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Sur un nouveau spectre d'absorption de l'oxygène dans l'ultra violet extrême

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00242642

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00242642

Submitted on 1 Jan 1914

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Sur un nouveau spectre d’absorption de l’oxygène dans l’ultra violet extrême

Léon Bloch, Eugène Bloch

To cite this version:

Léon Bloch, Eugène Bloch. Sur un nouveau spectre d’absorption de l’oxygène dans l’ultra violet ex-

trême. Radium (Paris), 1914, 11 (4), pp.97-100. �10.1051/radium:0191400110409700�. �jpa-00242642�

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MÉMOIRES ORIGINAUX

Sur un nouveau spectre d’absorption

de J’oxygène dans l’ultra violet extrême

Par Léon et Eugène BLOCH [Laboratoire d’enseignement, physique à la Sorbonne.]

On sait depuis les travaux de V. Schumann. que la limite extrènie du spectre ultraviolet, tel qu’on peut

t’observer avec un spectrographe en quartz, est déter-

minée principalement par l’absorption de 1 air. Dési-

reux surtout de prolonger le spectre aussi loin que

possible du côté des courtes longueurs d’onde, Schu-

mann ne s’est pas préoccupé spécialement d’étudier le début de la région d’absorption de l’air. Il a montré que dans les conditions ordinaires on a une absorp-

tion totale immédiatement après le triplet extrême de

l’aluminium (1852 F. A.). Lorsque l’épaisseur d’air

traversée par les rayons est 50 cm environ, les cliclés du spectre du tungstène s’étendent, quand on pose

longtemps, jusqu’à 2,5 mrn au delà de la limite indi- quée ; si l’épaisseur d’air est réduite à 1 cm, il suffit

d’une pose dix fois plus courte pour prolonger le spectre deux fois plus loin 2.

Au cours de nos recherches sur le spectre ultra- violet extrême nous nous sommes servis d’un spectro- graphe en quartz a grande dispersion où la longueur

de la colonne d’air traversée par les rayons était néccs- sairement très notable. Comnie de plus on projetait l’image de la source sur la fente du spectrographe

suivant la méthode de Lockyer, on augmentait encore l’épaisseur d’air qui atteignait au total J 20 cm. L’ab- sorption du quartz, jointe à 1 absorption de 1 air, explique que dans nos expéricnces nous n’ayons jamais dépassé la raie 1852 de l’aluminium. Pour atteindre cette limite nous avons dû faire usage de

placlues préparées spécialement suivant la technique

de Schumann.

Les étincelles oscillantes dont nous avons photo- graphié les spectres étaient fournies par un trans- lôrmateur de résonance, associé à une capacité de

0,01 nlicrofarad, et réglées par uiie self primaire

suivant la méthode de M. Hemsalech. Dès nos prc- miers essais sur l’élincellc de bismuth, nous avons

été frappés du fait que la raie très forte 1903, qui

1. B. SCHUMANN I ulmu d)c Photograpohie (t’r ischstrablen Kleinster Wellenlange Sitzb. d. Akad. d. Wiss. in When.

102. IIA (1893 413).

2 Ilid., P ite!). r

apparait simple avec des poses courtes, s’accom- pagne, lorsqu’on pose longtemps, d’un nombre crois- sant de raies satellites. Ces raies, dont la longueur

d’onde est plus grande que celle de la rate principale, présentent une disposition remarquable : leur lar-

geur et l’écartement de leur partie centrale vont en

croissant régulièrement, de sorte qu’elles donnent

dans leur ensemble l’impression d’une bande estonlpéc

Ners le rouge. En même temps, du côté des cour tes longueurs d’onde, la raie 1903 apparaît comme très élargie, jusqu’à occuper l’espace de plusieurs angs-

troms.

Un effet du même genre, mais beaucoup plus marqué, s’observe quand on emploie l’étincelle J’alu- minium. Avec des poses de courte durée, cette étin- celle ne donne sur nos clichés que les trois raies

classiques 1990, l9ai et 1862. Mais quand on fait

des poses de plusieurs heures, il apparaît entre ces

raies tout un système débandes régulières, dont 1 une

coïncide exactement avec celle que donne l,’ bismuth.

Seulement, alors que l’étincelle de bismuth fournit

une bande de 6 ou 7 raies ati plus, la même bande pjut être poursuivie jusqu’au terme du 14e rang lors-

qu’on emploie une forte étincelle d’altlniuiiil.

Les de cadmium, d’étain, de thallium, le cratère positif de l’arc au cllarbon donnent c’n tout

ou C’U partie Il’ même systeme le bandes. Mais la

répartition des intensités dune bande a lautreou à l’intérieur d’une même l’ande, t’t par suite l’aspect

due ces bandes, dépendent essentiellement de

la source employée. Si l’on ne s’en rapporte qu’aux

intensités, les mêmes bandes qui paraissent dan, un

cas dégradées vers le rouge pewent paraître ailleurs

degradées vers le violet ou encore présenter vers leur

milieu un maximum d’intensité. Certaines fractions de bandes, très intenses dans certains lichés. pcu- vent être absentes dans d’autres.

Malgré ces très grandes variations dïI1tellsitl’. les

bandes restent toujours identiques comme structure

Lt

geurs des raies qui les composant

leur tête tournée vers les petites d’ondes et

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/radium:0191400110409700

(3)

98

sont estompées vers le rouge. D’autre part elles sont rigoureusement superposables d’un cliché u 1"aiitre.

Cette circonstance nous a paru indiquer que l’origine

en devait ètre recherchée, non dans les métaux parti-

culiers entre lesquels éclate l’étincelle, mais dans

le milieu gazeux (air) elle se forme.

Grace à la forte dispersion de notre spectrographe (1,6 angström par mm environ) on remarque aisé-

ment sur les clichés que les raies noires dont est faite

chaque bande et qui sont relativement fines vers la tète de la bande vont en s’élargissant progressivement

et finissent par occuper un espace de plusieurs ang- stroms. Ces dernières raies très élargies gardent une

intensité unifurme dans toute leur étendue et cessent tout à fait de ressembler à ce qu’on a coutume d’ob-

tenir comme raies d’émission . D’autre part. les inter-

valles clairs qui sillonnent chaque bande deviennent

au contraire d’autant plus fins qu’on s’éloigne davan-

tage de la tète de bande. Cette circonstance, jointe

aux particularités signalées plus haut, nous a amenés

à interpréter les faits d’une façon nouvelle. Les raies noires qui se trouvent sur les négatifs ne sont pas des raies d’émission proprement dites : ce sont des parties de spectres continus n’apparaissant qu’aux

très longues poses 1. Les intervalles blancs qui les séparent sont des raies d’absorption de l’air. En

regardant le spectre comme un spectre de bandes d’absorption, on concilie d’une façon satisfaisante des variations d’aspect qui paraissent inexplicables autre-

ment.

Notons toutefois qu’il semble possible au premier

abord de faire une autre hypothèse, c’est celle d’une tluorescence de l’air. Dans cette hypothèse les raies

noires observées sur les clichés seraient bien dues à

l’air, rendu fluorescent par les rayons de Schumann.

Cette façon de voir est celle de M. Steubing2, qui a

obtenu des apparences assez semblahles aux nôtres en

employant l’arc au mercure en quartz. L’interprétation

de Steubing, partagée par d. Stark3, a paru recevoir une certaine confirmation des recherches ultérieures de

Steubing lui-même 4, qui ont mis hors de doute la

tluorescence du soufre, du sélénium et du tellure. La fluorescence de ces éléments, qui est visible pour le tellure et le sélénium. ultraviolette pour le soufre.

laissait admettre pat-analogie une fluorescence de l’oxygéne dans l’ultraviolet extreme. Malgré ce que

1. M GOLY .1 l,’ pu m signalé 1. elargissement progressit dt!,

rares d’ emission un all en un spectre continu. Voir Ann.

Chim. Pllli’.. 18 1879 76.

:!. «. SIEUBING. Tluoreszenz und Bandenspektra des Sauer- stotls These AIX-la-Chapelle Inn. ri. Phys., 33 (t9t0) 553.]

3. J. STARK. Utraviotettc Emissionsbanden des ein zwei i und- dreiatomizen Sauerstothmolekuls. [Ann. d. Phys., 43 (1914 319).]

4. W. SIEULING. I luoreszenz der Hemcntc in der 6 Gruppe

des pres her Systems Schwefel, Sel en; Tellurdampf). [PhY8.

Zeitsc 14 1U15 S87.J

cette analogie peut avoir de séduisant, les conclusions de Steubing concernant l’oxygène ont fait l’objet de

réserves de la part de hm-ser 1 et de Lyman 2. Kayser

considère comme très douteuse la fluorescence de

l’oxygène dont parle Steubing et de l’examen même des reproductions publiées par Steubing il conclut

que l’aspect des clichés fait songer à un spectre d’absorption. C’est aussi l’opinion vers laquelle semble

incliner L) man, qui a trouvé, au moyen de son

spectrographe à réseau, que la raie 1849 du mer- cure peut occuper jusqu’à 50 angstrüms lorsqu’on opère dans le vide mais est sillonnée de raies d’ab-

sorption sitôt qu’il y a de l’air interposé. Des obser-

vations bien concordantes avec les précédentes avaient déjà été faites par Schumann lui-même 3.

Nous avons tenu à démontrer directement qu’il est impossible d’attribuer le spectre décrit plus haut à

une fluorescence de l’air dans la région comprise

entre 2000 et 1850. A cet effet nous avons employé

un arc au mercure en quartz, (modèle 220 volts)

fermé par une fenêtre de quartz plane perpendiculaire

a la longueur de l’arc. Avec cette source d’une inten- sité remarquable sous le régime normal de 5 ampères

on peut faire deux expériences comparatives. Dans la première on éclaire directement la fente du spectro- graphe en plaçant l’arc parallèlement à l’axe du colli-

mateur et projetant sur la fente, au moyen d’une lentille de fluorine, une région détern1inée de la colonne lumineuse ; s’il y a fluorescence de l’air, on

doit obtenir sur la plaque photographique, entre les

raies peu nombreuses de l’arc au mercure dans cette

région, les bandes de fluorescence. Dans une seconde

expérience on place l’arc perpendiculairement au spec-

trographc, et masquant la lumière directe on projette

sur la fente de l’instrument l’image de la région

extérieure immédiatement voisine de la fenêtre; on doit obtenir alors les bandes de fluorescence seules.

En réalité, avec le second montage, nous n’avons pu obtenir aucune trace de bandes même en prolongeant

la pose jusqu’au-delà de 8 heures. Par contre, lors-

qu’on éclaire directement, les bandes viennent très nettement en 4-5 heures. Il semble bien difficile de concilier ce résultat avec l’existence d’une fluorescEnce de l’air dans la région en question.

Les bandes observées par Steubing sont au nombre

de cinq. Voici, d’aprè; 1 auteur, les limites de lon- gueurs J’un de entre lesquelles elles sont comprises :

Bande I : 1831,2 a 1843,3 A.

II : 1848,0 à 1863,5

-

III : 1864,0 à 1881,3

-

1. V. K Lur Spektroskopic des Saucrstoffs. [Ann. d.

Phys., 34 458. et 35 608. V. aussi la réponse de Steu- hing. ihÙI.. 34-1003.

2. Th. Lw w. The Spectra of Mercury in tlie Schumann region Astroph. Journ., 1913 284.

3. Loc. cil. 4i7 ut 469.

(4)

Bande IV : 1882,0 à 1899,4 U. A.

2013

V : 1900.0 à 1919,2

-

Seules les bandes II et III ont pu être soumises à des mesures détaillées.

Parmi ces bandes, les trois premières ont aussi été

ohtenues (avec de> poses très longues) en cmpluvant

comme source un tube à oxygène. Aussi M. Steubing

estime-t-il les avoir caractérisées en émission. Les deux dernières n’ont pu être observées qu’en photo- graphiant l’arc au mercure, c’est-à-dire, d’après Steu- bing, en fluorescence. Dans notre façon de voir,

toutes ces bandes sont des bandes d’absorption et les longueurs d’onde qu’il convient de déterminer sont non pas celles des raies larges obscures, mais celles des raies fines brillantes. On arrive de la sorte à identifier aisément la bande III de Steubing avec unc

de celles qui fiburent sur nos clichés cause des pertes de lumière très considérables dans notre spec-

trographe, nous n’avons pu retrouver les bandes extrêmes 1 et II qui paraissent coïncider avec les

bandes continues signalées par Schumann. Mais grâce

à la forte dispersion dont nous disposions, il nous a

été possible de retrouver les bandes IV et V parfaite-

ment résolues. De plus nous avons obtenu deux bandes entièrement nouvelles, que nous désignerons par VI et

YII, s’étendant respectivement de 1923,4 à 1956,5

et de 1946,5 à 1957,4; ces bandes sont elles aussi

résolubles en raies se prêtant convenablement à des

mesures. La raie 1957, qui est la moins réfrangible

Fig. 1.

de la bande 1°lI, nous a semble marquer Je début de

l’absorption de l’air dans la région ultraviolette extrême. I,a figure ci-jointe reproduit en Braie gran-

deur l’un de nos clichés obtenu ai«c l’are au mer-

cure, et au-dessous le positif correspondant dans lequel les 1),iiide, d’absorption ont pris l’apparence de

bandes d’emission.

Il ctdit intéressant d’ rechercher 1 II regularité apparente des bandes d’absorption t’lad suffisante pour permettre de les représenter par une formule.

Nous avons détermine les longueurs d’onde de toutes

les raies des différen tes bandes en pbotograpbhnit sur

le même cliché les bandes et les raies 1990. 1935 t

1 86C de l’aluminium (reproduites sur loi figure. 11h.’

formule d’interpolakion hyperbolique de Cornu nous et

Tableau 1.

permis de déduire des mesures faites

les longueurs d’ondes rapportées à

(5)

1 oo

en unités d’angström. L’erreur probable de ces dé-

terminations est inférieure à 0, 1 angstrôm.

Voici l’ensemble des résultats obtenus. Dans le Tableau 1 ci-contre, la première colonne contient les

longueurs d*onde mesurées directement, la deuxième donne les longueurs d’onde calculées par une for- mule du type de neslandres, saioir :

La troisième colonne contient les écarts entre les nombres oljservés et calculés.

L’observation directe de la tête de cha lue hande n’a pas pu être faite avec précision, et a même été impossible pour la bande III.

Voici cependant les longueurs d’onde approchées

que nous avons obtenues pour les têtes des autres bandes : 1881,62-1901,74-1923,47 - 1946,57.

On voit sur le tableau que l’accord est très satis- faisant entre les longueurs d’onde mesurées et calcu-

lces. Les valeurs numériques des constantes a et b de ln formule de Deslandres et les valeurs du nombre entier m pour les bandes successives sont contenues

lai s le tableau Il.

La petitesse des variations (d’ailleurs régulières)

de la quantité b quand on passe d’une bande à la sui- Bante mérite d’être remarquée.

Tableau II.

Quant a l’allure des variations de a, qui corres- pond assez bien à une progression arithmétique, elle

est d’accord avec la seconde loi de Deslandres assi-

gnant aux tètes de bandes un arrangement semblable

à celui des raies d’une même bande.

Nous pensons avoir montré par ce qui précède que les spectres de bandes fournis par différentes sources lumineuses dans l’ultraviolet extrême sont non pas des spectres de fluorescence mais des spectres d’ab- sorption de l’air. Il est hors de doute d’après les ré-

sultats classiques de Schumann et de Lyman que, des divers constituants de l’air, c’est l’oxygène qui

intervient ici pour produire l’absorption. Cette ab- sorption, qui est presque totale dans l’ultraviolet de Sclumann, se manifeste d’abord par un spectre de

bandes commençant vers la longueur d’onde 1957.

[Manuscrit reçu le 27 avril 1913.]

Sur l’analyse des substances radioactives par sublimation

Par C. RAMSAUER

[Institut radiologique de l’Université de Heidelberg.]

On manquait jusqu’ici de méthode pour déterminer

quantitativement dans des substances faiblement actives, par exemple dans les boues thermales, le ra- dium, le thorium et l’actinium juxtaposes. La méthode

op,,- rayons y de Bulherford ne mesure que l’acti-

vité ; totale, sans égard au produit dont elle dérive.

La méthode d’émanation de A. l3ecker donne bien une

valseur quantitative pour- la teneur en radium, mais néglige le thorium et l’actiniun1; enfin une séparation chimique suivie d’un dosage des substances isolées,

dans la mesure où cette séparation est possible entre

substances partiellement identiques au point de vue chimique, exigerait lorsqu il s agit de corps faible-

ment actifs une dépense de matière et de travail dis-

proportionnée au but pratique poursuivi.

Il reste encore la possibilité de faire appel pour

l’analBse aul courbes caractéristiques de disparition

de l’activité induite. Cette idée a déjà été utilisée

antérieurement mais ne pouvait conduire au but tatlt

que le point de départ des déterminations était l’éma- nation seule, car les proportions d’émanation sont

trop différentes dans les trois séries radioactives.

Tandis que le radium avec son émanation de longue

durée et par suite présente en abondance fournit faci- lement des activités induites suffisantes, l’émanation extraite du thorium et de l’actiniurll est si peu abon- dante que même si les trois substances sont présentes

en proportion à peu près égale la courbe de désacti- vation du radium n’est moditiée que très faiblement ;

tout au plus la présence du thorium se manifeste-t- elle par la chute plus lente des courbes vers la fin.

Ajoutons que si l’on extrait les émanations de solu- tions aqueuses il N a des causes d’erreur secondaires,

occlusion de l’émanation dans les parois, mouiltage

variahle des parois du récipient de mesure qui doit

être identique au récipient d’extraction à cause

de la rapide désintégration de l’émanation de l’ac-

tinium.

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