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Annalen der Physik - T. xxxiv, n° 2 ; 1911

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(1)

HAL Id: jpa-00241664

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241664

Submitted on 1 Jan 1911

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F. Croze, R. Jouaust, A. Grumbach, Marcel Boll, J. Guyot, Labrouste

To cite this version:

F. Croze, R. Jouaust, A. Grumbach, Marcel Boll, J. Guyot, et al.. Annalen der Physik - T. xxxiv, n° 2 ; 1911. J. Phys. Theor. Appl., 1911, 1 (1), pp.233-241. �10.1051/jphystap:0191100103023300�.

�jpa-00241664�

(2)

ANNALEN DER PHYSIK ;

T. XXXIV, 2 ; 1911.

LA ROSA. - Sur le spectre de la lumière émise par un charbon chauffé électriquement. - P. 222-234.

En étudiant, avec un spectrographe, la lumière émise par un char- bon chauffé électriquement au moyen du dispositif décrit dans un

mémoire précédent (1), M. La Rosa a observé les faits suivants :

~ . On opère à l’air libre. Si le charbon est chauffé graduellement jusqu’à la plus haute température qu’il soit possible d’atteindre, le spectre comprend deux parties. La première est constituée par une bande continue, due évidemment au charbon incandescent; la

deuxième est composée d’un fond continu peu intense, sur lequel se

détachent très vivement t les g roupes II, III, I V et V du spectre de Swan et des raies moins intenses provenant des impuretés métal- liques. On aperçoit seulement de très faibles traces du groupe 111 du

cyanogène. La première ou les deux premières têtes du troisième groupe de Swan apparaissent finement renversées.

Si le charbon est chauffé brusquement par un courant très

intense, le spectre continu et les bandes de Swan deviennent très

faibles, tandis que les raies métalliques sont au contraire longues et

très intenses.

2. Le charbon soigneusement purifié est placé dans une atmosphère

d’azote pur. Alors le spectre de Swan reste très intense, les raies métalliques disparaissent complètement et l’on observe seulement de faibles traces des bandes du cyanogène.

De ces faits, l’auteur tire les conclusions que voici :

1. Le spectre de Swann n’est dîi ni aux hydrocarbures ni à l’oxyde

de carbone, mais à la vapeur du carbone lui-même.

2. La présence de l’oxygène est nécessaire à l’apparition des raies métalliques. Son action consiste à dissocier les carbures qui doivent

se former dans les couches les plus chaudes de la vapeur.

(1) Voyez ce volume, p. 156.

J. de Phys., 5" série, t. I. (,Nlars 191i.) 17

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0191100103023300

(3)

MiECZYSLAw Imageas d’un réseau obtenues

avec différents diaphrabmes.- P.2i’I-3i0

L’auteur étudie, d’après la théorie fondamentale de Abbe sur la vision dans un microscope des objets non lumineux par eux-mêmes, les images d’un réseau obtenues en éliminant, à l’aide de diaphragmes appropriés, différents éléments de la lumière transinise.

Le phénomène de la formation des images ’,comprend deux temps : le réseau donne par diffraction une image primaire, for-

mée d’une série de maxima principaux entre lesquels se trouvent

N-2 maxima secondaires, si N est le nombre des fentes d u réseau ;

2° cette image primaire est reprise par l’objectif,et l’on obtient ainsi

l’image proprement dite. A cause des phénomènes d’interférence qui

entrent ici en jeu, sa forme dépend de la façon dont est diaphragmée l’image primaire.

Si tous les maxima de diffraction sont éliminés, la lumière trans- mise directement restant seule, l’image obtenue est une plage dont

l’éclairement décroît d’une façon continue du centre sur les bords et sans aucune trace de la structure du réseau.

Si, éliminant la lumière directe, on laisse passer seulement les deux maxima d’ordre i, le réseau apparaît comme formé de 9-Ni

fentes. Au contraire, l’image aurait seulement Ni fentes si la lumière directe agissait en même temps que les deux maxima d’ordre i.

Les phénomènes deviennent encore plus complexes lorsqu’on laisse agir à la fois des maxima d’ordre différent, et il faut alors tenir compte de la largeur des fentes du réseau.

F. GnozE.

,

E. GUMLICH et W. ROGOWSKI. - Mesure de la perméabilité du fer

dans les champs très faibles (perméabilité initiale).

-

P. 23~-2~~.

Les auteurs ont rencontré dans ces mesures de grosses difficultés

qui, d’après eux, semblent jeter un certain doute sur les résultats fournis par les travaux antérieurs.

Une désaimantation parfaite de l’éprouvette est nécessaire, et en

cherchant à opérer sur des barreaux placés dans une culasse, ils

constatèrent que les résultats n’étaient pas les mêmes, suivant qu’on

désaimantait séparément ou simultanément l’éprouvette et la culasse.

1

(4)

Ils durent opérer par la méthode balistique, en circEd

Olccert, en plaçant les barreaux à étudier dans une ,bobine longue,

orientée perpendiculairement au champ terrestre. L’opération de la

désaimantation se faisait dans cette bobine, sans qu’on eût à déplacer l’éprouvette.

Cette désaimantation doit être conduite d’une façon progressive et

Les rhéostats ne se prêtent pas à cette opération. Les auteurs ont employé le courant alternatif, la bobine magnétisante étant alimentée

par un transformateur, dans lequel on pouvait faire varier les posi-

tions relatives du primaire et du secondaire de façon à amener très régulièrement le courant magnétisant d’une valeur donnée à une

limite excessivement faible. Les éprouvettes étaient des cylindres de

de diamètre et de longueur variable. Une étude préliminaire

montra que dans les champs inférieurs à 0,1 gauss, il était possible

de trouver des facteurs permettant de corriger les résultats pour les

ramener à une longueur uniforme de 33 centimètres. D’autre part, l’étude de barreaux transformés ensuite en ellipsoïdes fournit les renseignements nécessaires pour tenir compte de l’influence déma-

gnétisante des extrémités. Les expériences sur les tôles ont été

faites sur des anneaux.

Gumlich et Rogowski ont opéré entre 0,01 et 0,5 gauss, l’extra-

polation leur fournissant la valeur de la perméabilité pour H = 0.

Les résultats auxquels ils arrivent sont les suivants :

Contrairement aux affirmations de lord Rayleigh, il y a de l’hysté-

résis dans les champs faibles (une rémanence de 7 0 /0 environ pour H = 0,0 1). La courbe de première aimantation est un peu au-dessus de la courbe de renversement.

En général, les corps ayant une perméabilité maxima élevée ont également une grande perméabilité initiale, mais il y a des excep- tions. Un premier recuit augmente en général la perméabilité ini-

tiale qui, dans la fonte, passe de 69,4 à 76, un second recuit peut la diminuer.

La trempe la diminue et la fait passer dans un acier dur due 72 à 43.

Les plus grandes valeurs de la perméabilité initiale ont été obser-

vées sur les aciers au silicium utilisés aujourd’hui en électro-

technique, environ]520, alors que le fer de Suède recuit n’a que 470

et un acier ordinaire pour dynamo 490.

(5)

Les auteurs ne sont pas d’avis qu’on cherche à représenter p.. en

fonction de H par une formule linéaire, car non seulement les coef- ficients de cette formule varieraient beaucoup d’un corps à l’autre,

mais aussi les limites dans lesquelles elle serait applicable.

R. JOUAUST.

K. REIGER. - Sur la propagation des déformations par cisaillement dans les gaz.

-

P. 258 et 216.

L’auteur a montré précédemment (1) que, dans les liquides, ces

sortes de déformations sont régies par l’équation classique :

(cw, vitesse angulaire dans la direction de propagation Ox; -fi, visco-

sité ; p, densité).

De plus le coefficient d’absorption des ondes ~ est lié à la période T

de la vibration par la relation :

Pour étudier ces phénomènes dans un gaz, l’auteur fait vibrer dans celui-ci une plaque entretenue électriquement ; l’agitation en

un point est connue au moyen d’une sonde constituée par un fil

rigide de verre ou de quartz parallèle à la plaque ; ce fil porte un petit miroir de 1 millimètre carré.

1B1. Reiger établit que la période propre d’oscillation de l’équipage

doit être égale à T pour que la sonde donne l’amplitude propre du mouvement du gaz.

Des expériences ont été faites à des pressions inférieures à la pres- sion atmosphérique ; quand la raréfaction augmente, la distance au

centre d’ébranlement des points le cisaillement se produit encore

croît notablement.

L’auteur a constaté que le temps de relaxation des gaz est faible

comme celui des liquides. La théorie classique du frottement inté- rieur est done satisfaisante. De plus, l’absorption des ondes est

moindre dans les gaz que dans les liquides peu visqueux tels que

l’eau. A. GRUMBACH.

(l) Ann. cl. Phys., XXXI, p. 51; 1910.

.

(6)

OTTO IIEINROBER. - Sur l’absorption et la réflexion des rayons infra-rouges par le quartz, la tourmaline et le diamant. - P. 3~3-37?.

Nyswander a montré (1) que les corps dichroïques suffisamment absorbants possèdent, comme on devait s’y attendre, un pouvoir

réflecteur différent suivant l’état de polarisation du rayonnement incident. L’auteur du présent travail a opéré sur un domaine qui

s’étend de 1 p à 15 u., parfois jusqu’à 18 u..

L’instrument de mesure choisi par Reinkober est la pile thermo- électrique de Rubens, associée à un galvanomètre à cadre mobile

très sensible. La pile se compose dequatorze soudures formées pardes

fils de fer et de constantan ; mais on augmente considérablement la sensibilité des mesures, en plaçant la pile thermoélectrique daxls un

vide très poussé, au moyen d’une pompe de Sprengel, par exemple.

L’auteur indique les résultats de ses recherches sur l’influence du vide dans les appareils de mesure de l’énergie rayonnante et com-

plète les expériences de E. BVarburg, G. Leithaüser et E.-S. Khanser

sur le bolomètre. Plus encore que pour le bolomètre, il y a intérêt pour la pile thermoélectrique à opérer dans le vide; car si, à la pres- sion ordinaire, la sensibilité du bolomètre est 2,6 fois plus grande que celle de la pile, elle n’est plus que 2 fois plus grande dans le vide.

Quand il opère en lumière polarisée, l’auteur utilise un miroir de

sélénium, siir lequel il fait tomber la lumière sous l’incidence brewstérïenne calculée par application des formules de réflexion de Fresnel.

Otto Reinkober a résumé l’ensemble de ses déterminations par des courbes; celles qui sont relatives à la réflexion ont porté sur le quartz cristallisé, sur le quartz amorphe (verre de quartz), sur la

tourmaline et le diamant.

D’une manière générale, le pouvoir réflecteur du verre de quartz

est plus faible que celui du quartz cristallin, mais en somme ils dif-

fèrent peu et présentent des maxima correspondants. Ce pouvoir réflecteur, qui n’est environ que de pour 1 u., décroît, devient sen- siblement nul à 7;~, augmente jusqu’à 0,8 vers 8 ou 9 p, puis reste

dans le voisinage de 0,1 sauf vers 13 u. où il atteint un maximum égal à 0,4.

"

(1) Phys. Rev.. 28, p. 291, ~.909; J. le Phys., 4e série, t. lx, p.

(2) J. de 4e série, t. VIII, p. 120 ; 1910.

(7)

Le pouvoir réflecteur de la tourmaline varie encore plus avec la longueur d’onde, il présente des maxima et des minima assez nets.

Les phénomènes sont compliqués de ce fait que la tourmaline est très fortement pléochroïque pour ces grandes longueurs d’onde ; les

courbes sont assez différentes pour la lumière naturelle et pour de la lumière polarisée normalement à l’axe ou parallèlement à l’axe.

Le diamant, au contraire, présente ceci de très remarquable que

son pouvoir réflecteur est rigoureusement constant et très voisin de

0,17 entre 1 p et 19 ti.

Enfin l’auteur donne des courbes de transparence de ces mêmes

corps dans la même région du spectre. C’est ainsi que la transpa-

rence d’une lame de verre de quartz de om111,07 d’épaisseur reste

sensiblement de 0,9 jusqu’à 5 1-L, diminue rapidement entre 5 IL et 8 u.,

puis reste aux environs de 0,04, sauf vers 11 u. elle passe par un maximum égal àO,2.

La tourmaline (épaisseur omm,1) est très transparente entre 1 p. et

4 1-L, sauf une forte et étroite bande d’absorption un peu avant 3 (J...

Enfin le diamant de 1~,26 d’épaisseur est très transparent (0,7)

entre 1 p. et 18 p. sauf une large bande d’absorption comprise entre 3 u, et 6 ~., dans laquelle la transparence peut tomber jusqu’à 0,12.

Marcel BOLL.

A. EUCKEN. - Sur la relation entre la conductibilité calorifique des corps solides non métalliques et la température,. - P. ~.8~-~~1 ; 19ii.

La substance à étudier b, taillée en parallélipipède, est placée entre

deux plateaux de cuivre a et f ; le plateau a est chauffé électrique-

m ent par un courant, le plateau f maintenu à la température exté-

rieure. De la chaleur passe donc du plateau a au plateau f, en tra-

versant la substance, c’est-à-dire par conductibilité, et, quand le régime permanent est établi, la quantité de chaleur Q apportée par le courant au plateau est égale à la quantité de chaleur qui s’en échappe. Soit dt, la différence de température (10 ou 2°) présentée

par les plateaux de cuivre et par conséquent par les plans qui limitent

la substance, h la distance des plateaux, q leur section. La conduc-

tibilité A est donnée par l’équation :

(8)

En réalité, la quantité de chaleur Q - facile à mesurer, puisque

c’est la chaleur dégagée par un courant connu dans un fil de résis- tance connue - n’est pas entièrement transmise au plateau / par

conductibilité.

~1° Une partie de cette chaleur est perdue par rayonnement ou conductibilité à travers le gaz environnant ;

2° La substance et les plateaux ne sont jamais parfaitement au

contact et lassent entre eux une couche intermédiaire plus ou moins complètement remplie de gaz, à travers laquelle se fait la chute de température.

Des corrections sont donc nécessaires. Chez les corps bons con- ducteurs (cristaux), la perte de chaleur à l’extérieur est relativement

mininle, par contre l’influence de la couche intermédiaire est impor-

tante et il est plus favorable d’employer la substance sous forme d’un plateau épais. C’est l’inverse chez les substances mauvaises conduc- trices étudiées sous forme de plateaux minces.

Les mesures ont été effectuées dans l’air liquide, dans le mélange Deige carbonique et éther, dans la glace fondante et dans l’eau

bouillante.

Les principaux résultats sont les suivants :

A.

-

i 0 La résistance thermique (~) est sensiblement

proportionnelle à la température absolue. Cette loi est rigoureuse

pour le quartz perpendiculaire à l’axe ;

2° La nature du système cristallin semble n’avoir aucune influence

sur la valeur absolue de la conductibilité d’un cristal à une tempéra-

ture déterminée;

.

31 La valeur absolue de la conductibilité est d’autant plus grande : a) que le nombre d’atomes dans la molécule est plus g rand ; b) que le

point de fusion est plus élevé. Les cristaux dont les molécules sont bi ou triatomiques ont sensiblement même conductibilité au point de

fusion (0,00430 environ).

B. Stibstcoîces C’ristallines (marbre, naphtaline, soufre, bétol...). -

La résistance thermique est à peu près proportionnelle à la tempé-

rature absolue, mais l’écart est plus grand que chez les cristaux. La valeur absolue de la conductibilité est plus petite que pour les cris- taux de même nature chimique, ce qui peut s’expliquer par des ré-

sistances thermiques existant entre les différents petits cristaux qui

composent la substance cristalline.

(9)

C. Corps 11 La conductibilité des corps amorphes augmente avec la température, à peu près dans le même rapport que les chaleurs spécifiques

-

résultat qui peut être rattaché à la théorie

de Planck-Einsiein ;

2° En valeur absolue, la conductibilité des corps amorphes est toujours inférieure à celle des mêmes corps cristallisés; mais, au point

de fusion le cristal et le corps amorphe ont même conductibilité.

J. GUYOT.

KARL TANGL. - Recherches expérimentales sur la tension superficielles

à la surface de séparation d’un solide et d’un liquide.

-

P. 311-342.

L’auteur de ce travail indique une méthode qui lui a servi à dé-

terminer la différence entre les tensions superficielles solide-liquide

et solicie-gaz, dans le cas des contacts caoutchouc-eau, caoutchouc- air humide et aussi dans le cas des contacts paraffine-eau, paraffine-

air humide.

Le principe de la méthode est le suivant : Un tube horizontal de

caoutchouc, convenablement maintenu, est fermé à un bout et est en

relation par l’autre avec un tube de verre capillaire également hori-

zontal et extérieur au vase. Le tube de caoutchouc est entièrement

rempli d’eau ainsi qu’une partie du tube capillaire. Tout changement

de volume du tube de caoutchouc produira un déplacement de la

colonne d’eau dans le tube capillaire.

L’ensemble des deux tubes est placé à l’intérieur d’une cuve de verre, dans laquelle on peut introduire des quantités d’eau variables;

le tout est maintenu à température constante au moyen d’un ther- mostat. On commence d’abord par mettre un peu d’eau dans la cuve

pour saturer l’air de vapeur d’eau et on note la position de la colonne

liquide dans le tube capillaire. On verse ensuite assez d’eau dans cette

cuve pour que le tube de caoutchouc soit entièrement immergé ; il est

alors soumis par unité de surface à la pression capillaire K et à la pression hydrostatique p ; il s’ensuit un déplacement à de la colonne

d’eau. On a :

c étant une constante.

Si on élève maintenant le niveau de l’eau dans la cuve, la pression

hydrostatique devient p -f - p’ ; à cet accroissement de pression cor-

(10)

respond un déplacement ~’ tel que

De ces deux observations on tire :

et la variation de tension superficielle T est fournie par :

R étant le rayon extérieur du tube de caoutchouc.

En réalité, les différents points du tube ne supportent pas la même

pressions ; l’auteur en tient compte.

Il s’est également préoccupé d’un autre phénomène : l’absorption

de l’eau, soit à l’état de vapeur, soit à l’état de liquide par le caout- chouc et sa diffusion à travers cette substance ; il pense qu’il se produit une modification superficielle du caoutchouc sous l’effet de

l’eau, entraînant des changements de la tension superficielle avec le

temps.

En recouvrant le tube de caoutchouc soit de paraffine, soit de

métaux (disposés en couche mince), on peut étudier, de la manière

indiquée, la variation de tension superficielle de ces substances, ré-

sultant de leur contact successif avec un gaz, puis un liquide.

RésuZtrzts.

-

Les valeurs de T pour le caoutchouc sont négatives

et assez variables ; la tension superficielle tend à augmenter la sur- face de séparation, quand on passe de l’air humide à l’eau. On trouve que la valeur absolue de T est tantôt supérieure, tantôt inférieure à celle de l’eau baignée par l’air (7,5).

Les valeurs de T pour la paraffine sont positives et inférieures à 7,5.

Les expériences relatives au caoutchouc métallisé sont en cours

d’exécution.

LABROUSTE.

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