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Proceedings of the Royal Society ; t. LXXI

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(1)

HAL Id: jpa-00240952

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240952

Submitted on 1 Jan 1904

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Proceedings of the Royal Society ; t. LXXI

René Paillot

To cite this version:

René Paillot. Proceedings of the Royal Society ; t. LXXI. J. Phys. Theor. Appl., 1904, 3 (1),

pp.805-822. �10.1051/jphystap:019040030080501�. �jpa-00240952�

(2)

805 sur 1 centimètre de longueur de la trajectoire, M. Kaufmann

avait trouvé que :

était une constante pourchaque gaz. D’après les expériences récentes

.

de Lenard, il reste à décider si p doit être considéré comme un

coefficient d’absorption ou de diffusion.

La relation ci-dessus se vérifie mieux quand le potentiel est plus

élevé (3 à 8000 volts). En extrapolant jusqu’aux potentiels de

30000 volts employés par Lenard, on trouve un coefficient d’absorp-

tion environ quarante fois plus grand que celui déterminé par Lenard.

Il semble donc que le phénomène appelé absorption par Lenard n’ait joué qu’un rôle secoodaire dans les expériences de Kaufmann.

L’absorption consiste, d’après l’ensemble des expériences, dans

une perte totale d’énergie cinétique subie par certaines particules,

non dans une diminution générale de cette énergie cinétique. Le coefficient 03B2 représente la somme des coefficients d’absorption et de diffusion, et, d’après les idées de Lenard, le coefficient d’absorption

aux potentiels élevés, puisque la diffusion est alors négligeable. Les

nombres de ces deux observateurs devraient concorder ; la concor- dance est assez satisfaisante, eu égard à l’incertitude qui affecte les

mesures.

M. LAMOTTE.

PROCEEDINGS OF THE ROYAL SOCIETY ;

T. LXXI.

N. COLLIE. - Note on the Effect of mercury Vapour on the Spectrum of

Helium (Note sur l’effet de la vapeur mercurielle sur le spectre de l’hélium).

-

P. 25-27.

L’auteur a étudié, il y a quelques années, avec le professeur Ramsay (1), la visibilité du spectre d’un gaz en présence d’un autre.

Il a examiné, dans le mémoire actuel, le spectre de l’hélium dans différentes parties d’un tube de Plücker, lorsqu’il existe ou non de la

vapeur de mercure.

(1) Proceed. of the Roy. Soc., t. LIX, p. 257;

-

et J. de l’Iays., 3e série, t. VI,

p. 493.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019040030080501

(3)

806

Sans mercure, on aperçoit au spectroscope huit raies et au pôle négatif un spectre plus compliqué. Le nombre des raies de ce der- nier diminue lorsqu’on introduit de la vapeur de mercure. Le spectre

dépend en outre de la forme du tube. Si, en effet, on introduit dans la portion centrale du tube de Pliicker un tube de verre un peu plus

étroit, on aperçoit, lorsqu’il y a du mercure :

1° Dans la partie capillaire, les huit raies de l’hélium ;

2° Près de l’électrode négative, cinq raies seulement;

30 Dans la partie rétrécie du tube capillaire, une seule raie de

l’hélium, la raie verte.

Quant au spectre du mercure, on le voit dans toutes les parties du

tube et, à l’électrode négative, la raie la plus brillante est la raie orangée.

L’auteur examine également la conséquence possible de cette cir-

constance que les raies qui disparaissent au pôle négatif par l’intro- duction du mercure appartiennent au système qui, d’après Runge

et Paschen, est à l’hélium.

Enfin, d’après lui, un tube de Plücker à hélium et à vapeur de

mercure pourrait servir d’étalon dans les mesures spectroscopiques.

G. BARLOW. 2013 On the Effects of Magnétisation on the electric Conductivity of

Iron and Nickel (Sur les effets de l’aimantation sur la conductibilité électrique

du fer et du nickel).

-

P. 30-42.

Les fils à étudier étaient enroulés sous forme de petites bobines placées parallèlement aux lignes de force du champ ; leur résistance était mesurée par la méthode du pont. On pouvait obtenir un champ

de 450 gauss au moyen d’un solénoïde et un champ de 18000 gauss par un électro-aimant.

M. Goldhammer (1) avait trouvé que, pour le bismuth, la variation de résistance divisée par la résistance dans un champ nul (àm) est proportionnelle au carré de l’aimantation. MM. Gray et Jones (2)

avaient trouvé que, pour un fil de fer doux, 039403A6 est proportionnel à la quatrième puissance de l’aimantation.

M. Barlow a constaté qu’aucun de ces deux résultats n’est valable

(1) Wied. Ann., t. XXXI, p. 360 ; 1881 ; et t. XXXVI, p. 804.

(2) Pl’oceed. of the Roy. Soc., t. LXVll, p. 208 ; 1900 ; 2013 et J. de Phys., 1:° série,

t. I, p. 396.

(4)

807

en général. Pour des champs faibles, on a la relation : 039403A6

=

aI2 + bI1 + cI6.

Une expression exacte de 039403A6 en fonction de 1 rencontre d’ailleurs

de sérieuses difficultés en raison des phénomènes d’hystérésis.

Pour des champs intenses, le fer suit sensiblement la relation de

Gray et Jones. I’our le nickel, 039403A6 reste constant entre 1000 et 11000 gauss. Avec des champs plus intenses, 039403A6 éprouve une légère

diminution.

W.-R. BOUSFIELD et T.-M. LOWRY. - Influence of Temperature on the Con- ductivity of Etectrolytie Solutions (Influence de la température sur la conduc-

tibilité des solutions électrolytiques).

-

P. 42-54.

Pour la plupart des solutions électrolytiques, le coefficient d’ioni- sation diminue lorsque la température s’élève, et le principal effet

d’une augmentation de température est de réduire la quantité de

matière active dans la solution (cet effet peut être attribué à la dis-

parition graduelle du

«

pouvoir ionisant » du dissolvant). Mais, d’un

autre côté, la

«

conductibilité équivalente

»

pour une dilution infinie

augmente toujours. Cela est dîz à l’augmentation de la

«

mobilité »

des ions par smite de la diminution de la viscosité de la solution.

L’effet de la température sur la

«

conductibilité équivalente

»

d’une

solution électrolytique est donc déterminé par deux influences oppo-

sées, et le coefficient de température sera négatif ou positif suivant

que l’une ou l’autre de ces deux influences prédominera.

Il existera donc, en général, pour un

«

électrolyte composé )), une température qui dépend de la nature du dissolvant et du corps dis- sous, ainsi que de la concentration, et pour laquelle la conductibilité atteindra un maximum et où le coefficient de température sera nul.

A partir de cette température, la conductibilité diminue lorsque

la température baisse, par suite de l’augmentation de viscosité ; elle

diminue également lorsque la température augmente par suite de la diminution de l’ionisation.

Les auteurs cherchent à prouver que ces deux branches de courbes descendantes présentent un point d’inflexion. Il n’y a aucune tem- pérature nettement définie pour laquelle la viscosité du dissolvant

(eau) est infiniment grande ; la courbe de conductibilité, pour des

températures très basses, se rapproche asymptotiquement de l’axe

(5)

808

des abscisses et, comme elle est d’abord concave vers cet axe, elle doit présenter un point d’inflexion.

--

Du côté des températures croissantes, la courbe de conductibilité s’abaisse jusqu’à venir cou-

per l’axe des abscisses à la température critique de la solution. Il doit y avoir également un point d’inflexion.

De ces deux points d’inflexion, le premier devrait avoir été observé

fréquemment dans les solutions aqueuses, car ces solutions donnent des valeurs situées de part et d’autre de ce point d’inflexion.

J.-A. EWING et J.-C.-W. HUMFREY. - The Fracture of Nletals under repeated

Alternations of Stress (Rupture des métaux sous l’influence de forces alterna- tives répétées). - P. 19-80.

La rupture d’un échantillon de fer est produite par quelques mil-

lions de répétitions d’une traction et d’une compression alternatives,

la force agissante restant encore au-dessous de la limite d’élasticité.

Le8 auteurs décrivent les variations que l’on observe au microscope

dans le fer ainsi déformé depuis le commencement de la déformation

jusqu’au début de la rupture.

G.-J . BURCH. - Contributions to a Theory of the capillary Electrometer. - II. On

an improved Form of Instrument (Contributions à une théorie de l’électrométre

capillaire.

-

II. Sur une forme d’instrument perfectionnée). - P. 102-106.

Description d’une forme d’électromètre capillaire donnant une

sécurité particulière çontre la rupture du tube capillaire.

E.-G. COKER et S.-B. CLEMENT. - An expérimental Determination of the Varia- tion of the critical Velocity of Water with Temperature (Détermination expé-

rimentale de la variation de la vitesse critique de l’eau avec la température). -

P. 152-153.

Les auteurs ont mesuré, pour un grand nombre de températures comprises entre 4°C. et 50° C., les vitesses critiques de l’eau dans les

tub«s, c’est-à-dire les vitesses pour lesquelles les courants rectilignes

se tr ansforment en mouvements tourbillonnaires (eddies). Il résulte de

leurs recherches que la loi de variation de la vitesse critique avec la

température s’accorde très exactement avec la loi de la variation de

la viscosité de l’eau. On en conclut que, dans l’intervalle de tempé-

(6)

809 rature étudié, la vitesse critique de l’eau dans de petits tubes varie

proportionnellement à la viscosité.

W.-C. ROBERTS-AUSTEN et T.-K. ROSE. - On certain Properties of the Alloys

of the Gold-Silver Series (Sur certaines propriétés des alliages d’or et d’argent).

-

P. 161-164.

Les auteurs ont trouvé pour les points de solidification des alliages

d’or et d’argent les nombres suivants :

Aucune véritable ségrégation ne pouvait être observée même dans

un lingot qui avait été chauffé d’une façon continue pendant deux

mois à 700° environ pendant le jour et à 100° environ pendant la

,nuit.

H. RAMAGE. - Abnormal Changes in some Lines in the Spectrum of Lithium (Changements anomaux dans quelques raies du spectre dulithiuin).-P. 164-171.

L’auteur a fait une étude détaillée des raies du spectre du lithium,

notamment des raies de série subordonnée secondaire que l’on obtient

avec l’arc électrique. Il s’est proposé d’éclaircir les différences obte-

nues dans les mesures faites jusqu’à présent par d’autres observa- teurs. Il a constaté, comme on l’avait d’ailleurs fait antérieurement,

que les raies varient considérablement suivant l’intensité du courant, la quantité de vapeur contenue dans l’arc et la durée d’exposition des plaques photographiques.

Il arrive à cette conclusion que les véritables raies du lithium sont .celles que l’on obtient dans le spectre de la flamme oxhydrique.

Les différences observées dans le spectre de l’arc seraient dues à

des éclairements dissymétriques et à des caractères différents des raies dans les diverses parties de l’arc. Cette interprétation diffère de

celle qu’a donnée M. Hagenbach (1) sur le même sujet.

(1) Drude’s Annalen, 9e série, p. 729; 1902;

-

et J. de Phys., 4e série, t. 11, p. 301 ;

1903.

(7)

810

W.-A. TILDEN. - The specific Ileats of ‘Metals and the Relation of specific Ileat

to atomic Weight (Les chaleurs spécifiques des métaux et la relation entre la chaleur spécifique et le poids atomique). - P. 220-22t.

L’auteur a obtenu les valeurs suivantes pour les chaleurs spéci- fiques des métaux purs entre les limites de température indiquées :

En calculant, d’après les résultats, ces chaleurs spécifiques aux températures successives de l’échelle absolue, on s’aperçoit que

l’hypothèse d’une chaleur atomique constante au zéro absolu est

insoutenable.

L’auteur a également mesuré la chaleur spécifique moyenne d’un échantillon d’acier au nickel (renfermant 36 0/0 de nickel) et des sul-

fures de nickel et d’argent. Voici les résultats obtenus :

J.-E. TAYLOR. 2013 Characteristics of Electric Earth-current Disturbances, and their Origine (Caractéristiques des perturbations du courant électrique terrestre et leur origine).

-

P. 225-227.

Lorsqu’on intercale un téléphone dans une ligne télégraphique très longue dont les extrémités sont reliées à la terre, on entend des bruis- sements qui sont attribués aux courants terrestres. L’auteur les attri-

bue, ainsi que les perturbations qui se produisent d’une façon ana-

(8)

811

logue dans la télégraphie sans fil, à l’ionisation de l’atmosphère par les rayons solaires. Il exprime l’opinion que l’air ionisé absorbe les ondes électriques d’origine quelconque. Pendant la nuit, lorsque

l’ionisation se dissipe, la télégraphie sans fil est possible à de plus grandes distances, comme l’a observé Marconi. L’auteur signale que les variations diurnes du champ magnétique terrestre sont probable-

ment influencées par les mêmes cause.

J. LARMOR. - On the electrodynamic and thermal Relations of Energy of Magne-

tisation (Sur les relations électrodynamiques et thermiques de l’énergie d’aiman- tation).

-

P. 229-239.

L’énergie d’un champ électromagnétique dans lequel se trouve un

corps susceptible d’aimantation se décompose en trois termes : un pre- mier

qui provient uniquement de l’induction, et deux autres

provenant de l’aimantation.

Dans ces expressions, (oc, p, y) représente l’intensité magnétique, (a, b, c) l’induction, (A, B, C) les composantes de l’aimantation suivant trois axes rectangulaires.

L’auteur s’est proposé de rechercher si les termes provenant de

l’aimantation sont réalisables au point de vue électrodynamique. Il

montre, au moyen d’un cycle particulier, qu’en admettant la loi de Curie - à savoir que la perméabilité pour des corps faiblement

magnétiques est en raison inverse de la température absolue - l’énergie d’aimantation peut se déduire de l’énergie calorifique et,

par conséquent, peut se calculer en s’appuyant sur les lois de la ther-

modynamique.

Cette relation n’est valable que dans le cas des cycles réversibles

quand il n’y a pas d’hystérésis et quand la perméabilité est faible.

Lorsqu’il en est ainsi, le troisième terme de l’énergie est négli-

geable.

(9)

812

N. LOCKYER. - The Spectrum of y Cygni (Le spectre de l’étoile y du Cygne).

P. 240-241.

L’auteur a comparé le spectre de y Cygni avec les spectres d’autres

sources célestes et terrestres. Il montre notamment qu’il y a une

grande ressemblance entre le spectre de y Cygni et le spectre de la chromosphère et que la majorité des raies de y Cygni sont dues à

des vapeurs métalliques. Il examine également la relation entre les

spectres de y Cygni et de « Cygni. Il donne une table générale con-

tenant les longueurs d’onde, les intensités et les origines probables

des raies de y Cygni comparées à celles de la chromosphère, de

s Canis majoris et de « Cygni.

E. WILSON. - Some dielectric Properties of solid Glycerine (Quelques propriétés diélectriques de la glycérine solide).

-

P. 241-243.

Au moyen de la méthode et des appareils décrits dans un mémoire antérieur (’), l’auteur a déterminé la capacité inductive spécifique et

la conductibilité de la glycérine solide pour les températures com- prises entre + 10 et - 80° C.

Pour deux millions de périodes par seconde, la capacité spéci- fique de la glycérine est 6,67 à + 10°, 3,97 à - 48°, 3,8 à - 81°

(dans le mélange d’anhydride carbonique solide et d’éther).

Pour une durée de contact de 0,00002 seconde après l’appli-

cation de la force, la conductibilité passe par un minimum lorsque

la tenlpérature varie entre + 13° et - 590. Un phénomène analogue

a été observé jadis dans le verre à la chaux et à la 6oude (soda-time glass) (1).

N. LOCKYER et W. LOCKYER. - The Relation between solar Prominences and terrestrial Magnetism (Relation entre les protubérances solaires et le magné- tisme terrestre).

-

P. 244-250.

Dans ce mémoire, les auteurs montrent qu’il faut distinguer entre

l’influence des taches et celle des protubérances solaires. Les, courbes qui représentent la fréquence des taches et des protubé-

(1) Philos. Tl’ans., A, t. CLXXXIX, p. 109 ; 1897 ;

-

et J. de Pltys.,. série, t. VI,

p. 629; 1897.

(10)

813 . rances ne s’accordent que dans la région équatoriale du soleil. Dans.

les régions polaires, les taches manquent presque complètement,.

la courbe des protubérances se compose d’une série de maxima

séparés par une longue période de repos. Il résulte des figures jointes

au mémoire que ces courbes ressemblent d’une façon remarquable à

la courbe qui représente la fréquence des grands orages magnétiquesâ

terrestres. Il est donc à présumer que ce ne sont pas les taches.

solaires, mais les protubérances, qui sont en relation avec les per- turbations du magnétisme terrestre. Ces perturbations seraient

d’autant plus prononcées que les protubérances sont plus rapprochées-

des pôles.

Les auteurs rappellent les recherches de M. Ellis, qui a montrés

que les variations diurnes des éléments du magnétisme terrestre

sont étroitement liées aux phénomènes qui se produisent dans la région équatoriale du soleil.

H.-M. MACDONALD. 2013 The Bending of electric Waves round a conducting-

Obstacle (Diffraction des ondes électriques autour d’un obstacle conducteur). -

P. 251-258.

Pour traiter mathématiquement le problème proposé, M. Macdo-

nald considère un oscillateur hertzien placé extérieurement à unes

sphère parfaitement conductrice et tel que son axe passe par le centre de la sphère.

-

Les équations de Maxwell sont transformées en coordonnées

polaires, et l’intégration, pour le vecteur magnétique, conduit à des

fonctions de Bessel et des fonctions sphériques. Si F désigne la forces électrique en un point P de la surface sphérique, force qui est nor-

male à la surface, et si F, désigne la force électrique au même point lorsque la sphère n’existe pas; on obtient, en supposant que la

longueur d’onde est très petite vis-à-vis du rayon a de la sphère :

expression dans laquelle /4 désigne l’angle que fait avec le rayon de- la sphère aboutissant au point P la droite qui joint l’excitateur à ce

point. Cette formule n’est exacte que pour une distance de l’ekei- tateur suffisamment grande par rapport à la longueur d’onde. Il n’existe, dans ce cas, aucune ombre nettement limitée sur la sphère.

Si la sphère n’est pas parfaitement conductrice et si F’ désigne las

(11)

814

force électrique normale à la surface au point P, on obtient la . relation

dans laquelle g est proportionnel à la résistance spécifique de la

matière dont est formée la sphère et en raison inverse de la longueur

d’onde. Pour les métaux, la diminution de la force électrique par suite de la conductibilité imparfaite de la sphère est excessivement

petite. Pour l’eau de mer, elle est d’environ 1 pour 1000.

Ces conditions sont particulièrement importantes pour l’étude de la propagation des ondes électriques à la surface de la terre. Elles

expliquent, entre autres faits, pourquoi la télégraphie sans fil est plus facile à la surface de la mer ou du sol mouillé que sur un sol

sec.

W.-J. RUSSELL. - On the Formation of definite Figures by the Deposition of

Dust (Sur la formation de figures définies par le dépôt de poussières). -

P. 285-288.

Lorsqu’un plateau de verre ou d’autre substance, primitivement

chauffé, se refroidit dans une atmosphère artificiellement chargée

de poussières, ces dernières se déposent, sous l’influence des cou- rants d’air, sous forme de figures définies et particulièrement simples. L’auteur donne des reproductions qui permettent de voir la

relation qui existe entre la forme des figures, la forme des plateaux

et un certain nombre d’autres conditions.

W.-C.-D. WHETHAM. 2013 The electrical Conductivity of Solutions at the freezing-

.

point of Water (Conductibilité électrique des solutions au point de solidification de l’eau).

-

P. 332-338.

Continuation d’un travail antérieur sur le même sujet (’). Les sels

étudiés ont été : les chlorures de potassium et de baryum, les sul-

fates de cuivre et de magnésium et le bichromate de potassium.

(1) Philos. Trans., A, t. CXCIV, p. 321 ; 1900;

-

J. de Phys., 31 série, t. X,

p. 357 ; 190i...

(12)

815

F. KOHLRAUSCH. 2013 Trie Resistance of the Ions and the mechanical Friction of the Solvent (La résistance des ions et le frottement mécanique du dissolvant).

-

P. 338-350.

L’objet de ce mémoire est d’étudier, d’après les mesures très soignés de M. Déguisne, l’influence de la température sur les

solutions aqueuses infiniment diluées des électrolytes puissants.

M. Déguisne a représenté l’influence de la température sur la

conductibilité K par la formule

M. Kohlrausch montre que cette formule peut être simplifiée, car

le coefficient 03B2 peut s’écrire

C et A étant des constantes communes à tous les électrolytes. Il en

,résulte que les courbes qui représentent la conductibilité en fonction due la température se coupent toutes sensiblement en un même point

de l’axe des abscisses, ce point étant compris entre

-

35 et

-

410 C.

En ce point, la conductibilité de tous les électrolytes et aussi la mo-

bilité des ions seraient nulles. C’est une loi trouvée par extrapo- lation et qui ne doit être regardée que comme un moyen de repré-

-senter commodément les phénomènes.

Il résulte des recherches de Fiàl. Bousfield et Lowry (1) que la .courbe qui représente la relation avec la température de la conduc-

tibilité et du frottement intérieur de l’eau a le même caractère et . .coupe l’axe des abscisses à

-

340 C. Les deux courbes peuvent être

regardées comme identiques, surtout pour les ions lents. Pour

expliquer cette similitude frappante, l’auteur suppose, comme l’avait déjà exposé M. Ciamician (2), qu’il y a une

«

hydration

»

des ions, c’est-à-dire que chaque ion est entouré d’une sorte d’atmo- sphère du dissolvant qui entretient la continuité du mouvement entre l’ion et le dissolvant. Cette atmosphère a une certaine épaisseur qui dépend de la nature de l’ion et, pour un même ion, peut varier avec

la température. L’ion est d’autant plus lent que cette atmosphère est plus épaisse. La mobilité de l’ion dépendra donc du frottement inté- rieur du liquide. Cette hypothèse permet également d’expliquer que,

(1) Proceed. of the Roy. Soc., t. LXXI, p. 42; 1902.

(2) Zeitsch. f. physikal. Chem., t. VI, p. 405 ; 1890.

(13)

816

pour les ions lents, la conductibilité et le frottement intérieur ont les même coefficient de température.

J.-A. FLEMING. - A Note en a Form of magnetic Detector for IIertzian Waves,.

adapted for quantitative Work (Note sur une forme de détecteur magnétique

d’ondes hertziennes adapté aux recherches quantitatives).

-

P. 398-401.

Sur un tube de carton d’environ 2 centimètres de diamètre sont

placées six bobines comprenant chacune environ 6000 tours de fil de cuivre recouvert de soie. Ces bobines sont réunies en série et forment une bobine secondaire parfaitement isolée, d’environ

6000 ohms de résistance. A l’intérieur du tube sont placés 7 ou

8 petits faisceaux de fil de fer, composés chacun de 8 fils préala-

blement enduits de paraffine. Chaque faisceau est entouré d’une petite bobine magnétisante formée d’une couche unique de fil de

cuivre isolé, puis d’une deuxième bobine démagnétisante également

formée d’une couche de fil recouvert de soie et séparée de la première

par deux ou trois couches de tissu de gutta-percha. Les bobines ma-

gnétisantes sont réunies en série, les bobines démagnétisantes sont

réunies en parallèle. Au moyen d’un commutateur rotatif spécial, on lance, pendant une partie de la période de rotation, un courant dans.

la bobine magnétisante. On interrompt ensuite le courant et, pendant.

la période suivante de la rotation, les faisceaux de fer conservent leur magnétisme. Si, pendant ce temps, une onde électrique tombe

_sur la bobine démagnétisante, une force électromotrice est induite dans le circuit secondaire et le courant d’induction ainsi produit est

mesuré à l’aide d’un galvanomètre. Un dispositif spécial du commu-

tateur permet de mettre en court-circuit le circuit secondaire pen- dant la durée de l’aimantation, de telle sorte que, pendant ce tempsr il n’y a aucune déviation du galvanomètre.

Cet instrument a donné à l’auteur des résultats très satisfaisants.

0. LODGE. - A new Form of self-restoring Coherer (Nouvelle forme de cohéreur à retour automatique). - P. 402-403.

Une petite roue d’acier à bords tranchants touche constamment

en tournant, une couche d’huile répandue à la surface du mercure contenu dans un godet. La roue est reliée au pôle positif et le mer-

cure au pôle négatif d’une faible source de courant. Aucun courant

ne passe par suite de l’isolement produit par la couche d’huile. Mais

(14)

817 la plus petite différence de potentiel suffit pour briser la couche isolante et fermer le circuit. Le courant ne dure d’ailleurs qu’un instant, car une nouvelle couche isolante se produit par suite de la rotation de la roue. Cet appareil peut servir comme cohéreur très sensible.

W. CROOKES. - The Emanations of Radium (Les émanations du radium).

P. 405-409.

L’auteur décrit un certain nombre d’expériences effectuées en fai- sant agir l’azotate de radium sec et l’azotate basique de polonium

sur le platinocyanure de baryum, le sulfure de zinc, le diamant, etc.,

qui deviennent fluorescents.

Il décrit également les phénomènes qui l’ont conduit à la construc- tion du spinthariscope.

C.-T. HEYCOCK et F.-H. NEVILLE. - On the Constitution of the Copper-Tin

series of Alloys (Sur la constitution de séries d’alliages de cuivre et d’étain).

-

P. 409-412.

Le point de solidification d’un alliage est facilement observable à

cause du dégagement de chaleur qui se produit par suite de la for- mation du solide. Si les points de solidification de tous les alliages

d’une série sont déterminés, on peut dessiner la courbe du point de

solidification. Pour les alliages de cuivre et d’étain, cette courbe

se compose de plusieurs branches se coupant en des points angu- leux.

Ces courbes enregistrent sans ambiguïté le nombre des solides différents qui peuvent cristalliser d’un alliage liquide, car chaque

branche correspond à la cristallisation d’une substance différente.

Mais ces courbes n’indiquent pas si les solides formés sont des métaux purs, ou des composés purs, ou des solutions solides cristal- lines des métaux.

L’examen microscopique des alliages solides refroidis jusqu’à la température ordinaire donne également des résultats intéressants ;

mais entre ces deux séries d’expériences il existe un grand inter-

valle de température, dans lequel se déroule toute l’histoire biolo-

gique de l’alliage considéré comme un organisme. Les seules expé-

riences que l’on connaisse relativement à cette région intermédiaire

sont celles de Roberts-Austen et de Stansfield, qui ont tracé auto-

(15)

818

matiquement l’ensemble du refroidissement des bronzes. Ils ont

trouvé, notamment, que le dégagement de chaleur au point de soli-

dification est souvent suivi, à des températures beaucoup plus basses, par d’autres dégagements de chaleur et que beaucoup de ces

derniers doivent se produire après la solidification totale de l’alliage.

Ces changements thermiques indiquent des changements chimiques

ou physiques importants.

L’objet du mémoire actuel est de simplifier le phénomène par un refroidissement systématique des lingots à des températures défi-

nies. A cet effet on place un certain nombre de petits lingots du

même alliage dans des tubes séparés, dans un même bain, avec un pyromètre enregistreur. La température est portée au-dessus du

point de solidification de l’alliage et on laisse refroidir très lente- ment. On retire les lingots à des températures déterminées et on les solidifie rapidement par immersion dans l’eau. L’examen microsco-

pique de ces lingots montre qu’il est très facile de distinguer les grands cristaux qui se sont formés pendant le refroidissement, pré-

cédant la solidification, de la substance qui est encore liquide lors- qu’on retire le lingot du bain.

Les auteurs ont ainsi obtenu, avec une assez grande précision,

la température de la solidification complète et, en appliquant la

méthode aux alliages contenant différentes proportions d’étain, ils

ont obtenu la courbe de solidification complète ou

«

solidus ».

D’après la théorie de B. Roozeboom, chaque branche oblique du

solidus (et il y en a quatre dans le diagramme joint au mémoire) correspond à la cristallisation d’une série différente de solutions solides provenant du liquide, chaque partie verticale à la cristallisa- tion d’un corps pur, et chaque partie horizontale correspond au cas

de l’alliage solide, composé de deux substances. L’examen des

lingots solidifiés brusquement vérifie entièrement ces données.

Tous les résultats obtenus sont d’accord avec les résultats pyro-

métriques de Roberts-Austen et Stansfield.

A. FOWLER. - On a new Series of Lines in the Spectrum of Magnésium (Sur une nouvelle série de raies dans le spectre de magnésium). 2013 P. 419-421.

Certaines raies très faibles dans le spectre de l’arc du magnésium paraissent avoir échappé, jusqu’à présent, aux chercheurs. Ces.

raies apparaissent lorsque l’arc jaillit entre des pôles consistant en

(16)

819

baguettes de magnésium. Elles sont quelque peu nébuleuses, surtout

du côté le moins réfrangible, de sorte que leur position ne peut être déterminée avec une grande précision. D’après l’auteur, les lon-

gueurs d’onde, dans l’air, seraient 4511,4; 4251,0; 4106,8 et 4018,3.

Les photographies de ces raies indiquent immédiatement qu’elles.

constituent une série régulière, associée à la série plus intense.

décrite par Rydberg, ayant comme longueurs d’onde 5328,75;

4703,33 ; 4352,18 ; 4167,81 ; 4058,A5 et 3987,08, d’après les mesures

de Kayser et Runge.

Rydberg a trouvé que ni sa formule générale, ni celle de Kayser et Runge ne pouvaient s’appliquer avec une précision suffisante à cette

série, et il a employé une combinaison des deux formules, c’est-

à-dire

dans laquelle n représente la fréquence d’oscillation, m les valeurs- successives 3, 4, 5,

...,

et a, b, c, 03BC, des constantes qui doivent être-

déterminées d’après quatre raies appartenant aux séries.

Pour les séries du magnésium, l’équation calculée par Rydberg

est :

m ayant les valeurs 3, 4, 5, 6, 7, 8, pour les six raies mentionnées

plus haut.

Employant la même formule pour la nouvelle série, et calculant

les constantes au moyen des quatre raies, l’équation est:

On peut également employer la formule :

La conclusion est que le spectre d’arc du magnésium comprend

deux séries subordonnées de raies simples en plus des deux séries subordonnées de triplets bien connues. Aucune combinaison ana-

logue de séries ne semble avoir été jusqu’à présent remarquée dansa

le spectre d’un métal.

(17)

820

W. RAMSAY. - An Attempt to estimate the relative Amounts of Krypton and of

Xenon in atmospheric Air (Essai de détermination des quantités relatives de krypton et de xénon dans l’air atmosphérique). - P. 421-427.

Le résultat des expériences de Ramsay est le suivant :

Il y a, en poids, une partie de krypton dans 7 millions de parties d’air

et, en volume, une partie de krypton dans 20 millions de parties d’air.

Pour le xénon, il y a, en poids, une partie dans 40 millions de

parties d’air et, en volume, une partie dans 170 millions de parties d’air.

Le poids atomique du krypton est 81,62; celui du xénon, 40,81.

J. DEWAR et H.-O. JONES. - Some physical Properties of Nickel Carbonyl (Quelques propriétés physiques du nickel-carbonyle). - P. 427-439.

La densité de vapeur du nickel-carbonyle a déjà été déterminée

par Mond, Langer et Quincke (1), dans l’air à 50°, par la méthode de V. Meyer. Elle est presque normale. En élevant légèrement la température, Mond observa vers 60° une violente explosion, due à

une décomposition exprimée par l’équation :

Ni (CO)4

-

Ni + 2CO2 + 2C,

et il abandonna ses recherches.

MM. Dewar et Jones ont reconnu qu’en chauffant le nickel-carbo-

nyle dans un gaz inerte (hydrogène, azote), la vapeur se décompose graduellement avec dépôt de nickel. Ils sont parvenus ainsi à mesurer la densité de vapeur entre 63° et 216° C. Cette densité varie de 83,3 dans l’azote à 63° à 21,3 dans l’oxyde de carbone à 2i6°, chiffres

correspondant respectivement à une dissociation de 0,7 et 99,7 0/0.

La dissociation est moins rapide dans l’oxyde de carbone que dans les autres gaz.

Par des expériences sur le nickel-carbonyle liquide chauffé sous pression en tubes scellés, on a reconnu que sa température critique

est d’environ 200° C.

Le point d’ébullition est d’environ 43°,2 à 43°,3 à la pression ordi-

naire. A la température critique, la pression est de 30,4 atmosphères.

Les auteurs ont construit une courbe des tensions de vapeur à différentes températures. La densité critique est d’environ 0,46 et

la chaleur de vaporisation de 38,1 calories par gramme.

(1) Journ. Chern. Society, t. LVII, p. 749 ; 1890.

(18)

821 Les expériences montrent que le nickel-carbonyle est une subs-

tance qui se prête très bien à la démonstration des phénomènes de

dissociation.

H. A. MIERS. - An Inquiry into the Variation of Angles observed in Crystals, especially of Potassium-Alum and Ammonium-Alum (Recherche sur les

variations d’angles observées dans les cristaux, spécialement ceux d’alun ordi-

naire et d’alun ammoniacal). 2013 P. 439-441.

L’auteur a cherché à noter les variations d’angles d’un même

cristal en voie de croissance en mesurant ces angles sans déplacer le

cristal de la solution où il se forme. Il y arrive en maintenant le cristal par une tige de platine que le cristal entoure en se développant

et observant les angles au moyen d’un nouveau goniomètre-télescope.

Examiné de cette façon, un octaèdre d’alun donne de chaque face

trois images qui changent continuellement de position pendant la

croissance. Ces images se meuvent dans trois directions inclinées de 120° l’une sur l’autre, ce qui montre qu’elles appartiennent à un

triakisoctaèdre. Le point les directions de mouvement coupent le champ du télescope est la position de l’image réfléchie par l’octaèdre vrai. Cet angle, mesuré sur l’alun, est égal à la valeur théorique

70° 31.’ 3/4.

Les images ne se meuvent pas d’une façon continue, mais par sauts.

Le chlorate de sodium, les sulfates de magnésium et de zinc et

d’autres sels présentent le même phénomène. Les faces d’un cristal

ne sont généralement pas des faces à indice simple. Dans chaque

cas, le liquide en contact avec le cristal en voie de croissance est

légèrement sursaturé.

G.-W. WALKER. - On the Dependence of the refractive Index of Gases on

Temperature (Sur la dépendance de l’indice de réfraction des gaz et de la tem-

pérature).

-

P. 44.-442.

L’auteur a étudié l’air, l’hydrogène, l’anhydride carbonique, l’ammoniaque et l’anhydride sulfureux entre + 100 et + 100° C. Lia

méthode employée est la méthode classique de Jamin. Des précau-

tions minutieuses furent prises pour obtenir une grande certitude

et s’assurer notamment qu’il n’y avait pas de variation dans la com-

position du gaz expérimenté pendant les changements de température

et de pression auxquels il était soumis.

(19)

822

Les nombres suivants donnent les résultats obtenus. Les chiffres

supérieurs indiquent la valeur absolue de l’indice de réfraction pour la raie D à 760 millimètres et 00 C. ; les chiffres inférieurs indiquent

les coefficients de température des mêmes indices. Ces derniers sont notablement plus petits que ceux qui ont été donnés par M. Mascart :

N. LOCKYER et W. LOCKYER. - Solar Prominence and Spot Circulatiorr

(Protubérances solaires et circulation des taches).

-

P. 446-452.

Les conclusions auxquelles sont arrivés les auteurs peuvent se

résumer ainsi :

1° Les centres d’action de l’activité protubérantielle subissent une.

variation régulière visible ;

2° La direction du mouvement de ces centres va des basses lati- tudes aux plus élevées, à l’inverse de celle des taches qui voyagent

des hautes latitudes vers les plus basses ;

3° Aux époques de protubérances minima (qui concordent avec

les minima des taches), ces centres d’action sont restreints à une zone (de latitude + 44° environ) dans chaque hémisphère, tandis que

ceux des taches occupent deux zones dans chaque hémisphère ;

4° Presque à toute époque, ces centres sont visibles dans deux zones, tandis que les centres des taches n’occupent qu’une zone dans chaque hémisphère ;

5° Les maxima subsidiaires indiqués par les courbes qui repré-

sentent la fréquence de pourcentage de l’activité protubérantielle pour

chaque hémisphère entier sont dus à la présence de deux centres

bien développés d’activité protubérantielle dans chaque hémisphère.

J.-D. EVERETT. - On skew Refraction through a Lens ; and on the hollow Pencil given by an Annulus of a very obliquely placed Lens (Sur la réfraction oblique

à travers une lentille et sur le faisceau creux de lumière donné par un anneau

d’une lentille placée très obliquement). - P. 509-523.

Étude mathématique d’un problème d’optique.

René PAILLOT.

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