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J. NORMAN LOCKYER. — On a new class of absorption phenomena (Sur une nouvelle classe de phénomènes d'absorption); Proceedings of the royal Society, t. XXII, p. 378, juin 1874

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00236984

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00236984

Submitted on 1 Jan 1874

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J. NORMAN LOCKYER. - On a new class of absorption phenomena (Sur une nouvelle classe de phénomènes d’absorption); Proceedings of the royal

Society, t. XXII, p. 378, juin 1874

E. Bertholomey

To cite this version:

E. Bertholomey. J. NORMAN LOCKYER. - On a new class of absorption phenomena (Sur une nouvelle classe de phénomènes d’absorption); Proceedings of the royal Society, t. XXII, p. 378, juin 1874. J. Phys. Theor. Appl., 1874, 3 (1), pp.326-328. �10.1051/jphystap:018740030032601�.

�jpa-00236984�

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H. STREINTZ. 2014 Ueber die Aenderungen der Elesticität und der Länge eines vom galvanischen Strom durchflossenen Drahts (Changements de la longueur et de l’élas-

ticité d’un fil sous l’influence d’un courant); Annales de Poggendorff, t. CL, p. 38I, I873.

M. Streintz a étudié le coefficient d’élasticité d’un fil dans

lequel

passe un courant

électrique :

le fil était enduit de

stéarine,

et l’on

observait la durée des oscillations de torsion de ce

fil, lorsque

la

stéarine était tondue par le courant; on observait

également

cette

durée, lorsque

le fil était

porté

à la même

température,

sans courant :

les différences sont de l’ordre des erreurs d’observation

(1).

Il a examiné aussi

l’allongement produit

par le passage d’un cou-

rant et l’a

comparé

à

l’allongement

purement

thermique,

obtenu en

portant le fil à la

température produite

par le courant, il a trouvé que

l’allongement produit

par le courant est

toujours plus grand

que

l’allongement

purement

thermique,

la différence étant 25 pour

i oo de ce dernier pour le

platine

écroui, de 11 à 20 pour i oo pour

le cuivre

plus

ou moins écroui, et nulle seulement pour l’acier très-

dur ;

par le recuit cette différence peut atteindre 20 pour ioo pour l’acier.

Lorsque

le courant est

Interrompu,

la

longueur

du fil décroit

progressivement.

L’auteur pense

qu’on

ne peut attribuer

l’allonge-

ment à une action

électrodynamique;

il l’attribue à une action

spéciale

du courant,

qui

aurait pour effet de

polariser

les vibrations

moléculaires.

Il y a d’ailleurs accord entre ces

expériences

et celles de M. Ecllund

sur le même

sujet.

A. POTIER.

J. NORMAN LOCKYER. 2014 On a new class of absorption phenomena (Sur une nou-

velle classe de phénomènes d’absorption); Proceedings of the royal Society, t. XXII,

p. 378, juin I874.

(Extrait.)

1. Dans mes

expériences

sur le spectre

d’absorption

du sodium

et du

potassium, j’ai

observé des

phénomènes

tout à fait nouveaux

pour moi, dont

je place quelques grossiers

dessins sous les yeux

( 1; Ce résultat n’infirme qu’indirectement les observations de W-ertheim qui por- taient sur le coefficient d’élasticité par traction.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018740030032601

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de la Société

royale.

Comme ces

phénomènes

sont momentan

ne puis,

pas

répondre de

l’exactitude des dessins n’étant pas

capable

d’ailleurs de

représenter les délicates dégradations de

l’ombre.

2. Dans les dessins, l’extrémité rouge du spectre est à gauche ; la

ligne

D,

qui

leur est commune, est

l’image

d’une feiite d’environ

1 pouce de long sur

laquelle

tombait la lumière d’une

lampe

élec-

trique,

à travers le tube dans

lequel

se

produisent

les vapeurs. La

partie

inférieure des dessins

représenterait

donc le spectre des va- peurs les moins deiises.

3. Lndcs

phénomènes

en

question

consiste en un élargissement

unilatéral de la

ligne D; cependant l’absorption

latérale est

beaucoup

moins dense que celle de cette

ligne

ell-même: elle est limitée d un côté par D et de l’autre par une ligne courbe fig. 1,

2).

Fig.1 Fig.2.

4. Les

fig.

3 et 4

indiquent deux changements quelquefois observés. La fig.

3 montre

l’assombrissement dans l’absorption et

Fig. 3. Fig. 4.

une roideur croissante de la courbe. La fig. 4 montre l’existence simultanée d’absorptions visiblement différentes toutes limitées par D d’un côté, mais de l’autre par plusieurs courbes, présentant des

extrémités différentes.

011

mais surtout

quand l’absorption à bord d’un viligne

deux côtés de D. une

limite brillante qui rem

enhp h chall-

gement d’ombre.

6. Quelquefois cette limite brillante est continué et traversé D,

(4)

328

comme le montre la

fib. 5;

mais

la fig.

6

indique

que les

phéno-

Fig 5. Fig. 6.

mènes

qui

se

produisent

des deux côtés de la

ligne

D sont indé-

pendants

entre eux.

E. BERTHOLOMEY.

BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.

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