• Aucun résultat trouvé

A propos du cancer: une piste qu'on n'a pas le droit de négliger

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "A propos du cancer: une piste qu'on n'a pas le droit de négliger"

Copied!
9
0
0

Texte intégral

(1)

Article

Reference

A propos du cancer: une piste qu'on n'a pas le droit de négliger

PITTARD, Eugène

PITTARD, Eugène. A propos du cancer: une piste qu'on n'a pas le droit de négliger. Journal des infirmières , 1949, p. 1-8

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:111505

Disclaimer: layout of this document may differ from the published version.

1 / 1

(2)

A propos du Cancer

Une piste qu'on n'a pas le droit de négliger

Le cancer. est. la honte de la science.

VERNEUIL.

Le terrain est plus important que le germe.

CASTIGLIONE.

Il y a vingt-huit ans, le professeur Forgue (La lutte contre le cancer, Montpellier 1921) écrivait: «En 1911 le cancer a fait en France plus de victimes, à lui seul, que l'ensemble réuni des douze maladies épidémiques parmi lesquelles sont ces quatre grands .pourvoyeurs de mor~ de funeste réputation: la fièvre typhoïde, la diphtérie, la scarlatine, la rougeole. Tandis que ces dernières n'ont emporté que 29.470 personnes, le cancer a causé 31.768 décès.

La population entière d'une· ville comme Cette; plus qu'un corps d'armée ... Et encore ce chiffre ne répond pas à la réelle besogne meurtrière du cancer. Combien de tumeurs profondes ne sont pas diagnostiquées. Un seul cancer, celui de l'utérus, tue en Alle- magne, au dire du professeur Dühtssen, plus de 26.000 personnes. ''

Est-il un seul être social qui, à la lecture de ces quelques lignes, peut rester· indifférent ?

Devant une telle catastrophe humaine, je me suis mis, moi aus&i, à l'ouvrage: bien entendu en demeurant stricte.ment dans l'horizon de mes préoccupations scientifiques. Je ne suis pas médecin, je suis anthropologiste. Et je ne voudrais pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, c'est-à-dire de diagnostic et de thérapeutique. Mais il est un domaine du cancer qui peut inté- resser l'anthropologie, j'ai cité l'étiologie. Quand on songe que depuis 180 ans l'Académie de Lyon a offert un cc prix du cancer n qui n'a jamais été décerné,· on comprend la parole désabusée du grand chirurgien français Verneuil, rappelée ci-dessus. Aristide Auguste Verneuil est mort en 1895. Mais son apostrophe n'a rien perdu de son actualité.

* * *

Une part importante de l'étude naturelle de l'homme consiste dans l'examen des caractères raciaux. A la surface de la terre, les humains constituent, morphologiquement parlant, une étrange disparité. Si, dans un ·cours d'anthropologie, on plaçait sur le

(3)

- 2 -

podium, un grand Nordique européen, un Pygmée de l'lturi, un

· Nègre de l'Afrique centrale, un Boschiman, un pur Mongol - et

cette liste pourrait s'allonger - on prendrait instantanément conscience de cette disparate. Alors, n'est-ii pas scientifique d'envi- sager qu'à ces dissemblances morphologiques et descriptives, peuvent - pour ne pas dire doivent - correspondre des dis- semblances internes, celles qui, en particulier, commandent la physiologie, celles que Claude Bernard a appelées « les milieux intérieurs ».

Pourquoi ne peut-on pas parler d'une physiologie égale chez tous les hommes. ? Les observations actuelles ont montré que le métabolisme basal n'est pas le même dans toutes les races. Tous les êtres humains n'assurent pas des transformations chimiques et energétiques semblables. Quelques savants américains se sont intéressés aux problèmes que pose le métabolisme envisagé selon -les diverses races humaines. Ils ont montré que de très appré-

ciables différences existaient selon les groupes ethniques (on aime- rait pouvoir dire· raciaux) considérés. A titre d'exemple, voici quelques chiffres. Chez les Chinoises comparées aux Américaines (étudiantes), le métabolisme est inférieur de 9% chez les pre- mières; il est inférieur de 16

%

chez les femmes Hottentotes; de 12% chez les hommes du même groupe; il est de 5 à 8% plus élevé chez les Mayas que chez les Blancs d'Amérique. Par rapport à ces derniers, le métabolisme est supérieur chez les Esquimaux et chez les Araucans; il est inférieur chez les Australiens, les Philippins.

Les Drs H. Lester et Millot (Les races humaines, Paris, 1936) qui rappellent ces résultats ajoutent: cc Les faits ci-dessus, outre leur intérêt théorique, nous fournissent un élément dè plus pour l'appréciation de la parenté des groupes ethniques. Ils sont ·aussi de première importance pour les médecins. Leur méconnaissance pourrait fausser complètement les diagnostics puisque les varia- tions raciales sont souvent supérieures à celles que produisent

les maladies. '' ·

Et puisque je cite Lester et Millot, je voudrais leur emprunter encore quelques passages. A propos des rapports qui peuvent exister entre les races et les maladies. Ils rappellent tout d'abord une parole de Béraud, qui, en 1897, écrivait: cc La race n'a rien à voir avec la pathologie». Mais qu'est-ce qu'à cette date çl.e 1897, Béraud savait du problème des races - qu'en général les médecins ignorent totalen.ient - et qui, tout de même, réclame l'aide, pas toujours facile, des spécialistes? On n'a pas le droit d'en parler

cc en l'air». Et Lester et Millot signalent encore un auteur améri- cain Cleland qui, en 1930, parlant des Australiens a écrit: cc Il n'y

(4)

- 3 -

a guère d'affections qui soient propres à ces indigènes et les réactions présentées par eux aux maladies n'ont rien de particulier en dépit du long isolement dans lequel a vécu leur race». Et plus loin, il ajoute qu.'·à ses yeux «les manifestations pathologiques ne semblent pas avoir une grande valeur pour distinguer les races les unes des autres: il ne faut pas s'en étonner, car les réactions aux maladies doivent être considérées comme primitives et archaïques et comme telles restent semblables chez toutes les espèces ou les races, même longuement séparées les unes des autres)).

Là-dessus Lester et Millot ajoutent: cc Ce point de vue nous paraît entièrement inexact et nous espérons convaincre le lecteur au cours de ces quelques pages ! >> Et plus loin, ils disent à leurs confrères médecins: cc La question a été également obscurcie par la faute des médecins qui, dépourvus d'esprit critique ont versé dans les débats de pathologie comparée des observations super- ficielles et des généralisations hâtives dont l'inexactitude, ulté- rieurement reconnue, a jeté la suspicion sur tous les documents médicaux, mêmes les plus sérieux l>.

Et ces deux auteurs apportaient, comme un premier argument, à l'appui de leurs convictions, les résultats des statis- tiques américaines du Johns Hopkins Hospital qui montrent les susceptibilités de la race noire aux maladies de l'appareil respira- toire: bronchites, pneumonies, coqueluches; au moins cinq fois . plus abondantes chez les Noirs que chez les Blancs.

* * *

Ces statistiques relatives à la pathologie dans des pays où vivent en commun - parfois dans des conditions très semblables - diverses races, devraient être retenues avec le plus grand soin par . les pathologistes. Mais malheureusement ceux-ci ne sont guère au courant de ce qu'on peut appeler le problème des races. Quels sont les médecins qui ont appris, au cours de leurs études stricte- ment médicales, qu'il existe à la surface de l'Europe (lequel continent peut apparaître à première vue, comme une unité anthropologique), au moins quatre races principales dont les caractéristiques morphologiques et descriptives sont très diffé- rentes ? Je parle de ces choses par expérience.

Entre l'llomo nordicus et l'llomo alpinus, il y a les disparates principales que voici: la première de ces races est grande et même très grande; elle est dolichocéphale, elle a les yeux et les cheveux clairs; la seconde est de taille moyenne, elle est brachycéphale, elle a les yeux et les cheveux foncés. On pourrait opposer, de

(5)

4

même manière, les caractères des deux autres races principales.

L' Homo meridionalis est petit, dolichocéphale et brun; le repré- sentant de la race dinarique est grand et même très grand, brachycéphale et brun.

Devant une telle disparate ne peut-on pas, se rappelant la parole de Claude Bernard, imaginer qu'à ces différentiations morpho- logiques et descriptives peuvent correspondre des différentiations physiologiques ?

* * *

Etablir des statistiques valables sur le sujet qui nous intéresse présentement, c'est-à-dire le rapport entre la physiologie, la pathologie et la race, est sans doute difficile puisque, dans les hôpitaux - et les médecins traitants font de même - on ne tient pas compte de la qualité raciale des hospitalisés et des malades. Nous ne pouvons donc avoir que des renseignements in globo, très insuffisants pour toute recherche scientifique qui voudrait aboutir à un résultat quelque peu certain. On est obligé de ne considérer que des grande~ lignes. C'est mieux que rien, mais ce n'est pas assez.

Dans l'histoire de la médecine on peut glaner concernant les idées qui nous retiennent ici un ou deux faits qui méritent toute l'attention.

Tout d'abord le chapitre relatif à la suette. Cette grave maladie a pris, à de certains moments, l'allure d'une maladie spécifique- ment (disons presque spécifiquement, car il faut être prudent) attachée à la race nordique. Elle fut plusieurs fois catastrophique dans les iles Britanniques. Je rappelle qu'en France, ses dernières importantes offensives l'ont été dans les territoires où subsistent des contingents nombreux de cette race nordique (suette picarde, suette normande, etc.).

Ensuite le cas, très accusé aussi celui-là, des attaques de la fièvre jaune qu'eut à subir l'armée française lors de l'expédition du Mexique.

Rappelons rapidement les faits: L'armée, cantonnée à Vera Cruz, est victime d'une épidémie de fièvre jaune. Les troupes métropolitaines et aussi les << Arabes » des bataillons de turcos, sont cruellement décimés. Il en est de même des volontaires mulâtres <<très clairs » venus de la Martinique. De ceux-ci il fallut reformer deux fois leur compagnie. Sur 243 hommes il en est revenu 4: déchet fantastique !

Or - et la chose devient fort intéressante en faveur de notre thèse - le vice-roi d'Egypte avait envoyé à l'armée française un contingent de 450 nègres du Darfour et du Kordofan. Aucun

(6)

- 5 -

d'eux ne fut touché. Il est difficile de ne pas songer, devant un tel cas, au facteur «race ii.

Autre fait (il paraît avoir passé à peu près inaperçu). Je cite (Bordier, La géographie médicale). En 1853, l'établissement de l'Oyapok dans la Guyane française possède un personnel exclusive- ment européen. La mortalité par malaria est de 41,53%. En 1854, on introduit dans le personnel un certain nombre de Nègres. La mortalité tombe à· 21,6%. En 1856, le personnel est exclusive- ment nègre. Aussitôt la mortalité devient presque inexistante, dépa&sant un peu 3%. ii EL, parmi ces derniers, il faudrait savoir s'il s'agit de Nègres purs ou de métis - le métissage disloquant les caractéristiques physiologiques fondamentales.

Mais j'ai hâte de revenir au cancer.

Question de base: cette terrible maladie affecte-t-elle tous les hommes à la surface de la terre dans des proportions égales ou à peu près égales, quels que soient les milieux dans lesquels ils vivent - le terme <<milieuii étant pris dans le sens le plus étendu?

Ou, au contraire, les diverses régions de la terre - en Europe par exemple - présentent-elles des statistiques différentielles selon les divers pays considérés ?

J'ai dit ci-dessus que depuis la lecture du mémoire de Fargue, cette question m'avait toujours préoccupé. En 1925, je publiai les premiers résultats de mes ·recherches statistico-géographico- ethniques («Etude sur la répartition géographique et ethnique du cancer )), Le Globe, organe de la Soéiété de Géographie de Genève).

Il faut se rappeler que toutes le.s statistiques médicales dont nous disposons sont établies selon les Etats, c'est-à-dire selon les nationalités, ce qui, anthropologiquement, n'a aucun sens. Dans une recherche comme celle que nous préconisons, il ne faut pas parler de peuples, pas plus d'Espagnols, de Français que de Suisses, d'Allemands, etc., mais de races 1 . Aujourd'hui aucun Etat ne peut se targuer de posséder, à l'intérieur de ses limites politiques, une race pure.·

Or si, dans chaque continent, ou dans chaque pays, nous essayons d'établir une discrimination raciale et que nous mettons en regard des groupes ainsi formés les statistiques du cancer, nous constatons que celui-ci n'atteint pas également les représentants de ces groupes ainsi constitués. Il y en a qui sont plus fortement

1 Et surtout pas de "race latine n, de "race germanique n, de "race slave n. De telles classifications sont sans aucune valeur scientifique.

II faut en débarrasser les habitudes scolaires. •

(7)

- 6

atteints que d'autres. Et si, pour commencer cette vue panora- mique, on considère l'Europe dans son ensemble, nous consta- tons - les choses pour le moment sont vues dans leurs généra- lités et non dans les détails - que les hommes appartenant à la race nordique semblent être plus touchés par le cancer que les autres et que ceux qui le sont le moins appartiennent à la race dite de l'Homo meridionalis (Italiens du Sud, Espagnols, Portu- gais, insulaires de la Méditerranée occidentale., Français de quel- ques départements méridionaux). Les représentants de l' Homo alpinus (en gros la partie moyenne-occidentale de l'Europe) montrent, dans les statistiques, des valeurs intermédiaires 1.

Dans le continent européen la Fram~e se présente comme une sorte de synthèse anthropologique. Les départements du Nord-Est renferment les contingeuis les plus importants des Nordiques (ils sont là depuis le Néolithique); le Plateau central (Auvergne et régions voisines) est le domaine de l'Homo alpinus; dans quelques départements du Midi, nous venons de le dire, existe une popula- tion riche en représentants de l'Homo meridionalis. Or, la réparti- tion du cancer, en France, donne l'image, grosso modo, de celle de l'Europe.

Peut-on laisser passer, telle qu'elle, une semblable observation?

Elle n'est pas le fait du hasard.

Il faut dire quelques mots de l'Italie, cas typique.

Racialement parlant, ce pays est divisé en deux régions assez distinctes. Si l'on imagine une ligne idéale qui irait d'Ancône sur l'Adriatique à Rome, on constate que les hommes qui sont au nord de cette ligne, appartiennent, en très grande majorité, au type de l' Homo alpinus; ceux qui sont au sud, au type de l' Homo meridionalis. Les statistiques du cancer donnent les valeurs sui- vantes (par 100.000 habitants):

Italie septentrionale, 108, 7; Italie méridionale, 55,8.

Confirmation de ce qu'a montré l'Europe considérée dans son ensemble et aussi la France. L'Homo meridionalis. apparait encore comme !'Européen le moins touché par le cancer. Or, l'observa- tion qui va suivre ne saurait être assez soulignée.

Le dénombrement des cas de cancer en Amérique (Etats-Unis) reflète exactement les résultats qu'ont montré les deux régions principales de l'Italie dont il vient d'être question. Heureusement pour la. thèse que je soutiens, les statisticiens médicaux des hôpitaux américains ont relevé les appartenances géographiques

1 On verra plus loin qu'il ne peut s'agir «d'influences géogr;i.- phiques "·

(8)

- 7 -

des malades italiens. Voici un résultat qui ne manque pas d'intérêt: Italiens émigrés en Amérique:

Décès 1905/1917 sur 100.000 habitants:

Italiens des neuf provinces septentrionales et centrales, 80,2.

Italiens des sept provinces méridionales, 42,5.

Serait-il possible de demander un meilleur appui pour les suppositions que j'envisage ? Alors, d'après ce résultat, peut-on imaginer l'existence chez les Italiens, de deux qualités différentes de «milieux intérieurs n ?

Il faut encore ajouter ce qu'on pourrait appeler: le «cas des îles n en comparant deux ensembles: les îles anglaises, Man et Guernesey d'un côté (race nordique) et les îles italiènnes, Sar- daigne et Sicile de l'autre (Homo meridionalis). Le taux moyen du cancer est 119,8 dans le premier cas; il est, dans le second, 40,5.

Il serait facile d'allonger cette démonstration. Mais la place est mesurée.

Alors pourquoi, devant des faits de cette nature, qui, tout de même, ne peuvent être éliminés à priori comme s'ils étaient sans intérêt; pourquoi, devant les réponses négatives données aux

·nombreuses questions posées par l'étiologie du cancer, resterions- nous encore les bras croisés, constatant simplement notre impuis- sance à comprendre ?

Puisqu'il paraît avéré que toutes les races n'obéissent pas de la même façon aux mêmes physiologies, c'est qu'il y a, dans cette direction biologique, quelque chose à chercher. Il faut donc intensifier les observations dans le sens qui est ici proposé. Il faut essayer de comprendre le pourquoi d'un si douloureux choix pathologique dans des conditions raciales.

L'enjeu pour de telles recherches n'est-il pas assez grand!

Les analyses sanguines nous ont déjà ouvert les yeux sur la disparate des «milieux intérieurs n. Malheureusement elles n'ont presque jamais été exécutées parallèlement avec le facteur race.

* *

Il n'est pas question, dans ce très rapide exposé, de ·mécon- naître, dans quelque mesure que ce. soit, la lutte incessante entre- prise par les pathologistes contre le cancer, il ne s'agit nullement de diminuer les résultats thérapeutiques obtenus par la chirurgie et la médecine.

(9)

- 8 -

Encore une fois, il n'est question, tout simplement, que d'une recherche concernant l'étiologie. Pour le moment, cette recherche - s'il faut lui trouver une image pour la représenter - n'est guère qu'une faible piste, à peine un sentier mal tracé dans une brousse épaisse. Mais est-on sûr que ce sentier sera aussi une déception, comme tous les sentiers sur lesquels, jusqu'à présent.

on s'est acheminé ? Nous n'avons pas le droit, avant de nous y· être engagé nous mêmes et de l'avoir suivi, de le supposer.

Qui sait s'il ne conduira pas à une plus large avenue, puis à une clairière, où, quittant l'ombre épaisse de l'ignorance dans laquelle nous sommes enveloppés, la lumière apparaîtra?

Pour être soutenu dans cette marche à l'étoile, qui est une marche difficile, n'oublions pas, qu'au dire des statistiques,. il meurt chaque année 800.000 personnes du cancer!

Ce chiffre impressionnant ne moritre-t-il pas l'importance du devoir ?

Eugène PITTARD.

Professeur honoraire· d'anthropologie à l'Université de Genève .

. - - """""--

Références

Documents relatifs

Images de l'être humain dans le droit pénal: éléments d'une critique des idéologies..

D’après la systématique du CP, l’art. 305 ter al. 1 CP figure parmi les crimes ou délits contre l’administration de la justice. La disposition fut introduite simultanément

Face à une législation anti-blanchiment d’argent en évolu- tion permanente et à un nombre croissant de données traitées par les intermé- diaires financiers, la question de savoir

On l'a vu, en 1949 un élément nouveau est venu enrichir la disposition générale concernant le respect du droit humanitaire par les Etats: pour ceux-ci il n'est plus

Dans les secteurs où la prévoyance professionnelle est développée (secteur public, grandes entreprises, etc.), celle-ci joue un rôle très important notamment en

Les vestiges ne parlent pas d'eux-mêmes, ils ne sont que le reflet partiel d'une réalité humaine qui doit être maîtrisée dans le cadre large des

aussi récemment TANO BARTH, (n. 2), N 13, qui examine la question principalement sous l’angle du devoir de diligence de l’avocat et considère que l’avocat doit pouvoir recourir

On peut admettre dans cette perspective l'existence d'importants processus d'acculturation des chasseurs se situant dans la zone de contact des deux courants de colonisation,