HAL Id: jpa-00242468
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Spectres de bandes. D’après quelques notes manuscrites
de Ritz et une conversation
Pierre Weiss
To cite this version:
Pierre Weiss. Spectres de bandes. D’après quelques notes manuscrites de Ritz et une conversation.
Radium (Paris), 1911, 8 (5), pp.177-180. �10.1051/radium:0191100805017700�. �jpa-00242468�
MÉMOIRES
ORIGINAUX
Spectres
de bandes
D’après quelques
notes manuscritesde Ritz
et uneconversatjon 1
Par Pierre WEISS
a)
Mécanisme d’émission des spectresde bandes. Dans le mémoire 2
ou Bilz étudie un mécanisme
électroniagnétique simple
émettant lesspectres
enséries,
il dit il la pabe 673(OEul’J’es,
p. 112).
« Ces théories ne
s’applicluent
pas auxspectres
debaudes. Pour ce
qui
les concerne,je
m’en tiendrai à la remarque que l’onpeut
peut-être
les attribuer àdes anneaux ou â des
polygones
fermés,
formés desmémes aimants élémentaires. On
peut
supposer, eneffet,
que des organes de cetteespèce jouent
un rôleimportant
dans la construction de l’atome et quepour
qu’un
spectre
en sériespuisse
seproduire
ilsdoivent au
préalable
être brisés par lesphénomènes
électriques
ouchimiques qui
provoquent
l’émissionde la lumière.... »
Il a été trouvé dans les
papiers
laissés parRitz,
sur unepetite
feuilleportant
quelques
équations
etquel-ques mots de texte, une ébauche de théorie de ce
mécanisme d’émission des
spectres
debandes,
queje
vais essayer
d’expliciter.
Rappelons
quel’organe
d’émission desspectres
enséries,
ima3iné
d’abord comme des bâtonnetsmagné-tiques
et nonmagnétiques,
juxtaposés
enligne
droite,
peut
être réalisé de diversesfaçons.
Ritz sereprésen-tait volontiers5 ’es bâtonnets
magnétiques
commefournis par des solides de révolution
chargés
d’électri-cité à leur surface et animés d’un mouvementrapide
de rotation autour de leur axe. Il s’était rendu
compte,
en
particulier,
que pour des solides de révolutionquelconques
onpeut
trouver une distributionsuper-ficielle d’électricité
qui
les rendéquivalents
à dessystèmes
de deuxpôles magnétiques
situés sur l’axe.Lorsque
lespôles
magnétiques
serapprochent
de lasurfacc,
la densitéélcctriquc
augmente
indéfinimentdans leur
voisinage
et les surfacesportant
l’électricité1. llote ajoutée aux OEuvres de TV. Bitz, publiées par la Soc. Suisse de Phys., (Gauthier-YUlars, 1911.)
2. 1B1 agnetische Atomfeldcr und Sericnspekiren. Ann. d.
Phys. 25 (1908) 660; OEuvres de Ritz, VII, p. 98.
5. I,oc. cit. p. 670, 0152uvres.
deviennent
pratiquement
équivalentes
à descharges
ponctuelles.
Ces solides sont alternativementpositifs
et
négatifs
et doués de rotations de sens contraire. I1ssont fixés les uns aux autres, en chaîne
linéaire,
parleur attraction
électrostatique.
Il avaitpensé
que lesbâtonnets non
magnétiques, exigés
eux aussi par lathéorie des
spectres
enséries,
pourraient
être descorps électrisés de même
espèce,
maisdépourvus
derotation,
puis,
faisant un pas deplus,
que l’élcctronvibrant et le
pôle
électrique
libre vl l’extrémité de lafile des bâtonnets sont une seule et mêmc chose.
Supposons
que,supprimant
les bâtonnets nonmn-gnétiques,
on considère une file de bâtonnetsmagné-tiques.
Onpeut
admettre que,lorsqu’elle
est soumiseà une tension 2, elle
possède
lapropriété
deprendre
des mouvements vibratoiresanalogues
à ceux d’unecorde ou
plutôt
d’une chaîne.Il
règne
lelong
de cette corde unchamp
magné-tique
Hdirigé
dans le sens de lalongueur
et elleporte
descharges
électriques équidistantes.
Suppo-sons que ces
charges
exécutent des vibrationscircu-laires autour de l’axe sous l’influence comhinée de la
tension 2 et du
champ
H.(Les
notes de Ritz sont muettes sur la raison pourlaquelle
l’action duchamp
sur les
charges
positives
etnégatives
voisines ne seneutralisent pas. On
peut
peut-être
invoque1-
à cet effet une différence deconfiguration
descharges
po-sitives etnégative,
que l’on estdisposé
à admettrepar ailleurs. Les unes,
occupant
un espaceplus
étendu, seraient,
parexemple,
partiellement
en dehorsdu
chanlp.)
L’état vibratoire est alors décrit par :
où cc est la distance entre deux n0153uds consécutifs pour la vibration fondamentale et v: .9,-z la
fréquence.
Leséquations
du mouvement d’un élément de corded x de masse
dx
et decharge
s d x contiendront le178
terme d’inertie et les forces
provenant
duchamp
ma-gnétique
et de la tension de la corde :d’où,
en substituant(1),
deux fois la mèmeéquation :
dans
laquelle
Hpeut
aussi êtreremplacé
par -H,
donc
Les solutions
correspondant
aux deuxsignes
+ etaux deux
signes -sont
seulesacceptables.
Enposant
nombre
qui
estpetit quand
la tension de la corde a un rôle subordonné parrapport
auchamp,
on a :Pour 1n==o, on retrouve la
fréquence
d’unecharge
décrivant un cercle dans le
champ
H. Si l’on s’arrête au deuxième terme, on a la loi de Deslandrcs avecVo =
H /03BC
pour la tête de la bande. Si l’on conserve le3e terme, v croît moins
vite,
comme le veutl’expé-ricnce.
Ritz est amené ici à choisir entre une file
rectiligne
et un anneau fermé. Il donne la
préférence
à ceder-nier dans les termes suivants : « S’il y a
deux
extré-inités,
leslignes
devraient être d’abordsimples
(’ni-1,2....), puis
à nigrand correspondront
des vibra-tions diverses selon que l’on se trouve aux extrémités ou au milieu. Donc anneau circulaire .v croit avec ln, la bande a donc la tête du côté du rouge. Pour obtenir des Baleurs
décroissantes,
il fautsupposer ’Y..2 négatif.
L’anneau,
au lieu d’êtretendu,
estcomprimé
dans la direction de lapériphérie.
L’écartement entre deux raies consécutives est
donné à
partir
de la forrnulecomplète
(4),
par :11 croit
plus
lentement que la loi de Deslandresl’in-dique,
et cela est coniornie àl’expérience.
Mais l’écartne cesse pas de croître. La formule ne donne donc
pas le maximum d’écarten1c:1l des
expériences
deKayser
etRunbe
1 sur lespectre
ducyanogène 1 .
1. ]IAYSER et RUNGE, Hted. Ann., 38 (1889) 80.2. La même feuille de notes porte encore l’indication
sui-Sur une autre feuille de notes de Ritz se trouve la trace de nombreuses tentatives pour trouver la meil-leure formule
empirique
à trois constantesreprésentant
ces
expériences
deKayser
etHungc.
Cette feuilleparait
être antérieure à ses idées surl’origine
Ólectro-Inagné-tique
desspectres
et n’est doncqu’indirectement
cnrapport
avec cequi
précède.
Il essaye notammentet les 3
premiers
termes de sondéveloppement
et trouve que le terme en m6 varie
t,rop
rapidement.
Il essaye
etIl trouve cette dernière formule
préférable
aux autres et note à ce propos que (c àpartir de la
160e 1’aieles
fonciions
v= f
(m)
et 2=f (m)
secomportent
d’une rnanière non
régulière».
Nous allons revenir sur cepoint.
Il essaye encore :l’erreur est un peu
plus grande
que ci-dessus.Dans une
conversation,
Ritz avait énoncé une idéequi
rattache cequ’il appelle
« le caractère nonrégu-lier de la fonction v pour les raies d’ordre élevé »
au mécanisme d’émission. Il s’était
exprimé
à peuprès
de la manière suivante :. On
possède
dans certaines bandes des nombres deraies considérables dont la
position
est déterminéeavec
exactitude; mais,
quelle
que soit la loiempirique
aveclaquelle
on cherche àreprésenter
la distributiondes raies dans ces
bandes,
il arrive un momentoû,
pour un numéro d’ordre élevé desraies,
cette loi esten défaut. Si l’on a recours à une
représentation
gra-phique,
la courbe tourne court, avec unebrusquerie
que les formules habituelles ne rendent pas.
Imaginons
que lapartie
de l’atome dont les vibra-tions émettent desspectres
de bandes ait une struc-tureanalogue
à celle d’une chaînecomposée
de maillons delongueur
déterminée. Onconçoit
alors très bien que les vibrations seproduisent
pour laplus
grande partie
duphénomène
comme si la chaîne avaitune structure
continue,
tandis que pour deslongueurs
d’ondes voisines de la
longueur
du maillon(ou
decertaines valeurs
particulières
en relation avecellc),
vante, se rapportant u une autre solution possible du problème, dans laquelle n’intervient pas la tension o,2 : « Outre le champ
magnétique constant qu’il produit dans ton!e sa longueur, un
anneau peut être soumis encore à des champs magnétiques extérieurs, variables de point en point, faibles par rapport au
les nombres de vibrations soient influencés par la
grandeur
finie de l’élément.b)
Structure des bandes.A la
question qui
lui avait été adressée : «N’est-il pas établi que des bandes ont
quelquefois
deux(( têtes )) l’une du côté des
grandes longueurs
d’ondes,
l’autre du côté despetites
))(hypothèse
deThiele
1) ?
Ritz avaitrépondu
sans commentaires :(( Cette idée n’est pas soutenable )).
Les tableaux de nombres trouvés claus ses notes
montrent que cette conviction se rattache aussi à
l’élude des bandes du
cyanogène
observées d’abordpar
Kayser
etIlunge2; puis
parJungbluthe
et dont les têtes sont à5885,56;
5871,55; 5861,85
et5854,85
A.
Voici en
quelques
mots l’état de laquestion:
King 4,
avant
découvert de nouvelles têtesdirigées
ducôté des
petites longueurs
d’ondes,
a crupouvoir
lesconsidérer comme les « queues »
correspondant
aux « tètes » anciennement connues et les a associées enfaisant chevaucher les bandes les unes sur les autres. Comme preuve de cette coordination il donne des relations
numériques
entre leslongueurs
d’ondes destètes et des queues. Elles sont contenues dans le ta-bleau suivant :
La valeur démonstrative de ce tableau me
parait
faible.
D’après
la loi deDeslan-dres,
qui
estapplicable
auxtêtes de bandes d’une
série,
comme aux raies d’une
bande,
les distances entre les têtes
successives,
mesurées àl’é-chelle des
fréquences,
formentune
progression arithmétique.
Supposons
que l’on associe deux séries de bandes tournées en sens contraire et obéissant l’une et l’autre à cetteloi,
maisentiè-rement
indépendantes
quant
aleur
origine.
Si les raisons desdeux
progressions
arithmétiques
sontvoisines,
comme1. TIHELE, Astroph. Journal, 6 (1897) 65.
2. KAvsER et RUXGE. Wied.Ann., 38 (1889) 80.
3. JUXGBLUTH. Regularities in the Structure of thé third
Cya-nogcnBand. Astroph. Journal, 20(1904) 237. 4. KING. A.stroph. Journal, 14 (1901 ) 525.
cela arrive
fréquemment 1,
les distances entre lestêtes et les queues
formcront,
ellesaussi,
uneprogres-sion
arithmétique. (Critérium
dedépendance
invoqué
par
Jungbluth. )
Il en sera mêmeainsi,
quelles
que soient les deuxpremières
bandes que l’onassocie,
etcela pourra se
produire,
suivant que les raisons desdeux
progressions
seront de mêmesigne
et designe
contraire,
quand
on sedéplace
àpartir
despremières
bandes dans le même sens ou dans le sens contraire.
En
première
approximation
lequotient
desfré-quences
variera,
dans les mêmes cas, enprogression
arithmétique-
C’est ce que trouveKing.
Euégard
àla
grande
similitude des séries de bandessuccessives,
on ne saurait attribuer une
portée
quelconque
à ce que cequotient
passe deux foisapproximativement
par les mêmes trois valeurs.
Cet
argument
paraît
néanmoins avoirpesé
d’unassez
grand poids
dans la conviction deKayser 2 quai
considère comme certain que
King
ait trouvé lesqueues
correspondant
aux têtes et que par suitel’hypothèse
de Thicle soit exacte.Jungbluth
se propose de contrôler cettehypothèse
en faisant de nouvelles mesures sur une
partie
desbandes anciennement connues. Pour les
discuter,
ilporte
en abscisses3 leslongueurs
d’ondes et enordon-nées la différence des
longueurs
d’ondes de deux raiesconsécutives. Les courbes
qu’il
obtient ainsi pourquatre des bandes du
cyanogène
partent
de leurs têtesT,, T,,
T3, T,
avec une allureapproximativement
para-bolique
qui correspond
à la loi v =A+(Bnt
+C)2
(v
=fréquence,
m -- nombreentier)
deDeslandres ;
mais pour les raies de numéros d’ordre
élevés,
la courbe est nettement au-dessous de laparabole
etl’écart entre les raies consécutives passe même par un
maximum. Ces courbes
expérimentales
sont conti-nuées enpointillé
et semblent aboutirnaturellement,
Fig. 1.
dans le dessin
original
deJungbluth,
pour les trois dernières bandes à des queuesQ2’ Q3,
Q,
indiquées
par1. VoirFATIny. J. de Fhys., 4 (1903) 245.
2. KAYSER, Hanclbuch der Spektrosli’j 1re éd. 2-487.
5. La figure donnée ici est celle de Junghluth, redessinée en
180
King.
Pour lapremière,
une tête deKing
faisant dél’aut dans larégion
oùJungbluth
l’attend,
il continue lacourbe par
continuité,
et déterlninc ainsi laposition
de la queue
Q1,
dans unerégion
où elle est inobser-vable par suite de laprésence
d’une bande intense.Laissant celle-ci de côté nous avons :
La coordination des têtes et des queues de
Jung-bluth est donc formellement en contradiction avec
celle de
King.
En outre, chezJungbluth,
les bandesFig. 2. Fig. 3.
complète
deKing
thevauchant(li-. 2)
les unes surles autres, sont
remplacées
par des b,,iiides s’emboî-tint lcs unes dans les atiires.Jungbluth,
qui
signale
exprcssément
cette circon-stance, ne craint pasd’ajouter
que,rapprochée
desrelations
numériques
deKing,
elleapporte
aux idéesde ce dernier une nouvelle confirmation.
Pour rechercher
quelle
est exactement laportée
desexpériences
deJungbluth, j’ai
marqué
dans le dessin lespoints
observés. Lapartie
expérimeiitale.
repré-sentée en traits
pleins,
setermine,
pour lesquatre
bandes,
en a,b,
c, d. Pour deux desbandes,
en b eten
d,
elle s’écarte de lapartie
extrapflléc
parJung-bluth, représentée
enpointillé,
par uneplus
grande
courbure,
semblant donner raison a l’idée deRitz,
etrendant
impossible
l’attribution des queues faites parJungbluth.
Mais si l’on compare les
expériences
deJungbluth
à celle de
Kayser
etHunge,
la concordancequi
estbonne
jusqu’en
b’ cesse. On se rendcompte
facile-ment que
Jungbluth
a,cl h’,
passé
par inadvertance àdes raies d’unc bande voisine
placées
parrapport
ùcelb’s de la bande suivie
jusque
là n peuprès
commeles traits d’un vernier pur
rapport
à ceux de l’ucllcllcprincipale.
D’ailleursJungbluth supprime
dans songraphique
laportion
b’b. En définitive sur lesquatre
bandes,
la corrélation entre les tètes et les queues est admissible à larigueur
pour deux d’entre elles(1B-Q2; T3-Q3)
L’idée de Ritz sur la nature non
régulière
de la fonction v pour les raies d’ordre élevéqui
repose surla
brusquerie
du coude en b’ a donc enpartie
commcorigine
une erreur deJungbluth.
Il semble
qu’à
la suite du travail deJungbluth,
la conviction quel’hypothèse
de Thielc est exicte sesoit
généralisée.
En1905,
A.Hagenbach1
1 l’exprime
dans une
monographie
sur lesspectres
de bandes.On n’a pas
remarque
qu’en
réalité les conclusions deJungbluth
à la fin de son travail sontbeaucoup
moins affirmatives que ses courbes.On trouve encore dans les notes de Ritz l’indication
suivante :
« Les queues de
King,
enparticulier
celle a3603,
sont
impossible,
parcequ’elles
sontcomposées
deraies relativement intenses avcc des
différences
pres-que constantes, tandis que les différences devraient croire très
rapidement
comme a la tête de la bande. »Cette remarque est très
probablement
suggérée
parl’examen de la
planche
deKayser
etliunge
1sur
la-quelle
il est aisé de reconnaîtrel’aspect
décrit par Ritz. Onpeut
y évaluer la distance des raies à0,5
Á
environ,
cequi
porte
l’arc de courbecorrespondant
bien en dehors des limites de la
figure.
Le mènleas-pecl
est visible sur laplanche
deJungbluth
(loc. cit.).
Cet
argument
semble dénnitiBemcnt détruire cequ’il
reste deprobabilité
aux attributions faites parJungbluth.
Nous avonsdéjà
faitjustice
incidemmentde
l’argun1ent
queJungbluth
tire de ce que leslon-yueurs des bandes varient en
progression
arithmétique.
Mentionnons que, par contre, Ritz note avec soin comme un fait
important
laprogression arithmétique,
signalée
parJungbluth,
des écartements maxima desraies des
quatre
bandes(2,25; 2,00;
1,75 ;
1,;)
Aj.
Ce fait conserve sa valcur
iudcpcndalnmcnt
de toutehypothèse
sur l’existence d’une seule ou de deuxtêtes.
On
peut
donc conclure de la manière suivante :l’hypothèse
de Thicle estappuyée
par :1° L’existence des têtes
dirigées
dans les dcux sens; ?° L’existence d’un maximum dans l’écartempent des raies.Mais la démonstration de cette
hypothèse
n’a puêtre
continuée jusqu a présent,
ni par lapossibilité
de coordonnar sans
équivoque
les têtes et les queues,ni par la
poursuite
de la décroissance de la distance des raies dans un intervalle assez étendu au delà dumaximum. L écartement des raies dans le
voisinage
de la queue 5605 y contredit formellement.
L’id(Be de Ritz n’est pas en contradiction avec les
faits. Mais lcs indications en sa l’aveur
qui
restent dans lesquatre
bandes dncyanogène
sont un peudinli-nuées
après suppression
de lapartie
fautive 1/ b deJungbluth.
Il y aurait
grand
intérêt a faire de nouvellesdéler-1l1inatiol1s sur des bandes
composées
d’ungrand
nom-hrc de raies et,
peut-être,
à lareprise
de la discussiondes données
déjà
connues.[Manuscrit reçu le 20 avril 1911].
1. A. H.AGENBCH. wullner -Ferstshrift (1905) 135. 2. AKAD. BERLIN. Phys. Abh. nicht zur Akad. gehör. Oelehrter, 1 (i88U) 44.