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Annalen der Physik;T. XV, n° 14; 1904

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(1)

HAL Id: jpa-00241042

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241042

Submitted on 1 Jan 1905

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Annalen der Physik;T. XV, n° 14; 1904

M. Lamotte

To cite this version:

M. Lamotte. Annalen der Physik;T. XV, n° 14; 1904. J. Phys. Theor. Appl., 1905, 4 (1), pp.654-662.

�10.1051/jphystap:019050040065401�. �jpa-00241042�

(2)

654

vers l’axe des abscisses pour toutes les températures inférieures à la

température critique. Pour les températures beaucoup plus élevées,

elles sont tournées en sens inverse. La température de transition, qui correspond à la forme rectiligne de l’isotherme, est plus élevée

que la température critique pour les corps étudiés. Pour cette tem-

pérature, l’équation de Van der Waals est rigoureusement vérifiée

pour toutes les substances étudiées; aussi l’auteur propose-t-il de l’appeler température de Van der Waals.

L. MAi’sEL. -- Sur la théorie de l’arc chantant. - P. 267.

D’après les expériences de l’auteur, la formule de Duddell et

Janet : dv 0 (où do est l’accroissement momentané de la force élec- tromotrice de l’arc, et 0 l’accroissement momentané du courant)

ne jouerait aucun rôle dans le phénomène.

De plus, le courant ne serait nullement sinusoïdal. Les théories de

Duddell, Janet et Granquist doivent donc être abandonnées.

L’auteur propose une théorie nouvelle pour les remplacer.

L’examen des formules montre qu’il y a des conditions pour les-

quelles les oscillations ne cesseraient jamais dans le circuit, les

pertes d’énergie par l’effei Joule étant constamment compensées par le générateur de courant continu.

KLEIN.

ANNALEN DER PHYSIK;

T. XV, n° 14; 1904.

A. Ueber das ivechselfeld und den Wechselstromwiderstand

von Spulen und Rollen (Champ nlagnétique et résistance des bobines longues

et plates pour les courants alternatifs).

-

P. ~73-70J.

P. D RUDE. - Die Dampfung von Kondensatorkreisen mit Funkenstrecke (Amortissement dans les circuits de condensateur avec étincelle).

-

P. 709-768.

L’amortissement passe par un minimum quand la longueur de

l’étincelle est comprise entre certaines limites qui peuvent varier

avec la bobine employée. Dans cet intervalle, le décrément y, du cir-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019050040065401

(3)

655 ouit primaire est à peu près indépendant de la longueur de l’étin- celle.

Quelles quesoient la capacité C~.et la self-induction L. (C, Lf

=

C1e),

on peut toujours ramener sensiblement à la même valeur,

pourvu que la bobine d’induction ne soit ni trop forte, ni trop faible.

Il est nécessaire ainsi que le condensateur ne possède pas d’hysté-

résis diélectrique et ne laisse pas passer les décharges par aigrettes.

Lorsque les étincelles éclatent entre des pôles de zinc et ont une longueur de 1 à 2 millimètres, le décrément minimum y, est compris

entre 0, 07) et 0,08, et le rapport C2 : L1 peut être augmenté jusqu’à

la valeur ’l’l. Il faut éviter, pour obtenir des valeurs aussi faibles du

décrément, les étincelles auxiliaires, telles qu’on les emploie dans le dispositif de Righi.

Un condensateur formé de plaques métalliques baignées dans le pétrole ou dans une huile isolante satisfait aux conditions énoncées.

Les électrodes de zinc peuvent fonctionner longtemps sans être nettoyées et sans que la valeur du décrément augmente notable-

ment. Cependant on constate, immédiatement après un polissage,

une légère diminution de y, f et une augmentation de l’énergie reçue

dans le résonateur. Lorsque la capacité C~ est petite, on observe

une diminution de Jf assez marquée pendant le fonctionnement. Il

n’y a pas d’avantage à employer un transformateur de Tesla à la

place de la bobine ordinaire, sauf quand C~ est petit ; mais il convient mieux de faire éclater l’étincelle dans le pétrole.

L’énergie recueillie dans le résonateur croît d’abord, quand la longueur de l’étincelle augmente, puis diminue. Elle croît notable- nient quand on augmente la puissance de la source, parce que les

décharges partielles deviennent plus nombreuses. La longueur

d’étincelle qui correspond au maximum d’énergie dans le résona-

teur est plus petite en général que la longueur correspondant au

minimum de 7~, quand l’excitation est puissante ; ces longueurs

sont à peu près les mêmes quand l’excitation est faible.

Pour obtenir le plus d’énergie possible dans le transformateur,

il faut employer des étincelles très courtes j5 millimètres pour

ci = 360U0 centimètres ; pour de plus petites valeurs de C~,

La résistance de l’étincelle calculée d’après le décrément y, dépend

peu de la longueur de l’étincelle, beaucoup plus de la capacité C~ et

de la self-induction du circuit ; elle croît avec C, et décroît quand L,

augmente. Par exemple, pour une grande capacités C~ et une faible

(4)

656

self-induction L,, cette résistance peut descendre à 0,18 ohm pour

une longueur de pour une faible capacité et une grande self- induction, elle est par exemple 2,1 ohm pour Imn,5. Toutes choses

égales d’ailleurs (excitation, capacité, longueur d’étincelle), la résis-

tance de l’étincelle dépend beaucoup de la self-induction du circuit.

M. LAMOTTE.

E. NESPER. - Strahlung von Spulen (Rayonnement des bobines).

~

P. ~68-i93.

L’auteur a étudié le rayonnement des bobines d’après l’énergie

transmise par ces bobines à une antenne placée à quelques mètres

de distance. Le caractère de ce rayonnement est à peu près le même

pour une bobine et un fil rectiligne tendu ; il est d’autant plus intense

°

que le diamètre de la bobine est plus petit.

Si on dispose aux deux pôles de l’excitateur deux bobines iden-

tiques, enroulées dans le même sens, le rayonnement est très petit

à partir d’une distance égale à la demi-longueur d’onde des oscillations.

Il n’en est plus de même si les deux bobines sont enroulées en sens

contraire.

Quand on fait varier le nombre des spires, l’intensité du rayonne- ment varie suivant une loi triplement périodique périodes : 1 /4 spire,

et

·

4,4

,

4 ).

Un réflecteur placé derrière l’excitateur provoque un minimum ou un maximum du rayonnement suivant que sa distance à l’excitateur est 1/2, 3/~ou 1/4, 3/4...longueurs d’onde.

Un noyau de fer diminue le rayonnement de la bobine, d’autant plus qu’il est plus divisé.

Le pouvoir inducteur du milieu dans lequel est plongée la bobine

exerce sur le rayonnement une influence notable, mais qu’on ne peut sépa rer de celle de la conductibilité.

M. LAMOTTE.

F. tiENNING. --- Beobachtungen mit astatischen Torsions magnetometern (Observations avec les magnétomètres de torsion astatiques).

-

P. 815-828.

Il s’agit des magnétomètres décrits par Kohlrausch et Holborn.

(5)

657

L’auteur a étudié les facteurs de sensibilité et les perturbations

de ces instruments, l’un installé à poste fixe, l’autre transportable.

llls LAMOTTE.

W. NERNST et F. voN LERCH. - Ueber die Verwendung des elektrolytischen

Detektors in der Brückenkombination (Emploi du détecteur électrolytique dans

le pont de Wheatstone). - P. 836-84..

Ce détecteur est formé par deux électrodes de platine plongées

dans une dissolution d’acide sulfurique ou de potasse et polarisées

par une force électromotrice de 2 volts environ. L’anode doit avoir la plus petite surface possible : c’est un fil de platine de de

diamètre scellé dans un tube de verre et coupé au ras du verre. Si

on fait agir dans ce circuit, outre la force électromotrice polarisante,

une force électromotrice alternative, on observe immédiatement une

augmentation du courant continu. Puis aussitôt le détecteur revient à son état primitif. La variation peut être décelée par le téléphone

ou le galvanomètre.

Monté dans le pont d’un réseau de Wheatstone, ce détecteur permet d’effectuer les mesures de résistance ou de capacité en employant des courants de très haute fréquence.

M. LAMOTTE.

H. WOMMELSDORF. - Einfluss der Polarisatorstellung auf die Strol11leistung

der Influenzmaschinen mit Doppeldrehung (Influence de la position du con-

ducteur diamétral sur le débit des machines électrostatiques à double rota- tion).

-

P. 842-854.

D’après les mesures effectuées sur une machine à dix plateaux,

en faisant varier l’orientation de l’un des conducteurs diamétraux, tandis que l’autre restait vertical, le débit et la différence de poten- tiel et le rendement conservent leur valeur maximum tant que

l’angle des deux conducteurs reste compris entre £5° et 68°. En

dehors de ces limites, le débit et le rendement tombent rapidement

à 0°, par suite des décharges internes. La valeur de l’angle par

laquelle l’intensité commence à décroître dépend d’autre part de la

différence de potentiel ; cet angle est d’autant plus petit que la dif- férence de potentiel est plus grande.

1I LAMOTTE.

(6)

658

K. HONDA et S. SHIMIZU. - Gerber den Villarischen kritischen Punkt bei Nickel (Sur le point critique de Villari dans le nickel).

-

P. 855-859.

Discussion de leurs expériences et réponse aux critiques de

M. Heydweiller. A la suite de nouvelles expériences effectuées sur

des fils, les auteurs concluent encore à l’absence du point critique

de Villari dans le nickel.

M. LAMOTTE.

T. XV, n° 15 ; 1904.

J. ILOCH. -- Einige Untersuchungen iiber den elektrischen Funken, besonders über die physikalischen Bedingungen für sein Erloschen (Quelques expé- riences sur l’étincelle électrique, en particulier sur les conditions physiques de

son extinction).

-

P. 865-906.

Un condensateur ne se décharge pas complètement par une étin- celle ou un courant de lueurs, mais garde une certaine charge rési- duelle, indépendamment des résidus de polarisation du diélec-

trique.

Pour une longueur d’arc déterminée ),, on peut construire une

caractéristique ayant pour abscisses les intensités i du courant et pour ordonnées les différences de potentiel entre les électrodes.

Soient E la force électromotrice totale, r la résistance du circuit,

on aura :

Prenons sur OV le point E, dont l’ordonnée représente E, et joi-

gnons ce point au point de coordonnées (V, i), et soit tang q¡ le

coefficient angulaire de cette droite :

Si, laissant la résistance r constante, on fait décroître E, la

droite se déplacera parallèlement à elle-même et finira par devenir

tangente à la caractéristique. A ce moment

et le régime devient instable. Soit E,. la valeur de E répondant à

(7)

659 cette condit il y aura une valeur E,. pour chaque valeur de la résistance r. La caractéristique sera d’ailleurs l’enveloppe de toutes

les droites (E,., r).

Pendant la décharge du condensateur, la force électromotrice diminue progressivement et atteint la valeur critique E,., la décharge s’arrête ; la différence de potentiel entre les électrodes et l’intensité sont représentées à ce moment par les coordonnées du

point de contact de la droite (E,., r) avec la caractéristique. C’est la

différence de potentiel résiduelle. Les résultats expérimentaux

s’accordent avec cette théorie.

La nature du métal qui forme les électrodes n’a pas d’influence

appréciable sur la valeur du potentiel résiduel.

Lorsque la self-induction du circuit n’est pas négligeable, la force

électromotrice de self-induction s’ajoute à celle du condensateur. La

décharge s’arrêtera quand la différence de potentiel résiduelle du condensateur augmentée de la force électromotrice de self-induction

sera égale à la valeur critique calculée par un circuit sans induction.

La grandeur de la capacité ni celle de la différence de potentiel

initiale n’influent sur la différence de potentiel résiduelle.

Les caractéristiques, construites d’après les déterminations de la différence de potentiel résiduelle, s’accordent en gros avec celles

qu’on obtient en régime stationnaire du courant par lueurs. Ces

caractéristiques sont représentées très exactement par une équation

de la forme :

On en déduit la relation ~

entre la différence de potentiel résiduelle V,. et la résistance r.

La formule de Heydweiller n’est exacte que pour les très grandes

résistances.

L’énergie totale de l’étincelle est donnée par :

si la résistance est assez grande, i, désignant la durée de la

décharge. C’est seulement d’une manière approchée et pour les

(8)

660

grandes résistances qu’elle est proportionnelle à la durée et indé- pendante de l’intensité, comme l’avait annoncé Heydweiller.

,

M. LAMOTTE .

J. JAQIES. - Die Abraham-Lemoinesche Méthode zur Messung sehr kleiner Zeitintervalle und ihre Anwendung zur Bestimmung der Richtung und Gesch- windigkeit der Entladung in EntladungsrÕhren (Méthode d’Abraham-Lemoine pour la mesure des intervalles de temps très petits : application à la détermi-

nation du sens et de la vitesse de la décharge dans les tubes à décharges).

-

P. 954-988.

>

Les courbes qui représentent la relation entre la différence de

phase y et le temps 1 ne seraient pas toujours concaves vers l’axe

des t, comme l’ont trouvé Abraham et Lemoine.

Pour appliquer la méthode à l’étude des décharges, l’auteur a

inséré le tube à décharges dans le circuit de l’étincelle et déterminé les valeurs de p pour deux points du tube séparés par une certaine

longueur de celui-ci (les parois sont entièrement noircies, sauf en

ces deux points). Ces valeurs ont été toujours les mêmes; on n’en

peut rien conclure, par conséquent, sur le sens de la vitesse de la

décharge. L’angle o ne change plus quand on porte le retard du rayon à 4 mètres et davantage. La décharge et l’étincelle ont donc une

durée supérieure à l’intervalle de temps que la lumière emploie à parcourir cette distance. D’après cette observation, la vitesse de la

décharge se rapprocherait de la valeur indiquée par Spottiswoode et Moulton, et ne s’accorderait pas avec ce qu’a trouvé J.-J. Thomson.

M. LAMOTTE.

R. HEILBRUN. - Ueber den sogenannten Halleiekt in Elektrolyten (Sur le prétendu effet Hall dans les électrolytes).

-

P. 988-1003.

Du sulfate de cuivre est électrolysé par un courant horizontal, dans un champ magnétique horizontal aussi et perpendiculaire au

courant : la cathode est divisée en trois parties égales, superposées ;

on ne constate pas dans le poids du dépôt de différence supérieure

aux différences provoquées par les causes perturbatrices.

La détermination des lignes équipotentielles dans une couche

mince d’électrolyte montre que ces lignes se déforment dans le

champ magnétique ; mais le phénomène ne change pas de sens avec

le champ. Il demande un certain temps pour se produire et dispa-

(9)

661 rait plus lentement. Il cesse de se produire quand on ajoute de la gélatine à l’électrolyte.

Il est donc fort probable que la déformation des lignes de courant

constatée par divers observateurs est un phénomène secondaire, provoqué par la rotation électromagnétique de l’électrolyte.

M. LAMOTTE .

E. RIECKE. - Ueber Evakuation Geisslerschen Rôhren durch den elektrischen Strom (Raréfaction produite dans les tubes de Geissler par le courant élec-

trique).

-

P. 1003-1009.

H. WOMMELSDORF. -- Ueber den Scheibenabstand der Influenzmaschinen

(schâdliche Ladungen, 0zongeblàse) (Sur l’écartement des plateaux dans les

machines à influence : charges nuisibles, soufflet à ozone).

-

P. 1019-1026.

Les machines à double rotation ont un débit maximum pour un écartement déterminé des plateaux. Si on diminue cet écartement,

la machine s’amorce très vite et elle garde en apparence sa charge pendant très longtemps. Mais quoique, dans l’intérieur, on constate

des signes d’une très vive électrisation, le débit et la différence de

potentiel utiles entre les pôles extérieurs ne dépassent pas le 1 /3 ou

même le 1/5 de leur valeur maximum.

Il faut chercher la cause de cette diminution dans les charges électriques qui s’accumulent sur la face postérieure des plateaux et

retiennent une partie des charges utiles qui se trouvent sur la face antérieure ; celle-ci n’est plus entièrement déchargée par les peignes

ou les balais. L’effet de ces charges « nuisibles » croît quand on

diminue l’écartement des plateaux. On pourrait le réduire, ou en polissant la face postérieure des plateaux et la maintenant exempte

de poussière, ou en enfermant la machine de manière à la faire fonc- tionner dans l’air comprimé.

Si les plateaux sont rapprochés, l’effet extérieur de la machine peut devenir presque nul, tandis que les décharges intérieures,

entre les faces internes des plateaux, sont très actives. Si la machine est enfermée dans une cage la serrant d’aussi près que possible et qu’on fasse passer dans cette cage un courant d’air séché et filtré, on

obtient une forte ozonisation, on a un ozoniseur réduit à un seul appareil (soufflet à ozone).

LAMOTTE.

(10)

662

F.-W. ADLER. - Ueber einen Kontrolapparat für Thermoelemente

(Appareil de contrôle pour les éléments thermoélectriques).

-

P. 1026-1032.

Le dispositif est destiné à vérifier que la soudure de l’élément est à la température voulue. La soudure est introduite dans le réservoir d’un thermomètre à mercure, dont la tige est munie d’un contact

électrique. Si la température varie, un circuit est fermé en dériva-

tion sur celui de l’élément ; la déviation du galvanomètre diminue,

alors brusquement.

L’appareil peut être disposé de manière à avertir d’une variation de la température, qu’elle se produise dans un sens ou dans l’autre.

M. LA1I OTTE .

1

F.-W. ADLER. - Ueber einen Disjunktor für hohe Potentiale

(Disjoncteur pour les potentiels élevés).

-

P. 1033-1043.

Ce disjoncteur peut fonctionner comme interrupteur ou comme

commutateur : il permet de transformer un courant alternatif en

courants de sens constant. C’est une sorte de commutateur de Pohl dans lequel les contacts sont commandés par des leviers. Ces leviers vibrent sous l’action d’électro-aimants excités par une source de courant indépendante, comme dans l’interrupteur de Foucault.

M. LAIViOTTE.

G. GIESEL. - Bemerkung zu der Arbeit von K.-A. Hofmann, L. Gonder und V. Wôlû : Ueber induzierte Radio-aktivitât (Remarque sur le mémoire de K.-A. Hofma.nn, L. Gonder et. Wôlfl : Sur la radio-activité induite). - P. ~048.

L’auteur réclame la priorité sur certains points signalés dans le

mémoire cité.

M. LAMOTTE.

,

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