HAL Id: jpa-00237803
https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237803
Submitted on 1 Jan 1881
HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.
L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.
J. NORMAN LOCKYER. - On the iron lines widened in solar spots (Sur les lignes larges du fer dans les taches solaires); Proceed. of the royal Society, t. XXXI, p. 348;
1881
J. Macé de Lépinay
To cite this version:
J. Macé de Lépinay. J. NORMAN LOCKYER. - On the iron lines widened in solar spots (Sur les lignes larges du fer dans les taches solaires); Proceed. of the royal Society, t. XXXI, p. 348; 1881. J.
Phys. Theor. Appl., 1881, 10 (1), pp.327-327. �10.1051/jphystap:0188100100032701�. �jpa-00237803�
327 11 arrive ainsi à une solution
partielle
du mouvement duliquide
autour d’une
sphère
solideimmergée,
mais sanspouvoir
détermi -ner la forme même des
lignes
de courant ni la résistance opposéeau mouvement de la
sphère
par le frottement duliquide.
A. GUÉBHARD.
J. NORMAN LOCKYER. 2014 On the iron lines widened in solar spots (Sur les lignes larges du fer dans les taches solaires); Proceed. of the royal Society, t. XXXI,
p. 348; 1881.
Dans
plusieurs
taches solaires,parmi
leslignes
du fer, les unes apparurent contournées, cequi
est dîi à un mouvement tandis que les autres restaient droites. L’auteur en conclut que les consti-tuants de nos éléments terrestres existent sous des formes indé-
pendantes
dans le Soleil. J. MACÉ DE LÉPINAY.SITZUNGSBERICHTE DER MATHEMATISCH-NATURWISSENSCHAFTLICHEN CLASSE DER KAISERLICHEN AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN IN WIEN (Comptes
rendus des séances de l’Académie des Sciences de Vienne) ; 1880.
J. STEFAN. - Sur la force portante d’un aimant, p. 14.
On peut calculer cette force dans le cas où l’aimant et son con- tact forment un anneau circulaire.
Le maximum de la force
correspond
au cas où le moment ma-gnétique
de l’unité de volun1e de fer est tel quechaque
centimètrecarré des surfaces en contact porte 12450gr.
On ne connait pas d’une manière
précise
la relationqui
existeentre la force portante et l’intensité du courant
qui
a servi à l’ai-mantation. Sa force croit
plus rapidement
que l’intensitéjusqu’à
ce
qu’elle
ait atteint le quart de la valeur maximum. Dans le voisi- nage de cette limite la force est à peu prèsproportionnelle
à l’in-tensité.
La force a sa
plns grande
valeurlorsque
leplan qui sépare
l’ai-mant et le contact est diamétral. Les surfaces en contact croissent à mesure que leur
plan s’éloigne
du centre ; la force diminue en sens inverse de ces surfaces.Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0188100100032701