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Drude's Annalen der physik ;T. IX, n° 10; 1902

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(1)

HAL Id: jpa-00240734

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240734

Submitted on 1 Jan 1903

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Drude’s Annalen der physik ;T. IX, n° 10; 1902

L. Marchis

To cite this version:

L. Marchis. Drude’s Annalen der physik ;T. IX, n° 10; 1902. J. Phys. Theor. Appl., 1903, 2 (1), pp.147-156. �10.1051/jphystap:019030020014701�. �jpa-00240734�

(2)

147

1.

F. ALLEN et W. Test of the liquid air plant at Cornell University (Épreuves de l’appareil à air liquide fonctionnant à Cornell University). -

P. 181-187.

y

J.-S. SHEARER. 2013 The heat of vaporisation of air (Chaleur de vaporisation de l’air). - P. 188-191.

L’air liquide, placé dans un tube à double paroi, reçoit la chaleur

d’un courant électrique traversant une spirale de maillechort immer-

gée. Un compteur donne le volume de gaz produit, dont l’analyse est

faite en même temps à l’acide pyrogallique. On trouve ainsi 44 9

par gramme. D’autres nombres sont fournis par des mélanges plus

riches en oxygène.

L. HOULLEVIGUE.

DRUDE’S ANNALEN DER PHYSIK ;

T. IX, 10; 1902.

L. AUSTIN und H. S’rARhE. - Ueber die Rellexion der Kathodenstrahlen und eine damit verbundene neue Erscheinung secundàrer Emission (Réflexion des

rayons cathodiques et phénomène nouveau d’émission secondaire qui l’accom- pagne). - P. 27I-293.

Les rayons cathodiques tombent sur un réflecteur qui communique

. avec le sol. Un galvanomètre inséré sur le fil de communication décèle un courant d’électricité négative. L’intensité de ce courant diminue quand on fait croître l’angle d’incidence à partir de 0 ; elle

devient nulle vers l’incidence de 70°, puis change de signe. Elle peut

croître jusqu’à dépasser en valeur absolue l’intensité qui correspond

à l’incidence normale.

Ce courant n’est pas dû à des rayons-canal ; il ne résulte pas de la différence de potentiel au contact du gaz et du métal. Il ne peut être

non plus le fait du gaz rendu conducteur par les rayons cathodiques.

Il résulte d’une émission secondaire d’électricité négative provo- quée par les rayons cathodiques.

On ne saurait, d’ailleurs, vérifier d’une manière directe l’existence de cette émission, car il est impossible de séparer les "rayons aux=

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019030020014701

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148

quels elle donne naissance des rayons incidents. Mais l’ensemble des observations est favorable à cette explication.

L’intensité du courant positif diminue en même temps que la vitesse des rayons cathodiques.

En effet, l’incidence des rayons primaires pour laquelle le courant

s’annule (ce qui correspond à l’égalité entre le courant négatif et le

courant positif) est plus grande lorsque la différence de potentiel de décharge est plus grande.

Le courant positif dépend beaucoup de la nature et de l’état de la surface du -métal qui constitue le réflecteur : il est d’autant plus intense, toutes choses égales d’ailleurs, que ce métal est plus dense.

_ La vitesse des rayons secondaires est du même ordre de grandeur

que celle des rayons primaires, ainsi qu’on petit s’en assurer en fai- sant agir un champ magnétique.

La fluorescence du verre produite par les rayons réfléchis sous l’incidence normale diminue quand l’angle de réflexion augmente.

Sous l’incidence de W°, elle est à peu près uniforme ; sous l’inci-

dence de 80°, elle croît avec l’angle de réflexion.

Lorsque l’incidence est normale, le rapport des pouvoirs réflecteurs de deux métaux est indépendant de la difl’érence de potentiel sous laquelle ont été produits les rayons incidents: le pouvoir réflecteur

est indépendant de l’état des surfaces.

Il n’en est plus de même sous l’incidence oblique. Il est vraisem- blable, d’après ces observations, que le phénomène d’émission

secondaire ne se produit pas quand l’incidence est normale.

. M. L.

F. von L Enen. - Oberûachenspannung und Doppelschichte an der Grenzftïcbe zweier I,üsunâsmittel (Tension superficielle et couches doubles à la surface de

séparation de deux dissolvants). - P. 4~34- ~42.

Une quantité même très faible d’un électrolyte, dissoute dans de l’eau et de la benzine qui sont en contact, suffit à provoquer une variation de la tension superficielle.

Si l’on construit un électromètre capillaire avec de l’eau la place

du mercure) et de la benzine la place de l’acide), le passage du cou- rant produira une variation de concentration au voisinage du ménisque. Le ménisque se déplacera, si cette variation de concen-

(4)

149 tration est susceptible d’amener une modification de la tension super- ficielle.

Comme la benzine a une résistan ce spécifique énorme, cette élec-

trode n’est sensible qu’à de très grandes différences de potentiel (220 volts).

Un phénomène analogue provoquera le déplacement d’un index de benzine dans un tuhe capillaire.

M. L.

E. LECHER. - Beeinflussung des elektrischen Funkens durch Elektrisirung (Influence de l’électrisation sur l’étincelle électrique). - P. 442-~52.

En portant les deux pôles d’un exploseur à un potentiel plus

élevé que celui du sol, on favorise la formation des aigrettes et de

l’étincelle. "

Les aigrettes sont remplacées par des étincelles brillantes. Si, au contraire, on charge négativement les boules de l’exploseur, les aigrettes s’éteignent tout à fait.

Les phénomènes s’observent quand on relie les pôles de l’explo-

seur aux bornes du secondaire d’une bobine, et l’un de ces pôles à un pôle d’une machine électrique, dont l’amtre est en communication

avec le sol.

On peut encore remplacer la bobine par un petit transformateur relié à un interrupteur de Wehnelt. Sous l’influence de l’électrisa- tion positive, les aigrettes remplissent tout l’intervalle des élec- trodes.

Si, à ce moment, on approche une pointe reliée au sol, l’espace

devient tout à fait obscur. Si l’électrisation des électrodes est néga- tive, les étincelles s’éteignent, pour réapparaître quand on approche

la pointe.,

M. L.

M. CANTOB. - L’eber den Einfluss Becquerelstrahlen und elekirostatischen Feldern auf die Funkenentladung (Influence des rayons Becquerel et des champs électrostatiques sur la décharges par étincelle). - P. 452-458.

Les rayons Becquerel agissent sur un exploseur comme les rayons

ultra-violets. D’après Elster et Geitel, cette action est indépendante

de la nature des électrodes. L’influence du métal ne se fait sentir

(5)

150

que si une capacité de grandeur convenable est en dérivation sur les pôles de l’exploseur.

Les électrodes de platine sont les plus sensibles à cet effet ; celles d’or, d’argent, de cuivre, de laiton, de fer, le sont moins ; celles

d’aluminitim ne le sont pas du tout.

Moins les rayons contiennent de rayons fort absorbables, plus res-

sort la différence entre les divers métaux.

Sans doute, les rayons absorbables rendent l’air très conducteur et agissent ainsi de la même manière sur la décharge, quelles que soient les électrodes. Lorsque les moins absorbables atteignent l’ex- ploseur, ils n’ont que peu d’action sur l’air : leur différence d’action,

d’après la nature du métal des électrodes, répond à leur absorption

différente.

La décharge par étincelle est influencée aussi par un champ élec- trostatique.

Quand on communique une électrisation positive ou négative au système formé par l’exploseur, la batterie, la hobine et les piles, les

étincelles éclatent, alors qu’auparavant les boules de l’exploscur

étaient assez écartées pour qu’elles cessassent juste de passer. Mais il faut. , pour obtenir le même résultat, élever le potentiel beaucoup plus quand la charge est positive (Cf. le mémoire précédent).

M. L.

H. DIESSELHORST. - Ueber ballistische Galvanometer mit beweglicher Spule (Sur des galvanomètres balistiques à cadre mobile). - P. 458-468. Id. - Zur bal- listischen Méthode der Messung von Elektricitâtsmengen (Méthode balistique

pour la mesure des quantités d’électricité). - - P. l12-724.

Un bon galvanomètre balistique doit satisfaire aux conditions suivantes : les indications doivent être indépendantes de la durée du

courant ; l’élongation est assez lente pour permettre de l’apprécier

exactement ; le retour en arrière est rapide ; enfin la sensibilité est aussi grande que possible.

Pour réaliser ces conditions avec un galvanomètre à cadre mobile,

il faut que la résistance du cadre soit à peu près égale à la résis-

tance extérieure et que la période d’oscillation en circuit ouvert soit environ 15 secondes.

Les formules données par Dorn pour les courants de l’inducto- mètre sinusoïdal ont une portée plus générale. Elles s’appliquent à

(6)

151 des courants de forme quelconque. Dans le développement en série, suivant les puissances croissantes de la durée r du courant, qui représente P le rapport pP A de l’amplitude observée à l’amplitude A

Ao . P o

relative à un courant instantané, les termes du premier degré s’éva-

nouissent. Cette circonstance explique l’inHuence relativement très faible de la durée du courant.

1VT. L.

A. BRAND. - Ueber die elektromotorische Kraft des Ozons (Force électromotrice de l’ozone). - P. !~68-’7~.

Les deux électrodes d’une pile de Grove sont plongées l’une dans l’oxygène ordinaire, l’autre dans l’oxygène ozonisé. La différence de

potentiel entre ces deux électrodes dépend de l’état des surfaces de

platine : elle est de l’ordre de grandeur de 0~3 volt et augmente

quand la température s’abaisse.

M. Jj.

A. Bemerkung zu einem Auisatze des llrn. Braun « Ueber die Erregung

stehender elektrischer Drahtwellen durch Condensatoren» (Remarque sur un

mémoire de M. Braun intitulé : Production des ondes électriques stationnaires

au moyen des condensateurs). - P. 495-496.

Réclamation de priorité de M. Slaby, concernant l’emploi d’un

condensateur directement relie. au transmetteur d’ondes.

1B1. L.

Jon. MATHIEU. - Uber die Capillaritat der Lôsungen (Sur la capillarité des solutions). - P. 3!~0-366.

Des recherches déjà anciennes(’) avaient fait penser que, lors-

qu’une membrane animale est plongée dans une solution saline,

le liquide qui pénètre cette membrane est formé d’une solution diluée par rapport à la première. Mais il est difficiles de mesurer

directement la concentration du liquide absorbé.

M. Mathieu a employé pour cela un moy en détourné, qui consiste

(1) LUDWIG, Zeit. fùî- rationnelle Medizin von Heule und P feufe79, t. VIII, p. 19

1849.

(7)

152

à former entre deux bains de mercure une chaîne de liquides de

concentrations différentes. Celte chaîne est composée de la solution normale et de la solution diluée, contenue soit dans une membrane, soit dans des plaques poreuses, soit dans un tube capillaire. Elle

donne lieu à une force électromotrice de concentration qui a été

mesurée par la méthode de compensation. ,

Des mesures directes de cette force électromotrice, faites pour des solutions de concentrations connues dans un tube en H, ont permis de

la représenter par la formule :

K étant un coefficient caractéristique du sel, C4 et ex les concen-

trations. La mesure des forces électromotrices désignées plus haut permet donc de calculer le rapport des concentrations. Ces rapports

ont été trouvés égaux à 1 : 0,96 pour des vases d’argile; 1:0,10 pour du papier parchemin ; i : 0,06 pour une vessie de porc; 1:0,39 pour un tube capillaire de 0--,0199-7 de diamètre avec des solutions de sulfate de cadmium ou de sulfate de mercure.

L’auteur conclut que l’on ne peut employer la méthode d’ascen- sion dans les tubes capillaires pour mesurer les constantes capil-

laires des solutions. Des expériences directes lui ont montré la variation de cette constante avec le temps et la section du tube.

, Enfin ce fait de la dilution de la solution lui permet d’expliquer,

dans une certaine mesure, le fonctionnement des membranes semi-

perméables, dans le cas des électrolytes. Ces membranes pré-

senteraient des interstices tellement fins que la dilution y serait

portée à son maximum et que le liquide dissolvant seul pourrait y pénétrer.

G. R.

G. Das Zustandsdiagramm des Phenols

(Le diagramme des états du phénol). - P. 249-210.

NII Tammann étudie d’abord les courbes de fusion du phénol. On

sait que, dans le système univariant (solide -~- liquide provenant de la

fusion de ce solide), la pression sous laquelle s’établit l’équilibre à

une température déterminée est indépendante du rapport des masses

des deux phases et qu’inversement la température caractéristique

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153 de l’état d’équilibre sous une pression donnée est aussi indépendante

de ce même rapport. Or M. Tarnmann trouve qu’à température cons-

tante la pression d’équilibre croît en même temps que le rapport de

la masse du phénol cristallisé à la masse du phénol liquide et qu’à pression constante la température d’équilibre varie en raison

inverse de ce même rapport. L’auteur se trouve donc en présence

d’un corps qui n’est pas chimiquement pur; comme il est impos-

sible d’obtenir certains composés organiques, tels que le phénol,

à un état de pureté parfaite, il est important de pouvoir déduire

des déterminations faites sur des corps à peu près purs des rensei-

gnements sur l’allure que présenteraient les corps parfaitement

purs. C’est ce qu’a essayé de faire Tammann. Il prend trois produits qu’il désigne par les lettres A, B, C ; à la pression ordi-

naire, le produit A possède un point de fusion qui diminue de i19°,93 à 39°,80 lorsque le rapport du phénol cristallisé au phénol liquide varie de 0 à 1/2 ; dans les mêmes conditions, le produit B possède un point de fusion qui diminue de 39°,7~ à 39° ,43 ; enfin, le produit C a un point de fusion qui, dans les mêmes circonstances,

varie de ’ 40°,60 à 40°,50. M. Tammann prend alors l’un de ces

produits et détermine à une température déterminée les pressions d’équilibre lorsque le rapport de la masse des cristaux à la masse

du liquide a deux valeurs p et p’; par interpolation proportionnelle,

c’est-à-dire en supposant que la différence des pressions d’équilibre

est proportionnelle à p’ - p, il détermine la pression d’équilibre correspondant au cas où le rapport p est égal à 1/2. Ce sont les

résultats de cette interpolation que M. Tammann donne dans les tableaux et les courbes qui résument les résultats de ses expé-

riences. De telles courbes de fusion ont été construites pour les

produits A et C ; elles sont voisines l’une de l’autre et donnent une

indication sur la position et la forme vraisenlblables de la courbe de fusion du phénol pur. Sur chacune de ces courbes se présente,

entre 2000 et 2250 atmosphères et entre 60° et 650, un point angu-

leux ; en ce point se coupent les courbes de fusion de deux variétés 1 et 2 d’un des produits A, B ou C; par ce même point passe la courbe de transformation de la variété 1 en la variété 2 ; ces points

sont donc deux triples points, et leur position permet de dire que, si le phénol était chimiquement pur, ce corps présenterait un triple point dans les limites de température et de pression indi- quées plus haut.

(9)

154

Les courbes de transformation de la variété 1 en la variété 2 pré-

sentent des allures très différentes, suivant que l’on opère au-dessus

ou au-dessous de ~?0°. Au-dessus cte ~?0°, on observe le phénomène

suivant: Considérons le système formé par le mélange des deux cris- taux 1 et 2 du prodnit A, par exemple; à une température détermi-

née t, exerçons sur le mélange une pression très grande P ; nous

voyons cette pression diminuer pour se fixer à une valeur II, qui est

la pression d’équilibre de transformation du cristal 1 en cristal 2 ;

au contraire, soumettons le mélange des deux cristaux à une pres- sion faible, nous ne tardons pas à voir la pression augmenter pour se fixer encore à la valeur II. Dans le premier cas, la variété s’est trans- formée en une variété 2, et, dans le second cas, la réaction inverse s’est produite.

Les phénomènes observés ne sont plus les mêmes à une tempéra-

ture inférieure à 20" ; à une température déterminée, les deux pres- sions limites obtenues soit par pressions décroissantes, soit par

pressions croissantes, ne sont plus égales entre elles ; leur différence peut atteindre jusqu’à 600 kilogrammes à la température de - ~0°.

Nous nous trouvons en présence de phénomènes de faux équilibres.

Dans la dernière partie de son mémoire, M. Tammann cite des

exemples de ces faux équilibres dans la transformation de la calcite

en aragonite, dans celle du graphite en diamant.

L. MARCHIS.

A. EINSTEIN. - Kinetische Théorie des BVarn1egleichge"Bvichtes und des

zweiten Hauptsatzes der Thermodynamik (Théorie cinétique de l’équilibre calorifique et du second principe de la thermodynamique).

L’auteur tente de ramener la théorie de la’ chaleur et celle dn second principe de la thermodynamique aux principes généraux de

la mécanique. ,

L. MARCHIS.

ZV. GALLENRANIP. - Eine neue Bestimmung von Capillaritatsconstanten mit A(lh,qsionsplatten (Une nouvelle détermination des constantes capillaires par la méthode de l’adhérence des liquides et des plaques). - P. 475-494.

La méthode de l’adhérence des liquides aux plaques consiste à

déterminer le poids de la quantité de liquide soulevée jusqu’à une

(10)

155

certaine hauteur au-dessus d’une plaque horizontale par une autre

plaque également horizontale et écartée de la première.

Le premier qui ait effectué ces mesures avec une exactitude suffi- sante est Gay-Lussac. Ses recherches consistent à déterminer le

poids maximum de liquide porté par une plaque circulaire de rayon déterniiné, c’est-à-dire le poids qui, placé sans secousse sur le pla-

teau d’une balance, est juste nécessaire ponr séparer du liquide une plaque suspendue à l’autre, hors de cette balance. Si 1"on représente

par p le poids que nous venons de définir, par p le poids spécifique

du liquide, par 1" le rayon de la plaque employée, Iloisson donne, en supposant nul l’angle de raccordement du liquide avec la surface

inférieure de la plaque, la formule :

dans laquelle a2 est la tension superficielle du liquide. Cette formule, appliquée aux expériences de Gay-Lussac, donne les résultats sui-

vants : -

Par une méthode analogue, Buys Ballot donne pour l"eau la valeur

a2 = 14,45.

Dans ses expériences actuelles, M. Gallenkamp soulève la plaque

à laquelle adhère le liquide jusqu’à ce que l’angle fait par la surface du liquide avec la surface inférieure de cette plaque soit égal à 90-.

Par un artifice optique, il détermine exactement l’instant il en est ainsi. Si l’on représente alors par p le poids du liquide soulevé, par ,

son poids spécifique, le rayon de la plaque adhérente au liquide, une formule de Kirchhoff donne, pour la tension superfi- cielle a2,

C’est au moyen de cette formule que l’auteur a obtenu les résul- tats suivanis :

Il Eau à la température ordinaire (15 à 20°) :

(11)

156

ltlélanges d’alcool et d’eau à la te1nperature ordinaire :

d’eau e~

Lessive de potasse et de soude:

5° Dissolution de c?ilorure de calcium :

6° Huile d’olive (avec une plaque de cuivre comme plaque d’adhé- rence) :

-

L. MARCHIS.

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