d e c o m m e r c e , «le» B u r e a u x «le c o n t r ô l e e t «le.·* S y n d i c a t s * |>r<>l'eiawio»iiiieis.

La baisse de l'argent et le prix des montres

La baisse du mêlai argent est un phé- nomène dû à la trop grande production des mines, ce qui t'ait, que tant que ce métal sera plus demandé qu'offert, son prix ne se relèvera pas, à moins q u ' u n e entente entre les grands pays n'établisse un rapport fixe entre la valeur de l'or et celle de l'argent. Mais nous n'en sommes pas encore là.

Tout le monde sait cela. Les journaux spéciaux, industriels, financiers et même politiques donnent les lluclualions des cours et consacrent, de temps à autre, des articles où l'on proclame la déchéance linale ou le relèvement prochain du métal blanc, selon qu'ils émanent de partisans de l'étalon d'or ou d'apôtres du bi-mélallisme.

Les lluclualions des cours du métal argent cl surtout la baisse constante des dernières années, ont fini par exercer une certaine influence sur les comblions de la fabrication des articles où l'on uti- lise l'argent en plus ou moins grande proportion. Une bonne partie de notre production horlogère s'y trouve donc in- téressée. Mais disons-le tout de suite, nos circonstances intérieures ne nous per- mettent pas de traduire la baisse du métal des boites par une diminution quelconque du prix de vente de nos m o n t r e s : voici pourquoi.

Les années 1892, 1893, 189Ί et 1895.

ont été, au point de vue de l'exporta-

tion horlogère, des années médiocres.

Les acheteurs de notre horlogerie en ont profité, pour imposer, à nos fabricants, des baisses successives et des conditions de paiement telles que les bénéfices réa- lisés durant celte période, ont été abso- lument insuffisants et même nuls pour beaucoup de fabricants. Vwv telle situa- tion ne pouvait pas durer, sans mettre

en péril l'existence même d'un grand nombre de nos producteurs.

On sait combien il est difficile de re- lever les prix de vente.

1

NoUS disposons de tels moyens de production que, même dans les périodes de bonnes affaires, nous pouvons toujours, d'une façon gé- nérale, r é p o n d r e à temps aux demandes qui nous viennent de l'étranger. On peut donc dire, qu'en tout temps, la montre est un article plus offert que de- mandé. De là, pour les genres de grande consommation, que tout le monde peut facilement et rapidement produire, l'im- possibilité de relever les prix.

Les montres à boîtes d'argent repré- sentent, naturellement, l'article horloger qui a le plus souffert, dans les périodes de crises, de la concurrence par la baisse dans laquelle nos producteurs déploient l'ardeur que l'on sait, pour le plus grand avantage des grossistes étrangers qui les

«font aller» les uns par les autres.

C'en était fait de tout bénéfice sur la montre à boite d'argent, si la chute des cours de ce métal n'était venue, fort à propos, diminuer nos prix de revient.

Mais, qu'on le sache bien à l'étranger:

le bénéfice de fabrication résultant de la baisse de l'argent n'a pas, et loin de là, rétabli l'équilibre de notre bénéfice normal de vente et d'ailleurs, ce béné- fice n'est pas net.

E n effet, de récentes ordonnances du Bureau fédéral des matières d'or et d'ar- gent, ont accentué les exigences anté- rieures du titre des différentes parties de la boite argent et de ses appliques.

De plus, les décorateurs de boites ar- gent, durement frappés par la moins- value de leurs déchets, qui constituent la grosse partie de leur gain, se voient dans l'obligation de demander une aug- mentation des prix de façon de la dé- coration.

Il y a là, de quoi absorber la majeure partie du bénéfice de fabrication pro-

venant de la baisse du métal argent.

On ne vendra pas une montre de moins p o u r avoir maintenu les prix actuels. Et qui pourrait affirmer, en fa- brique, qu'il est en mesure de faire une concession quelconque, sans rendre son bénéfice illusoire ou n u l ?

Nous dirons plus. Tout fabricant de montres qui se laisserait prendre à l'ar- gument de la baisse de l'argent pour diminuer son prix de vente, manifeste- rait ainsi son intention de ne pas payer ses fournisseurs.

Pour tous ces motifs:

Nos fabricants doivent opposer u n é n e r g i q u e N O N à toutes les demandes de baisses que les grossistes sollicitent en vue de leurs achats de fin d'année.

Information

Les intéressés peuvent demander des renseignements sur la maison

W e i n m a n n , B r o s & C

le

ou W e i n m a n n & C

le

à P h i l a d e l p h i e

au Secrétariat général de la Chambre cantonale du Commerce, à la Chaux-de- F o n d s .

Contrôle russe des boîtes de montres et droits de douane

Contrairement à ce que prétend le

Journal de Genève dans son numéro du

1

er

courant, relevant une soi-disant er-

reur dans une lettre de renseignements

que lui a adressée le Bureau fédéral des

matières d'or et d'argent, nous pouvons

affirmer que, conformément aux tarifs

officiels, les droits de douane, comme

(2)

392 L A F E D E R A T I O N ' H O R L O G E R E S U I S S E a u s s i c e u x d e c o n t r ô l e p r é v u s a u n o u -

v e a u r è g l e m e n t r u s s e ( e n t r é e n v i g u e u r l e 1/13 j u i l l e t 189G), s o n t p a y a b l e s en or.

L e r o u b l e e s t d o n c à c o m p t e r à r a i s o n d e i f r a n c s . L e s b i l l e t s s o n t b i e n a d m i s , m a i s l'agio d o i t ê t r e p a y é p o u r l e s con- v e r t i r a u t a u x d e l'or.

(Communiqué.)

Assurances ouvrières

La Gazette de Lausanne a publié un grand nombre d'articles sur les projets de loi de M.

Forrer en matière d'assurances ouvrières. Il ne peut être question de passer ici en revue les nombreux arguments produits pour les combattre, non plus que de discuter la valeur de tous les renseignements empruntés aux sources les plus diverses. J e voudrais seule- ment montrer — par des chiffres et des faits d'une autorité indiscutable — la portée vraie des plus fréquentes critiques d'ordre écono- mique, adressées au principe de l'obligation à l'assurance contre l'incapacité de travail.

*

L'argument préféré des adversaires d'une obligation à l'assurance consiste à représenter la fréquence des accidents, en Allemagne, comme augmentant sans cesse et d'une ma- nière inquiétante depuis l'introduction dans ce pays des assurances ouvrières — et à cause d'elles.

Il faut observer avant tout que celte aug- mentation est surtout apparente. Les victimes d'accidents ayant maintenant intérêt à se faire connaître, la proportion (beaucoup plus con- sidérable qu'on ne le croit généralement) dos sinistres demeurés ignorés diminue. En d'au- tres termes, l'augmentation de fréquence des déclarations d'accidents résulteprincipaiement d'un perfectionnement continuel de la statis- tique. Le même phénomène s'est produit en Suisse de 1888 à 4 8 9 1 , durant un relevé trien- nal des accidents. En trois a n s , cette statisti- que a accusé, dans le nombre des sinistres, une augmentation de 62 pour cent, mais qui n'était évidemment qu'apparente, puisque les conditions économiques et industrielles n'a- vaient pas varié. Même phénomène encore dans la statistique suisse des chemins de fer:

de 1S86 à 1895, la fréquence des accidents subit une augmentation apparente de "211 pour cent par rapport à la période de 1876-1885.

Quant à l'augmentation réelle de la fré- quence des sinistres, elle n'est pas une consé- quence de l'assurance obligatoire contre l'in- capacité de travail. Elle constitue en effet un des dangers de toutes les assurances, obliga- toires ou libres, contre n'importe quel risque.

Il est évident qu'en garantissant à une per- sonne la réparation d'un dommage, on induit cette personne à être moins prudente ou mémo à provoquer le dommage. Cependant, cette considération n'a pas empêché d'adopter, par exemple dans le canton de Vaud, l'assurance obligatoire contre l'incendie (1), parce qu'on a jugé — comme on doit aussi le faire pour les assurances ouvrières — que la possibilité 'de quelques abus est mille fois compensée

par les bienfaits de l'institution pour la grande masse des assurés consciencieux et honnêtes.

Voici maintenant les résultats fournis par l'Allemagne. Tandis qu'on avait, en 1886,2.83 accidents dédommagés par mille assurés, celte fréquence atteint 4.05 en 1895 : mais en même (1) Une comparaison entre l'assurance obli- gatoire contre l'incendie et celle contre les maladies et les accidents est toute en faveur de cette dernière, ne fut-ce qu'au point de vue de l'urgence de l'assurance el par conséquent du bien fondé de son caractère obligatoire.

temps le nombre >de tous les accidents décla- rés, par rapport a mille assurés, est descendu de 24.0G, en 1886, à 16,74 en 1895. C'est donc d'une part une augmentation de fréquence de 43 pour cent en ch'x'ans, et de l'autre une di- minution de 30 pour cent. (2)

Si l'on lient ,compte des observations qui précédent, on reconnaîtra que ces résultats ne sont nullement inquiétants el ne justifient pas le rôle de croquemitaine auquel on les fait continuellement servir. Nous pourrions citer deux de nos meilleures compagnies actuelles d'assurances, qui éprouvent dans leurs assu- rances collectives ou de responsabilité contre les accidents — ' n o n plus 4,05 — mais bien 135,0 sinislres par mille assurés et par an !

Los adversaires de l'assurance éprouvent une vive appréhension du fait de l'augmenta- tion, en Allemagne, des dépenses et par con- séquent du taux des primes. Il est bon de les rassurer en examinant les causes véritables de l'augmentation des dépenses.

D'après le sy'eUme dit de « répartition » pratiqué en Allemagne, chaque exercice sup- porte les dépense.? faites durant son cours, c ' e s t - à - d i r e le coût des indemnités payées durant cet exercice, soit pour les accidents survenus au cours de l'exercice, soit pourceux des exercices qui l'ont précédé. 11 est dès lors évident que d'année en année, les dépenses de chaque exercice"^loiveril augmenter puisque le montant des charges léguées par les exer- cices antérieurs s'accroît. Cette augmentation ne peuteesser qu'après un certain nombre d'an- nées, soit dès le moment où les charges nouvel- les de chaque exercice seront compensées par d'égales extinctions de charges dérivant d'exercices antérieurs. Le système allemand n'est pas équitable, en ce qu'il favorise les premiers exercices qui suivent l'entrée en vi- gueur de la loi, 'au détriment des exercices ultérieurs. Aussi"Tje Ta.ppliquera-l-on pas, en Suisse. Les projets Forrer, en effet, disent que chaque exercice fournira les capitaux néces- saires au service IjIe toutes les indemnités — présentes ou à venir — résultantdes accidents survenus durant cet exercice. On aura ainsi dès le début une dépense plus forte mais qui, dès le début, sera normalement constante.

L'augmenta lion* des dépenses en Allemagne et durant les premières années n'a donc rien d'effrayant et d'anormal. Elle est à la base même du système de « répartition ». Aussi tous les Allemands qui ont quelque compré- hension de leur législation savent-ils que le taux des primes sjélèvera graduellement en- core de beaucoup! avant d'atteindre les taux constants, correspondant aux risques réels.

Cette augmentation, comme on vient de le voir, ne se produira pas en Suisse.

Il faut vraimemt bien peu savoir ce que coule ordinairement une assurance des ou- vriers contre les accidents pour taxer d'exor- bitant le taux de 9,64 pour mille de salaire, auquel on est a r r i j é actuellement en Allema- gne et pour s'alarmer à la perspective d'une élévation gfcaduclle à 10 pour mille. Ne sait- on pas que,'^pour assurer leur responsabilité civile (qui comprend uniquement des accidents professionnels), nos industriels paient aujour- d'hui à des sociétés privées des primes de 30, 50 et 70 pour mille des salaires?

L'application des projets Forrer exigera, pour l'assurance de tous les accidents, une (2) Ces chiffres, résultant des rapports de l'office allemand des assurances, ne sont na- turellement pas conformes à ceux indiqués par M. le porfesseur Dejace, à Liège, et qui sont reproduits par MM.. Yves Guyot el Droz.

Parlant de l'augmentation de fréquence des accidents, M. Dejace se base sur l'accroisse- ment du nombre absolu des sinistres en négligeant le fait que le nombre des assurés a parallèlement augmenté de 3 à 18 millions !

prime moyenne constante de 25 à 30 pour mille.

Les adversaires de l'assurance obligatoire représentent l'institution allemande des assu- rances ouvrières comme ayant fait fiasco. C'est là une affirmation d'autant plus facile que les avis peuvent varier à l'infini sur ce qu'il faut entendre par une réussite. On ne saurait en tous cas raisonnablement vouloir que les as- surances ouvrières aient la vertu d'une pa- nacée et résolvent d'un coup la question so- ciale.

Il nous suffit que les Allemands soient en général satisfaits du régime qu'ils se sont donné et nous en fournissent la preuve par le fait qu'ils étendent le régime dos assurances à des classes toujours plus nombreuses de personnes.

Croit-on vraiment que si les économistes allemands recommandent aux congrès inter- nationaux l'introduction des assurances ou- vrières dans d'autres pays que l'Allemagne, c'est pour amener ces pays à entraver leur industrie et à l'empêcher ainsi d'étouffer l'in- dustrie allemande? Ne sait-on pas que malgré la prétendue entrave de ses assurances ou- vrières, l'Allemagne évince de plus en plus ses concurrents — et particulièrement la France — des marchés du monde?

En matière de législation, le chauvinisme est doublement ridicule et myope. Nous n'a- vons pas taxé de serviles les pays qui se sont approprié notre législation sur la responsabi- lité civile et nous ne faisons pas non plus ce reproche à ceux qui s'apprêtent à introduire, avec vingt ans de relard, notre loi sur le tra- vail dans les fabriques.

Le principe des assurances ouvrières fera le tour du monde civilisé. Après l'Allemagne et l'Autriche, la Norvège, la Suède, l'Italie, la Hollande', la Russie, la Roumanie, la Fin- lande, etc., lui ont fait accueil ou se prépa- rent à l'introduire. En France, de nombreux projets se heurlenl au défaut d'une législation sur la responsabilité civile que nous possé- dons déjà depuis seize ans et à la toute puis- sance de compagnies privées qui croient leurs intérêts en péril. L'Angleterre elle-même, terre classique du « laisser-faire >i, vient d'in- troduire la responsabilité civile comme une étape conduisant à l'assurance.

En Suisse, le principe de l'assurance obli- gatoire a été approuvé par l'unanimité de la commission du Conseil national et par l'una- nimité de ce conseil. Il est accepté de nus mutualistes romands, qui voudraient même que l'obligation s'étendit à l'ensemble de lu population. Bien plus, il a été salué par 280,000 électeurs suisses lors de la revision constitutionnelle de 1890.

On doit donc regretter que, par un parti- pris qui de plus en plus éclatera à tous les yeux, on s'attarde en celte matière à des ar- guments cent fois réfutés par les documents authentiques.

Berne, 2 septembre.

Ernest GERESOLK.

M. Méline et le prix du blé

On lit dans Y Eclair :

«Et voilà le prix du blé qui remonte, contrai- rement aux assertions de M. Méline. Kn celte affaire, M. Méline n'a pas été bon prophète.

Il avait dit que c'était l'agitation entretenue par les journaux de Paris qui encourageait In spéculation, que les détenteurs de blé ne maintenaient les hauts prix que parce qu'ils escomptaient un abaissement^ des droits et qu'il suffirait que cet espoir s'évanouit pour que la cote s'abaissât. En fait, à peine la cam- pagne de presse avait-elle commencé que les prix sont descendus: à peine M. Méline avait- il l'ait connaître sa décision de maintenir ferme

(3)

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 393

le droit de 7 francs, qu'ils se sont relevés. Cc n'est donc pas la campagne de presse qui est

•cause de la hausse, ce serait plutôt son insuccès.

Le jeu de M. Méline est d'ailleurs facile à percer. Evidemment, ce n'est pas lui q u i a fait monter les prix : mais il ne saurait être fâché -C)Ue d'autres s'y soient employés à sa place et il ne fera rien pour amener la baisse c a r il a u n intérêt politique certain à maintenir les prix de disette le plus longtemps qu'il pourra.

Si la hausse dure, l'Agriculture qui est la cliente de M. Méline et qui lui rend largement

•en services électoraux ce qu'il lui donne sous la forme de protection douanière, l'Agricul- ture fera cette année, en dépit de l'insuffisance de la dernière récolte, ou plutôt en raison de cette insuffisance, des bénéfices exceptionnels.

Pour s'en rendre compte, il suffit de remar- quer que le rendement de 1897 n'est inférieur

•que de 10 à 15 °/° à celui de 1896, année moyenne, tandis que l'écart des prix est de beaucoup plus considérable et ira certainement au-delà de 30°/° si le gouvernement ne fait rien pour entraver la campagne de hausse.

Il résulte de là que si M. Méline, rien que p a r son abstention, en regardant couler l'eau pendant que les tripoteurs tripotent et que les populations ouvrières tirent la langue, par- vient à maintenir les prix a u x environs de 28 francs — ils dépassent présentement 29 — les paysans vendront leurs récoltes déficitaires

•de celte année beaucoup plus cher qu'ils n'ont vendu la récolte normale de l'an dernier. Ge dont ils ne manqueront pas de lui témoigner leur reconnaissance en lui envoyant la majo- rité parlementaire qu'il désire.

Il est vrai que les consommateurs de pain auront fait les frais de cette habile opération électorale et que le bénéfice du producteur de blé se soldera par un prélèvement sensible exercé sur le salaire des ouvriers de l'industrie.

Mais de cela, M. Méline ne parait avoir cure. C'est pourquoi,le prix du blé monte. »

"5

L U X

« I

Ο a.

UJ X

«·.»· S

«5 *> r2

> 'h

ιβ· T . ,«0

a P-

« ε

X c

fi, <>» J t I ; Qt

ta

χ eu

>-.

c

k "

D

—.

a

U c; fcc

β

'-

η c

>-,

CO

?

Î J 1 - m

^*

Qt

? "

--f 1 - y.

Ql

-><

c Ι ­

Ο O

c-:

rN I O O Oa Qt

m 0?

O iO -r.

Ql :Q Ql CO

^ T i X TQ Ql

ω a îf c "a c Es = ils = κ h

O U O . 2 '• 2

S ι 5 t e 1 fcc

S ι S

35 Ql O

IO

O O :o

ο IO

a —

C o t e d e l ' a r g e n t

du S Septembre ISQJ

Argent fin en grenailles. . fr. 9 7 . — le kilo.

Nouvelles diverses

C (O 3

C O O φ 3 C C O O

s.

CU H -

Cd

co

C σ­

ί α

a.

CO V TJ

E Φ φ CO

» CO

co -°

Φ (O Ό —

E -=

·α> ο

E Ξ

C C

•Φ Ό

J! — I * #

I = ίο §

·*, „ - * I - < ί O O O _ S Λ - * «31 ί ο Ι—

g = CO IO C O CO C N

•*" 1 CO CO

O « t . ς.

a -s

CO ο

φ -S

I - X GO

I ~ "- s

tu _ C5

S O Ι ξι

- O

O) -ο --Jl IO O 32 X LO ι Λ

—ι X 35 Oi ·*? X ΰ a οο

5 }

33 3 O

£ '2,

Oi O!

tu

C O

» ? ϊ S

CU X φ

ί X ο ι

O l X

X

O C •Ο ς)

33 •* O i

>ι ο ) co ο ) - O CO LO CO O

h . OO OO 3 ! O CO X ο) ο ) ^ n

1 I

•7) • - 3 5S

10 IO

O) co 3.

co

33 CO

33 -C O/ CO O l CO 10 35 :ο ιΟ 3.

CO CO

Nous prions ceux de nos abonnés de l'étranger qui n'ont pas encore payé l'abonnement de l'année 1897, de bien vouloir nous faire parvenir fr. 12 par mandat postal, par chè- que ou en timbres-poste.

L'administration du journal.

1 HOPELLE MONTRE 1 1 ! JOORS 1 PERFECTIONNÉE, GARANTIE. ™

6INDRAT-DELACHAfJI, fabricant, CHAUX-DE-FONDS, 72, RBe Léopold Robert, 11. CHRONOMÈTRES, QUANTIÈMES.

Spcmlilé:

Dessins pour Catalogues 'Echantlllonapes, d<\ Exécution exacte, soignée et bon marcha A. K r S m e r , S t u t t g a r t . ~{—

H. RLEINERT C", BIENNE

Aciers

Spécialité pour l'horlogerie

Fil d'acier en tringles pour arbres.

» » torches pour vis.

» » pieds, qualité super.

» cannelé pour pignons.

Acisrs en nanties pour taillagss et ressorts Î » pour boites de montres.

Aciers en barras et tôles pour tons asages.

Pièces forgées.

L a i t o n e t N i c k e l

en planches, bandes, rondelles, fils et tringles. 4065 Tubes laiton sans soudure.

Véritables MeGOBSameMlSS «Morse».

ÉCOLE D'HORLOGERIE

d e S O L E U R E

Cours complet théorique et pratique.

Cours spéciaux.

Enseignement dans les deux langues.

Entrée à toute époque. 4313

Excellente occasion d'apprenûre Ia lanpe allemande.

Fabrication de montres fantaisie de toutes variétés, en or, argent et acier i) à 12 lignes et montres!

carré ancre et cylindre 18 lignes

Albert Sémon

4410 S t - l m i e r .

F a b r i q u e d'Horlogerie

Spécialité de petites montres fantaisie en tous genres

L.

Rue Céard, 2 G E N È V E

Achatet vente d'articles c o u r a n t s 4304 genre allemand

TABLES DE CONVERSION

des

Douzièmes de lignes

en millimètres

et des \

Vis du système Whitworth

E n v e n t e à

l'Imprimerie artistipe R. HSFELI & C

K

,

C h a u x - d e - F o n d s .

Maison Jc la Banque Renttfr & Ck rut Léopold Rohert. 10.

D é p ô t c h e z :

IYI"e A. E. M a t t h e y , lîbrnrrie papeterie:

P r i x 0 . 3 0 e e i U . l'ei. pris au bnrean'.

Expédition au dehors contre envoi préalable et franco de 0.20 et. par e\..

(Mi timbres-poste, pins 10 centimes ρυνιϊ·

affranchissement, ijiiel qu'en soit le nombre demandé.

Horlogerie en tous genres

HENBI BESSII

Rue du Progrès, 61

C l i s t H X - i l c - F o i u I f · · U i "

O

'3

-(D Ά

de m o n t r e s g a r a n t i e s r e ­ m o n t o i r s à v u e g e n r e s a n g l a i s a r g e n t Ο,'.Κΐΰ d e 13 à 1 5 Hg.

d e m o n t r e s a c i e r s i m p l e s et f a n t a i s i e s d e 10 à 1 3 ' " . P r i x a v a n t a g e u x

Nous a c h e t o n s au comptant

l e s m o n t r e s g e n r e s a n g l a i s à clef et R e m o n t o i r m é t a l a r g e n t e t e n o r e t p r i o n s d e n o u s r e - m e t tre d e s o i r r e s s o u s ,,Londres"

a u b u r e a u d u j o u r n a l .

P a i e m e n t p a r c h è q u e s u r l a

S u i s s e . ΊΛ29

au comptant

de montres aig-nt et mé- tal, genres anglais. 4195 Fritz Kundert, 73 HallRoad,

Handsworth, Birmingham.

TRAPPE DE BOITESOEMONTRES ',-POINÇONS EN TOUS GENRES

f ^ i Î Î M à i c p i e é S é l T à f c r i t j u e 'ENREGISTREMENTAU BUREAU FEDERAL

MEDHLLES JNSIGNE S JETONS

Avis aux fabricants

P a r des nouvelles installations faites dernièrement, et par un grand personnel, je puis livrer à messieurs les fabricants, des oxi- dages de boites a c i e r , couleur bleu noir brillant, bonne qualité solide et garantie, à des prix très bon marché, toute concurrence impossible, ainsi que l'oxidage noir mat. garanti et bienfait à des prix excessivement bon marché.

Sjidresser à l'atelier d'oxidage (Soleure). 4373

(4)

394 LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

ERIViOD FRÈRES, S TE -CROIX

Maison fondée en 1816. — 16 Médailles d'or, etc.

B O I T E S A M U S I Q U E e n t o u s g e n r e s

D e r n i è r e s C r é a t i o n s

Lft STELLft

Pièce à musique à disques métal, simplement perforés sans aucune goupille ni renllement, par conséquent inusables. — Harmonie, puissance et

précision musicale hors ligne.

l'AUTO-CLOii!

(illustré ci-contre)

Automate à musique d'un comique irrésistible, cligne des y e u x , lève les épaules et applaudit ; joue un nombre d air illimité.

Prompt amortissement par le pro-

duit des recettes. 4480

Prix-courant illustré sur demande.

MERMOD FRÈRES, S le -Croix

OUVEAUTE

E N H O R L O G E R I E

reconnue sérieuseYar son utilité, solidité, élégance et bienfacture est la boite imperméable à vis de F . B o r g e l à G e n è v e .

L'application heureuse du système de visser le mouvement dans sa boîte a pour effet non seulement de supprimer les charnières, mais d'assurer la solidité et l'imperméabilité, etc. — Une preuve sérieuse des avantages décrits ci-dessus est la fabrication constante de cette boite toujours plus demandée pour tous les pays. S e f a b r i q u e s p é - c i a l e m e n t p a r l ' i n v e n t e u r b r e v e t é F . B o r g e l à G e n è v e . Au- c u n e a u t r e f a b r i q u e d e b o î t e s n ' e s t a u t o r i s é e d e la f a b r i - c a t i o n d e c e t t e n o u v e a u t é . —

Cette boite à vis se livre à tous les fabricants d'horlogerie qui en font la demande, en or, argent, acier et plaqué or tous titres, en toutes grandeurs et tous genres de mouvements. Un emboîtage spé- cial est fait pour ceux à mise à l'heure par la couronne.

S e m é f i e r d e s i m i t a t i o n s . Exiger dans toutes les boites la

marque de fabrique déposée et numéros des brevets. 4385

•se-β

déposie

B r e v e t é

# IV -SOOi

CR. S 5 1 , R u e du Nord L A CHAUX-DE-FONDS

Médaille d'argent à l'Exposition nationale suisse. Genève 1896

F A B R I Q U E DE B O I T E S OB g

en tout genre et à tous titres

S p é c i a l i t é d e B o î t e s f a n t a i s i e e t B o î t e s b i j o u x g

Modèles déposés Sj Dernière nouveauté : Boite or 11 et 118A lignes, lépine

grand guichet et savonnette avec peinture façon émail, incassable et inaltérable au frottement, dessins corrects, reproductions fidèles d'œuvres d'art, couleurs à volonté, grand choix de sujets divers, prix avantageux.

Spéeiaiité de genres anglais avec lunettes sans joints. 4455 Fabrication de tout modèle d'après croquis ou sur description.

A vendre

S e l l e m a e u l a t u r e à 2δ cts. le kilo.

à la ,,Fédération Horlogère".

Avis aux fabricants d'horlogerie

U n b i j o u t i e r d a n s u n e b o n n e s i t u a t i o n , é t a b l i d a n s u n e d e s p r i n c i p a l e s villes d e la S u i s s e , d é s i r e r a i t la v e n t e d e la m o n t r e o r et a r g e n t e n d é t a i l , d ' u n e s e u l e et s é r i e u s e

m a i s o n . 4476 Offres s o u s chiffre R 4 2 2 5 Q à

H a a s e n s t e i n & V o g - l e r à B â l e .

Directeur.

I m p o r t a n t e f a b r i q u e d e m o n t r e s e n g a g e r a d i r e c t e u r p o u r l a p a r t i e t e c h n i q u e . P e r s o n n e t r è s c a p a b l e , é n e r g i q u e , c o n n a i s s a n t l a f a b r i c a t i o n à f o n d , s e c r é e r a b e l l e p o s i t i o n .

' A d r e s s e r l e s o f i r e s s o u s c h i f f r e s G . 6 1 9 5 J . à l ' a g e n c e d e p u b l i c i t é H a a s e n s t e i n & V o g l e r , S t - ï m i e r .

D i s c r é t i o n a b s o l u e a s s u r é e . 4482

Oxydages de Boites acier en BRILLANT-NOIR

extra soigne l e pEus n o i r c o n n u a ce jour; garanti e x t r a s o l i d e

O x y d a g e s e n B r i l l a n t s b l e u - c i e l et b l e u - n o i r soignés.

» e n d e m i - b r i l l a n t ou m a t - n o i r soignés.

» en m a t b o n c o u r a n t .

» en b r u n - o h o c o l a t ou m a r r o n . 404*3- Fournisseur des premières maisons d'horlogerie de la Suisse.

S o l i d i t é al>*olue g-nrftntic E x é c u t i o n t r è s r a p i d e i ' r i x t r è s m o d é r é e

Atelier mécanique Force motrice.

E u g è n e G a b y l o n e

LiYSS ( B e r n e )

<£& J b J b J b J b J b J b J b J b J b J b J b J b J b . S b J b J b J b J b J b -

«W W W W W W W W W W W W W W W W W W W W 8 :

w Société suisse pour la construction

J b

2 ^ d e l o c o m o t i v e s e t d e m a c h i n e s à W i n t e r t h o u r j P

% M O T E U R S - A T P É T R O L E ^

J b S b ' W Kâb MP J b W

• j b

: w

W J b

Construction verticale de 1 à 6 « ^ chevaux ; construction horizon- J g

taie de 1 à 33 chevaux.

Emploi de pétrole ordinaire, coûtant 6 à 8cts. par cheval et par heure.

Plus de 000 moteurs à pétrole avec J &

environ 3500 chevaux en service. W M O T E U R S A G A Z Ά Machines i Tapeur fixes et demi-ta i £

Chaudières à vapeur '; j '

Exposition nationale suisse. Génère 189B w

M é d a i l l e d ' o r 4068 W JbJbJbJbJbJbJCtJb JbJbJbJbJbJb JbJbJbJb JbJbJS. Ji.

W W W W W W W W W W W W W W W W W W W W W W I m p r i m e r i e d e la F é d é r a t i o n h o r l o g è r e s u i s s e ( R , Haefeli & O ) , C h a u x - d e - F o n d s .

(5)

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 395

A. B U T I K O F E R

ST-BLAISE (Neuchâtel)

Manufacture de montres pour tons pays

4002 Remontoirs et à clefs

Spécialité pour l'Angleterre et ses colonies Usine à vapeur = Marques déposées

Production 100 montres par jour.

ABRIQUE D'HORLOGERIE

NOUVEAUTÉS FANTAIgIE

Adr-esseTélegraphtqUe t \ R | MEUNIER - BIENNÉ ^ ® ' J β=)'

1T E I J E P H O N E :

—ψ—*>

10,

Prix-Cours iits et Mirais

i l l u s t r é s p o u r Γ H O R L O G E R I E

et les branches similaires.

S'Suw d e SOOO c l i c l i c s de montres, pendules, réveils, fournitures, boites à musique, bijouterie, optique,

etc.

à disposition. — Traductions

Imprimerie Artistique R . H A B F S L I & C

l e

Rue LropolJ Robert, 10 C H Â U X - D E - F O N D S Maison de la Banque Rcutter & Cie.

Fabrique de Galonnés et Plaqués pour Innettes

MATHEY, BIENNE

Successeur de MARTHALER. MATHEY & Co 4269

Pendants, Couronnes et Anneaux

e n t o u s g e n r e s

Téléphone Qualités soignées. Bienfacture garantie. Téléphone

^|^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ A ^ * ^ ^t^ f 4 ^ « ^ ^ M » t t M t t « t t T * f t t i t t t t t g

. ^ t * Maison de la Banque Rentier A C"

* ji&+ 1 0' R u e L é° P o l d R o b e r t , 10

*****

d ' I m p r e s s i o n s ^ ™

pour l'Industrie

CHAÏÏX-DE-FOHDS

et le Commerce de l'Horlogerie

Impressions i l'encre à copier. — Traductions.

Installation des plus moderne

A L B S H S , P R I X - C O U R A N T S

T É L É P H O N E

— Reliure. — Clicherie -i—

^ΗΗΗ*^μψ^ΗΗ^Η^;ΗΗΗΗΗΗΗΗΗ^ΗΗν»^Ην^ΗΨ^ΗΗΗ*^*»

EMAILLERIE et PEINTURE .·•• -« **" sur Boites de montres

IWAiSON T . A. FAIVRET

C I 1 A U X - D E . F O I V D S E M A I L F A Ç O N N I E L sur Iioiles métal estampées, guichets

Ateliers outilles pour la grande série Force motrice Λ3Ί0 TÉLÉPHONE

B U R E A U

ιNTERNATipNALDE^

OTn^LflNVENTIONj

îMÈR-SCHNEIDER

;,caj e. îù rjl y t - fè,rj ρ flç'd oraftôà fsCÛïi nopriiiie.'iriilu.s^r?.

J. M8BIHâr3f RueC - ale

Spécialité de Montres S et 10 lig.

or, urgent et acier mat et polies, joaillerie, peinture, etc.

P r i x m o d é r é s 3932

•* P A Vi D fi M Q " caI'touchcs eu tous ο U M U n M I™ w genres, à bosses breveté 7 Fabrique de cadrans argent et métal

jj LQUiS JEANNEPtET, Ghaux-de-Fonds

g 4171 1Sf Rue de la Ilalance, ί

PO A R T I C L K B R B V B T B - f 1 \ O 2 i

Fabrication de montres argent galonné

12 c l I S l i g . , c y l i n d r e e l a n c r e , m o n t r e s 12 l i g . a c i e r bleu et b r u n .

E, Sagne-Ge'iser

Sonvillier (Suisse). 4071

au comptant

de Remontoirs argent 12 et '18 lignes, genre le meilleur

marché. 44(33 S'adresser au bureau du

journal sous chiffres V . V .

15,000 KIL DE TABAC

P o u r c a u s e d e r e c o n s t r u c t i o n , p r i x d e l i q u i d a t i o n 10 k i l o s tjabac a m é r i c . c o u p é fin.

fr, 4 . 1 0 et 4 . 9 0 ; 10 k . s o r t e s f i n e s , fr.'O.SO ejt 7 . 6 0 ; 10 k i l . s o r t e s ex- t r a f i n e s fr. 9 . 2 0 e l 1 0 . 6 0 . C h a q u e a c h e t e u r ! r e c e v r a en o u t r e g r a t i s 100 c i g a r e s et u n e pipe d e v a l e u r .

.!. YVïitiiv<'a·. Boswyl (Arg.) et A . AViniseei-, au Bon Marché.

(II. 4031Q.)' Rapperswyl. ViTO

ON D

u n fo-t lqt 18 l i g . a r g . g a l o n n é , c y l . , c u v . m é t a l o u a r g e n t , t r è s b o n m a r c h é m a i s n o n d é m o d é , c o n t r e a r g e n t c o m p t a n t . 4 4 7 5

Beyer, Balmhofstrasse, Zurich

H o r l o g e r i e e n s r o s .

Fabrique d'Horlogerie

SrT SONVILLIER

Id.

G e n r e s a n g l a i s 1 3 à 1 8 ' "

r e m o n t o i r à VBe Et tattle 16 à 2 0 l i g n e s à clef.

Métal, a c i e r et a r g e n t . G e n r e s a l l e m a n d s 1 3 à 1 8 ' "

r e m o n t o i r a v u e , a r g e n t g a l o n n é ,

m é t a l et a c i e r . 4 0 4 7 T o u s l e s a u t r e s g e n r e s s u r d e -

m a n d e . A r t i c l e s r é g u l i e r s , q u a l i t é g a r a n t i e , p r i x m o d é r é s .

On demande s

à a c h e t e r u n b a l a n c i e r p o u r b o î t e s m é t a l . S ' a d r e s s e r a u b u r e a u d u j o u r n a l s o u s chiffres P . F .

QUI fournit d e s m o n t r e s 16 e t 1 8 l i g n e s cylindre 8 r u b i s , b o î t e s lentille a r g e n t e t b o î t e s a r g e n t f e s t o n n é e s ?

A d r e s s e r offres e t p r i x J F G p o s t e r e s t a n t e 4478 à B i e n n e .

Henri Julien

Horlogerie en p s 4479 Amsterdam (Hollande)

s e r a à « l ' H ô t e l C e n t r a l » à l a G h a u x - d e - F o n d s d u 13 j u s q u ' a u 17 s e p t e m b r e . A c h è t e r a m o n t r e s o r , a r g e n t et m ê l a i b o n m a r c h é .

M o d è l e s n o u v e a u x

livrais par retonr flnoonrrier:

M o d è l e A ( 3 c a r t o n s à l a p a g e ) N0 1. — P a p i e r fin fort, oOO p a g e s , r e l i u r e s o i g n é e , t o u t e toile n o i r e , g a r n i e d e p a r c h e m i n , é t i q u e t t e s p e a u r o u g e , d o r é e s , r e n f o n c é e s . . . F r . 1 9 . — N0 2. — P a p i e r fin mi-fort, ô'OO p a g e s , b o n n e r e l i u r e , t o u t e toile, éti- q u e t t e s p a p i e r . F r . 1 5 . — M o d è l e B (6 c a r t o n s à l a p a g e ) N° 3. — P a p i e r registre, ù'Ofl p a g e s , re- l i u r e s o i g n é e , t o u t e toile n o i r e , g a r n i e d e p a r c h e m i n , é t i q u e t - t e s p e a u r o u g e , d o r é e s , r e n - f o n c é e s . . . . F r . 2 5 . — N0 4 — P a p i e r lin mi-fort, 300 p a g e s , b o n n e r e l i u r e , t o u t e toile, é t i - q u e t t e s p a p i e r . F r . 2 1 . — Feuilles spécimens à disposition.

2 % d ' e s c o m p t e a u c o m p t a n t .

Pour les envols an dehors : Fort en sns

S e r e c o m m a n d e n t

à l'imprimerie artistitine R. HAEFELI & C^

C b a u x - d e - F o n d s JhiMPii de la !!nuque Reutler & C", nie Ltopold Robert, 10

(6)

HENRI JEANNIN-ROSSELET, FLEURIER

% F a b r i q u e d'Horlogerie '

par procédés mécaniques, syst. i n t e r c h a n g e a b l e

S p é c i a l i t é s : G e n r e a n g l a i s 3/t p l a t , clef e t r e m o n - t o i r a n c r e e t c y l . , sd e a u c e n t r e e t l é p i n e d e 1 5 à 2 2 l i g n e s ,

14 e t 24 l i g n e s c h i n o i s e clef. W 0 3 C e s g e n r e s s e l i v r e n t e n b o i t e a r g e n t e t m é t a l , a c i e r , e t c .

«Si.

W

M.

FABRIQUE D'HORLOGERIE .",;:

LOUIS JAQUET *

GENÈVE 1, Entrepôt, 1 GENÈVE ' ^

% Spécialité de petites montres ancre

P r i x t r è s m o d é r é s 4358 JggS E x p o s i t i o n n a t i o n a l e MUIMSC, G e n è v e 1 8 9 6

Médaille d'argent

BgHaaaa^gaHBEBaBEaBBBBtHaBBBBBHiaro!

60MPTOIR T H . ECKEL

J . J . L A U L Y

F O N D É E N 1 8 B 8

Renseignements commerciaux, Adresses, Contentieux et Recouvrements

BALE - B R U X E L L E S - LYON - S

T

- L O U I S

Recommandé à difiérentes reprises par le Ministre dn Commerce en France

Relations avec tous les pays du Monde

Universellement apprécié par son excellente organisation, ses grandes relations et son travail loyal et consciencieux.

= = T a r i f f r a n c o s u r d e m a n d e = = = 4005

Fabrique de Cadrans en Email, paillonnés et sous fondant

J. WYSS FILS, CHAUX-DE-FONDS

S p é c i a l i t é d e f o n d s d e b o i t e s f a n t a i s i e s r i c h e m e n t p a i l l o n n é s . E m a i l l a g e p o u r h o r l o g e r i e e t b i j o u t e r i e s u r o r , a r g e n t e t m é t a l . A r t i c l e s b r e v e t é s e t m o d è l e s d é p o s é s .

Produits de bon goût, dernières nouveautés.

Médaille et Diplôme à l'Exposition universelle de Chicago 1 8 93 -

Médaille d'argent à l'Exposition nationale, Genève 1896.

F A B R I Q U E , , E X A C T

ARTHUR DIDISHEIM & Go Montres or, argent, acier, nickel en tous genres O

O

3 3

H · » Kal,riquc à C h a u x - d e - F o n d s (Suisse) Rue LéopolJ Robert, 60 (B Fabrique à Morteau (Doubs) OD Succursale à Paris, 30, Rue d'Hauteville, 30

*" r V A P T 1 ' Qualité

O Spécialité: La montre à Ancre r . X u f i j | ~l | , : i 1

4259

SCHWOB FRÈRES

CHAUX-DE-FONDS

Assortiment complet en :

Chronographes

Compteurs et

Rattrapantes

ÉCOLE D'HORLOGERIE ET DE MÉCANIQUE

C H A U X - D E - F O N D S ( S u i s s e )

Apprentissage d'horlogerie complet: trois a n s . Apprentissage d'horlogerie pour spécialités. Apprentissage pour mécaniciens : trois ans. Classe spéciale de fabrication horlogère par procédés mécaniques perfectionnés. Cours théoriques, dessins techniques.

Classe de rhabillage.

B u r e a u officiel d ' o b s e r v a t i o n d e s m o n t r e s 1076 avec bulletin au cachet communal.

S'atlreftster a u D i r e c t e u r . ύΐβ.*ϊ&<9ΐί.ι9&·8β.^β^ΐί··!β.ώ£ιαίίιύί.!Α|^β„8βρ^βιύΐ&·$Ε.·3β·^βϋ9βιβίβ·ύβ»!Ιβ·

W W W W W V ^ P W W W W W W ^ . ^ . ^ r W W W W W W ' ï i É r

•sa. «se

I Société d'Horlogerie de Granges (Suisse) g

E . O b r e e l i t , successeur

«« FABRIQUE DE FINISSAGES

•8g» à clef et remontoirs de i l à 23'" dans tous les genres w Spécialités pour l'Angleterre, l'Amérique et les Colonies w Remontoirs et pièces à clef et à cercle.

J§§! 4-223 demi-calotte et calotte pleine

•Sien n o t e r l*aclrcMHe.

w •se.

w

«9&.ί^ν^^,4^.*«..9«.«*β.«3&4β..5β>Κ|.$ί.·*β·4Ι!·4ι . _«se..si,.!ifc,«s«.«se

Schônenberger & C ie

Z u r i c h I . EXPORTATION EN GROS M e t r o p o l

S p é c i a l i t é s pour MM. les fabricants d'horlogerie en : C h a î n e s nickel, métal blanc, doublé américain et parisien. — C h a î n e s d ' o r à c h a r n i è r e s avec titre garanti à "/ooo. O r à 8, 14 et 18 k a r a t s . — B i j o u t e r i e en tous genres. Broches en acier pour montres, etc. — B o î t e s d e m o n t r e s e n c e l l u l o ï d n° 6992. — Etiquettes, cartonnage,

et étuis pour montres et bijouterie. 4434 E c h a n t i l l o n * ) e t m o d è l e * η dlejMMrihl Ion.

Important!

Nouveauté!

Une très jolie Nouveauté

article pratique

breveté en Suisse et à l'étranger

Combinaison de bijouterie et d'horlogerie est prêt à lancer.

Les maisons suisses et étrangères qui s'intéressent aux articles nouveaux,

sont priées de demander des détails au Casier postal 440, Bienne

NB. — Les maisons suisses sont priées d'in-

diquer pour quels pays elles t r a v a i l l e n t . «72

Références

Documents relatifs

Si l'on considère les chiffres des boites contrôlées dans les bureaux de la Chaux- de-Fonds, où la crise sévirait, d'après cer- taines affirmations, avec une intensité plus

faire un apprentissage de sept années. Pendant cette période, il n'est pas payé. Le fabricant-bijoutier a toujours plusieurs apprentis qui vivent en commun à sa table où à la

Par contre les patrons, se basant sur ce (pie la convention a été conclue pour une durée illimitée — ce qui, dans leur idée, signilie simplement qu'elle n'a pas besoin

10 centimes la ligne. Los annonces se paient d'avance. Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats

10 centimes la ligne. Les annonces se paient d'avance. Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats

Certaines maisons de commerce et même des offices chargés de la délivrance des cartes de légitimation pour voyageurs de commerce estiment que les maisons de commerce suisses sont

Les forcer des ressorts sont calibrées au cen- tième de millimètre par tous les fabricants sé- rieux. aucune difficulté à celte substitution: que les fabricants de tours à pivoter

O n peut déduire de celle déci- sion que les fabricants d'horlogerie sont prêts à appuyer la Fédération ouvrière dans les efforls que celle-ci l'ail pour relever les prix de