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G. GORE. — On the electrolytic diffusion of liquids (Diffusion électrolytique des liquides); Proceed. of the Royal Society, t. XXXIII, p. 140; 1881

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237987

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237987

Submitted on 1 Jan 1882

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G. GORE. - On the electrolytic diffusion of liquids (Diffusion électrolytique des liquides); Proceed. of the

Royal Society, t. XXXIII, p. 140; 1881

E. Bouty

To cite this version:

E. Bouty. G. GORE. - On the electrolytic diffusion of liquids (Diffusion électrolytique des liquides);

Proceed. of the Royal Society, t. XXXIII, p. 140; 1881. J. Phys. Theor. Appl., 1882, 1 (1),

pp.430-431. �10.1051/jphystap:018820010043001�. �jpa-00237987�

(2)

430

A. NACCARI ET E.-M. PELLATI. 2014 Sul riscaldamento dei corpi isolanti solidi e liquidi, in causa di successive polarizzazioni elettrostatiche (Sur l’échauffement des corps isolants solides et liquides, par suite de polarisations électrostatiques successives); Atti della R. Accademia delle Scienze di Torino, t. XVII; 1882.

En

1865, M.

W. Siemens

(1)

faisait une

expérience

pour prouver l’échauffement de la lame de verre d’un condensateur. Plus récem men t MM. Duter et

Righi,

dans leurs

expériences

sur la

dilatation

dlecuriqtie,

ont dû tenir compte de l’effet

perturbateur

de

cet échauffement du

diélectrique.

MM. Naccari et Bellati

emploient

un condensateur dont les deux

armatures sont

disposées

à peu

près

comme dans les

expériences

de M. Duter. L’intervalle est

rempli

par du

pétrole

dont on observe

le niveau dans un tube

capillaire. Quand

on met les deux armatures

en relation avec les deux

pôles

d’une bobine

d’induction,

on observe

un échauffement que les

expériences

des auteurs mettent hors de

doute,

sans

qu’elles permettent

d’en fixer dès

aujourd’hui

les lois.

En tout cas,

l’expérience

suivante établit

qu’on

ne peut attribuer l’échauffement au passage d’un courant à travers l’isolant. Deux

appareils

de même nature, mais

d’épaisseur

et par suite de résistance

différentes, sont placés

dans un même circuit avec

quatre

bouteilles de

Leyde disposées

deux par deux de part et d’autre des deux

appareils. Quand

on met

en jeu

la bobine

d’induction,

on observe

un échauffement

inégal

de deux

appareils;

mais c’est celui dont la résistance est la

plus

faible

qui

s’échauffe le

plus.

Pour rendre les

appareils plus sensibles,

l’arimature interne de chacun d’eux avait été transformée, pour cette

expérience,

en un véritable thermo-

mètre à air. E. BOUTY.

G. GORE. 2014 On the electrolytic diffusion of liquids (Diffusion électrolytique

des liquides); Proceed. of the Royal Society, t. XXXIII, p. 140; 1881.

Dans un Mémoire antérieur

(2)

l’auteur a décrit un certain

nombre de

phénomènes

résultant du passage d’un courant élec-

(’ ) W. SIEMENS, Pogg. Ann., t. CXXV, p. 197; 1865.

(’ ) Proceedings of the Royal Society, t. XXXII ; 1881.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018820010043001

(3)

431

trique

vertical à travers la surface de contact de deux

liquides

su-

perposés.

Il se sert

aujourd’hui

d’un

petit appareil

formé d’un

vase extérieur A contenant le

liquide

le

plus

lourd et d’un vase

intérieur B terminé par un tube

cylindrique t

ouvert. contenant le

liquide

le moins dense : on

s’arrange

pour que le

ménisque

de sé--

paration

des deux

liquides

se trouve dans le

tube t ;

un autre

tube t’,

scellé à la

partie supérieure

de

B,

contient la surface libre du

liquide

le moins dense.

En

prenant

pour les deux

liquides

une solution de nitrate de

mercure de

poids spécifique 1,30

et une solution de nitrate de cuivre de

poids spécifique

1,22,

puis dirigeant

de bas en haut à

travers le

système

le courant de dix-huit éléments de Grove

dispo-

sés en

tension,

M. Gore a observé

qu’une ligne

incolore ne tarde pas à se former au-dessous d u

ménisque,

s’abaisse peu à peu et

dépasse

bientôt l’orifice inférieur du tube. Ni le

ménisque supérieur

dans

le

tube t’,

ni le

ménisque

inférieur dans le tube t n’ont

changé

de

place.

Il en résulte que la diffusion

produite

à travers le mé-

nisque,

par l’action du courant, en traîne de

part

et d’autre des vo-

lumes

égaux

des deux

liquides.

E. BOUTY.

G. GORE. - On some effects of transmitting electric currents through magne- tised electrolytes (Quelques effets de la transmission des courants électriques,

à travers des électrolytes soumis à une force magnétisante ) ; Proceedings of the Royal Society, t. XXXIII, p. 151; 1881.

L’auteur étudie une classe de rotations

électromagnétiques

pro- duites dans les

liquides

au moyen d’un courant

électrique axial;

soit à l’intérieur d’un aimant vertical permanent ou

temporaire,

soit au

voisinage

de

pôles

d’aimants. Elles diffèrent des rotations

produites précédemment

dans les

liquides, placés

dans la même si-

tuation,

par l’absence des courants radiaux

auxquels

on attribue

d’ordinaire la

production

des rotations à l’intérieur d’aimants

creux.

Une colonne d’un

électrolyte placée

dans des conditions pa- reilles à celles se trouve un fil ou une

tige

de fer soumis à la

torsion

électromagnétique (c’est-à-dire

entourée par une hélice

électromagnétique

et traversée par un courant

axial)

est tordue de

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