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E xercice 7. SoientXetY deux variables al´eatoires ind´ependantes telles queXsuit une loi exponentielle de param`etre λ >etY suit une loi g´eom´etrique de param`etrep. CalculerP(X > Y).

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Texte intégral

(1)

X  – MAP 

PC  – Lundi  avril  – Variables al´eatoires r´eelles Corrig´e des que ions non abord´ees en PC

Igor Kortchemski –igor.kortchemski@cmap.polytechnique.fr

Corrig´e des exercices non trait´es surhttp:// www.normalesup.org/ ˜ kortchem/ MAPun peu apr`es la PC.

 Variables al´eatoires r´eelles ind´ependantes

E xercice 7.

SoientXetY deux variables al´eatoires ind´ependantes telles queXsuit une loi exponentielle de param`etre λ >etY suit une loi g´eom´etrique de param`etrep. CalculerP(X > Y).

Corrig´e :

On applique la formule des probabilit´es totales avec le sy`eme complet d’´ev´enements ({Y=k}:k≥) :

P(X > Y) =X

k

P(X > Y , Y =k).

Or on a l’´egalit´e des ´ev´enements{X > Y , Y =k}={X > k, Y =k}. Donc, en utilisant l’ind´ependance deXetY :

P(X > Y) =X

k

P(X > k, Y =k) =X

k

P(X > k)P(Y=k) =X

k

eλkp(p)k

Ainsi,

P(X > Y) =peλX

k

eλ(−p)k

= peλ

−eλ(−p)= p eλ+p−

E xercice 8.

SoientXetY deux variables al´eatoires ind´ependantes telles queXsuit une loi exponentielle de param`etre λ >etY suit une loi exponentielle de param`etreµ >. Identifier la loi de la variable al´eatoire min(X, Y).

Corrig´e :

SoitZ= min(X, Y). CalculonsP(Z > u) pouru∈R. Siu <, on aP(Z≥u) =. Siu≥, on a, par ind´ependance deXet deY :

P(Z > u) =P(X > u, Y > u) =P(X > u)P(Y > u) =eλueµu=e(λ+µ)u. Ainsi, pour toutu∈R,

P(Z≤u) =





 siu <

−e(λ+µ)u siu≥.

On reconnaˆıt la fonion de r´epartition d’une loi exponentielle de param`etre λ+µ, et comme la fonion de r´epartition cara´erise la loi d’une variable al´eatoire r´eelle, on en d´eduit queZ suit une loi exponentielle de pa-

ram`etreλ+µ.

Pour des queions, demande d’explications etc., n’h´esitez pas `a m’envoyer un mail.

(2)

 Plus appliqu´e (hors PC)

E xercice 10.

Le cycle d’un feu de circulation ele suivant : le feu evert sur l’intervalle [, v] et rouge sur ]v, v+r] avec v, r >. L’inant d’arriv´eeU de Zo´e esuppos´e uniform´ement r´eparti sur le cycle [, r+v].

() Exprimer en fonion deU le temps d’attenteT de Zo´e au feu dans le cas o `u aucun vehicule ne se trouve devant le feu `a l’inant o `u elle arrive.

() D´eterminer la fonion de r´epartition de T. E-ce une variable al´eatoire discr`ete ou `a densit´e ?

Corrig´e :

() On aT = (v+rU)1vUv+r

() On aP(T <) =,P(T ≤x) =P(T =) +P(< Tx) =v+xv+r pour< xr. La variable al´eatoireT n’edonc ni `a densit´e (car sa fonion de r´epartition n’e pas continue) ni discr`ete (car elle e continueriement croissante sur sur [, r].

E xercice 11.

(Particule dans un puit de potentiel, loi d’Arrh´enius et loi de Pareto) On consid`ere une particule dans un puit de potentiel de barri`ere d’´energieEpositive. La loi d’Arrh´enius donne le temps de sortieτ(E) en fonion deE de la particule hors du puit d ˆu aux fluuations thermiques :

τ(E) =τekBTE .

Ici, la conante τ e un temps de r´ef´erence cara´eriique,T e la temp´erature absolue, et kB e la conante de Boltzmann. On suppose que la barri`ere ed´ecrite par une variable al´eatoireX de loi exponentielle de param`etreλ=

/E, o `uEeune ´energie de r´ef´erence. Le temps de sortie de la particule ealors une variable al´eatoire not´eeY : Y :=τ(X),

o `uτ(x) =τekBTx .

() D´eterminer la loiY.

() Montrer que pour toutt0>on a limt+P(Y > t+t0|Y > t) =. Interpr´eter ce r´esultat.

Remarque.la loi deY ela loi de Pareto. C’eune loi de puissance qui a des applications non seulement en physique mais aussi en sciences sociales, en geion de qualit´e, etc.

Corrig´e :

() D´eterminons la fonion de r´epartition deY. On aP(Y≤x) =pourx < τ, et pourxτ: P(Y ≤x) =P

τe

X kBTx

=P XkBTln x τ

!!

=−eλkBTln

x

τ

=− τ

x kBTE

.

AinsiYeune variable al´eatoire `a densit´e, et une densit´efY e fY(x) =α τα

xα+1xτ, o `uα=kEBT

.

On remarque que si la temp´erature tend vers,αtend vers ´egalement. Il en ede mˆeme siEtend vers l’infini.

() D’apr`es le calcul de la fonion de r´epartition deY, pour toust, t0τon a P(Y > t+t0|Y > t) = +t0

t

!α

−→

t→∞ .

(3)

Si la particule ere´ee dans le puit de potentiel trop longtemps, la probabilit´e qu’elle y demeure eproche de.

Remarque.Pourα >, le temps moyen de sortie du puit vaut E[Y] = ατ

α−.

Par contre,< α≤, on aE[Y] =∞! Donc, si la temp´erature eassez basse, la particule met un temps moyen infini pour sortir du puit. On pourrait s’attendre `a ce que cela soit le cas quandT =seulement.

E xercice 12.

(D´etruquer une pi`ece) On dispose d’une pi`ece truqu´ee qui renvoiepileavec une probabilit´epet on souhaite s’en servir pour g´en´erer un pile ou face ´equilibr´e. John von Neumann a imagin´e l’algorithme suivant :

Lancer la pièce

Lancer la pièce Lancer la pièce pile

face pile

face

face pile

Renvoyer

“face”

Renvoyer

“pile”

DEBUT

  FIN

  FIN

On noteT ∈ {,,, . . .}la variable al´eatoire donn´ee par le nombre de lancers n´ecessaires pour que l’algorithme se termine, etR∈ {pile,face}le r´esultat de l’algorithme.

() Que valentT etRsi on obtient comme premiers tiragesP P P P FFP P P FFP? () D´emontrer que pour toutk≥,

P(T =k) = (p+ (−p))kp(−p), en d´eduire que l’algorithme se termine presque-s ˆurement :P(T <+∞) =.

() D´emontrer que l’algorithme renvoie bien pile ou face avec mˆeme probabilit´e, c’e-`a-dire que P(R =

pile) =/.

() D´emontrer queE[T] =p(p).

Corrig´e :

() L’algorithme revient au d´ebut d`es qu’on lit deux r´esultats identiques `a la suite. Dans cet exemple, on trouve doncT =etR=face.

() Notons (Xi)i une suite i.i.d. de variables al´eatoires ind´ependantes de loi de Bernoulli de param`etrep(on mod´elise un r´esultatpileau i-i`eme lancer parXi=). Calculons d’abordA=P(X=X) etB=P(X,X).

On a

A=P(X=, X=) +P(X=, X=) =p+ (−p), B=−A=p(−p).

On a alors

P(T =k) =P

X=X, X=X, . . . , Xk=Xk, Xk,Xk . Par ind´ependance, on en d´eduit

P(T =k) =AkB= (p+ (−p))kp(−p).

CommeP

kP(T =k) =, on a bienP(T <∞) =.

(4)

() D’apr`es la formule des probabilit´es totales,

P(R=pile) =X

k

P(T =k, Xk=) =X

k

AkP(Xk=)P(Xk=) =p(p)

−A .

DoncP(R=pile) =/. CommeP(R=pile) +P(R=face) =, le r´esultat s’ensuit.

() Soit Y la variable al´eatoire telle que P(Y=k) = (p+ (−p))kp(−p) pour k ≥ . Il s’agit d’une loi g´eom´etrique de param`etrep(−p), doncE[Y] =p(p). Ainsi,

E[T] =X

k

kP(T =k) =E[Y] =  p(p).

E xercice 13.

(G´en´erer une loi uniforme avec des variables de Bernoulli)Soit X, X, . . .des variables al´eatoires de Bernoulli ind´ependantes de param`etre/. On poseZ=P

k=kXk. () On note

D=





n

X

k=

ik

k :n≥, i, . . . , in∈ {,}





l’ensemble des nombres dyadiques de [,], qui sont denses dans [,]. SoitYune variable al´eatoire `a valeurs dans [,] dont la fonion de r´epartitionFY v´erifieFY(t) =tpour toutt∈ D. Montrer queY eune variable al´eatoire uniforme sur [,].

() Montrer que pour tousi, . . . , ip∈ {,}on a P

X=i, . . . , Xp=ip

=P







Z







p

X

i=

ijj,

p

X

j=

ijj+p













.

En d´eduit que queZeune variable al´eatoire uniforme sur [,].

() R´eciproquement, montrer que siY eune variable al´eatoire uniforme sur [,], alors les bits de son ´ecriture en baseforment une suite de variables al´eatoires ind´ependantes de mˆeme loi de Bernoulli de param`etre/.

() Que se passe-t-il en baseb≥avec la loi uniforme sur{, . . . , b−}?

Corrig´e :

() Soitx∈[,[ et montrons queFY(x) =x. Par densit´e deDdans [,], il exie une suite d´ecroissante (dn)n

d’´el´ements deDtels que dnx. Comme FY e continue `a droite en x, on adn =FY(dn)→FY(x). Donc FY(x) = x. On montre de mˆeme que FY(−) = (o `u FY(−) e la la limite `a gauche de FY en ). Comme

≥FY()≥FY(−) =, on en d´eduit queFY() =.

() La premi`ere partie de la queion d´ecoule du fait qu’avec probabilit´eune infinit´e deapparaissent dans la suite (Xn)net que

X

kn+

tk

k < X

kn+

k = 

n

pour toute suite (tk)kn+ `a valeurs dans{,}qui prend au moins une fois la valeur.

Notons

Dn=





 Xn

k=

tk

k :t, . . . , tn∈ {,}ettn=





.

Montrons par r´ecurrence forte surnque pour toutt∈ Dnon aP(Z≤t) =t. Pourn=, on a bienP(Z≤/) = P(X=) =/. Supposons que le r´esultat eacquis pour les ´el´ements deDk,≤knet montrons le pour

(5)

les ´el´ements de Dn+. Tout d’abord,P(Z≤/n+) = P(X=, . . . , Xn+=) = /n+. Ensuite, choisissons t=Pm

k= tk

k +n+ ∈ Dn+avec≤m < nettm=. Alors, d’apr`es la premi`ere partie de la queion, P(Z≤t) =P





 Z

m

X

k=

tk

k







+P(X=t, X=t, . . . , Xm=tm, Xm+=, . . . , Xn=) Donc, par hypoth`ese de r´ecurrence,

P(Z≤t) =P





 Z

Xm k=

tk

k





 + 

n = Xm k=

tk

k+ 

n =t.

Ceci clˆot la r´ecurrence et conclut grˆace `a la queion ().

() Ceci se d´emontre en utilisant la mˆeme id´ee que la queion (), voir l’exemple ..du poly pour plus de d´etails.

() Les mˆemes r´esultats sont satisfaits avecZ=P

k=bkXk et (Xk)k des variables al´eatoires ind´ependantes et de mˆeme loi uniforme sur{,, . . . , b−}.

Remarque.Il peut se produire un ph´enom`ene surprenant lorsqueb≥et lesXnne sont pas de loi uniforme sur {, . . . , b−}. Un exemple c´el`ebre e fourni par l’escalier du diable, qui correspond `a la fonion de r´epartitionFY quandb=et les (Xn)nsont ind´ependantes de mˆeme loi donn´ee parP(X=) =P(X=) =/etP(X=) =.

Dans ce cas,FY eune fonion continue, d´erivable presque partout (au sens de la mesure de Lebesgue) de d´eriv´ee nulle, qui e connue sous le nom d’escalier du diable (voir la Figure ci-dessous ethttp://fr.wikipedia.org/

wiki/Escalier_de_Cantor). Dans ce cas,Y n’epas `a densit´e (sa loi emˆeme singuli`ere par rapport `a la mesure de Lebesgue).

 Pour aller plus loin (hors PC)

E xercice 14.

(Support d’une loi) SoitXune variable al´eatoire r´eelle.

() On suppose que pour toutA∈ B(R), on aP(X∈A)∈ {,}. Montrer queXepresque-s ˆurement conante (c’e-

`a-dire qu’il exiec∈Rtel queP(X=c) =).

() On suppose que l’ensemble{P(X∈A), A∈ B(R)}e d´enombrable. Montrer que p.s.X ne peut prendre qu’un nombre d´enombrable de valeurs (c’e-`a-dire, il exie un ensemble d´enombrableΓ tel queP(X∈Γ) =).

Corrig´e :

() Soitc= sup{x∈R:P(X≤x) =}. CommeP(X≤x)→lorsquex→ −∞etP(X≤x)→lorsquex→ ∞, on

(6)

ac∈R. V´erifions queP(X=c) =. Par d´efinition dec, pour toutn≥, on aP(X∈[c−/n, c+/n]) =. Donc

=P





 X∈\

n

[c−/n;c+/n]







=P(X=c).

() Soit FX la fonion de r´epartition de X. CommeFX e croissante, elle a au plus un nombre d´enomrable de points de discontinuit´es. Notons (xi)iI les points de discontinuit´e de FX etpi =P(X=xi) pouriI, et consid´erons la variable al´eatoireY `a valeurs dans{xi:iI}telle queP(Y=xi) =pi pouriI. V´erifions que XetY ont la mˆeme loi.

Pour cela, notonsFY la fonion de r´epartition de Y. D’apr`es l’hypoth`ese, et comme Y ne prend qu’un nombre d´enombrable de valeurs possibles, l’ensemble{FX(x)−FY(x) :x∈ R}e d´enombrable. OrFXFY

e continue. Si FXFY n’e pas conante, alors d’apr`es le th´eor`eme des valeurs interm´ediaires FXFY prendrait un nombre non d´enombrable de valeurs possibles,ce qui eabsurde. DoncFXFY econante.

Comme lim−∞(FXFY) =, on en d´eduit queFX=FY.

Ainsi,XetY ont mˆeme loi, et doncP(X∈Γ) =, avecΓ ={xi:iI}.

E xercice 15.

(Une queion de mesurabilit´e) Soit (Ω,A) un espace probabilisable et (Ai)i un sy`eme complet d’´ev´enements (on rappelle que cela signifie queAi∈ Apour touti≥, que∪iAi =Ωet queAiAj=∅sii,j).

On consid`ere l’applicationX:Ω→Nd´efinie parX(ω) =i, o `uietel queωAi. Montrer queXeune variable al´eatoire (N ´etant d´enombrable, on le munit naturellement de la tribuP(N)).

Corrig´e :

SoitB⊂N. Alors, par d´efinition,

X(B) =[

iB

Ai∈ A,

comme union finie ou d´enombrables d’´el´ements deA.

E xercice 16.

(Exemple d’ensemble non mesurable)SoitPla loi d’une variable al´eatoire uniforme sur [,π] (muni de la tribu bor´elienne sur [,π]). On voit [,π] comme le cercle unit´eSen identifiant les deux pointsetπ. Choisissons α >tel queα/(π) soit irrationel, et notonsRαla rotation d’angleαsur le cercle, d´efinie parRα(e) =ei(θ+α). On note R(n)α la compos´een-i`eme deRαpourn∈Z.

Siz∈S, l’orbite dezepar d´efinition l’ensemble{R(n)α (z) :n∈Z} ⊂S. Commeα/(π) eirrationnel, on peut montrer que toutes les orbites sont infinies (et mˆeme denses).

Notons (Oi)iI l’ensemble des orbites, et en utilisant l’axiome du choix choisissons pour toutiI un repr´esentant ziOi. Posons finalement

E={zi:iI}. () Montrer queS=S

n∈ZR(n)α (E) et que cette union edisjointe.

() En supposant queEemesurable, aboutir `a une contradiion.

Corrig´e :

() Siz∈S, il exieiItel quez∈ Oi. Ainsizedans l’orbite dezi, et il exie donck∈Ztel quezR(k)α (zi). Donc zR(k)α (E), et doncS⊂S

n∈ZR(n)α (E). Comme l’inclusion inverse eclaire, on a ´egalit´e des deux ensembles.

Pour montrer que l’union edisjointe, raisonnons par l’absurde en supposant quexR(m)α (E) etxR(n)α (E) avecm,n. Il exie alorsi, jItels quex=R(m)α (zi) =R(n)α (zj). Donczietzjsont dans la mˆeme orbite, et donc i=j. Mais alorszi =R(mα n)(zi), ce qui contredit le fait que les orbites sont infinies.

(7)

() SiE ´etait mesurable, on aurait

=P(E) =X

n∈Z

P

R(n)α (E)

.

Or pour toutn∈Zon aP(R(n)α (E)) =P(E) car la loi uniforme sur le cercle einvariante par rotations. Ceci nous am`ene `a une contradiion.

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