Vingt-neuvième Année. — N° 12 P r i x du n u m é r o : 10 centimes
Samedi 14 Février 1914 Bureaux: R u e de l a S e r r e , 5 8
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La femme travailleuse travaille trop !...
Celte opinion, très soulenable, a été dé- veloppée en un vœu de M. Briat, au Con- seil supérieur français du travail. Elle de- viendra un projet de loi. Après une dis- cussion qui ne dura pas moins de cinq jours, le Conseil supérieur du travail fran- çais a, dans sa dernière séance, émis le vœu suivant :
« Le-samedMle-twtvaU-ées-ft m m c s dev ra
« sans exception cesser à midi. »
On comprend toute l'importance de ce vœu qui, s'il devient une loi, apportera des changements profonds dans les diver- ses industries du commerce employant des femmes.
M. Briat, membre du Conseil supérieur du travail, a exposé ainsi les raisons et la portée du projet dont il est l'auteur, au rédacteur du «Bulletin des Chambres syn- dicales de Paris».
— Bien avant qu'on ait voulu appliquer à la totalité des travailleurs manuels le système de la «semaine anglaise» j'avais pensé déjà à le faire appliquer aux travail- leuses dont la situation est incomparable- ment plus pénible.
L'ouvrier d'usine ou l'employé de com- merce travaille en effet de 9 à 10 heures par jour, et c'est tout; sa journée finie, il ne lui reste la plupart du temps qu'à re- gagner son logis et à se reposer. Mais la femme, elle, est une victime de l'usine ou du bureau, bien plus à plaindre.
Astreinte à un travail de dix heures en dehors de chez elle, elle doit, le soir venu, vaquer anx soins du ménage. Quand l'hom- me, lui, a terminé sa besogne, la femme ne l'a qu'à moitié accomplie : il lui faut soigner les enfants, coudre, nettoyer, pré- parer les repas. La femme salariée travaille au bas mot quinze heures par jour en se- maine, et le dimanche elle doit achever au foyer familial ce qu'elle a commencé pen- dant la semaine.
Le repos hebdomadaire n'existe pas pour la femme obligée de gagner sa vie.
Avec l'application de la semaine anglaise il en va tout autrement.
Libre à midi, chaque samedi, la femme pourra, dans l'après-midi, faire ses achats, nettoyer, et elle pourra se reposer le len- demain dimanche.
A vrai dire, poursuit M. Briat, l'applica- tion de la semaine anglaise aux femmes n'a pas rencontré une bien grande oppo- sition. Le principe en était admis par les patrons du conseil supérieur du travail, mais ceux-ci ne désiraient pas que ce vœu servit de base à un projet de loi en ren- dant l'application obligatoire.
J'ai pu les convaincre qu'ainsi compris notre vœu demeurerait stérile et que la
«semaine anglaise» ne serait jamais appli- quée si on laissait au patron la faculté seu- lement de l'accorder. Il fallait une loi.
Un projet sera donc déposé dans ce sens ; il sera très probablement ainsi conçu :
«La journée légale du travail pour les femmes employées dans l'industrie, dans le commerce et dans la banque reste fixée pour les cinq premiers jours de la semaine à dix heures. Le samedi, le travail, sans exception, devra cesser à midi. »
Le contrôle du platine
Le Conseil fédéral, faisant droit aux de- mandes des industriels de l'horlogerie, vient d'autoriser par décret du 11 février courant, qui entrera en vigueur le 1
ermars prochain, le Bureau fédéral des matières d'or et d'ar- gent à contrôler les objets en platine.
Les bureaux de contrôle sont donc auto- sisés à appliquer, sur la demande du fabri- cant vendeur ou de l'acheteur, un poinçon fédéral garantissant le titre minimal de 0,950 sur les articles en platine (boites de montres, bijouterie, etc.). Pour l'établisse- ment du litre, l'iridium sera compté à la même valeur que le platine. L'indication du titre sur les objets en plaline soumis au contrôle n'est pas obligatoire. Les travaux qui contiendront le titre minimal de platine, pourront porter en outre l'indication «pla- tine » ou « platine garanti », ou bien une autre marque avec ou sans l'indication du titre 0,950.
Ce poinçon, représentera une tôte de chamois ; pour les objets plus grands, ce
poinçon aura une hauteur de 2
1/t mm. et une largeur de 1 Y» mm. pour les objets •
l!plus petits, la hauteur du poinçon sera de
1 Y« mm. et la largeur de 0,7 mm. .
;Les taxes pour le poinçonnage sont les suivantes : pour boîtes de montres de tonte sorte, 50 cent. ; pour bijoux d'un poids de moins de 10 grammes, 25 cent.; et pour ceux de plus de 10 grammes, 50 cent. Les objets composés en partie en or et en par- tie en platine peuvent être acceptés aussi au poinçonnage. Sur la demande de la per- sonne qui présente les objets au poinçon- nage, on pourra appliquer le poinçon aux parties en platine.
Chambre cantonale bernoise du commerce et de l'industrie Le Conseil exécutif a réélu en date du 13 janvier les membres de la Chambre pour une période de quatre ans. Lors de l'assemblée constituante du 6 courant, le président a été élu en la personne de M.
R. Bratschi, grand-conseiller, Berne; comme vice-présidents ont été nommés: MM. J.
Hirter, conseiller national, Berne, et Fritz Reymond, négociant, Bienne; comme pré- sident de la section d'horlogerie, M. Louis Müller, fabricant, Bienne, tous anciens.
La question de la revision du tarif doua- .. - nier a été l'objet d'une discussion appro- fondie. La résolution suivante, proposée par M. Hirter, conseiller national, a été acceptée : Le tarif général des douanes, en vigueur actuellement, peut êlre considéré comme base favorable pour l'élaboration et conclusion des traités de commerce qui sont à renouveler; les articles nécessaires à la vie journalière ne doivent pas être . frappés de droits plus élevés et des change- ments ne doivent avoir lieu q-f lorsqu'il s'agira de protéger les produits ci la main- - d'œuvre indigènes.
La Chambre a décidé en outre d'appuyer
la pétition au Conseil exécutif lancée par
la Société bernoise du commerce et de
l'industrie et par l'Association cantonale
des détaillants au sujet de l'introduction
d'un impôt spécial sur les transactions des
grands bazars.
84 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE
Y a-t-il surproduction des institutions suisses d'enseignement commercial ?
La question est très sérieuse ; elle mérite d'être étudiée sous toutes ses faces, en tenant compte du n o m b r e de personnes employées en Suisse dans des entreprises commerciales et de la fré- quentation des institutions d'enseignement com- mercial. M. A. J u n o d , inspecteur fédéral pour l'enseignement commercial examinait celte ques- tion dans la Revue Suisse des sciences commer- ciales, numéro de janvier 1914.
D'après le recensement fédéral des entreprises agricoles, industrielles et commerciales, de 1905, il y avait en Suiss* 218,008 personnes occupées dans des entreprises commerciales, soit 56.492 (25,9 % ) chefs d'entreprises ; 55.166 (25.3 % ) membres de la famille du chef; 4.979 ( 2 . 3 % ) di- recteurs, g é r a n t s et économes ; 22,582 ( 1 0 , 4 % ) employés commerciaux ; 3.808 (1,7 %)employé-<
techniques ; 5,594 (2,6 % ) apprentis ; 69,417 (31,8 % ) ouvriers et aides.
Il faut noter que sur les 218.008 personnes in- diquées plus haut, 101,754 (46,7 % ) sont occupées dans des hôtels et restaurants et n'ont pas toutes besoin d'une formation commerciale. Il en est de même des employés techniques (5594) et de la majorité des ouvriers et aides (69,417). Remar- quons toutefois que cette dernière catégorie est formée en bonne partie par le personnel des hô- tels et restaurants déjà mis a part ci-dessus, et que les directeurs, gérants, secrétaires, écono- mes, etc., de l'industrie hôtelière ressentent tou- jours davantage le besoin d'une préparation commerciale. Nombreux sont les anciens élèves des écoles de commerce occupés dans cette indus- trie, si bien que certaines écoles (Lucerne, Goire, etc.) réservent une place importante à la comp- tabilité hôtelière.
Il n'est, en conséquence, pas exagéré d'évaluer à environ 200 000 le total des personnes qui se recrutent en Suisse parmi les jeunes pens ayant intérêt à fréquenter des institutions d'enseigne- ment commercial.
Ces dernières, abstraction faite des écoles pri- vées, peuvent Se classer en trois catégories. Le tableau qui suit, établi d'après les publications annuelles du Déparlement fédéral du Commerce, permet de mesurer leur développement durant les dernières années.
Nombre des élèves Hautes études com-1 1906 1908 1910 1912
merciales } 248 308 413 Ecol s d. commerce] ^°00 3,372 3,762 4.407
» complémentair. 10,22113,090 14,423 16,317 Total des élèves 13,057 16,710 18,493 21,137 Le chiffre de 21,137 élèves en 1912 peut paraî- tre élevé à première vue et semble donner raison à ceux qui parlent de surproduction. Il l'est moins, dés qu'on en examine de près les éléments qui le constituent.
M. Junod conclut,de ce qui précède que si sur- production il y a, elle ne saurait donc provenir que des écoles de commerce, mais que celles-ci sont loin de suffire à la demande. La meilleure preuve de ce fait est le grand nombre d'écoles privées de commerce établies dans la plupart des villes. Leur prospérité môme, due en partie à la courte durée des études exigée des élèves (3, 6 ou 12 mois), établit d'une manière irréfutable que les écoles officielles ne livrent pas au c o m m e n e • des candidats à tous les postes vacants. Il serait facile de d é m o n t r e r , en nous basant sur les comptes-rendus annuels de certaines écoles pri- vées de commerce — et il en est dans le nombre de très sérieuses — qu'elles délivrent annuelle- ment plus de diplômes de sortie que les écoles officielles. S'il y avait surproduction, c'est là qu'il faudrait en. chercher l'origine, car dans aucun autre domaine de l'activité économique on ne rencontre une telle abondance d'écnles prépa- ratoires privées, dont les écolages couvrent seuls les frais d'organisation et de réclame.
En résumé, M. Junod déclare que l'on doit reconnaître après un examen attenlif du problème que l'on ne peut découvrir des indices bien visi- bles de surproduction, et il ajoute :
«Gomme le relève judicieusement M. Ed.
Schindler (Kaufmännisches Gentralblatt du 9 J a n v i e r 1914), l'envahissement de la carrière commerciale, en Suisse, par des commerçants étrangers (16,3 % ) est en contradiction avec les craintes de surproduction. Si les jeunes commer- çants allemands trouvent des emplois dans notre pays, cela ne tient nullement à une préparation professionnelle supérieure à celle des jeunes
Suisses, mais au fait qu'il y a, sur le marché, des places à repourvoir.
« La carrière commerciale ne parait pas plus encombrée que beaucoup d'autres ; elle l'est assu- rément moins que certaines carrières libérales.
A cet égard, les derniers comptes rendus annuels du Bureau de placement de la Société suisse des fommerçants n'indiquent pas une disproportion anormale entre l'offre et la demande. Des consta- tations analogues sont faites par les bureaux de placement d'autres associations. Mieux e n c o r e : nous avons souvent entendu, de la bouche de directeurs d'écoles de commerce, que la plupart de leurs élèves sont déjà pourvus d'un emploi avant leur sortie de l'école. Les écoles de jeunes filles ne peuvent même pas toujours satisfaire à toutes les demandes.
« Il n'y a en conséquence pas lieu d'appréhen- der pour le moment i'essor pris en Suisse par les institutions d'enseignement commercial et de regretter les sacrifices financiers consentis dans ce but par les autorités fédérales, cantonales et communales, ainsi que — ne l'oublions pas — par les commerçants eux-mêmes. Les résultats atteints sont des plus réjouissants».
Intéressante trouvaille
Une mission scientifique, envoyéeen Perse par l'université de Pensylvanie, vient de dérouvrir, à Nippert, des documents très précieux. Ce sont les tablelles de terre cuite qui constituenl la compta- bilité d'une importante maison de commerce, contemporaine d'un Artaxerxès. Cette maison faisait le négoce des bijnux et des pierres précieu- ses, et s'occupait aussi d'achat et de vente de ter- rains et de gestion de propriétés. Les tablelles mises au jour par les savants américains contien- nent plusieurs contrats. Voici le texte de l'un d'eux : « Bel-ad-id-inua et Bel-chouna. fils de Bel el Hatina de Buzuyu, parlent ainsi à Bel-Nadin- Choumou : quant à l'anneau en or avec le saphyr, garantissons que la pierre ne se détachera pas de l'anneau pendant vingt a n s . Si elle tombait avant, nous payerons, pour Bel-Nadin-Choumou, dix piècps d'argent d'indemnité».
Dédié à nos bijoutiers d'aujourd'hui.
Mouvement ouvrier
Le conf it de Granges
L'engagement des lock outés T o u s les o u v r i e r s l o c k - o u t é s d e G r a n g e s o n t s i g n é l ' e n g a g e m e n t c i - a p r è s :Les soussignés s'engagent les uns envers les autres et envers la Fédération des ouvriers de l'industrie horlogère ( F . O. I. H.), représentée par G. H e y m a n n , à suivre l'engagement suivant :
1° Tous les ouvriers signataires de la présente s'engagent à quitter le travail le 7 février 1914, pour les fabriques d'horlogerie et d'ébauches de Granges et Bettlach qui ont prononcé le lock-out le samedi 24 janvier 1914. Aucun des soussignés ne doit reprendre le travail pour ces fabriques ou pour leur compte ni par contrat tacite, oral ou écrit, ni à la journée, ni aux pièces, ni d'aucune autre façon, aussi longtemps que les deux tiers des soussignés n ' a u r o n t pas décidé la reprise du travail avec l'assentiment de la F . O. I. H. repré- sentée par son comité central.
2° La majorité mentionnée â l'article 1 doit être faite de la façon suivante :
Dans la séance d'aujourd'hui, les soussignés ont décidé que les débals relatifs à la reprise du travail seront conduits par le comité du syndicat des ouvriers horlogers de Granges. Ce comité a le droit de convoquer des assemblées, il en a le devoir quand le tiers des soussignés le deman- dent par écrit. Ces assemblées sont -convoquées par une seule publication dans la « Volkswacht am J u r a » et peuvent être convoquées pour le jour même où parait le journal. Elles peuvent aussi avoir lieu le jour suivant. L'ordre du jour ne doit pas nécessairement être publié. La convo- cation sera signée « Comité du Syndicat horloger de G r a n g e s » .
Les décisions dont il est question à l'article premier peuvent être prises à ces assemblées à la majorité des signataires présents, quel qu'en soit le. nombre. Les votations se font à main levée.
Elles peuvent se faire au bulletin secret sur demande d'un tiers des membres présents. Le président de l'assemblée sera désigné par le co- mité du Syndicat des ouvriers horlogers de Gran- ges. Un procès-verbal sera fait par une personne
désignée par le dit comité. Le président de l'as-"
semblée désigne les scrutateurs en nombre suffi- sant.
3° Au cas où l'un des signataires violerait l'en- gagement pris à l'articie premier, il s'engage à payer une amende conventionnelle de dix francs pour chaque jour où il aura travaillé en violation de l'article premier et à rembourser les secours de grève reçus depuis la signature de l'engage- ment. L'amende conventionnelle et le rembour- sement des secours de grève devront être versés- à Georges H e y m a n n . La F . O. I. H., ou l'une de ses sections, et chacun des sous-signataires ont le droit de déposer une plainte.
4° Les contestations au sujet du présent enga- gement seront tranchées définitivement, sans appel, revision, relief, ni recours, par un arbi- trage composé de trois arbitres, nommés de la façon suivante : Chaque partie nomme un arbitre ; M. Affolter, avocat a Soleure, fonctionnera comme surarbilre. Les arbitres pourront se prononcer sur tous les cas el spécialement sur ceux de l'art. 3 du présent engagement. Les parties liligeantes sont tenues d'élire leur arbitres dans le délai de huit jours, faute de quoi leur droit sera exercé par le président du tribunal de district de Soleure et Lebern.
Remarque. — On entend par signataires dans le sens du présent engagement, tous ceux qui ont signé l'engagement présent dans la séance d'au- jourd'hui, comme les ouvriers des fabriques de Granges et Betllach qui le signeraient par la suite. Ces derniers ouvriers ont les mêmes droits et devoirs que les signataires de la séance d'au- jourd'hui.
J e reconnais par ma signature avoir reçu un exemplaire du présent engagement. J e l'ai signé après en avoir pris exactement connaissance et en toute liberté sans que sur moi ait été exercé la moindre pression.
Granges et Bettlach, le janvier 1914, etc.
Variété
Commis-voyageurs d'autrefois
Une élude due à la plume du Dr F r a n z Wôlfel el dont le Merkur publie une analyse montre ce qu'était à ses débuts la corporation aujourd'hui si florissante des voyageurs de commerce.Au moyen âge déjà et à l'aube des temps mo- dernes, il y avait des commis-voyageurs, on les dénommait compagnons (Gesellen), garçons (Knechte) ou commis (Diener). Comme les routes étaient généralement peu sures et la transmis- mission des correspondances fort lente, les com- merçants engageaient le plus souvent comme
« c o m p a g n o n s » des hommes auxquels les ratta- chaient des liens de parenté ou d'amitié et en les- quels ils pouvaient mettre une confiance absolue.
Ces voyageurs disposaient de pouvoirs étendus et participaient aux profits de leur entreprise. On a conservé les rapports de « Reisediener» opérant pour des maisons de la Hansa et du sud de l'Al- lemagne. Les tournées de ces ambulants du com- merce les conduisaient déjà assez loin. Des ins- tructions datant du XVIIe siècle énumèrenl les objets dont tout commerçant-voyageur devait se m u n i r : une plume (cela n'a pas changé) de l'en- cre, du papier, un briquet, une tablette à écrire, une boussole et un compas, une longue-vue, une carte terrestre et maritime détaillée, une descrip- tion des villes et des pays, un recueil des lois, et,
— je vous le donne en cent, — une bible et un livre de prières '
Les voyageurs d'alors fréquentaient surtout les foires, qui jouaient un rôle considérable dans la vie économique ; ils y apportaient leurs marchan- dises. Le voyageur ne prenant avec lui que ses seuls échantillons est d'origine plus récente. Son apparition ne fut possible que lorsque l'industrie put livrer en fortes quantités des objets rigoureu- sement conformes aux modèles. Or, l'artisan du moyen âge n'avait ni les moyens ni l'occasion d'introduire ses produits sur les m a r c h é s étran- gers. Il travaillait exclusivement pour les besoins locaux.
La grande industrie naquit au XVIIe siècle, d'abord en Angleterre, et c'est ce pays qui le pre- mier a connu le moderne voyageur de commerce.
Vers l'an 1740, la surproduction due à l'introduc- tion de machines perfectionnées amena les dra- piers anglais à visiter les marchés du continent, ce qu'ils firent d'emblée en s'abstenant d'inter- médiaires et en faisant traiter directement avec les détaillants. Leur exemple fut suivi par les industriels français, puis par les Allemands. Jus- tus Mœser rapporte qu'il ne se passait pas d'an-
LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 85
née que l'Allemagne ne fût parcourue par dix voyageurs anglais au moins. Et l'on trouvait que c'était beaucoup ! Après 1759, devenus maîtres du Canada, les Anglais envoyèrent dans tous les coins de l'Allemagne, de la Hongrie et de la Polo- gne des voyageurs parlant l'allemand pour visi- ter les fourreurs et leur offrir des peaux. Plus lard, on signale le passage de voyageurs envoyés par les couteliers et les filateurs de colon britan- niques. En 1821, les conseillers de commerce de Leipzig se plaignent de ce que la foire de leur ville perd de son importance, et ils attribuent cette défaveur aux industriels anglais, dont les voyageurs ou « Musterreiter» visitent et font ap- provisionner jusqu'aux plus petits merciers vil- lageois. Ils ont d'ailleurs comme émules un cer- tain nombre de fabricants allemands.
Ces prédécesseurs de nos voyageurs de com- merce étaient désignés en Allemagne par les vocables de « Mustercharlenreiler » ou de « Ellen- reiler» (cavaliers aux modèle ou à l'aune). Gomme ces appellations l'indiquent, ils étaient montés à cheval, botlés, éperonnés et armés d'une paire de bons pislolets. L'état des routes était encore fort mauvais, même entre les plus importantes villt-s de l'Allemagne, et vingt chevaux suffisaient à peine parfois pour tirer les diligences des or- nières et de la boue. Une bonne monture était préférable à ces véhicules incommodes; elle per- mettait au commis-voyageur de cheminer plus vite, de prendre des chemins de traverse et de se soustraire plus aisément à de fâcheuses rencon- tres. Une correspondance de l'époque dit qu'il est prudent de ne voyager la nuit qu.'en cas de nécessité et qu'on fera bien en tout état de cause de tenir ses armes prêtes pour s'en servir sans hésitation à la moindre alerte. Il était prudent aussi de ne pas descendre la nuit dans des au- berges isolées ou perdues dans les bois.
L'Angleterre et la France furent les premières à posséder de bonnes routes. En 1788 déjà, les diligences anglaises étaient citées en exemple et provoquaient l'admiration par leur célérité. C'est vers 1820 que se propagea sur le continent la méthode actuelle d'entretien des chaussées. J u s - qu'alors, le transport de3 marchandises s'effec- tuait surtout au moyen de voitures à deux roues.
Les lourdes voitures à quatre roues devinrent d'un usage de plus en plus commun.
A partir de 1840, on assiste à la disparition graduelle des commis-voyageurs à cheval. Les diligences sont devenues relativement rapides et confortables, les chemins de fer prennent de l'ex- tension. Une nouvelle ère commence pour le voyageur de commerce. Tandis que les moyens de transport et de transmission des nouvelles se perfectionnent, les relationscommercialesdevien- nent plus faciles par la suppression des formali- tés de passage aux frontières et des dispositions qui, dans certains pays, faisaient obstacle à l'im- portation. La surproduction qui régna à la même époque détermina les industriels à faire visiter par leurs agents les plus modestes consomma- teurs. Les associations d'artisans s'en émurent et suspendirent même parfois les relations avec les maisons qui livraient directement aux parti- culiers. En 1848, le mécontenlement était tel qu'un congrès tenu à H a m b o u r g demanda que l'on interdît l'exercice de la profession de voya- geur de commerce.
Le développement de la vie économique était trop avancé pour que l'on pût en venir a u n e telle extrémité. Vers I860, il y avait déjà 20,000 voya- geurs de commerce en Angleterre. En 1856, ces derniers avaient fondé un journal, le Commer- cial Travellers Magazine, dont les revenus fu- rent affectés à une caisse de retraite et à une caisse en faveur des veuves de voyageurs.
La première association de voyageurs de com- merce vit le jour en France en 1858. Les autres g r a n d s pays ne tardèrent pas à suivre cet exem- ple. L'association suisse a été fondée en 1878.
avec 55 sections. Dans tons les pays civilisés, il y a aujourd'hui des groupements actifs et pros- pères de voyageurs de commerce.
Liste des dessins et modèles
l i m i t a t i o n s *
N" 5616. 21 décembre 1898. — 1 modèle. — Ca- libre de montre.
N" 10139. 21 octobre 1903. — 1 modèle. — Cali- bre de montre.
N° 10149. 24 octobre 1903. — 1 modèle. — Mon- tre huit jours à balancier visible.
N" 15926. 16 octobre 1908. — 1 modèle. — Ca- binet de pendulette.
N° 15932. 17 octobre 1908. — 6 modèles. — Cali- bres de montres.
N° 15942. 19 octobre 1908. — 1 modèle. — Ma- chine automatique à tailler les pignons.
N° 15943. 19 octobre 1908. — 1 modèle. — Ma- chine à tourner les noyures aux platines.
N° 15945. 19 octobre 1908. — 1 modèle. — Cali- bre de montre.
N° 15968. 24 octobre 1908. — 1 modèle. — Dia- phragme reproducteur p'' machines parlantes.
N° 15969. 24 octobre 1908. — 1 modèle. — Dia- phragme reproducteur p1' machines parlantes.
N° 15972. 26 octobre 1908. — 5 modèles. — Ou- til à river ; parties d'outil à river.
N° 15976. 17 octobre 1908. — 1 modèle. — Mon- tre à cadran perforé de 12 trous et à une seule aiguille.
N° 15984. 28 octobre 1908. — 1 modèle. — Ma- chine automatique à tourner les clavettes.
Brevets d'invention
E n r e g - I s t r e m e n t a .
Cl. 71 c, n° 63614. 12 novembre 1912, 7 '/« h. p.
— Cadran de montre 24 heures. — Serge Pelropawlowsky, ingénieur, Jurj» w-Pols-kij (Russie). Mandataires : E. Blum & C°, Zurich.
C!. 71 c, n° 63615. 13 novembre 1912, 8 h. p. — . Montre lumineuse et procédé pour sa fabrica-
tion. — Aleide Leschot, Renan (Berne, Suis- se). Mandataires : Ebinger & Isler, Zurich.
Cl. 71 c, no 63616. 2 janvier 1913, 7 '/< h. p. — Perfectionnement aux mouvements d'horlo- gerie. — Marguerite Racaud née Desplat, 5, rue Richepanse, Paris (France). Mandatai- re : A. Ritter, Bàle.
Cl. 71 d, n° 63617, 31 décembre 1912, 8 h . p. — Coq avec dispositif pour y fixer l'extrémité ex- térieure du spiral-régulateur. — PaulTièche- Kœni'g, fabricant d'horlogerie, Bienne (Suis- se). Mandataire: A. Mathey-Doret, La Chaux- de-Fonds.
Cl. 71 e, n° 63618, 19 décembre 1912, 10 h. a. — Couronne de remontoir è pousssoir tubulaire, pour montres savonnettes et montres à chro- nographe. — Georges Henri Herzig, 6, rue de l'Ecole de Médecine, Genève-Piaiiipalais (Suisse).
Cl. 71 e, n° 63619, 11 m a r s 1913, 6'*A h., p. — Montre dont le mécanisme de remontage com- porte une tige dile « américaine ». — Kramer, Guerber & Cle, fabrique de buîles.' Bienné (Suisse). Mandataire: A. Mathey-Doret, La Chaux-de-Fonds.
Cl. 71 f, no 63620, 3 janvier 1913, 7 h. p . — Boite de montre avec pièce pour sa fixation. — G.
Pfand & G", Madretsrh (Suisse). Mandataire:
A. Mathey-Doret, La Chaux-de-Fonds.
CI. 71 f, no 63621. 11 m a r s 1913. 6 '/i h. p . — A r - ticulation de fond mobile de cabinet de pendu- lettes. — G. Barbezat-Baillot, Manufacture le P h a r e , Le Locle. (Suisse). Mandataire : A.
Mathey-Doret, La Chaux-de-Fonds.
Cl. 71 f, n" 63622. 9 octobre 1913. 7 l/« h. p. — Boites de montres. — Henri Honegger, Via D i g i o n e l 4 a , Milan (Italie). M a n d a t a i r e s : E.
Blum & C°, Zurich.
Cl. 71 h, n° 63623. 11 m a r s 1913,7 h. p . — M o n - tre-réveil perfeclionée. — Fabriques des mon- tres Zénith, successeur de Fabriques des montres Zénith, Georges Favre-Jacot &, G", Le Locle (Suisse). Mandataire: A. Ritter, Bàle.
Cl. 7 2 a , n° 63624. 8 m a r s 1913, 6V2 h. p. — Dispositif d'interrupteur du courant aux hor- loges é l e c t r i q u e s . — F r a n z Brunko, Rotstrasse 2, Zurich (Suisse). Mandataires : E. Blum &
C°, Zurich.
Cl. 72 b . n° 63625.19 m a r s 1913. 5 h. p. — Instal- lation pour le contrôle d'horloges électriques.
— Allgemeine Elehtricitais-Gesellschaft, Friedrich Karl-Ufer 2 - 4 , Berlin N. W . (Alle-
magne). Mandataires : Naegeli & C°, Berne.
Cl. 79 k, n° 63635. 28 décembre 1912, 7 h . p. — Machine a tailler les pignons, rochets, etc. — André Bechler, ingénieur-mécanicien, Mou- lier (Suisse). Mandataire : A. Mathey-Doret, La Chaux-de-Fonds.
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Service postal les dimanches et jours fériés
P a r arrèlé du 9 janvier 1914, le Conseil fédéral a autorisé l'administration des postes à faire l'es- sai des modifications ci-après au service postal les dimanches et les jours fériés, savoir:
Restreindre à la durée d'une heure l'ouverture des guichets dans les offices de poste, sous la réserve de prolonger ce délai là, où des circons- tances spéciales l'exigeront.
Supprimer la levée des boites aux lettres le matin pour les bureaux de poste de Ire classe, qui ont une levée de boîtes le soir.
P o u r les autres offices de poste, restreindre la levée des boites a u x lettres à une seule levée le matin.
Supprimer la distribution à d o m i c i l e : a. Des imprimés non inscrits, à l'exception des avis de décès, et b. des échantillons ordinaires de m a r - chandises.
Supprimer l'expéditon des envois ordinaires grevés de remboursement.
En outre, la mesure déjà adoptée dans, quel- ques villes, consistant à fermer, les dimanches et jours fériés, les bureaux succursales n ' a y a n t pas de service de distribution, sera étendue, égale- ment â titre d'essai, à tous les bureaux succur- sales sans service de distribution, à l'exception des succursales dans les g a r e s .
Les modifications sus-indiquées entreront en vigueur le 1" m a r s prochain.
Consulats
L'exequatur est accordé à M. Benjamin H a a s ; qui a été promu consul général ad honorem de de la République de San Salvador, à la résidence de Genève.
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