• Aucun résultat trouvé

J. NORMAN LOCKYER. — On the evidence of variation in molecular structure (Sur la preuve d'une variation dans la structure moléculaire); Proceedings of the Royal Society, t. XXII, p. 372; 1874

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "J. NORMAN LOCKYER. — On the evidence of variation in molecular structure (Sur la preuve d'une variation dans la structure moléculaire); Proceedings of the Royal Society, t. XXII, p. 372; 1874"

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237138

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237138

Submitted on 1 Jan 1875

HAL

is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire

HAL, est

destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

J. NORMAN LOCKYER. - On the evidence of variation in molecular structure (Sur la preuve d’une variation dans la structure moléculaire); Proceedings of the Royal

Society, t. XXII, p. 372; 1874

E. Bertholomey

To cite this version:

E. Bertholomey. J. NORMAN LOCKYER. - On the evidence of variation in molecular structure (Sur la preuve d’une variation dans la structure moléculaire); Proceedings of the Royal Society, t. XXII, p. 372; 1874. J. Phys. Theor. Appl., 1875, 4 (1), pp.90-92. �10.1051/jphystap:01875004009001�.

�jpa-00237138�

(2)

90

sante à mettre en évidence la conductibilité du caoutchouc et de la

paraffine.

Enfin on a observé que,

lorsque l’induction,

au lieu de s’exercer dans

l’air, s’exerçait

à travers du

soufre ,

la durée des oscillations n’était pas

changé,

du moins

à ~ o’o o près.

On n’a pu constater non

plus

le moindre retard dans la naissance du courant induit dans ce

cas, contrairement aux indications de ~I. Blaserna. :1B11Bf. Bernstein

et H(’1I11~loltZ étaient

déjà

arrivés à ce résultat.

A. POTIER.

J. NORMAN LOCKYER. 2014 On the evidence of variation in molecular structure (Sur la

preuve d’une variation dans la structure moléculaire); Proceedings of the Royal Society, t. XXII, p. 372; 1874.

Dans une autre

Note,

l’auteur a montré

qu’on

obtient des effet spectraux diliérents en

employant

diuerents

degrés

de force de dis-

sociation. Dans la Note

présente,

il se propose de donner une idée

préliminaire

de

quelques

recherches

qui

l’ont conduit à cette con-

clusion que, si l’on part d’une molécule de matière

élémentaire,

une telle molécule se divise continuellement à mesure que la tem-

pérature

s’élève

(en

comprenant dans ce terme l’action de l’élec-

tricité).

La preuve sur

laquelle

il

s’appuie

est fournie par le spectroscope dans la

région

du spectre visible.

Pour commencer par les cas

extrêmes,

tous les solides donnent

un spectre

col~tinu;

toutes les vapeurs

produites

par l’étincelle à haute tension donnent des spectres linéaires. On sait de

plus

que le spectre continu peut être

observé,

et il l’est en

efret,

dans le cas

de

composés chimiques ; mais,

attendu que tous les

composés

con-

nus comme tels sont réduits par l’étincelle à haute tension en leurs éléments

constituants,

nous sommes donc en droit d’admettre

qu’un

élément à l’état solide

possède

une molécule

plus complexe qu’à

l’état de vapeur,

puisque

son spectre est le même que celui d’une molécule que nous savons être

plus complexe.

Le spectroscope ourc des

degrés

intermédiaires entre ces deux extrêmes.

Les spectres varient

quand

nous passons du courant induit avec

.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01875004009001

(3)

91

emploi

de la bouteille de

Leyde

soit à l’étincelle obtenue sans cette

dernière,

ou à 1 arc

voltaïques,

ou bien encore à la

plus

liaute tenl-

pérature produite

par la combustion. Ce

changement

a

toujours

lieu dans le même sens, et, dans ces derniers cas, le spectre que

nous obtenons à l’aide d’éléments à l’état de v apeur, spectre carac- térisé par des espaces et des

bandes,

est semblable à celui que nous fournissent des vapeurs dont la nature

composée

m’cst pas dou-

teuse.

Aux

températures

élevées

produites par la combustion,

les vapeurs de

quelques

corps

simples (qui

ne nous donnent ni spectres linéaires ni spectres à espaces

cannelés , quoiqu’elles

donnent des spectres linéaires par l’action de

l’électricité)

nous fournissent un spectre continu à l’extrémité la

plus réfrangible,

l’extrémité la moins ré-

frangible

n’étant pas atléctée.

Aux

températures ordinaires,

dans

quelques

cas, comme avec le

sélénium,

l’extrémité la

plus rétraiigible

est absorbée: a~ ec d’autres

corps ce spectre continu dans le bleu est

accompagné

d’un spectre continu dans le rouge.

Sous l’action de la

clialeur,

ce spectre

disparaît

dans le rouge,

tandis que dans le bleu il

persiste ;

et de

plus,

conlme

Faraday

l’a

montré dans ses recherches sur une feuille

d*or,

les substances

qui

absorbent dans le bleu peuvent être

séparées

de celles

qui

absorbent

dans le rouge. On sait

parfaitement

que certaines substances com-

posées

en dissolution nous donnent une

absorption

dans le bleu ou

dans le bleu et le rouge, et aussi que l’addition d’une substance

composée,

telle que

l’eau,

n d’autres substances

composées qui

ab-

sorbent le

bleu,

y

ajoutent

une

absorption

dans le rouge.

L’auteur est convaincu que les gaz

simples,

dans les conditions

ordinaires de

température

et de

pression,

ont une

absorption

dans

l’ultra-violet,

et cluc les vapeurs

très-composées

sont souvent inco-

lores,

à cause de leur

absorption

dans

l’ultra-rouge,

avec ou sans

absorption

dans 1 ultra-Biolet.

Si nous

admettons,

conformément à ce

qui

vient d’étrc

établi,

que les différents spcctres dont nous avons

parlé

sont dus en réalité

à des

agrégations

moléculaires

dif1ërentes,

nous aurons la série

suivante,

en allant du

plus simple

au

plus complexe :

ier

degré

de

complexité

d’une niolécule.

- Spectre

linéaire.

2e

degré,. Spectre

à espaces cannelés.

(4)

92

3"

c~e~re. 2013Absorption

continue à l’extrémité

bleue, n’atteignant

pas l’extrémité la moins

réfrangible (cette absorption

peut se diviser en espaces

cannelés).

4e

degré. Absorption

continue à l’extrémité rouge

n’atteignant

pas l’extrémité la

plus réfrangible (cette absorption

peut se diviser

en espaces

cannelés).

5e

degré. Absorption

continue et

unique.

L’auteur,

dans la

présente Note,

donne

quelques exemples

du

passage d’un spectre d’un

degré

à

l’autre,

en commençant par le

cinquième degré.

De 5 à 4. -

L’absorption

des vapeurs du

potassium

dans le tube

de fer chauué au rouge est d’abord

continue ;

si l’action de la chaleur augmente, ce spectre continu se brise en son milieu: une

partie

se

retire vers le bleu et l’autre vers le rouge.

De 4 à 3. - Les recherches de

Faraday

sur la feuille d’or l’ont

très-bien mis

en lumière ;

mais

je

considère mon

explication

de ce

phénomène

par des molécules de deux

degrés

de

complexité

comme

suffisante,

sans avoir besoin de recourir à sa conclusion :

qu’il

existe

des molécules de grosseur et de

proportions

différentes.

De 3 à 2 . - La vapeur de soufre nous offre d’abord un spectre

continu à l’extrémité

bleue;

en

chauffant,

il se divise en un spectre à espaces cannelés.

De 2~1. - Dans

beaucoup

de métalloïdes les spectres, sans la bouteille de

Leyde,

sont

cannelés ;

en introduisant la bouteille dans le circuit on obtient un spectre

linéaire,

tandis que la vapeur ex- térieure

plus

froide donne un spectre

d’absorption

cannelé.

Les nouveaux spectres du

potassium

et du sodium se

changent

en spectres

linéaires,

avec des

lignes larges qui

s’amincissent ensuite

lorsque

l’action de la chaleur est continue.

E. BERTHOLOMEY.

CH. HORNER. - A note on the behaviour of certain fluorescent bodies in castor-oil

(Note sur la manifestation de la fluorescence de certains corps dans l’huile de ricin) ; Philosophical Magazine, t. XLVIII, p. 165.

L’auteur a reconnu que

plusieurs

matières colorantes extraites de bois de

teinture,

tels que le

campêclie,

le safran des

Indes,

etc.,

Références

Documents relatifs

- On the iron lines widened in solar spots (Sur les lignes larges du fer dans les taches solaires); Proceed.. of the royal

Il nous suffira, pour y parvenir, de faire usage d’un spectre gradué en longueurs d’onde par la méthode indiquée plus haut. Le calcul des différences de marche,

produise, nous devons admettre que, occasionnelle- ment, une amplitude suffisante est atteinte dans la rotation limitée pour traverser la barrière de

La méthode est spécialement avantageuse si le réglage doit être fait par photographie, soit que la raie se trouve dans l’ultra-violet, soit qu’elle soit trop

constate que les courbes qui représentent les variations de force électromotrice avec l’action d’une radiation lumineuse intermittente sont semblables à celles que

2° Comme les propriétés physico-chimiques d’une substance sont modifiées par une déformation mécanique, il est possible de déve- lopper l’image latente en

’~° Les raies des gaz extraits de la clévéite n’apparaissent que dans les étoiles chaudes, comme cela est indiqué par l’extension de la radiation continue

La présence, dans la glace refroidie à la température de l’air liquide, d’hydrate de coesium, d’hydrate de lithium, d’oxyde de bismuth, d’oxyde d’aluminium,