• Aucun résultat trouvé

Annalen der physik; t. XLIV, nos 9, 10 et 11 ; 1914

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Annalen der physik; t. XLIV, nos 9, 10 et 11 ; 1914"

Copied!
8
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00241945

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241945

Submitted on 1 Jan 1914

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Annalen der physik; t. XLIV, nos 9, 10 et 11 ; 1914

R. Jouaust, P. Job, Ch. Fortin, I. Bruninghaus, E.-M. Lémeray

To cite this version:

R. Jouaust, P. Job, Ch. Fortin, I. Bruninghaus, E.-M. Lémeray. Annalen der physik; t. XLIV, nos 9, 10 et 11 ; 1914. J. Phys. Theor. Appl., 1914, 4 (1), pp.731-737. �10.1051/jphystap:019140040073101�.

�jpa-00241945�

(2)

731

naturellement en demi-groupes. Le gros gioupe G, aurait soixante- quatre termes, dont la moitié, c’est-à-dire trente-deux, doit corres-

pondre aux trente-six termes de la classification de Mendeleef, de

X à ~Tt (nous 56 à 88). La correspondance avec les-éléments connus et la croissance des poids atomiques justifie ce nouveau groupement.

En somme, on aajouté deux termes au début; on en retranche quatre dans les dernières séries.

Les propriétés des éléments ainsi groupés peuvent souvent se déduire de leur position dans les groupes parlagés en demis et quarts. Tous les groupes commencent par des éléments de valence 0

(gaz rares). On peut alors les représenter en un tableau ou par une ligne sinueuse ou mieux par des cercles concentriques non fermés

réunis par des traits entre chaque groupe.

On a quelques relations simples entre les propriétés et le numéro N d’ordre, mais parfois la complication devient assez grande, et il faut

admettre des périodes complexes. Pour la valence,

K ayant les valeurs de N pour ~’

~

o ; mais K subit l’influence de

périodes plus compliquées qui donne une prédominance marquée à

valence 3. Les poids atomiques peuvent être également exprimés

.

en fonction de N.

G,* Roy.

ANNALEN DER PHYSIK;

T. XLIV, nos 9, 10 et 11 ; 1914.

H. RUKOP et J. ZENNECîL 2013 L’arc électrique générateur d’oscillations

en courant alternatif.

-

P.

..

En alimentant un arc par du courant alternatif et en plaçant en

dérivation sur cet arc un circuit self-induction condensateur de pé-

riode variable, on constate que le courant dans ce circuit passe par

une série de maxima et de minima lorsqu’on fait varier la période

d’une façon régulière.

Les maxima correspondent aux harmoniques impaires, les minima

aux harmoniques paires. L’importance des maxima va en décrois- sant, lorsque le nombre des périodes croît, le plus élevé correspon-

dant à l’harmonique 3.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019140040073101

(3)

La distinction entre les maxima et les minima se constate ponr des

fréquences d’autant plus élevées que la résistance du circuit divisé est plus faible.

Lorsqu’on étudie ces oscillations au tube de Braun, on constate,

.

que les harmoniques paires s’éteignent à chaque demi-période quand

le courant s’annule pour recommencer avec un décalage de 180B

Ces oscillations se produisent soit avec des charbons homogènes,

elles peuvent alors être de même nature que les oscillations de pre- mière espèce ordinaire régies par la condition de Duddell, soit avec

des charbons minéralisés ; elles correspondent alors à un mécanisme spécial. Les deux modes de production peuvent agir simultanément.

Si le circuit secondaire n’est pas accordé sur une harmonique, on

observe au tube de Braun les battements entre cette harmonique et

l’oscillation propre du circuit.

Dans le cas de fréquences élevées, supérieures à 300 fois la pré-

riode du circuit d’alimentation, les charbons minéralisés ne produi-

sent aucune oscillation. Le courant pouvant être pendant quelques

instants considéré comme constant, étant donné la période du cir-

cuit dérivé, les charbons homogènes engendrent comme un courant

continu dans ce circuit des oscillations qui sont, suivant les cas, de première ou de seconde espèce.

L’examen au tuba de Braun montre que les premières ont l’air de

former deux trains d’onde par demi-période, les autres un seul train

durant un quart de période. l~. JOUAUST.

B. BAUIaE. - Étude théorique des phénomènes se passant dans les gaz dilués.

P. ~45-~’76.

Lorsqu’un gaz très dilué est en contact avec une paroi solide, il se

passe au voisinage de cette paroi des phénomènes particuliers; c’est

ainsi que si la température du solide n’est pas la mêmes que celle du gaz, il se produit au voisinage de la surfacE de séparation une chute

de température ; de même si le solide est animé d’un mouvement de rotation, il y a une variation brusque de la vitesse d’entraînement du gaz. L’auteur, renonçant aux hypothèses dont se sont servi Smolu- chowski et. Kundt et Warburg, cherche a obtenir quelque chose de précis sur ces phénomènes, il s’appuie sur la théorie moléculaire et

sur quelques hypothèses concernant la structure et l’agitation molé-

culaire des solides.

(4)

733

Il trouve ainsi des formules dont la vérification expérimentale est

excellente .

FruEDHiCH Détermination du quantum élémentaire électrique

par voile thermo-Inécanique. - P. 127-144.

Si on suppose que dans l’électrolyse la vitesse des électrons au

départ des électrodes est la même que celle d’un corpuscule catho- dique pour la même différence de-potentiel, et si l’on suppose les élec- trons en équilibre thermique avec les molécules, on trouve que l’éner-

gie correspondant à la formation de 1 hilogramme d’eau est

i.6~0.1~3 kilogrammètres, la chaleur de formation de l’eau corres-

pond à 1.623.496 kilogrammètres.

On peut donc exprimer la tension électrique aussi bien que la tem-

pérature en force vive, et l’on trouve que l’énergie correspondant à

1 volt est 7.500 fois plus grande que l’énergie correspondant à un degré.

On peut alors calculer le quantum électrique à partir de l’énergie cinétique des gaz, de la chaleur spécifique des solides, des liquides

ou des gaz (3,01 . 10 -1°, 6,~~ , 10-fo, 3,3i .10-1°, 4,41 . 10-10 U.

E. S.).

On peut. donc concevoir l’électricité comme un mouvement des molécules et des électrons. Ceux-ci seraient alors la plus petite por- tion de matière qui, au repos, ne serait chargée ni de chaleur ni d’électricité,

Les travaux d’Ehrenlioff démontrent d’ailleurs qu’il n’y a ni quan- tum d’électricité ni électron, au sens actuel de ces mots.

0. Brusque changement de forme de cristaux liquides, provoqué

par la variation de la force d’orientation par suite de transformations poly- morphiques. 2013 P. t t2-t 6.

Le résumé de ce mémoire a paru aax de t’Acadé- des sciences, 1911, p. 398.

P. JOB.

(5)

E. HOLM.

-

Théorie électronique statistique du magnétisme.

P. 241-256.

Récemment Kroo (1) a cherché à établir une théorie statistique du magnétisme sans tenir compte des liaisons des électrons.

L’auteur montre que la manière dont Kroo a traité le problème

revient à envisager, pqur l’anole 2 que fait le moment d’une molé- cule avec la direction du champ, une loi de répartition différente de la loi de Holtzluann utilisée par Langevin.

Il reprend l’étude de la question dans le sens celle-ci a été en- visagée par ce dernier, et montre qu’on arrive à des résultats en con-

tradiction avec ceux de Kroo, mais conformes à ceux obtenus pré-

cédcn1ment par Voigt et J.-J. Thomson,.

R. JoUAUST.

FEIWAIn SCIIMIDT. - Mesures des variations de la constante diélectrique,

sous l’influence de la températures. - P. 329-336.

Pour le soufre, entre

-

1 et + So°, la constante diélectrique,

croit avec la température, suivant une loi sensiblement linéaire, et de o,UOlO par degré (coefficient de température).

-

Résultat analogue, entre

-

160° et + 18°, pour un corps plios- phorescent Le coefficient de température mesuré (0,0021)

est en bon accord avec celui qu’on peut déduire du déplacement des

maxima d’excitation de phosphorescence sous l’influence de la tent-

pérature.

Cn.

FEltl)l’-BA-N-D SCIINIIDT. - Sur le pouvoir actinu-diélectrique. - P. 4’H-4).

Les résultats de Lénard et Sem Saelaiid sont confirmés dans leurs

grandes lignes par le présent travail.

_

L. BitUNI.N(-,IIAUS.

N’oir cc vol. p. 324.

°

(6)

735

I. NIALàIBJllG. - Recherche sur le pouvoir amortisseur de chocs de

_

différentes matériaux sous des charges variables.

-

P. 337-368.

Étude expérimentale portant sur le caoutchouc, le liège, la subé-

rite, le feutre imbibé de liquides visqueux.

Les mesures de l’auteur le conduisent aux résultats suivants, dans lesquels C et F désignent les f’acteurs de l’écart et de sa dérivée

première dans l’équation des mouvements amortis : + q- Cs -= o masse du corps).

charge constante et pour des chocs d’intensités croissantes, le

décrément logarithmique et la période augynlentent j li est sensible-

ment constant ; 1 diminue.

,

A choc constant et pour des charges croissantes, le décrérnent

logarithmique et la période diminuent. F et C augmentent.

L’auteur préconise l’emploi de matériaux élastiques imbibés de tluides visqueux (feutre et glycérine).

A. EINSTEIN et A.-D. FOKKER. - La théorie de la gravitation de Nordsh’ôm du point de vue du calcul différentiel absolu. - P. 321-328.

On sait que le mouvement d’un point matériel dans un champ de gravitation satisfait à la loi:

pourvu que 1"élément de ligne soit défini par :

Les dix quantités O’f’i sont des fonctions de l’espace et du temps et

caractérisent le champ de gravitation ; (Is joue le rôle d’invariant fondamental.

Or, étant données des lois relatives à une multiplicité euclidienne,

les méthodes du calcul différentiel absolu permettent d’ubtenir les

(7)

lois généralisées pour le cas d’une multiplicité correspondant à un

élément de ligne donné ; des lois de la théorie originelle de la relati-

vité, on pourra ainsi tirer des lois généralisées généralement cova-

riantes.

Ces dernières exprimeront de quelle manière le champ de gravi-

tation influe sur les phénomènes physiques.

C’est ainsi qu’on pourra généraliser le principe de conservation de

l’impulsion et de l’énergie. Dans la théorie ordinaire, les propriétés énergétiques s’expriment au moyen d’un tenseur aux composantes Tu.,.

A ces composantes correspondent dans la théorie généralisée les grandeurs ~~., : :

oii g est le déterminant des g, (O un tenseur contravariant.

Dans la théorie généralisée, les principes de conservation s’ex-

priment sous la forme covariante :

où est le déterminant mineur adjoint à U?’" et divisé par g. Quand

l’on envisage l’électromagnétisme ordinaire, les g sont constants, le second membre est nul, les t9 se réduisent aux T, et l’équation ainsi dégénérée exprime le principe de conservation de la théorie ordi- naire.

Les considérations générales précédentes s’appliquent aussi bien

-à la théorie de lVTordstrôm qu’à celle d’Einstein-Grossmann. La diffé-

rence des deux théories consiste en ce que, dans la première, on ad-

met que, grâce à un choix convenable du système de référence, le principe de constance de la vitesse de la lumière peut être vérifié.

Les auteurs montrent maintenant que, par le choix d’un système de

référence convenable, les dix quantités 9 se réduisent à une seule, p2.

On a alors :

,

Il reste à déterminer (D2. On y parvient au moyen d’une équations

différentielle qui, ainsi que celle de Poisson, doit avoir un caractère

scalaire. Cette équation est déterminée si l’on s’impose les condi-

(8)

737

tions suivantes : elle doit être du second ordre et être une générai-

sation de l’équation de Poisson. Les auteurs montrent que finalement

on peut la faire concorder entièrement avec l’équation fondamentale de la théorie de Nordstrôm .

Les méthodes du calcul différentiel absolu fournissent ainsi une vue nette du contenu formel de cette théorie; en outre, les auteurs estiment que, de toutes les théories, satisfaisant au principe de cons-

tance de la vitesse de la lumière, celle de Nordstrôm mérite la pré-

.

férence.

LEMERAY.

PHYSIKALISCHE ZEITSCHRIFT :

T. XV; 1914.

W.-I-1. Sur I’aimantation des corps ferromagnétiques

en relation avec l’hypothése de l’énergie au zéro absolu. - P. 8-17, 86-88.

Deux formules ont été proposées par Planck pour représenter

-

l’énergie E d’un résonateur de fréquence v à la température abso-

lue ’1’ :

est égal ii 6,7 . i0"~ et K à i,22 .10"~. Dans le premier cas,.

,

pour T

.-

0, on a E

_-__

0 ; dans le second, pour T

=

0, E est égal

à c’est-à-dire qu’il existe encore au zéro absolu une énergie égale à un demi-quantum. La loi du rayonnement noir peut être

obtenue indifféremment avec l’une ou l’autre formule ; de I11ême la

loi de variation de la chaleLr s écifi d’un cor s solide.

loi de variation de la chaleur spécifique T. d’un corps solide.

Einstein et Stern (’ ) ont montré que les expériences réalisées par

(1) J. cl. Phys.. 5~ série, t. III, p. 553; 1913

Références

Documents relatifs

et l’intensité du champ. Relation entre l’effet du champ electrique. et la nature des raies.. LA MÉTHODE EXPÉRIMENTALE. 2013 Elle est essentiellement la même que celle

conclu que cette température est la même que celle de Ia flamme au même point. IL Schmidt ( ‘-’j a déterminé d’autre part la

deux sortes d’absorption sélective : l’absorption d’ensemble (Ge- samtabsorption schleelîtin), quand la source lumineuse est une petite portion de spectre continu;

Elle augmente d’une manière importante quand l’intensité de courant maximum dans le circuit oscillant diminue.. Ce résultat est d’accord avec le fait que la nature

une valeur plus grande de la tension superficielle que la méthode d’ascension dans les tubes, tandis que, pour l’alcool absolu et les solutions alcooliques, on

Après avoir indiqué comment on pourrait prédéterminer en par- tant de la caractéristique statique la loi d’établissement des oscilla- tions produites par un arc,

Lorsque l’incidence est normale, le rapport des pouvoirs réflecteurs de deux métaux est indépendant de la difl’érence de potentiel sous laquelle ont été

Le système tournant est constitué par deux bobines égales, en série, s’équilibrant aux deux extrémités d’un axe que, pour fixer les idées, nous