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Prix du n u m é r o 10 centimes.

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L e s C o n s u l a t s s u i s s e s à l ' é t r a n g e r r e ç o i v e n t le j o u r n a l .

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Treizième Année.— N

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14.

Prix du n u m é r o 10 centimes.

Dimanche 20 Février 1898.

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Orgrnne d e In Société i i i t e r c a n t o n n l e d e » I n d u s t r i e s d u J u r a , d e s C h a m b r e * d e c o m m e r c e , de» B u r e a u x d e c o n t r ô l e e t d o s S y n d i c a t s p r o f e s s i o n n e l s .

Le commerce et l'industrie Suisse et le rachat

On sait q u e M. Cramér-Frey, prési- dent de l'Union suisse du commerce et de l'industrie, est partisan du rachat des chemins de 1er par la Confédération et qu'il l'ait campagne dans ce sens, en vue de la votation du 20 lévrier courant.

Il y a quelque temps, le Vorort de l'Union suisse, réuni à Zurich, avait pris une résolution en laveur du rachat, mais sans consulter ses n o m b r e u s e s sec- tions, ce qui a été considéré comme n'étant pas très régulier.

Comme l'altitude de M. Cramer-Frey et du Yorort de l'Union suisse passait p o u r élre celle du commerce et de l'in- dustrie de la Suisse entière, un certain n o m b r e d'intéressés ont provoqué, à Ollen, le 10 février, une grande réunion dans laquelle a été décidé de lancer l'appel suivant.

* *

Lu loi du It) octobre 1897 sur le rachat des chemins de fer, loin de garantir la réduction des tarifs actuels de transport, ne nous assure même pas contre leur élévation: la proposi- tion d'inscrire celte garantie dans la loi était motivée par la crainte de voir l'administration future recourir à ce moyen de faire face aux déficits que pourrait laisser l'exploitation : elle a été repoussée énergi<|uemcnt: «Attendons de savoir ce que les chemins de fer nous couleront, n-t-il été dit, et voyons d'abord les résultats des premières années de l'exploita- tion par l'Etat; ce n'est qu'alors que nous pourrons songer a l'abaissement des tarifs. » Le même refus a été opposé à une demande tendant à une garantie semblable au point de vue des horaires !

Ces appréhensions sur le côté financier de l'opération, appréhensions qui contrastent singulièrement avec l'assurance optimiste du message du Conseil fédéral, seront probable- ment un obstacle pendant bien des années à l'unification des tarifs, l'un des principaux motifs invoqués en faveur du rachat.

Lo loi sur le rachat nssure-l-elIe une exploi- tation conforme aux intérêts commerciaux?

Nous devons répondre: Non !

L'on sait que le Conseil fédéral n'a guère nommé comme administrateurs des chemins de fer, en vertu de la loi de 1895 sur le droit de vote des actionnaires, que des hommes politiques, et la promesse vague d'une repré- sentation équitable de l'agriculture, du com- merce et de l'industrie n'est pas suffisante à cet égard. L'Union suisse du commerce et de l'industrie l'a. en tout cas, jugée insuffisante, puisqu'elle a vainement demandé qu'une dis- position de la loi délègue, dans le Conseil d'administration des chemins (Je fer, des hom- mes de confiance du commerde et de l'indus- trie. - **

La loi sur le rachat ne nous donne aucune garantie que les contestations entre les parti- culiers et l'administration des chemins de fer seront examinées et liquidées rapidement et impartialement. Actuellement, la Confédéra- tion exerce le contrôle et la haute surveillance sur l'administration et l'exploitation des che- mins de fer. Après le rachat, où irons-nous porter nos réclamations? L'administration sera elle-même Juge et partie, sans qu'il γ ait au-dessus d'elle une autorité de surveil- lance neutre et impartiale.

D'autre part, le rachat des chemins de fer suisses, sur la base de la loi du 15 octobre 1897. imposerait au peuple suisse une dette dont nul ne peut indiquer aujourd'hui le mon- tant exact, mais qui dépassera, en tout cas, la somme de un milliard et qui atteindra très probablement le chiffre de un milliard deux cents millions.

Personne ne sait à quelles conditions la Confédération pourra contracter cet em- prunt colossal, mais il est certain que, dans

les mauvaises années comme dans les bonnes, elle devra payer pour cet énorme capital, dont une très grosse partie devra être fournie par l'étranger, un intérêt qui, même en admettant le taux le plus favorable de 3 \* °/o, se mon- tera à 4° millions environ.

Est-il bon que la Suisse contracte vis-à-vis de l'étranger une dette aussi considérable, alors qu'il faut prévoir que pendant de longues années, non seulement il ne sera pas possible d'en amortir la moindre partie, mais que, se- lon toutes les probabilités, il faudra émettre de nouveaux emprunts pour les travaux de parachèvement, à moins d'augmenter les prix de transport ou de faire des économies au détriment des voyageurs et du trafic ?

Il parait certain que lu situation économi- que de la Suisse souffrira gravement de la création de cette dette, qui risque de compro-

mettre notre crédit national et d'entraîner le pays sur la pente dangereuse qui conduit les petits Etats à la perte de leur indépendance après la ruine de leurs affaires économiques.

Que deviendront nos affaires, notre crédit, dans des temps de crises? Et comment relève- rons-nous notre situation économique, quand nous aurons épuisé toutes nos ressources na- tionales pour le service d'une dette contractée a la légère, sans nécessité, sans utilité même pour notre pays.

Dans l'intérêt du commerce et de l'industrie de notre pays et de notre crédit national,' au nom de la prospérité, de l'indépendance éco- nomique de la Suisse, nous vous engageons à rejeter la loi qui vous est présentée en votant non le 20 février.

(Suivent 131 signatures de toutes les parties de la Suisse).

Chambre bernoise du commerce et de l'industrie

Le Conseil d'Etat a n o m m é secrétaire de la Chambre cantonale d u commerce et de l'industrie M. Emile Huegli, r é - dacteur au Bimd, et adjoint, M. Albert Chopard, secrétaire d u Syndical des fa- bricants d'horlogerie, à Bienne. L'ad- joint résidera à Bienne.

—m»

Information

Les intéressés peuvent demander d e s renseignements s u r la maison»

J o h n A l b i n

successeur de S . G o l d s t o n e H i g h S t r e e t — M a n c h e s t e r au Secrétariat général de la Chambre cantonale du Commerce, à la Chaux-de- F o n d s .

Le secret de l'avenir D r a m e e n q u a t r e a c t e s Il y a trente a n s , Victor D u r u y , l'his- torien des Romains et des Grecs, alors ministre de l'instruction publique, p r é -

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80 L A F É D É R A T I O N H O R L O G E B E SUISSE

sidail à Lyon l'assemblée générale de la Société lyonnaise pour l'enseignement professionnel. Fervent p r o m o t e u r du

progrès social, attaché de loul son cœur à la cause du peuple laborieux, habitué à regarder l'histoire, non en simple spectateur érudit et curieux, mais en h o m m e d'action qui demande au passé des leçons pour le présent et l'avenir, il compara, dans son discours, l'histoire du travail à un grand drame, indiquant lui-même l'objet de chacun des actes.

L'unité de temps n'existe pas dans ce drame, car il commence avec l'humanité et ne finira qu'avec elle : il n'y faut pas chercher davantage l'unité de lieu, car l'action dramatique se poursuit sur toute la surface du monde habité. Les formes si variées de la condition des travailleurs remplissent en effet le temps et l'espace : elles se succèdent sur le même point, par une lente évolution, dans une longue durée de siècles et, d'autre part, elles existent toutes à la fois, à l'heure ac- tuelle, dans les diverses régions du globe, s'adaplant au degré de barbarie ou de civilisation des peuples.

Suivons avec Victor D n r u y le plan sommaire du drame.

Quels sont les personnages? tout le m o n d e les connaît. Autour d'individua- lités puissantes, se meuvent des masses profondes, des chœurs immenses dont on entend les plaintes ou les chants de triomphe. Depuis les temps les plus reculés, les noms des principaux ac-

teurs remplissent les annales séculaires on sont enregistrées, en ce qui concerne le travail, les souffrances, les erreurs et les espérances des hommes.

Où la scène se passe-l-elle? Partout, on peut le dire : sur terre et sur mer, sur la montagne, dans la plaine et au fond des mines, dans toute ville ou vil- lage d'autrefois ou d'aujourd'hui, et dans toute campagne des deux m o n d e s où une créature humaine a travaillé ja- dis ou travaille en ce moment.

J e me bornerai donc à donner le sujet des trois actes déjà joués et rejoués, il y a des siècles, devant tous les habi- tants de l'univers.

ACTE PHHMIKU

Le premier acte, nous dit l'historien, montre «Le travail à coup d'étrivières de l'esclavage antique. » Ce litre fait penser à la femme esclave dont parle Homère qui tournait la meule dans la maison d'Ulysse pour faire le pain des prétendants. Epuisée de fatigue, « car elle était très faible », dit le texte, elle pousse vers Jupiter un cri d'angoisse et de malédiction.

ACTE SECOND

« C'est le travail forcé du serf au moyen-âge. » Dès la fin du Xm e siècle le Roman de itou fait parler ainsi les serfs de leurs maîtres :

Pourquoi nous laisser faire dommage '.

Nous sommes hommes comme ils sont : Des membres avons comme ils ont:

Et tout autant grands cœurs avons:

Et tout autant souffrir pouvons.

ACTE TROISIÈME

« Le travail salarié des temps mo- dernes. » Quand la toile se lève pour ce troisième acte, le travailleur, émancipé, affranchi, n'est plus une tète de bétail qu'on mène au marché p o u r la vendre au cours du j o u r ; il n'est plus attaché à la glèbe ; il peut aller et venir, rester libre et seul ou. s'il le préfère, se réunir

«à d'autres p o u r la défense des intérêts communs : ainsi se forment des Syn- dicats, des Trade-Unions et des ligues p o u r combattre les patrons coalisés, eux aussi. C'est le conflit à l'étal permanent.

Q u e les travailleurs soient isolés ou groupés, la location de leurs bras, de leur intelligence et de leur volonté reste soumise à la loi économique de l'offre et de la demande comme l'esl toute force industrielle utilisable, vivante ou inani- mée. L'ouvrier vient offrir ses bras sur la place où l'on embauche, demandant très cher, trop cher peut-être s'il est à peu près seul devant plusieurs patrons, et se donnant au contraire au rabais pour un morceau de pain si d'autres bras se tendent en grand nombre pour trouver un preneur.

Ce troisième acte n'a pas paru à Vic- tor D u r u y pouvoir être le dernier, car il a parlé 'aussitôt d'un autre dénouement, d'un quatrième acle qui finirait mieux Ia pièce.

ACTK QUATRIÈME

<f Devons-nous, a-l-il dit, attendre un quatrième acte, le travail librement as- socié au capital et l'harmonie établie entre les trois grands agents de la pro- duction : l'intelligence, le capital et le salaire, enfin associés ou confondus sous les mille formes que celte associa- tion p e u t recevoir de la libre et loyale adhésion des contractants? C'esl le se- cret de l'avenir. »

Il ne faul jamais oublier, quand on parle de ces questions brûlantes, la transformation graduelle et presque in- sensible souvent qui s'opère dans les esprits au sujet de la justice et de l'é- quité, comme pour bien d'autres ques- tions. Dans l'antiquité, au moyen-âge, et dans l'Amérique esclavagiste, peu de maîtres doutaient de leurs droits sur les esclaves et les serfs. Leur conviction était forte et leur conscience tranquille.

De nos j o u r s , de savants hommes et d'excellents patrons voient de très bonne foi dans le salaire p u r et simple, fixé par l'implacable loi de l'offre et de la d e m a n d e , le dernier mot de la science sociale.

En face de celle opinion, une autre s'est produite, émise autrefois par beau- coup de penseurs et acceptée maintenant par la coopération internationale tout entière. La rémunération du travail est

placée sous l'égide d'une idée de jus- tice exprimée par la vieille devise : « à chacun suivant ses œuvres », d'où il suit (pie l'intelligence dirigeante et l'es- prit d'entreprise doivent être largemenl payés comme ils le méritent, et en même lemps, que tout autre travail doit être apprécié d'après sa valeur vraie, dans la proportion du service qu'il rend à l'œuvre commune, et non à vil prix parce qu'il y a sur la place une surabon- dance de bras à louer. Les associations coopératives industrielles ont donc dé- sormais pour règle de considérer les auxiliaires louant leurs bras, aussi bien que l'associé qui apporte à la fois son travail et son petit capital, comme des collaborateurs ayant droit à des rému- nérations, salaire ou participation aux bénéfices, proportionnelles au concours donné par chacun à l'œuvre c o m m u n e . Comment cl quand s'opérera libre- ment cl paciliquement dans Ie vasle do- maine des associations comme ailleurs ce profond changement?

J e répète, après Victor Duruy : « C'est le secret de l'avenir. »

ClIARLKS U o i œ i t T . (L'Emancipation.)

Expulsion d'un journaliste suisse

On a signalé l'expulsion de Paris d'un, jour- naliste bàlois. Voici comment le Jiasler Naçhrichten apprécie cet acte inqualifiable, dans le numéro du 17 février:

Comme nous l'avons dit il y ο quelques jours, notre correspondant a élé expulsé par le gouvernement de la république française.

On lui a accordé six jours pour mettre ses affaires en ordre. Il a donc quitté aujourd'hui le sol hospitalier de Ia France.

L'ordre d'expulsion, signé par le ministre de l'intérieur, M. Léon Barthou, est devant nous. Evidemment Ia sûreté de la grande ré- publique française était menacée au plus haut degré par la plume de notre correspondant, car, sur le document qui le chasse du pays, on peut lire :

« Considérant que la présence de l'étranger sus désigné sur le territoire français est de nature à compromettre la sûreté publique, i!

lui est enjoint de sortir du territoire français.»

Notre correspondant ne s'était pas cru aussi important ni aussi dangereux, et comme il nous écrit après avoir reçu l'ordre d'expulsion, il a élé deux fois, le 8 et le '.) février, à la suite de l'intervention de plusieurs députés et séna- teurs, au ministère de l'intérieur, ilais là on lui fit savoir qu'en réalité on n'avait pas d'hostilité contre sa personne, mais que la situation générale exigeait une action énergi- que.

Et celte action énergique du gouvernement français dans l'affaire Dreyfus-Ksterha/.y-Zola s'est manifestée par l'expulsion du correspon- dant des Jiasler Xachriclilen.

On a même et d'une manière aimable avoué au ministère de l'intérieur au modeste jour- naliste que jusqu'à présent on avait été pres- que trop bète envers les correspondants des journaux étrangers et pour on fournir la preuve, M. Léon Barthou a déclaré à notre correspondant, qu'il voulait faire un exemple en sa personne.

Comme le gouvernement français n'ose pas montrer la porte au correspondant d'un jour- nal allemand, on a choisi comme boue émis- saire le journal suisse qui, dans l'affaire

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L A F E D E R A T I O N H O R L O G E R E S U I S S E 81

Dreyfus, a soutenu le plus énergiquement la cause du droit et de la justice. Du reste, nous n'en voulons pas plus au gouvernement fran- çais que nous ne rendons responsable la n a - tion française de la manière dont est conduite l'affaire Dreyfus, mais nous tenons cependant à constater que le seul et unique acte d'éner- gie de ce gouvernement a consisté dons l'ex- pulsion de notre correspondant.

Le mouvement agraire en Hongrie

Un correspondant de la Gazette de Co- logne lui donne des renseignements sur l'ori- gine du mouvement socialiste agraire qui vient d'éclater en Hongrie.

Au début, dit-il, le mouvement ne semblait pas devoir prendre de l'importance. Il ne s'a- gissait que d'un certain nombre d'ouvriers de compagne socialistes, excités par les chefs so- cialistes de Pest, qui ne font du reste pas honneur à leur parti. La plupart de ces chefs sont juifs, et comme le soulèvement était di- rigé en première ligne centre les g r a n d s pro- priétaires de la haute noblesse catholique, on aurait pu croire qu'il s'agissait d'une sorte de revanche contre l'agitation antisémite.

Mais depuis lors les choses ont complète- ment changé la tournure. Aujourd'hui ce ne sont plus seulement les ouvriers de campagne qui se soulèvent, ce sont en première ligne

les petits propriétaires paysans réduits à la besace dans plusieurs régions. Et la cause première de cet étal de choses est la mauvaise politique économique suivie depuis trente ans.

politique qui consistait à faire peser sur la propriété foncière presque toutes les charges du luxueux Etat magyare, tandis que l'indus-

trie était ortificiellement entretenue et favori- sée au détriment de l'agriculture. La crise

agricole et les mauvaises récoltes ont aggravé cette situation.

Une autre cause de ce malaise, c'est la mauvaise administration, et, en première li- gne, l'asservissement inouï des communes, que les obergespans et les présidents, habi- tués à. l'arbitraire, écrasent sous une série d'impôts successifs sans que le pays en retire aucun avantage. C'est ce qui a ruiné dans plus d'une région les petits propriétaires.

M. Rohonczy, député gouvernemental, a reconnu lui-même dans un récent discours que dans le Banat, c'est-à-dire dans la partie la plus riche du pays, il y avait des proprié- taires paysans auxquels, par suite de ces im- pôts, il ne restait pas même de quoi fournir à leur entrelien, et qui se voient forcés de tra- vailler pour d'autres à la journée.

On comprend que, dans ces circonstances, le mouvement ait pris un caractère commu- niste et réclame un nouveau partage des pro- priétés. Les socialistes, e u x , attisent simple- ment le feu. Il n'y a pour le gouvernement qu'un remède sérieux, c'est une réforme de l'administration et des impôts.

Bibliographie

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