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Trente-unième Année. — N° 39 P r i x d u n u m é r o : 10 centimes

Mercredi 17 Mai 1916 Bureaux : R u e de l a S e r r e , 58

ttlÉDÉMM OGEfiE

S U I S S E

A B O N N E M E N T S

Un an Six mois

Suisse . . . . Fr. 6.— Fr. 3.—

Union postale » 12.— > 6.—

Compte de Chèques postaux I V b 4 2 6

Paraissant le Mercredi et le Samedi à La Gbaox-de-Fonds On s'abonne à tous les bureaux de poste

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suisses 20 ct., offres et demandes de places 10 et. la ligne, étrangères 25 centimes la ligne

Les annonces se paient d'avance

Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndioats professionnels Les C o n s u l a t s s u i s s e s à l ' é t r a n g e r r e ç o i v e n t le j o u r n a l

Bureau des annonces : Soc. an. Suisse de publicité, Haasenslein & Vogler, 22, rue Leopold Robert, La Chaux-de-Fonds et succursales en Suisse et à l'étranger.

Les maisons créancières de B . S é g a l & Go,

à L o n d r e s e t à N e w c a s t l e , sont priées de s'annoncer au bureau.

LïInformation Horlogère Suisse.

Statistique du poinçonnement autrichien des métaux précieux en 1914 et 1915 La direction de l'Office principal impér.

roy. de contrôle, malgré la guerre qui, au début et pendant une période relativement courte créa des difficultés à son activité, vient de publier, conformément au plan adopté jusqu'ici, la statistique du contrôle des ouvrages d'or et d'argent — y compris les montres — p o u r les deux années cri- tiques 1914 et 1915. Sous les réserves ha- bituelles qu'il convient de faire à pareille occasion, on peut constater l'influence né- faste de la guerre sur l'industrie et le com- merce. Les chiffres du tableau ci-dessous de 1914 indiquent déjà une perte énorme qui augmenta encore, cela se comprend, en 1915. Les articles présentés au contrôle atteignent

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des totaux de 1913.

P o u r ce qui concerne les montres or, — on indique maintenant, outre le poids, également le n o m b r e de pièces — on cons- tate u n e augmentation du n o m b r e de piè- ces en 1915 sur l'exercice 1914; le poids est inférieur, ce qui laisse supposer des articles plus légers.- P o u r l'argent, il y a augmentation dans les deux directions, soit du poids et du n o m b r e contre l'année 1914, sans toutefois approcher les totaux de 1913.

O n peut d o n c admettre que la majorité est formée par les montres-bracelets.

Vu que les grandes difficultés opposées à l'industrie : m a n q u e de main-d'œuvre et pénurie du métal précieux, ne p o u r r o n t être écartées de sitôt et que les obstacles mis à l'importation par des mesures rigou- reuses lors d u d é d o u a n e m e n t ces derniers temps se feront encore ressentir par la suite, il n'est pas à prévoir un tableau de statistique modifié sensiblement des poin- çonnements en 191<5.

Ces considérations générales émises, voici le tableau que n o u s e m p r u n t o n s à la

Edelmetall-Industrie :

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Les futures ententes

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commerciales franco-italiennes A propos de la visite à Rome du ministre français du commerce, M. Glémentel, le Mes-

sagero écrit que ce dernier vient entamer per-

sonnellement avec les ministres d'Italie les premières négociations sur ce que devront être, dès demain, les ententes commerciales franco-italiennes.

A propos de boycottage

Le Jura Bernois a reçu la correspon-

dance suivante, que l'un de nos abonnés nous prie de publier.

A propos de l'avis du Conseil de boycott des horlogers allemands, on reste quelque peu ahuri en lisant ces décisions et les conseils à ceux qui ne veulent pas être boycottés. Cet avis est envoyé par le Comité de boycott alle- mand aux horlogers et fabriques suisses qui font de la munition.

Que d'imprudence, on croit rêver. Il se fa- brique en Suisse autant de munitions pour l'Allemagne que pour les autres alliés, jamais personne n'a songé élever pareille menace en- vers la partie adverse.

Chacun sait que la Suisse horlogère a eu particulièrement à souffrir de la guerre et que beaucoup ont dû chercher dès le début à ga- gner leur pain comme ils le pouvaient.

Vraiment, ces messieurs ne doutent de rien et croient encore le monde entier à leur pied !

Ils oublient ces horlogers qu'ils ne sont que des « entremetteurs » entre la fabrique et le public. Depuis longtemps ce dernier désire traiter directement avec le fabricant, suppri- mant ainsi un renchérissement allant jusqu'à 100 pour cent de la marchandise qu'il a dû acheter jusqu'ici en passant par le magasin, autrement dit par l'entremetteur.

Voilà une excellente occasion de créer dans chaque ville les « agences de vente » dont il a été beaucoup parlé.

Ces agences rendront un service énorme au public en supprimant l'entremetteur et en fa- vorisant les ventes et les relations, puisque les prix des montres seront grandement dimi- nués.

Il suffira aux maisons boycottées d'organi- ser la chose avec tous les soins désirables et que tous les fabricants suisses s'associent pour soutenir solidairement ceux qu'on veut frapper.

N'oublions pas que souvent voulant cieuser une tombe à son voisin, l'on y tombe soi- même !

L'idée de la création d'agences de vente par des groupes de fabricants, pourrait bien faire son chemin.

Certificat de nationalité

L'entrée en vigueur de l'ordonnance

française concernant le certificat de na-

tionalité pour la F r a n c e est renvoyée au

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' juin.

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Les prescriptions générales d'exécution publiées récemment sont à compléter comme suit :

Les expéditeurs de marchandises à des- tination de France ou en transit par la France n ' o n t pas à présenter les certiûcats de nationalité des transporteurs ou transi- taires chargés de l'expédition de leurs mar- chandises, dans le cas où ces derniers ont déposé leurs certificats auprès des direc- tions des douanes françaises compétentes.

La durée du certificat est fixée à six mois p o u r la Suisse.

A moins qu'ils ne soient des profession- nels du commerce ou de l'industrie, les certificats ne seront pas exigés des expédi- teurs de colis postaux.

L'emprunt de guerre hongrois

UAz Est apprend de bonne source :

On peut établir, sur la base de rapports par- venus des offices de souscription, que jusqu'à maintenant plus de 1200 millions de couron- nes ont été souscrits au quatrième emprunt de guerre hongrois, quoique la période de souscription ne soit encore qu'à moitié écoulée.

L'emprunt roumain

En.raison du grand nombre des souscriptions annoncées, la période de souscription à l'em- prunt d'Etat roumain 5 °/o a été prolongée jusqu'à mardi. Les souscriptions s'élèvent à

quatre cent millions de leis. La Banque d'Etat roumaine a abaissé le taux d'escompte à 5 °/o-

Pour améliorer le change français Dans le but d'améliorer le change, le gouvernement français prohibe par décret l'importation en France de diverses mar- chandises, parmi lesquelles les pierres

précieuses, la bijouterie et des automo-

biles.

La C h a m b r e suisse de ! horlogerie s'est adressée au Déparlement politique suisse p o u r savoir si les bracelets-montres sont considérés, par le Gouvernement français, comme bijouterie.

Les impôts français

Pendant les quatre premiers mois de 1916, ' les impôts indirects et monopoles français ont rapporté 331.264.300 fr. C'est 32.342.o00 fr. de plus que dans la même période de 1915 et

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öl.024.700 fr. de moins que pendant une an- néenormale du temps de paix.

L'Italie et l'importation

Les journaux italiens annoncent que le Conseil des ministres a décidé d'interdire l'importation en Italie des produits de luxe ' e t d e s meubles.

L'impôt allemand sur le tabac

' Au cours de l'examen en première lecture de la loi relative à l'impôt sur le tabac, la commission fiscale du Reichstag a repoussé l'impôt sur le tabac et les cigares. Les socialis- tes et les Polonais ont volé contre, tandis que le centre et les nationaux-libéraux se sont abs- tenus. L'augmcntationïlu taux d'impôt sur les cigarettes a été adopté contre les voix des so- cialistes et des Polonais. Pour le tabac de ci- garettes vendu au détail la limite d'impôt a été portée de 5 à 8 marcs.

Moratoires étrangers Allemagne.

Une ordonnance du 13 avril 1916, concer- nant les délais pour effets de commerce et chè- ques pour VAlsace-Lorraine proroge les dé-

lais d'effets et chèques, en tant qu'ils n'é- chéaient pas le 31 juillet 1914, payables en Al- sace-Lorraine, jusqu'au 31 juillet igiô, pour autant que d'autres indications ne prescrivent une éebéance ultérieure.

Chine.

En présence de la tension financière, legou- vernement a proclamé un moratorium qui s'é- tend aux banques.

Les trafiquants étrangers

Sous ce titre, on lit dans l'Epicier suisse:

La presse genevoise a suffisamment parlé des trafiquants étrangers qui ont fait de nom- breux et importants achats de denrées alimen- taires chez un certain nombre de négociants de notre ville, sans que nous ayons besoin de donner à nos lecteurs des détails qu'ils con- naissent déjà.

Nous croyons cependant utile de faire re- marquer que, depuis longtemps, à Berne, à Zu- rich, à Bâle, on était au courant des opérations commerciales traitées par ces accapareurs.

Le Bund écrivait, il y a quelques jours, à ce sujet :

« La presse s'est déjà occupée, à maintes reprises, des nombreux trafiquants étrangers qui se sont établis en Suisse, tout spécialement à Zurich, depuis le commencement de la guerre.

Bien que nombre d'entre eux tirent de la guerre des bénéfices incroyables, sans contribuer au- cunement aux charges publiques, le fisc ne pou- vait les atteindre en raison de leurs continuels changements de domicile. On a partiellement remédié à cet état de choses en obligeant tous ceux de ces gens qui tombaient sous le qua- lificalif de commerçants à se faire inscrire au registre du commerce, où figurent en effet, de- puis quelque temps, de nombreuses inscrip- tions nouvelles. »

Le journal bernois ajoute que «la Confédé- ration se procurerait une source de revenus appréciable en augmentant les taxes d'inscrip- tion au Registre du commerce. Actuellement, une société anonyme au capital de 50 millions ne paie que fr; 50, tandis qu'en France et en Belgique la finance d'inscription serait de 2,500 fr.» .

Rappelons encore qu'en mars dernier, au Conseil municipal de Zurich, le rapporteur de la commission de gestion, exposant la ques- tion des impôts, faisait observer qu'un grand nombre d'étrangers résidant dans les hôtels de Zurich traitaient de grosses affaires et réali- saient des bénéfices considérables. .

M. Streuli, municipal, a déclaré qu'on cher- chait à imposer ces étrangers et qu'on y avait réussi dans certains cas, mais qu'il était diffi- cile de les atteindrë-pareequ'onne recevait pas, de Berne, les renseignements nécessaires au sujet des autorisations d'exportation, unique moyen permettant de taxer ces étrangers.

En résumé, on ai admis jusqu'à maintenant à Berne, à Zurich, à Bale et ailleurs que les opérations commerciales effectuées par les tra- fiquants étrangers étaient licites. On ne les a jamais empochés d'acheter des marchandises, pas plus qu'on n'a interdit aux négociants suisses de leur en vendre.

Les autorités se sont seulement bornées à chercher à imposer les trafiquants et à obliger certains d'entre eux à régulariser leur situation en s'inscrivant au registre du commerce.

Les pouvoirs publics, au lieu de tolérer les actes des spéculateurs, ce qui a permis à ces derniers d'étendre le champ de leurs opérations aux cantons romands, auraient dû, dès le dé- but, prendre contre eux des mesures radicales ainsi que vient de le faire, avec raison, le Con- seil d'Etat du canton de Genève.

Faute d'avoir été prévenu, le mal s'est étendu.

Fort heureusement que la décision énergique des autorités cantonales genevoises à mis tin, dans notre ville, aux agissements de la bande cosmopolite des trafiquants.

Il serait maintenant intéressant de savoir clans quel but toutes ces marchandises ont été achetées, puisque leur exportation, sans l'auto- risation des autorités fédérales, en est rigou- reusement interdite. Etait-ce en prévision d'une paix prochaine ou devaient-elles être utilisées pour les fameuses compensations, dont, à part lés initiés officiels, personne ne oonnaît le mys- térieux fonctionnement?

Séquestre des métaux

L'agence télégraphique suisse apprend que le Conseil fédéral a avisé tous les mar- chands de métaux qu'ils n'ont plus le droit de disposer des réserves de métaux qui se trouvent chez eux, celles-ci élant mises sons séquestre.

Assurances maritimes

La Post apprend de Liverpool que le Lloyd aurait décidé d'abaisser le taux des assurances maritimes. La réduction serait approximati- vement de lOshellings par prime de 1000 livres.

Interdiction suédoise d'exportation et de transit

Parmi les marchandises dont la Suède vient d'interdire l'exportation et le transit se trouve le platine, articles de platine, autres que ceux avec pierres ou perles enchâssées.

Trafic postal avec la Russie

Par suite de la crue, en Suède, du fleuve Tornéo, le trafic des colis postaux à destina- tion de Russie a été complètement interrompu durant quelques jours et la poste aux lettres n'a pu passer qu'irrégulièrement et non sans longs retards.

A teneur d'un télégramme de la Légation de suisse à Pétrograde à la Division du Commer- ce, le trafic est toutefois rétabli normalement depuis le 10 de ce mois.

Consulats

Le Conseil fédéral a accepté le 10 mai ct., avec remerciements pour les services rendus, les démissions de M. Francesco Bagutti, de Bovio (Tessin), vice-consul de Suisse à Milan, et de M. Georges G.- Weiss, de-Genève, con- sul de Suisse à Liverpool'. En? remplacement de ce dernier, il a nommé consul M. Jean Fon-

tannaz, de Genève, ci-devant vice-consul, à Liverpool.

— L'exequatur est accordé à M. Herbert- Edouard Boileau, lieutenant-colonel, en qua- lité dé consul britannique en résidence à Lugano.

L'heure d'été au Luxembourg Comme on pouvait le prévoir, pour les mo- tifs indiqués dans notre n° du £6 avril écoulé, les Chambres ont voté l'introduction de l'heu- re d'été au Luxembourg.

L'heure d'été au Danemark

Le gouvernement a adopté la loi relative à l'adoption de l'heure d'été à partir du 11 mai, à 4 heures du soir et jusqu'au 30 septembre.

L'heure d'été en Suède

Le temps d'été a été adopté pour la Suède, du 15 mai au 30 septembre inclusivement.

Registre du commerce

Enregistrements :

1" mai 1916.— Wohl & Co., société en com- mandite ; exportation d'horlogerie, Seiden- gasse 9, Zurich I.

3 mai 1916. — Alwin Meier, fabrication de balanciers, Orpund (p. Bienne).

5 mai 1916. — H. Genier, pierres fines soi- gnées pour l'horlogerie et l'industrie ; 17 rue du Mont-Blanc, Genève.

5 mai 1916. —Industrie de pierres fines S.A., société anonyme ayant pour objet la fabri- que d'ébauches de pierres fines (capital fr. 10.000.—nom.) Quai de St-Jean, Genève.

6 mai 1916. — Arnold Gavin, fabrication de

fraises et d'outils pour l'horlogerie et de

pièces détachées, Gouvet.

(3)

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 261

Changements :

2 m a i 1916. — L a r a i s o n i n d i v i d u e l l e Weill

& Cie., A L o n d r e s , avec succursale à La Chaux-de-Fonds, fabrication, achat et v e n t e d ' h o r l o g e r i e e s t r a d i é e . L'actif et le passif s o n t r e p r i s p a r la société en n o m collectif

Weill & Cie-, avec succursale à La Chaux- de-Fonds, fabrication, achat et v e n t e d'hor- logerie, r u e Leopold R o b e r t 40.

4 m a i 1916. — La Société a n o n y m e a R e c o r d W a t c h G0 S . A . à T r a m e l a n - d e s s u s », fabri- cation d ' h o r l o g e r i e , . a été d é c l a r é e d i s s o u t e p a r décision d e l ' a s s e m b l é e g é n é r a l e d u 28 février 1916 ; la l i q u i d a t i o n sera o p é r é e s o u s la r a i s o n Record Watch Co. S. A. à Tra- melan-des,sus fin liquidation p a r le prési- d e n t AvÀSte C h â t e l a i n et le s e c r é t a i r e F r i t z S c h w a r z , isigftantiindividuellement.

o m a i 1916. — La m a i s o n H. Pasche, p i e r r e s fines, pour: l ' h o r l o g e r i e e t i n s t r u m e n t s d é précision,;,G,en,è(>è, a t r a n s f é r é s e s locaux 40, rueiduviMiéle.

Radiations :

4 m a i 1916. —,• iGqst. Pelitpierre, outils e t fournitures) ^fôqrJLqgerie, Gouvet.

u m a i 1916. — , A m i . W a g n o n , successeur d é Wagnon frères, fabrication d ' a i g u i l l e s , suc- cursale de La Chaux-de-Fonds.

Faillite:

25 m a r s 1916—H Max Bourgeois, f o u r n i t u r e s d ' h o r l o g e r i e , r u e . B o n i v a r d 6, Genève.

L i s t e d e s d e s s i n s e t m o d è l e s

N° 26611. Ie' m a r s 1916, 9 ' A h . a. — O u v e r t .

— 5 m o d è l e s . — C o m p a s d e poche e t pièces détachées. — Olto Biland, S t - I m i e r (Suisse).

N» 26622. 3 m a r s 1916, 11 h . a. — O u v e r t . — 3 m o d è l e s . — C a l i b r e s d e m o n t r e s . — Elida

Watch C? Kobel & Bilat, F l e u r i e r (Suisse.)

N" 26633. 10 m a r s 1916, 8 h . p . — O u v e r t . — 3 modèles. — Protège-glaces p o u r m o n t r e s e n t o u t e s g r a n d e u r s . — Thiébaud frères, La C h a u x - d e - F o n d s (Suisse).

N° 26654. 10 m a r s 1916, 8 h . p . —, O u v e r t . — 2 m o d è l e s . — C o m p t e u r s . — Thiébaud frè- res, La C h a u x - d e - F o n d s (Suisse).

N" 26655. 26 j a n v i e r 1916, 7 h . p . — Cache- té. — 1 m o d è l e . — T o u r à c h a r i o t e r et à file- t e r . — Claude François Richard, P a r i s ( F r a n c e ) . - M a n d a t a i r e : H . C h a p o n n i è r e , Ge- n è v e .

M o d i flcallo'n g.

N° 19678. 18 j u i l l e t 1911, 6 '/* h . p . — O u v e r t .

— 2 m o d è l e s . — C a l i b r e s d e m o n t r e s . — J a - cob Kobel, F l e u r i e r (Suisse). M a n d a t a i r e : A.. M a t h e y - D o r e t , La C h a u x - d e - F o n d s . — N° 21272.. ^ s e p t e m b r e 1912. 7 h . p . — O u v e r t .

— 2,niodèies. — C a l i b r e s d e m o n t r e s . — / . Kobel, . M a n u f a c t u r e d ' h o r l o g e r i e E l i d a W a t c h , ; j f l e u r i e r ( S u i s s e ) . M a n d a t a i r e : A . .iMathey-iDpr.et, L a Chaux-de-Fonds. — N",26358. 15;décembre 1915, 9 h . a. — Cacheté.

— l.niQ.dèie. — L u n e t t e d e b o i t e s d e mon- tre; d é c o r é e . — J. Kobel, F l e u r i e r (Suisse).

—s T r a n s m i s s i o n s selon e x t r a i t s d u r e g i s t r e d u c o m m e r c e d u 14 février 1916 e n faveur de Elida Watch C° Kobel & Bilat, F l e u r i e r ( S u i s s e ) . M a n d a t a i r e : A . M a t h e y - D o r e t , L a C h a u x - d e - F o n d s ; e n r e g i s t r e m e n t s d u 14 .mars 1916.

. I*I-OlOI>g'SttioilM.

N° 19188, 11 m a r s 1911, 7 h. p . — ( I F p é r i o d e . ; 1916/1921). — 6 m o d è l e s . — M o u v e m e n t d e

. i u o n t r e . d e poche d e t o u t e s g r a n d e u r s e t hau- t e u r s , R . VpgtSi C°, R i e n n e ( S u i s s e ) ; e n r e - g i s t r e m e n t d u 15 m a r s 1916.

N° 19264, 3 a v r i l 1911, 7 h . p . — ( I F p é r i o d e 1916/1921). — 1 modèle'. — M o u v e m e n t de m o n t r e . — Vuilleumier & Enay, S o n v i l i e r (Suisse). M a n d a t a i r e : A . M a t h e y - D o r e t , L a C h a u x - d e - F o n d s ; e n r e g i s t r e m e n t d u 7 m a r s 1916.

I l m l i n t l o i l N .

N° 7827. 4 m a r s 1901. — 1 m o d è l e . — E b a u c h e de m o n t r e s .

N° 7843. 7 m a r s 1901. — 4 m o d è l e s . — Mouve- m e n t s d e m o n t r e s .

N° 7846. 7 m a r s 1901. — 1 m o d è l e . — M o u v e - m e n t s d e m o n t r e s .

N° 7848. 13 m a r s 1901. — 14 m o d è l e s . — Mou- v e m e n t s d e m o n t r e s .

N" 7851. 15 m a r s 1901. — 4 m o d è l e s . — Cali- b r e s d e m o n t r e s .

Escompte et change

Taux d'escompte. — F r a n c e 5 % . — Rel- g i q u e —.— I t a l i e S'/s'A- — L o n d i e s 5 ° / o . — A m s t e r d a m 4 '/a % • — A l l e m a g n e 5 °/o. — V i e n n e 5 % •

E s c o m p t e p r i v é 2 'A à 3 °/o.

Changes à vue. — F r a n c e 87.50 d., 88.50 o.

— Relgique — . — d . , —.— o. — I t a l i e 81.50 d., 82.50 o. — L o n d r e s 24.71 d., 25.01 o. — A m s - t e r d a m 215. 40 d . , 217. 40 o. — A l l e m a g n e 96.40 d., 98.40 o. — V i e n n e 66.55 d., 68.55 o.

— N e w - Y o r k 5.10 d., 5.30 o .

Cote d e . l ' a r g e n t

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