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Google. We also ask that y ou: About Google Book Search. Usage guidelines

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Academic year: 2022

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qooqle

.com/

(2)

Google

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qooqle

.com|

(3)
(4)
(5)
(6)
(7)

Kf'T

(8)
(9)
(10)
(11)

LE MAÇON

D È M A S Q U É,

O

U

LE VRAI SEC&ET 3DE5

FRANCS MAÇONS.

J

9

Mis

aujour dahstoutesfespartiesave*

fincérité

&

fans déguifemenc.

Si*

mm

faiauditaLan!,fitnumttuvtflrt

Paadinruallé ttrrë

9

laUtiuimariai Fifg,'Emd,t.

D.fionVrafic-Maçonftperdoit,onletroirefiézrollt

«i entre léqocrre»fitleCompile»

A LONDRES

,

Chés

Owen Temple

Bar. rÿjr»

ht

Prixeft un Shilling.

(12)
(13)

Touts les VÉ NF.B à .

BLES de LOGE, FRERES

PASSèS-MAlTRÈSy COM*

PAGNONS, APPRENTIFS,

ET AUTRES SUPPÔTS DE LA

MAÇONNERIE.

I

Mes Freb.es,

r

J

E

fuis

un transfuge quidé/er*

te

la

Maçonnerie pour ren-

trer

dans

le

camp des Pro~

phones, La lumière dont vous

A 2

*

m’avez

(14)

(

4

)

m’avez

fait

part ne doit

point,

ê- tre enfëvelie lous

le

Botjfeau

, il

efttems 4 e

la

plaçer

fur le

Chan-

delier

pour

defliller les

yeux des aveugles Mortels. Souffrez que

je diuippe

l’épaiffeur

de leurs ténèbres

,

& que ma main arra-

che

le

bandeau lâcré qui voiloit

vos Myltères. N’en murmurez

point, mes Freres, ou

fi

vous blâmez ma conduite, Juftifiez moy par

l’intention.

Je veux rendre lèrvice au genre humain,

& à vous mêmes. Vous êtes

vertueux, mais votre modefte vertu s’enfonçe dans l’oblcuri- té,

il

faut vous forçer de

la

faire

briller

au grand jour.

J e vous entends me repro- cher que je

trahis

un fècret pro-

*

mis

(15)

(

f)

mis & juré entre vos mains

:

je

l’avoue, hélas, ma bouche a

prononçé ce ferment

fatal,

mais

mon cœur ofè

la

défà vouer. Urç jurement mêlé de blafphêmes ne peut point

lier

nos confçien- ces dans une matière puérile

;

un engagement doit être

libre

pour être facré; on

dégage

(ans crime de celui que l’on ne prononça pas fans

crainte.

l’Ap- pareil de vos épées, nues m’a-

voit glaçé d’eflroy, & ma

lan-

gue tremblante ne

fe

prétoit qu’avec horreur à

la

triftené-

ceffité

des circonflances.

Je

briie

mes chaînes pour vous rendre ceque j’ay reçu de vous,

&

puifqu’il

faut enfin que mon

cœur

foit

criminel

, dites

moy

A3

le

quel

(16)

( 6 )

le quel des crimes

eft le

plus grand

,

d’avoir prononçé votre ferment redoutable

,

ou de

le trahir.

Je

fuis

avec

le

nombre my-

ftérieux & chéri

,

Mes Freres,

Votre trh-Humble

65* très obligé

Ser-

viteur.

TYW.

PRE'-

(17)

P R E F A C E.

J

E

développe le iecret des

Maçons

a*

vec candeur ,

&

fans partialité; je rends juftice à la vertu

, jeblâme le

vice; je raconte ce que

mes

yeux ont

,

&

ce que

mes

mains ont traçé; le public auroit tort de ne pasajouter foy à

mon

ouvrage, je n’ai aucun intérêt à

le tromper. Sije prends la

plume

, c’eft plus- tôt pour

empêcher

que les duppes ne fe multiplient

, que pour en faire.

J’ay fouvent eu pitiéde cespauvres vic- times de la curiofité qui fe févroient de huit oudix gainées pour apprendre

une

hiftoire faufle, des mots qu’ils n’enten- dent pas,

&

des lignes qui n’aboutiflent à rien.

En

France les enfants s’araufent.

à faire des Chapelles,

&

les Francs-Ma- çons tiennent des Loges. l’Uneft aulïi puérilequel’autre.l’Ouvrierferoit beau-

coup mieux

de relier à fon travailque de venir en

Loge

perdre tout à la fois fon tems,

&

fon argent;

l’homme

riche devroit avoir confçience de fe prêter à cet abus.

On

doit nous palfer un certain

nom-

bre defottifes

, parce que nous fortunes

A 4

nés

(18)

( 8 )

nés pour en faire; ainfi j’excuferai le Fropbane qui trompé par lesbelles paroi- les

du Maçon

aura

compté

fon argent

|>our être instruit de fes merveilles,

&

je blâmerai celui qui après avoir étété- moins de ces nobles fadaifes

y

retourne encore,

ou

cet autre qui étant averti

donne

dans le piège.

Avant

d’être

Maçon on

fefigurequ’il

y

a del’honneuràl’être;eft-onreçu?

on

en rougit, mais l’honneur défendde faire

un

pasenarière.

Que

des

hommes

oififs don- nent dans cesjeuxenfantins,

on

tolére- ra leur

amufement

; maisqu’ils n’entrai- nent point avec eux des gens qui pou- roient pafler pour raifonnables, s’ils n’é- toient Maçons.

Il eft tems que la Maçonnerie prenne

fin; elle

commence

àtomber dans ledif- crédit; fon fort fera celuidesgrands

em-

piresquel’onavûs s’abîmer fous lefaix deleur propre grandeur. Ses

membres

ontdégénéré en fe multipliant,

& com-

me

la ferpede l’émondeurnepouroitpas reflerrer fesbranches dansleursanciennes bornes, je crains que la hache ne coup-

pe

l’arbre par le pied.

Je connois des Frères qui s’ennuïent fortdel’être,

&

je vois encoreplus de

Pro-

(19)

(

9

) . .

Propbanes quine donnerontjamais dansle panneau.

Le

mafque levé,

on

ne voira plus que lestraces

du

charbon,

&

dela

craïe qui impriment les myftéres fuir, le plancher;

on

aura

compàmon

des Freres àce fpeélacle,

&

s’ilrefte quelque doute encore,cefera celuiquinaitdel’idéedans

la quellenous

fommes

que des minucies

ne

doivent pas occuperdes gens fages.

On

peut regarder cetouvrage

comme un

corpscomplet

&

éxaéè desCérémonies

Maçonnes

;je

me

fuisappliqué a

ne

rien omettre. Sijedétaille

ma

réception,c’eft

que j’ay cru cette

Façon

d’écrire plus

commode

pour mettre fous les yeux

du

leéleur tout ce qui fait l’effence de la

Maçonnerie. Qui voitune

Loge

,lés voit toutes. Les différencesqui ferencontrent dans lespays nefont qu’accidentelles,

&

n’empêchent point

un

Frere qui fepré- fente, d’être reconnu pourbonMaçon.

Jedéfieles

Maçons

,

même

lesplus opi- niâtres,

&

les plus zélés partifans

du

fe- cret, de pouvoir en toute confciencedif-

convenir de ce que j’avance , ou con- troller

mon

ouvrage avec fondement.

J’ofe dire qu’il

y

a

peu

de Loges

ou

le

cérémonial s’obferve avec tant d’éxaâi- tude que dans celle

ou

j’ay été reçu,

&

A 4

qu’il

(20)

( 10 )

qu’il

y

a icy a profiter pour les Freres

qui

ne

fontpas encore bien inflruits. Ils

n’encontiendront pasdevant lesPropba- nes, (ceferoitruiner toutl’édifice,) ce*

pendant, s’ilscontinuënt encore, ils fe- ront bienaifes d’avoir

mon

livre fous les

yeux

pour leur fervir de boufible, lors»

qu’ilsletrouveront embarafTés dans leurs ouvrages.

L E

(21)

(II)

LE VRAI SECRET

DES

FRANCS-MACONS &c.

»

*********

L A

ciétéMaçonnerie

d’hommes

étoitchoifis,autrefoisque l’amitiéuneSo-

unifloit par les liens de la vertu pour

&

prêter

un

fecours mutueldans leurs be- îbins: aujourd’hui elle eft

un

aflèmblage confus de gens obfcurs

ou

diftingués , touts amateurs des plaifirs de la table

,

&

tirés indiftin&ementde touts lesétats.

II eftplus aiféd’arracherle voile épais qui couvre fes myftères

, que d’aflignet l’époque de fa naifiance. Les Anciens

Maçons

moins bruyants,

&

plusdifcreti

que les

Modernes

, fuïoient la clarté

du

jour,

&

lesregards des Prophanes. l’Hif- toire garde

un

profond lilence fur leur origine,

&

nous n’avons point d’anna- les, ou de faits mémorables qui puiilènt la conftater.

Dans

ce labirintheobfcur,

ou

l’on ne

marche

qu’auhazard d’égarerfes pas,

on

peut cependant affeoirdesconjeéturesfo-

A 6

liées

(22)

( I* )

lide$ en confultant la tradition,

&

les

motifs de l’infticutionde cet ordre.

l’Angleterre eft le Théâtre fur lequel

on

place l’invention dela Maçonnerie.

C’eft vouloirdonnerdans laFable quede

la faireremonterjufquesautems deSalo-

mon, &

d’Âdoniram: ce trait, qui n’eft

S

ue fimbolique, ne tient en rienà l’hi- :oire.

Le nom de

Salomon eftlefymbofe

de

la Sagefle,

comme

fôntemple eftce- luidel’Union des Frtres, ou plus-tôt

de

la

Loge

qui les raflèmble.

On

a voulu fonderune Sociétéd’amis

,(cequi auroit

toujours êtrele vraibut de

laMaçon-

nerie)

& on

a Choifi ces Cara&ères pour les diftinguer

&

les démêler,

com-

me

onvoitl’Officier donner auSentinel- le le

mot du

guet.

Quelques perfonnes ont foupçonnéque

la

Maçonnerie

tendoit àlaréédification du

Temple

de Salomon, ou au rétablif-

fement de la

Maifon

de Stuart fur le

Thrône

d’Angleterre; foupçon vain,

&

Î

|ui n’eftaffisfur aucun

Fondement

rai- onnable. Les

Maçons ne

fongent n’y k

la Religion, n’y à l’Etat; il ne s’agiten- treeux que

de

plaifirs,maisdeces plaifirs

innocents quine doivent rien à la honte despallions brutales,

&

au crime

donc

on

(23)

( 13 >

on

les accule. Si l’onvoitde nos jours l’ivrefle

&

la débauche le gliflèr dans leurs repas,fil’amourduguain, toûjours indultrieux, a

fejoindreaugrandarc de faire des duppes, cestrillesabus font

un

effetde la foiblefie humaine,

& du

malheurdes tems.

d’Autres prétendent qu’il faut remon-

monter

jufques aux Freres Hofpitaliers de Jérufalem pour trouver les premiers Peres

&

les vraisFondateurs des

Maçons;

autre erreur, deftituéedetoute vraifem- blance.

Leur

opinion ell appuïée furce quelesHofpitaliersavoientchoifi St.Jean pour Patron ,

&

que toutes nos Loges

Maçonnes

font dédiées à St. Jean: ils concluentenfuite que vraifemblablement les Seigneurs Anglois

&

François,qui

fontengagés autrefoisdanslesCroifades, étoient Franc-Maçons.

Mais

ces gens, qui perdent de vue, ou qui ignorent le

motif de l’inllitution de notre ordre

,

ne

prennent pas gardequeSt.Jean ayant toûjoursprêchéàfesDifciples l’Union, Sc l’Amour fraternel parces mots qu’il ré*

pétoit fans felafler,

Mes

chers enfants ai-

mez

vous, les

Franc-Maçons

quiontpris la charité ,

&

l’égalité des conditions

pour

labafe deleur fociété, ont voulu,’

A

7 en

(24)

C

H

)

en

fe mettant fous les aulpices de cet Apôtre, donner à connoîcre l’efprit qui doit les animer.

Ilferaita fouhaiter que l’Hiftoirenous eût confervé le

nom

decelui qui pofa la

premièrepierre

de

ce vafleédifice. Cet

Homme

qui adroit de prétendre àl’im- mortalité, avoit

du

bonfens,

&

lesqua-

lités du cœur. Ils voïoit que touts les

hommes

fontégaux,

&

qu’il ne

manque

à leurbonheur que de vouloir lefaireen s’aimant.

Comme

les pallions de l’Hom-

me, &

les honneurs arêtent les progrès

de &

félicité, il Crut en les banniflant ramenerl’ancienne Innocence. Dès-lors

il imagina un Syllème,dontjecrois qu’il avoit pris l’idée dans la République de Platon. Je le dis encore,

&

je le dis

avec vérité , tout elt allégorique chez

lui.

Le Temple

de Salomon répréfente la

Majefté dela

Loge ou

travaillent lesFrè- res.

Les

deux Colonnesd’Airain expriment

l’apuiinébranlablequifoutientl’édifice.

l’EtoilleFlamboiante, la

Lumière

qui éclaireleurs pas.

Le

dais parfemé d’étoilles , la

com-

munication librequ’ils ont avec le Ciel

en

(25)

( lS )

en fe dégageant de» Prophanes , de des vices.

Le

niveau, l’égalité des Conditions.

l’Equerre

&

le

Compas

, la prudence

&

lacirconfpection

de

leursdémarches.

Les gans blancs, la pureté

de

leurs mœurs.

On

bande les

yeux

au Récipiendaire pour lui faire fentir l’aveuglement des

hommes

qui ont leur bonheur fous les

yeux, quipeuvent le faire,

&

qui nele

voïentpas.

On

ledépouille de touts

métaux

pour

marquer le défmtèrcflement, St le

mé-

pris desrichelles.

On

lui découvre la

mammelle

gau*

che, pourréprélenter l’Innocencedefon cœur,

&

lapureté de fes intentions(a).

On

lui

met

lepiedgauche enPantoufle,

par allufion à ce que Dieudit à

Moyft

auprès

du

buiffon ardent,àèfcàslesfeuliers de tespieds,carla terrefurla quelle tu tnar*

cher, efi une terrefmnte.

On

luitient le

genou

droitnod en

mé-

moire des Calusque St. Jean Patron de l’ordre avoit aux genoux.

Enfin

( Leshfaçonsonttortdedirequecette cérémonie eft pour connoître le Sèxé du Candidat.

(26)

(

16

)

Enfin

on

le fait voîager pour lui don*

ner à connoître qu’un

Homme,

qui eft

dans les ténèbres, doit s’avançer vers la lumière,

&

la chercher.

Les

autrescérémonies,font d’itnagina*

tion,

&

de caprice.

On

les a choifiës pourfervird’affortiment,

&

fairecorps

,

afin

de

donner quelque décence à l’ou- vrage,

&

le relever;

comme

on, voitle foldat dans fon éxercice faire des tems, qui ne fontp,oint du tout efferitiels.pour

le combat.

La

principale cérémonie au- jourd’hui eftcelledel’argentquele

Can-

didat tire de poche.

Avec

cette fom-

me

onboit à fa fanté,

on

rit à fes dé- pens,

& on

lui fait voir de très belles chofes.

Les

Signes, les

Mots,

les Attouche-

ments

font uniquement

pourfe

recon- noître; on garde le fecret là-deflus par- ce qu’en les montrant il n’y auroit plus

de

fociété particulière, mais

on

affeéjte

d’en faire un myftère,

& on

le vante

beaucoup pour picquer la curiofité des Propbanes.

Rien deplusbeau quelefyftêmeimaginé par l’auteur. JelecroisAnglois,du moins

ilmérite de l’être

,

parce qu’il n’appar- tient qu’à cette Nation de Ravoir pen-

fer.

(27)

( *7 )

fer, de mettre

l’homme

au niveau de l’homme,

&

derendre à l’humanitél’hon-

neurqui lui eft dû. Il étoit

bon

archi- tecte , mais il a eu dans lafuite deforts mauvais

Maçons

,

&

lesvices, plus que

l’injure des tems, ont défiguréfon ou- vrage.

Dans

quelque région de la terre que

la

Maçonnerie

ait

commençé

aparaître, ellea exifté

, puifque nous en voïons en- corelesdébris; jefuis initiédans fesmif- tères, je les connois à fonds,

&

je les

écris avec fincérité.

Commençons

par circonftançier le détail de

ma

réception

,

pour

mettre au grandjourtoutl’intérieur des loges.

Le

fils du Prétendant avoit fait

une

defeente en Ecoffe, il y remportoit

mê-

me

quelques avantages/, lorfque

Mon-

iteur

Cowens mon

ami vint m’annonçer que notrerégimentétoit

commandé

pour s’avançer contre l’ennemy. Fousallezquit- terLondres,

me

dit-il, mais ne voulez vous pas vous déprophanifer en le quittant? Je compris à ce

mot

qu’ilétoitqueftion d’en- trer dans le grand ordre ,

& comme

je fçavois d’ailleurs que les Salomons

mo-

dernes n’ouvrent l’entrée de leur

Tem-

ple qu’avec une clefd’Or, je demandai

(28)

(i8)

ï

combien degainées étoit le prix de

ma

réception.

Que

vous êtes Prophane, fé- eriat-il, il

me

femble voir Simonle Magi-

cien quimarchandait le dondes Apôtres. Nous neJçavonspoint agirpar des vuës

i

intérêt

;

U

vous en coûtera douze livres Jlerling. C'ejl unebaguatelle.

La

propofition acceptéejefus conduit

chezMr.

Fielding, qui éxerçoit les fonc- tionsde Vénérable,

on

m’agréa,

&

je pris

jour.

Réception d’Apprentip.

L’auberge de le

Swan

dans le Stran étoit l’endroit ou jedevois quitter

ma

dépouilledeProphanepourouvrirles

yeux

à la lumière. Les Freres s’y étoient ren- dusavant moy. Jeconverfai environ

une demie

heure avec quelques-uns d’entre eux, dans la

chambre

qui

donne

fur la rue: pendant ce tems d’autres travail- loient dans

un

appartement enfonçé , dont

on

avoit bouché les fenêtres avec des tapifleries.

Chacun me

faifoit fon compliment,

&

fe félicitoit de pouvoir

me

comter bien-tôt au

nombre

de fes Freres.

On

m’extolloit les avantages de

la Maçonnerie avec emphafe. J’allois voir, à les entendre, les plus fuperbes merveilles de l’univers. J’écoutois tout

,

(29)

( *9 )

fans trop fçavoir que répondre,

&

j‘éi

tois aflez fimple pour les croire. Alors le thréforier

de

la loge parut avec fon livre fous lebras, il

me

falua avecpoli*

telle,

& me demanda

obligeammentfije voulois luifaireécrire

mon nom. Jecom-

tai

mes

guinées, il m’infcrivit

&

s’en re-

tourna.

En même

tems

mon

ami s’avan- ça pour

me

dire qu’ilétoit temsd’entrer

dans la

chambre

voifine; je le fuivis.

L’endroit étoit obfcur, les fenêtres fer-

mées, &

les rideaux tirés. Voici,

me

dit-il, ceque nous appelions lachambre noire; vous êtes encore libre

$

avançer oude reculer

f je vous abandonne à vos réflèxions.

Après

cesmots il fe tut fans vouloir répondre à

la moindre queftion; je roulai millephan- tômesdans

mon

efprit,

&

je

commençai

afentirquej’alloisêtre

duppe

, enpenfànt

qu’il ne

me

parloit d'être libre, qu’après

être

muni

de

mon

argent. Enfin il

rom-

pit fon filence miftérieux pour

me

dire

qu’il

Moit me

dépouiller de touts

mé-

taux,

Or,

Argent, Cuivre, Fer, Acier,

&c.

défaire

mon

fouliergauche,

&

lemet-

tre

en

Pantoufle, découvrir la

mammel-

legauche,aveclegenoudroit,

&

fouffrir qu’il

me

bandât les yeux avec un

mou-

choir. Il

me

jura en

même

tems foyd’a-

(30)

( 20 )

tti que je n’avois rien à craindre pour l’argent qui étoitdans

ma

poche,

&

que

je pouvois en toute fûreté le mettre avec

mes

autresmeubles, dans les tiroirs

de

la table.

Que

faire dansla fituation

ouje

me

trouvois ? Je foufcrivis docile-

ment

à tout ce qu’il exigea de

moy

, il

m’ajufta

comme

il voulut,

&

il portale

fcruputejufques à

me

dépouiller de

mon

habitparce qu’il

y

remarquades boutons dePinsbeck. Il

me

jetta un bandeau fur

lesyeux,

&

j’entendisqu’il frappoit

deux

coups àune porte.

Cependant le Vénérable avoitouvert fa loge avec les cérémonies ordinaires.

Lorfque

mon

Pareineut frappé,lefécond Surveillantdit aupremier

, Frereyonfrap- pe

à

cette porte ;

&

le premier renvoia

cette nouvelle au Vénérable en difant.

Très Vénérable, on frappeàcette porte.

On

avoitobfervé fagementde nefrapperque

deux

coups, parce que je ne devoispas entendre le

nombre

facré, avant d’avoir

la lumière. Votez» mon cher Frere, ré- pondit le Vénérable, quelejl cebruitPro- pbane que j’ay entendu,

&

faite moi votre

rapport.

Le

premierSurveillant fe tourna

du

côté du fécond,

&

illuidit de

même

,

delapartdutrès-Vénérable, Frerefécondfur- veillanty

(31)

(«)

veillant, votezqui ejl ce quifrappeàcettepor- te en Propbane,

&

faite vôtre rapport.

La

portes’ouvritalors,maisle Frere quide*

voit montrer qu’un

Maçon

frémit à l’a*

'

fpett d’un Propbane, la referma avecin*

dignation.

Mon

amifrappa une fécondé

fois,

&

leSurveillant revenu de là fur*

prife myftique, entre-ouvritlaporte

en

difant ,quedemandezvous ? Frere,ditlecon- * dufteur,c'ejlunGentilhommedemesanus que jepréfentepourêtrereçuMaçon. La-defluson ferma laportede nouveau;leSurveillant lamain appuiéefur la gorge,lepouceâc l’indexformant une équerre,futrependre fa placequi eftà l’Occident, falua le

Vé-

nérable paruneinclination-,puis s’adref- fant

au

premierSurveillantil luidit, Frere e'efiun Gentilhomme quidemande à être reçu

Maçon &

le premierSurveillantaprèsune révérence profonde, la main de

même

fur la gorgefit ainfi fon rapport, très- Vénérable

y

c'efi un Gentilhomme quidemande

à

êtrereçu Maçon.

Pour ne

pointtrop allongerlecérémo-

nial, j’omettrai.dapsla fuite les rapports quefont entreeuxlepremier,

&

lefécond

Surveillant.’ ’Cés cérémoniess’obfervent parceque tout doit aller par trois ,

&

pour marquer d’ailleurs le refpeêl

à

un

(32)

(

«

)

un

Vénérable de Loge.

Le

premierSur- veillant eft le feul qui ait droit de loi adrefîèr immédiatement la parolle, les autres Freres ne peuvent le faire qu’a- près

en

avoir obtenu lapermiflionavèc

les cérémonies ordinaires, c’eft-àdire par lesricochets

du nombre

trois.

Le

Vénérableinftruitpar fonSurveil- lant qu’un

Gentilhomme

(car c’eftainfî qu’on

nomme

les candidats, fûlfent-ils roturiers de la plus baflèroture) fepré*

fentoitpour être reçu

Maçon,

dit grave-

ment,

Frere ce Gentilhommea t-illesdifpo- filions requifes? ejl-ilprifentèpar un Frere connu? demandez luifon nom, fon fument,

Êfquelâgeila.

La

chofe ayant étéren- voiée au fécond Surveillant, il parut

&

me

fit ces trois queftiohs. Je répondis que je m’appelais

Thom

fVoïfon,

& que

j’avois environ vingt quatre ans. :Vous répondezen Prophane, reprit

mon

conduc- teur; ilfaut dire, mon nom ejl Volfm,

mat

furnom,

Thom

,

&

mon âge«fi de cinq ans

&

demi: âge myfièrieux quiexprime admira- blement bien l'Innocence,

&

la candeurcTun

Franc-Maçon.

.

Ma

réponfereftifiée ainfîfittroisfaut?

pour atteindre l’autel

du

Vénérable, qui m’agréa

en

ajoûtaac ces mots, Frerepar*

miér

(33)

(*3

)

mier Surveillant, vouspouvez

me

lepréfenter, maisayezJoinqu’il/oitdépourvû detoutsmé- taux, qu’ilaytlesyeuxbandés, la mammelle gauchedécouverte, le genoudroit nud,

&

le

piedgauche en pantouffle. Cesordres furent lignifiés à

mon

conducteur, j’e'tois dans cetteattitude,

on

le rapportaau

Véné-

rable, 6c je l’entendis dire d’une voix hante. Qu’ilentre.

Te fus donc introduit dans ce Temple refpeébable fans en voir l’édifice.

Mon

Pareinm’accompagnoit,

&le

fécond Sur- veillant

me

tenoitfortement parlamain.

Dèfque

jepartis àl’Occident, leVénéra- ble

me

cria

du

pointde l’Orient

ou

il fe place; Prophane téméraire, quey vous ofez porter«ivospasfquelmotifvousamennedans ve Temple Augujie ? venez vousicivous in-

firme

de nos myfières pour les m/ulter, ou pourles dévoiler

à

vosfemblables P vous gar- dez le filme, Prophane, parlez , répondez moi,

JfeyouS

que

j’étais

un peu

feifi, ôc

tomme

je

ne

Toïbis pas ce diftributeur

de

la lumière

Maçonne

qui m’adrefloit la parolie, je

ne

fçavoisdequel coté diri-

ger

ma

réponfe. Cependantje

me

raflii-

rai, je dis

que

je venois le fupplier

de

m’inferire an

sombre de

fesFreres, 6c

(34)

(H)

&

dem'accorder placeparmieux.

Ne

fi-

ge point

,

dit-il, un efprit du euriofité , qui vousanime? tremblez Propbane,&craignez qu'ilrien coûteà votre témérité. Jerépliquai queje n’avbis consulté que le feul défir d’entrer dansune fociétéaimabledontje voulois être

membre. Hé

bien, ditle

Vé-

nérable, queTonfaffe voiager ce Prophane, fous la voûte ferrée,deTOccidentà TOrient, pour chercher la lumière;

Le

Frerequi

me

tenoit la main

me

fit faire alors trois toursdanslaLoge.

A

cha-

que

pas

on me

crioit-, levez le pied, baif- fezlatête,prenez garde....faluez ....J’en- iendoispartoutfur

ma

tête

un

bruitfem- blable à celuique font des épéescroifées, c’eftceque nousappelions la voûte fetrée.

De

tems en temsje heurtoisle frontcon- tre

une

larame nue qu’un Frere préfen- toitdecoté,

&

à i’iaftant

on

m’avertif-

foitde baifTer la tête, puis tout à

coup

jerencontrais quelque choiefous lepied quim’obligeoit dele lever;

à

chaquepas

fiaiffoit

un

obftactequiretardoitmamar-

che, ou

qui m’efiraïoit.

Après

biendes travauxenfin,

&

quel-

ques fraïeurs je

me

retrouvai aupoint

du

quel j’étois parti, le vifàge tourné con-

tre la muraille, attendant paifiblement

mon

(35)

( a'$ )

won

fort,

y

ai pitiéde ce Propharie

,

dit lê

Vénérable, Frerefaite luivoir la lumière..

A

ce lignai

on

baifla

promptement

le mouchoir qui

me

couvroit les yeux,

&

lesSurveillants

me

faifantfaireaemi-tdur à droite, je vis,

oh

Dieu les belles cho- fes! je vis àdroite

&

à gauche des Fre*

res l'épée à la

main, &

lapointe tour-

née contre

moi

avec des

yeux mena-

çants, leVénérablelemarteaulevé,

une

table devant lui, un livre deflus, trois chandelles, deux épées en fautoir. Lors- que j'eus paru fuffifamment effraié , le maîtrebaillafonmarteau,frappa

un

co.up, les Freres Tenguainérent leurs épées,

&

prenant un air plus

doux

ils femirenten poftore d’apprentif, la main droitecou- verte d’un

gan

blanc en équerre fous la

gorge ,

&

le tablier à la ceinture. .Je

baiflai les yoix,

&

jevis le

Temple Au-

gultede Salomoncraïonnéfurle plancher*.

11eftvraiquejele

méconnus

enlevoyant

,

& que

jecrusqueles 'enfants.del’auber- ge avoienttracé ce barbouillage en s’a-, mufant. Frère premier' Surveillant, dit le

Vénérable, faite lui monter les dégrès dû Temple, mettez lui les pieds en équerre,

&

préfentez le moi par trotspas.

On me

fit

leverle pied feptfois,

comme

filesmar-,

B

ches

(36)

(

*o

cheseûffiatt étédepierre

ou

de marbre;

jepofai léspiedsen.équerre,

&

je mar-*

chai en apprentif, c’eft-à-dire en avan- çant le pieddroit le premier,

&

encol-

lant derrière le piedgauche, de

Façon que

lesdeux fouliersifoientune équerre,

& que

je décrivois

une

ligne droite.

Si-tôtque je touchai TAutel, le

Véné-

rable fe leva de fachaife,

& me

dit de mettre

un genou

en terre. Alors il ap- puïala pointe d’un

Compas

fur

ma mam-

melle gauche qui étoit découverte,

&

je

lefoutinsavecla

main

du

même

côté. 11

prit

ma

droite

&

lapofa fur

deux

épées

croifées, fous les qu’elles étoit lelivre des écritures faintes, ouvert à l’endroit

del’Evangile félon St. Jean,puis le mar- teau levé il

me

fit prononçer ce ferment odieux quije

ne me

rappelle qu’avec hor- reur,

&

que je n’achevai qu’en frémif- (ànt.

*

Forme du Serment.

Je

jure à la façe du grand arcbiteêle de. îunivers quiejl Dieu

, de ne jamais révéler le fecret des Maçons,

&

de la Maçonnerie

direSement ou indireHement; de ne point

h

trahirJebouche, oud'écrit{denerien.décou-

1 vrir

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