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Annalen der Physik ;T. XIV, n° 10; 1904

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(1)

HAL Id: jpa-00241029

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241029

Submitted on 1 Jan 1905

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Annalen der Physik ;T. XIV, n° 10; 1904

M. Lamotte

To cite this version:

M. Lamotte. Annalen der Physik ;T. XIV, n° 10; 1904. J. Phys. Theor. Appl., 1905, 4 (1), pp.516-532.

�10.1051/jphystap:019050040051601�. �jpa-00241029�

(2)

tion très simple au fond, ne comporte pas de plus amples dévelop- pements et, quant à moi, je regarde la discussion comme close.

---

ANNALEN DER PHYSIK ;

T. XIV, 10; 1904.

H. ZAHN. 2013 Ueber die galvanomagnetischen und thermomagnetischen Effekte

in verschiedenen Metallen (Effets galvanomagnétiques et thermomagnétiques

dans quelques métaux). - P. 886-935.

Les quatre effets galvanomagnétiques et thermomagnétiques trans-

versaux existent non seulement dans le bismuth et l’antimoine, mais

aussi dans le nickel, le fer et le cobalt et, pour certains d’entre eux,

on a pu mesurer le coefficient de température entre 1~-3~°.

Dans le charbon, on a trouvé seulement l’effet galvanomagnétique ;

dans le cuivre, seulement l’effet thermomagnétique.

D’après les résultats variables obtenus avec des bismuths de pro-

venance différente, il semble que des traces de substances étrangères, trop faibles pour être décelées par l’analyse chimique, influent d’une manière notable sur ces effets. Cette influence ne se fait pas sentir

sur les autres métaux.

L’expérience confirme la théorie de Drude, quant à l’ordre de

grandeur des coefficients, mais non quant à leur valeur numé- rique.

lBtl. LAlB10TTE.

M. TOEPLER. - Zur Kenntniss der negativen Streifenentladung (Contribution à l’étude de la décharge négative

en

auréole).

-

P. 962-972.

Cette forme de décharge se produit sur les cathodes d’une certaine

étendue, notamment sur les cathodes sphériques.

Si on construit les caractéristiques, c’est-à-dire des courbes dont les abscisses sont proportionnelles aux distances des électrodes et les ordonnées aux différences de potentiel, on trouve que :

I,es caractéristiques relatives à des cathodes de dimensions diffé- rentes se coupent ;

L’intensité du courant de décharge dépend, pour une même diffé-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019050040051601

(3)

517

rence de potentiel, des dimensions de la cathode, si celle-ci est sphé- rique ; l’intensité croît d’abord avec le rayon de la sphère et atteint

un maximum ;

A chaque différence de potentiel correspond une intensité maximum déterminée.

On peut expliquer ces phénomènes en supposant que le nombre de véhicules électriques disponibles dans chaque élément de volume est proportionnel à l’excès du champ électrique régnant dans cet élé-

ment sur une valeur limite inférieure.

M. LAMOT1’E.

F. ttODSOB*. - Resonanz versuche liber das Verhaiten eines einfachen Kohàrers

(Propriétés d’un cohéreur simple : expériences de résonance).

-

P. 9’i3-99~.

Un cohéreur à un seul contact se comporte comme un conducteur

ou comme une capacité finie selon les circonstances. Il joue le rôle

d’un conducteur quand la résistance initiale est inférieure à 1000 ohms,

sa résistance réduite à 1 ohm et que les ondes ont une longueur supé- rieure à 40 mètres. Il joue le rôle de capacité finie, quand sa résis-

tance réduite est plus grande que 10 ou 15 ohms.

Un cohéreur à contacts multiplés se comporte comme un conduc-

teur quand sa résistance réduite est de 1 ohm par chaque contact.

La résonance est beaucoup moins nette quand la résistance finale du cohéreur est grande, moins nette aussi quand le circuit du cohé-

reur est ouvert.

M. LAMOTTE..

K.-R. JOHNSON. - ZurNernst Planck’schen Theorie über die Potentialdifferenz zwischen verdrinnten Lôsungen (Différence de potentiel entre des dissolutions étendues d’après la théorie de Nernst et Planck).

-

P. 995-1030.

Planck avait calculé cette différence de potentiel en supposant que tous les ions ont la même valence ; l’auteur étudie le cas ces va-

lences sont différentes.

M. LA1i01’TF.

I. de Pltys., 4e série, t. 1‘’. (.luillet 1903.,~ 35

(4)

L. HER,.NlANil; et M. C.ILDEMEISTER. - Weitere Versuche iuber elektrische Wellen in Systemen

von

hoher Kapazitàt und Selbstinduction (Suite des expériences

sur

les ondes électriques dans les systèmes de grande capacité et de grande self- induction).

-

P. 1031-1035.

Comme dans les précédentes expériences, la vitesse de propa-

gation croît lorsque la force électromotrice devient très grande.

M. LAMOTTE.

A. HEYDWEILLER. - Zur Théorie der magnetoelastischen Wechselbeziehung (Sur la théorie des relations réciproques entre l’élasticité et le magnétisme.

Réponse à

-

P. 1036-1038.

MAX ABRAHAM. - Kritik der Erwiderung des Hrn. W. Wi en

~Critique de la réponse de Wien). - P. 1039-1040.

D’après M. Abraham, le théorème de Poynting (sur le rayonne- ment de l’énergie électromagnétique) n’est pas applicable à une sur-

face en mouvement.

M. LAMOTTE.

T. XV, ~190~.

A.-A. ROOB. - Beitrage

sur

Theorie des Zeemaneffektes (Contribution

à la théorie du phénomène de Zeeman). - P. 107-146.

Étude mathématique du phénomène de Zeeman, prenant comme point de départ la théorie des électrons.

W. HEBHLER. 2013 Fluiditât und Leitfahigkeitseiniger konzentrierter ivàsseriger Salzlosungen unter 0° (Viscosité et conductibilité des solutions concentrées des sels dans l’eau au-dessous de 0°).

-

P. 157-174.

Ces solutions de chlorure et d’iodure de potassium, de sulfo-

cyanure et d’acétate de potassium, de mélanges d’azotate de potassium

et de sulfocyanure d’ammonium, d’azotate d’ammonium et de sulfo- cyanure de potassium ~ de chlorure de calcium, avaient une concen-

tration de 30 0/0. La dernière a été étudiée jusqu’à

-

3~°, les autres

jusqu’à

-

210.

Les courbes représentant la fluidité et la conductibilité en fonction

(5)

519 de la température semblent converger vers un même point de l’axe

des abscisses, et la position de ce point coïncide sensiblement avec

celle qu’on déduit des formules empiriques proposées. Exception

doit être faite pour les mélanges d’iodure de potassium et d’acétate

de sodium.

M. LAMOTTE.

A. WINKELNIANN et A. STRAUBEL. 2013 Ueber die Einwirkung der RÕntgenstrahlen

auf Flusspat (Action des rayons de Rôntgen

sur

la fluorine).

-

P. 174-178.

Radeboldt (Inaug. Diss. Rostock, 1903) a obtenu des résultats qui

différent de ceux qu’ont signalés les auteurs dans leur premier tra-

vail. Ils ont répété ces expériences et étudié la nature des rayons émis par la fluorine en leur faisant traverser des verres de nature diverse, qui laissent passer, les uns les rayons visibles, les autres aussi les

rayons ultra-violets. Ces nouvelles expériences ont confirmé les premières : la plupart des rayons émis par la fluorine appartiennent

à l’ultra-violet et présentent un maximum d’intensité vers 280 M. LA1ZOTTE.

A. HEYDWEILLER. - Zur Bestimmung der Selbstindnktion

von

Drahtspulen (Sur la détermination de la self-induction des bobines). - P. 179-183.

Le dispositif comprend un commutateur tournant avec un comp- teur de tours, ou un interrupteur quelconque, pourvu que sa fréquence

soit régulière et mesurable; un ampèremètre sensible à courant con-

tinu sans self-induction, une batterie d’accumulateurs et une résis- tance sans self-induction égale à la résistance de la bobine.

La méthode consiste à déterminer le retard apporté à l’établisse- ment du courant par la self-induction; on y parvient en mesurant

l’intensité du courant quand le commutateur est immobile, quand il

tourne et que la bobine, puis la résistance sans induction, sont en circuit, et, d’autre part, la fréquence des interruptions. Les équations

des courants variables permettent ensuite de calculer la self-induc- tion cherchée.

1~~I. LARIOTTE.

(6)

G. HIIISTEDT et G. L’eber die Bilclung

von

Helium

aus

der Radium- émanations (Formation d’hélium par l’émanation du radium). - P. 184-192.

Dans un tube renfermant du bromure de radium, sur lequel on a

fait le vide plusieurs fois, même au rouge, l’analyse spectrale décèle

la présence de l’hélium, au bout d’un temps plus ou moins long.

M. LAMOTTE.

v. ROTHNItXD et A. LESSING. - Yersuche lnit elektrolytischen Wellendetektor

(Expériences

avec

le détecteur d’ondes électrolytique).

-

P. 193-213.

Une pointe de platine servant d’électrode dans un voltamètre à

eau acidulée se comporte comme un cohéreur. Quand la différence, de potentiel atteint 4 volts, l’effet ne se produit que si la pointe est

anode au-dessous de cette limite; il est indifférent qu’elle soit anode

ou cathode. L’expérience réussit d’ailleurs avec d’autres électrolytes

et d’autres métaux que le platine.

Si la pointe de platine forme le pôle d’une pile, les ondes élec-

triques provoquent une augmentation du courant et de la force élec- tromotrice.

La sensibilité est d’autant plus grande que la pointe se polarise plus facilement.

L’explication la plus probable, c’est que les ondes favorisent la

dépolarisation.

1VI. LAMOTTE.

E.-G. BAUSENWEIN. - Aenderung des Peltiereffektes mit der Temperatur 1’ariation de l’effet Peltier

avec

la température. - P. 213-224.

Les courbes qui représentent le pouvoir thermoélectrique des couples Fe-Cu, Fe-Ag paraissent présenter un point d’inflexion

vers î00°,

Les courbes qui représentent l’effet Peltier ont une forme parabo- lique q dans leur première ortion : p p l’effet s’annule avec d5, d 1 confor-

mément à la théorie de Thomson, et prend ensuite des valeurs

n égatives.

dE

D’après les nombres donnés jusqu’ici, dE a la méme valeur absolue

(7)

521 à 20° et 570° (soit à 293° et 843° dans l’échelle thermodynamique);

les effets Peltier à ces deux températures devraient être à peu près

dans le rapport de 13; et on trouve que ce rapport n’est que 1 : f ~/2.

1B1. LAMOTTE.

T. XV, 12: 1904.

G.-E. LEITHAUSER. - Ueber den Gesch"-indigkeitsi>erlust welchen die Katho- denstrahlen beirn Durchgang durch dünne Metallschichten erleiden und über die Ausmessung magnetischer Spektren (Perte de vitesse subie par les rayons

cathodiques

en

traversant des feuilles de métal mince, et

mesure

de spectres magnétiques). - P. 283-306 (1).

Un faisceau de rayons cathodiques homogènes, en traversant une

feuille d’aluminium battu, devient hétérogène ; il s’étale sous l’ac-

tion du champ magnétique, en même temps que la déviation aug- mente. Il a donc subi une perte de vitesse. On peut se faire une idée de la grandeur relative de cette perte dans les diverses parties

du faisceau, en étudiant l’intensité de la fluorescence provoquée

par ce faisceau sur un écran de sulfure de calcium. Cette intensité est d’abord à peu près proportionnelle à celle du courant, pour un

potentiel de décharge constant, puis croît un peu plus lentement. A in- tensité de courant égale, l’éclat de la fluorescence augmente d’abord plus vite que la différence de potentiel de décharge, puis à peu près proportionnellement à cette différence, et enfin croît moins vite.

S’appuyant sur ces résultats, on peut déterminer la répartition du

courant dans le spectre magnétique du faisceau qui a traversé la feuille d’aluminium.

Si la différence de potentiel est telle que les rayons soient peu

pénétrants, le maximum de densité du courant est déplacé du côté

des vitesses plus faibles; cette densité est très petite pour les grandes

vitesses.

La répartition de la densité varie, d’autre part, avec la différence de

potentiel de décharge ; le maximum de densité se rapproche des

rayons de vitesse maximum.

Si on fait varier l’épaisseur de la feuille de métal, on retrouve les

mêmes courbes de répartition, mais pour des valeurs différentes du

potentiel.

LAMOTTE.

(l) Cf. SElTZ, J. cle P hys., 4" série, t. 1, p. 26? ; 1.902.

(8)

OTTO BERG. - Zur Messung der absorptionelektrischer Wellen (Mesure de l’absorption des ondes électriques). - P. 307-328.

Les ondes sont envoyées simultanément dans deux circuits secon-

daires, formés de fils parallèles. Sur l’un de ces circuits, les fils tra-

versent une cuve renfermant le liquide dont on mesure l’absorption.

A l’extrémité des circuits sont disposés deux éléments thermoélec-

triques qui permettent de déterminer le rapport des intensités des ondes dans les deux circuits. A cet effet, les deux éléments sont montés en opposition, et on mesure par une méthode de compensa- tion la différence de leurs forces électromotrices : d’où on déduit l’ab-

sorption.

M. LAMOTTE.

il. FEUSSNER. - Zur Berechnung der Stromstârke in netzfôrmigen Leitern (Calcul de l’intensité du courant dans les réseaux de conducteurs). - P. 3&5-394.

Procédé algébrique pour calculer les déterminants qui figurent

dans l’expression de l’intensité.

M. L

M. LAMOTTE.

A. SCHMIDT. - BVerte der erdmagnetische Elemente

zu

Potsdam für die Jahre 1902 und 1903 (Valeurs des éléments magnétiques terrestres à Potsdam

en

1902 et 1903).

-

P. 395-400.

~

M. LAMOTTE.

B. WALTER. - Ueber die Erzeugung sehr hoher Spannunger durch Wechselstrom

(Production de tensions très élevées

avec

le courant alternatif).

-

P. 40’7-~~2.

D’après l’auteur, les bobines d’induction ayant un grand nombre

de spires ont l’avantage de donner leur longueur d’étincelle maxi-

mum pour une intensité primaire moindre.

(9)

523 On peut faire fonctionner un tube de Crookes dans de bonnes conditions avec un courant alternatif simple, en mettant en dérivation

sur le tube une soupape électrique, pointe et plaque, Il faut en outre

mettre en série avec cette soupape une très grande résistauce, eau dis- tillée, par exemple; autrement l’air, fortement ionisé par l’étincelle,

laisse passer le courant dans la soupape aussi bien dans les deux

sens.

M.

s

LA11IOTTE

s

A. HEYDU’EILLER. -- Ueber die Villarische Wirkung beim Nickel

(Sur l’effet Villari dans le nickel. Réponse à MM. Ilonda et Shimizu).

-

P. 415-41 S.

L’auteur maintient l’existence de l’effet Villari dans le nickel.

M. LAMOTTE.

R. GANS. - Zur weiten Heydweillerschen Kritik meiner Formeln betreffend a

«

Magnetostriktion ferromagnetischer Kôrper ») (Réponse à la deuxième cri-

tique de M. Heydweiller

au

sujet de

mes

formules relatives à la magnétostric-

tion des corps paramagnétiques). - P. 418-422.

M. LAMOTTE.

P. LENARD. - Ueber sekundare Kathodenstrahlung in gasfôrmigen und festen Korper (Rayonnement cathodique secondaire dans les corps gazeux et les corps solides).

-

P. 485-509 (1).

L’écran fluorescent est placé parallèlement à la direction des rayons primaires. Le diaphragme D, la gaine H et la toile métal-

lique E restent toujours au potentiel du sol, de sorte que le poten-

tiel négatif de l’électrode irradiée U définit la vitesse des rayons

primaires de E en D.

Dans le vide, l’écran m est porté à un potentiel de 2000, 3000

ou 4000 volts. Pour U =0, on observe sur le bord de l’écran le plus rapproché du diaphragme une tache fluorescente l un peu allongée,

assez brillante et à contours assez nets. Si on porte le potentiel U de

0 à 70 volts, cette tache pâlit peu à peu et, en même temps, il appa- raît en son milieu une tache plus petite, p, qui finit par devenir très brillante. Quand U =100 volts, la tache 1 disparaît, et il ne reste plus

(1) Cf. J. de Phys., 3e série, t. IV, p. ~53 ; 1895 et 4e s., t. lII, p. 48 et 453 ; i90!.

(10)

que la tache p. A mesure que U augmente, cette tache p s’agrandit, prend une forme elliptique et s’éloigne du bord de l’écran. Quand U

atteint 1000 volts, une nouvelle tache s, très pâle, apparaît dans la position se trouvait d’abord l.

Si l’écran 4) n’est pas électrisé, il est impossible d’obtenir les taches 1 et s ; on peut seulement observer la tache p en faisant

dévier les rayons primaires par un champ magnétique.

Il faut conclure de ces observations que p est la tache produite par les rayons primaires, qui sont attirés par l’écran électrisé, d’autant plus attirés et par suite plus concentrés que leurvitesse est moindre.

Les taches et s proviennent de rayons très lents : l est produit par les rayons cathodiques émis par la toile métallique E sous l’in-

fluence des rayons violets. Quant à la tache s, il faut l’attribuer au

rayonnement secondaire dans les traces de vapeur qui restent dans

le tube.

D’après la forme et la grandeur des taches 1 et on doit admettre que les rayons lents convergent en un point situé entre D et + et divergent ensuite.

La présence d’un gaz en quantité appréciable provoque quelques

modifications des phénomènes.

La tache .s est beaucoup plus brillante et est visible déjà pour des vitesses de rayons primaires beaucoup moindres. La tache /,, au contraire, est plus pâle que dans le vide : elle ne provient donc pas de rayons secondaires, elle pâlit de plus en plus et finit par dispa-

raître quand la pression du gaz augmente, parce que les rayons qui

la suscitent sont de plus en plus absorbés.

L’éclat de la tache s aug mente d’abord quand la vitesse des rayons primaires augmente, puis diminue. L’émission secondaire dans le gaz passe ainsi par un maximum pour une certaine valeur de la vitesse primaire, valeur lui n’est pas très grande.

Ce résultat n’est pas en désaccord avec les précédents, obtenus

dans des conditions expérimentales différentes où l’absorption des

rayons primaires par le gaz se faisait sentir davantage.

corps solides.

-

Si on place sur le trajet des rayons primaires une petite lame de cuivre, on voit apparaître sur l’écran fluorescent une

nouvelle tache. Cette tache disparaît quand le potentiel U est

réduit à zéro ; elle n’est pas due par conséquent à des rayons ultra- violets venant rencontrer la lame, ou à l’action du champ électrique

entre la lame et l’écran. Elle ne provient pas non plus d’une

(11)

525 réflexion des rayons primaires, car elle disparaît quand le potentiel P

de l’écran est nul. D’ailleurs, on ne constate jamais de réflexion

régulière de ces rayons.

.

La disparition de la tache quand P

=

0 prouve que les rayons

qui la produisent sont très lents ; la manière dont ils sont influencés par un champ électrique ou un champ magnétique confirme cette

manière de voir.

En résumé, ce rayonnement secondaire montre une analogie par- faite avec l’émission actino-électrique.

L’intensité de ce rayonnement (évaluée d’après l’éclat de fluo-

rescence) augmente d’abord avec la vitesse des rayons primaires rapidement (de U

=

100 à U

=

500 volts), puis plus lentement (jusqu’à U

=

10001, reste à peu près constante (de U

==

1000 à

11 == 2000), puis décroît, en sorte que, pour U

=

4000, la fluores-

cence est beaucoup moins vive que pour U = 2000 ou 1000 volts.

L’émission paraît d’ailleurs être la même, que la surface du cuivre soit nue ou recouverte de la matière phosphorescente.

-

Dans le cas du platine, la vitesse des rayons primaires qui donne

le maximum d’émission secondaire est voisine de 400 volts.

Les vitesses initiales des rayons secondaires sont très peu supé-

rieures à celles des rayons dus à l’action actino-électrique ; il en est

de même pour les rayons secondaires des gaz.

L’angle d’incidence des rayons primaires sur le métal n’a pas d’in- fluence appréciable sur l’émission secondaire : la vitesse de cette der- nière est la même pour l’incidence normale et pour une incidence

quelconque. Il est donc peu probable que l’énergie du rayonnement secondaire soit empruntée à celle du rayonnement primaire : une analogie de plus avec le phénomène actino-électrique.

Iae cuivre poli ou mat donne les mêmes résultats ; la mousse de platine est beaucoup moins active que le platine poli, le noir de fumée

encore moins.

L’oxyde de cuivre noir mat est à peu près aussi actif que le platine poli, mais nettement moindre que le cuivre poli. L’aluminium, passé

à l’émeri, est, parmi les corps étudiés, le plus actif.

Conclusions. - Le passage des rayons cathodiques à travers la matière, quel que soit l’état physique, entraîne l’émission de quantums enlevés aux atomes. Les vitesses de cette émission sont relativement

minimes, et leur direction ne paraît pas avoir de rapport marqué

avec la direction des rayons primaires ou des surfaces rencontrées.

(12)

Le nombre des quantums peut être très considérable dans les cir- constances favorables.

Ce phénomène doit jouer un rôle important dans tous les cas

les rayons cathodiques rencontrent la matière. Par suite, ils ont cer-

tainement influé sur toutes les observations et les mesures dans les-

quelles on a étudié l’action réciproque des rayons cathodiques et de

la matière. Il n’était pas possible d’en tenir compte avant d’en con-

naître les lois; établir ces lois, au moins dans une première approxi- mation, était le but de ce travail. M. LAMOTTE.

E. GERCRE. - Ueber den Einfluss vonGlaswanden auf die geschichtete Entladung

in Wasserstoft (Influence des parois de

verre sur

la décharge stratifiée dans

l’hydrogène). - P. 509-531.

La distance 1 entre deux stratifications ne dépend pas seulement de la densité d du courant : elle dépend aussi de la distance et de la nature des parois du tube. Et même on peut dire que ces parois

jouent un rôle prépondérant.

,

Les stratifications proviennent de régions annulaires de la paroi, chargées , négativement et qui jouent le rôle de cathodes secon-

daires. M. LAMOTTE.

E. KOHL. - Ueber die elektromagnetische Energie der Elektronenbewegung (Energie électromagnétique dans le mouvement des électrons).

-

P. 531-542.

L’auteur donne les formules qui représentent cette énergie élec- tromagnétique en tenant compte des mouvements de translation et de rotation des électrons.

Dans les champs de force ordinaires, la rotation est négligeable;

c’est seulement dans des champs très hétérogènes, lorsque les véhi-

cules de l’électricité sont aussi de dimensions moléculaires, qu’il y a lieu de faire intervenir cette rotation. M. LAMOTTE.

E. BRUNNER . - Zur Kenntnis der Elektrizitatszerstreuung in erhitzter Luft (C ontribution à l’étude de la déperdition électrique dans l’air chauffé).

-

P. 554-5 î2.

Jusque vers 5001, la vitesse de déperdition ne dépend pas sensible- ment de la température. Mais, à partir d’une certaine température,

différente en général pour la déperdition positive et la déperdition

(13)

527

négative, la vitesse croît très rapidement; elle double environ pour

une élévation de 15°.

Cette vitesse varie beaucoup avec la nature du conducteur électrisé et l’état de sa surface. Les métaux neufs (platine, argent, laiton)

~

laissent perdre l’électricité négative beaucoup plus vite que s’ils ont été chauffés longtemps; dans ce dernier cas, la vitesse de déperdition

est la même pour les deux électricités. La chaux, l’oxyde de cuivre, l’hydrogène accroissent la vitesse de déperdition positive, sans influer

sur la déperdition négative; à température élevée, c’est l’inverse pour la chaux et l’hydrogène. L’oxyde de zinc fait croître un peu la déper-

dition négative.

M. LAMOTTE.

A.-W. GRAY. -- Ueber einen automatischer Kommutator und Galvanometer- schlüssel

zum

Messen periodisch wiederkehender Erscheinungen (Commuta-

teur et interrupteur de galvanomètre automatique pour la

mesure

des phéno-

mènes périodiques).

-

P. ~96-601.

A.-W. GRAY. - Ein automatischer Potentialregulator (Régulateur

de potentiel automatique). - P. 602-605.

A.-W. G RAY. - Ueber die Ozonisierung des Sauerstoffs in dem Siemensche

Ozongenerator (Ozonisation de l’oxygène dans l’ozoniseur Sien1ens). - P. 606-

615.

Contrairement à ce qu’avaient donné les premières expériences (~),

on observe un accroissement du rendement en ozone par coulomb, quand on supprime la résistance entre l’ozoniseur et le sol.

M. LAMOTTE.

K.-A. HOFMANN, L. GONDER et V. WOLFL. - Ueber induzierte Radioaktivitat , (Sur la radioactivité induite).

-

P. 615-632.

On n’a pas réussi à isoler de l’uranium des substances inactives d’une manière permanente. Tous les produits obtenus sont actifs et possèdent au même degré l’activité x et l’activité ~. L’uranium doit

donc être considéré comme un élément radioactif en lui-même.

Une certaine quantité de carbonate double d’uranium et d’ammo- nium a été débarrassée de toutes les matières actives que préci- pitent l’hydrogène sulfuré, le sulfure d’ammonium et l’acide oxa-

(1) J. de Phys., 48 série, t. III, p. i13 ; 190!.

(14)

lique. La liqueur filtrée ne pouvait contenir ni plomb, ni tellure, ni

bismuth actif. On en extrayait l’urane à l’état d’azotate. Cet azotate était dissous dans l’eau en petite quantité, et on laissait dans cette

dissolution, pendant quatre semaines, la substance qu’on voulait activer; on l’en séparait ensuite par les méthodes ordinaires de

l’analyse.

Le baryum précipité à l’état de sulfate possède, aussitôt après des siccation, l’activité x et 1",activité , environ 3 fois plus que le sesqui- oxyde d’uranium. Au bout de huit mois, il n’a conservé qu’une trace

d’activité

~x.

Le plomb, en sulfate ou en sulfure, le bismuth, en sul-

fure ou oxychlorure, prennent à peu près la même activité que l’urane. Au bout de six semaines, l’activité a est à peu près disparue, l’activité p réduite de moitié environ.

L’oxyde de thorium, extrait de la gadolinite, devient très actif et

d’une manière permanente. Le cérium, le lanthane, le didyme, l’erbium, précipités sous forme d’oxalate, ne sont guère plus actifs que l’urane ;

de même le calcium et le strontium. Conservés en vase clos, ils perdent d’abord l’activité ~, mais manifestent encore une action sur

l’électroscope au bout de plusieurs mois.

Le platine, le palladium, le mercure, précipités à l’état de sulfure

après avoir séjourné deux mois dans la dissolution de sel d’uranium,

n’ont acquis que le 1/5 environ de l’activité de l’urane.

L’or, le tellure, le fer, le titane, l’aluminium, le zircone, la glucine

restent inactifs.

Le degré d’activité obtenu varie plus d’un métal à l’autre que d’un sel à un autre sel du même métal. La substance active paraît donc se

fixer sur l’atome du métal et déjà, dans la dissolution, sur l’ion

même.

Si on répète les mêmes expériences en remplaçant le sel d’ura- nium par du chlorure de baryum radifère, on trouve que le plomb

devient beaucoup plus actif que le palladium et l’iridium.

Les résultats sont fort différents si on active les métaux par des sels de plomb ou bismuth radifères. L’iridium, le palladium, le rhodium, le platine sont activés fortement, quand ils sont restés dis-

sous à l’état de chlorures pendant trois semaines et précipités

ensuite par l’hydroxylamine.

L’activité « de l’iridium est beaucoup plus grande que celle de la

dissolution, cent fois environ, et devient plus grande encore quand

on augmente la concentration du sel de plomb par rapport à l’iri-

(15)

529

dium. Cette augmentation est un argument en faveur de l’hypothèse d’après laquelle l’activité

rx

serait due à une substance matérielle.

Ia’activité p se perd presque complètement pendant les six pre- mières semaines, l’activité cl. seulement au bout d’un an environ. Ces deux propriétés sont donc indépendantes.

Le bismuth devient actif dans les dissolutions de plomb radifère : l’activité B se perd dans les premières semaines; l’activité

2

est’encore très appréciable au bout d’un an.

Si le bismuth est en excès, l’activité du sel de plomb diminue, ou

même disparaît ; mais elle réapparaît au bout de quelques jours et

finit par reprendre sa valeur initiale.

Ce réveil de l’activité est indépendant des corps ambiants : il faut donc en chercher l’origine dans la substance elle-même.

Le tellure acquiert dans des conditions analogues une activité égale à 15 fois celle de l’urane; le baryum devient actif à peu près

comme l’urane, le calcium et le strontium beauconp moins ; ces der-

niers acquièrent seulement l’activité

0152..

D’après ces résultats différents obtenus pour les mêmes métaux

avec les sels d’uranium et ceux du plomb radifère, on est conduit à

penser que les substances actives émanées de l’uranium diffèrent de celles émanées du plomb, en particulier par leur affinité pour les di-

vers métaux,. Cette affinité paraît s’adresser non seulement aux ions,

mais aussi aux métaux solides plongés dans les dissolutions actives.

l,e palladium, l’iridium, l’argent, et à un degré moindre l’or et le

platine en lames, acquièrent, dans une dissolution de chlorure de

plomb radifère, une activité marquée (jusqu’à 3000) et qui se con-

serve longtemps, du moins l’activité

cz.

Celle-ci disparaît en quelques

instants si on porte les lames au rouge vif.

L’activité des métaux ainsi traités ne se perd pas dans les trans- formations chimiques.

Au contact des dissolutions de polonium et de bismuth, les métaux

de la famille du platine deviennent très actifs, perdent ensuite assez

vite l’activité ~ et conservent quelques mois une partie de l’acti-

vité

ce.

Le tellure s’active fortement dans les mêmes conditions, l’or beau-

coup moins ; le baryum et, chose singulière, le plomb s’activent à

peine.

Mais le polonium-bismuth, s’il a produit une radioactivité induite

notable, perd la sienne propre et ne la retrouve plus. Ceci semble ,

(16)

indiquer que ce composé ne possède pas par lui-même la radioacti- vité, mais qu’il l’a acquise par influence.

Le bismuth métallique devient beaucoup moins actif dans la dis- solution de chlorure de radium que dans celle de polonium-bismuth.

D’après les altérations superficielles qu’éprouve le métal en diffé-

rents cas, il semble que les phénomènes électrolytiques jouent un

grand rôle. M. L.AMOTTE.

T. XVI, n* 1 ; ~90~.

F. BRAUN. -Der Hertzsche Gitterversuch im Gebiete der sichtbaren Strahlung (L’expérience des réseaux de Hertz dans le domaine des radiations visibles).

-

Séances de l’Acad. Roy. des Sciences de Berlin.

-

P. 1-19.

La polarisation par les réseaux, observée par Hertz avec des ondes

électriques, et par Rubens et Nichols (1) avec des radiations de 24 p.

environ, a pu être observée par l’auteur avec des ondes lumineuses,

en utilisant la pulvérisation des métaux par la décharge. Un fil d’or, d’argent ou, mieux, de platine, de 0mm,04 à de diamètre,

est tendu sur une plaque de verre, les extrémités fixées à la cire ; on

pose sur le fil deux poids de laiton qui servent d’électrodes, et on

fait passer la décharge d’une forte batterie (capacité de 20000 centi-

mètres au moins, chargée à 6-i0 millimètres d’étincelle) ; on obtient

sous le fil un trait clair bordé de deux bandes sombres, d’où rayon- nement des filaments très fins perpendiculaires à la direction

des traits. On observe avec le microscope polarisant entre nicols croisés, à la lumière du jour ou à celle d’un bec Auer tamisée par du papier blanc; toute la partie supérieure du microscope est protégée par des écrans noirs. On a pu observer, dans la région

les filaments se fondent dans les traits sombres, des plages qui étaient

obscures quand les filaments étaient parallèles au vecteur de Fresnel (vecteur électrique), et claires quand on tournait la préparation de 90° ; l’extinction dans le premier cas n’est jamais complète, soit que les com- posantes de la vibration, traversant la préparation sans prendre de

différence de phase, se recombinent à la sortie, soit qu’elles prennent

une différence de phase qui simule la double réfraction. Ni les pro- cédés ordinaires d’éclairage, ni méme la méthode de Siedentopf et Zsygmondy n’ont pu révéler la structure de ces plages, qui paraissent continues.

(l)Wied. Ann., t. LX. p. 418 et 456 ; I897; - et J. dePhys., 3e s, t. VIl, p. 16I ; ~.898.

(17)

531

Ces phénomènes interviennent vraisemblablement dans l’explica-

tion d’un grand nombre d’apparences observées en lumière polarisée

et attribuées à une double réfraction, comme par exemple le di-

chroïsme constaté par Ambronn (~) sur des coupes minces de bois de conifères ou de nerfs de queue de souris, traitées par le chlorure d’or, puis séchées et examinées à la lumière solaire. Des expériences

effectuées par l’auteur sur de la fibre de bois traitée au chlorure d’or et séchée ensuite à 360", température plus que suffisante pour dé- truire toute combinaison organométallique qui aurait pu se produire,

semblent prouver que l’or agit comme révélateur de réseaux. ti pourrait exercer la même action dans d’autres cas.

D’où la méthode d’étude suivante : la préparation, traitée par l’or,

est observée au microscope jusqu’à la limite de définition de l’instru- ment ; si l’on ne constate pas de structure discernable, mais des phé-

nomènes de polarisation par réseaux, on pourra conclure à une structure ultra-microscopique en réseau, avec stries parallèles aux

vibrations les plus fortement éteintes ; l’absence de changement de

teinte par la rotation de l’analyseur montrera que l’on n’a pas affaire à la double réfraction ordinaire ou à une polarisation (avec change-

ment de phase). Il faut observer en lumière solaire.

P. LUGOL.

CLEMENS Ueber das Ultrarote Absorptionspektrum der Kohlensaüre in seiner Abhàngigkeit

vom

Druck (Influence de la pression

sur

le spectre d’absorption du gaz carbonique dans l’infra-rouge).

-

P. 93-t 0~.

Les rayons émis par une lampe de Nernst, rendus parallèles par

un miroir concave, traversent un tube de 50 centimètres de long fermé

par des plaques de sel gemme due 1 centimètre d’épaisseur ; un second

miroir les concentre sur la fente d’un spectroscope à miroir dont le prisme en sel gemme, disposé à poste fixe, est réglé au minimum

de déviation pour la raie D. Les rayons émergents sont concentrés

sur une pile thermoélectrique de Rubens; le spectroscope a été

gradué en longueurs d’onde en utilisant les mesures de Rubens et

Trowbridge sur la dispersion du sel gemme. On détermine entre 1 et 6 ~, la courbe d’énergie avec le tube plein d’air ; on fait dispa-

raître par interpolation les discontinuités dues à l’absorpti@n par le

(1) Sitzungsbel’. der K. (let- Wissensch., 17 décembre ’1896.

(18)

gaz carbonique de l’atmosphère, on répète les observations avec le tube plein de gaz à la pression voulue, puis de nouveau avec le tube

plein d’air pour contrôler la constance de la source.

Les résultats confirment la théorie de Planck (’), d’après laquelle l’augmentation de l’épaisseur de la couche traversée et l’augmenta-

tion de la pression sont équivalentes jusqu’à une très faible valeur de la densité ; au delà, l’augmentation de pression élargit les bandes d’absorption. Aucun changement n’a pu être observé en effet en por- tant de 50 centimètres à 2 mètres la longueur du tube, tandis qu’entre 1 et 4 atmosphères on a constaté un élargissement graduel

des bandes d’absorption 2,7 p et 4,4 p, qui finissaient même par se fondre l’une dans l’autre. Les expériences sont favorables à l’opinion qui considère les bandes comme formées d’un grand nombre de raies fines s’élargissant quand la pression augmente. La faiblesse de la

dispersion du prisme et la tiop grande largeur de la pile enlèvent

aux nombres donnés dans le mémoire, de l’aveu même de l’auteur,

tout caractère absolu. Il est néanmoins établi que le nombre des molécules rencontrées ne règle pas seul l’absorption, mais que leur distance intervient certainement.

P. LUGOL.

cl. k. Akad. d. 1, p. 480; 1903.

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