G. GORE. — Ueber die thermo-electrischen Eigenschaften der Flussigkeiten (Propriétés thermo-électriques des liquides); Proceed. Roy. Soc., t. XXVII, p. 513

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Submitted on 1 Jan 1879

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G. GORE. - Ueber die thermo-electrischen Eigenschaften der Flussigkeiten (Propriétés

thermo-électriques des liquides); Proceed. Roy. Soc., t.

XXVII, p. 513

C. Daguenet

To cite this version:

C. Daguenet. G. GORE. - Ueber die thermo-electrischen Eigenschaften der Flussigkeiten (Propriétés

thermo-électriques des liquides); Proceed. Roy. Soc., t. XXVII, p. 513. J. Phys. Theor. Appl., 1879,

8 (1), pp.179-180. �10.1051/jphystap:018790080017901�. �jpa-00237503�

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mais elle

approchait

^encore

plus

^{souvent de}

2,

^{et semblait en}

général comprise

^{entre ces} deux limites.

Comme il suffit _que la tonalité d’un des

diapasons

^{soit altérée}

d’une

quantité égale

^{à une}

très-petite

fraction d’une vibration

simple,

pour

imprimer

^{à la}

figure optique

^{une rotation}

qui

^rendrait

impossible

^toute détermination de la différence de

phase

^{entre deux}

diapasons qu’on

^ne peut ^observer

simultanément,

^et que de

légères

altérations de ce genre surviennent

facilement,

par

exemple

^{à la}

suite d’une faible variation de

température,

^{on ne}

^saurait,

^{dans ces}

sortes

d’expériences,

^{se contenter} d’accorder les

diapasons

^{une fois}

pour ^{toutes. Il est}

indispensable

^{de les vérifier avant}

chaque expérience,

^{et de}

corriger

par ^un peu de cire la moindre alté- ration des rapports de vibrations

rigoureux.

G. GORE. 2014 Ueber die thermo-electrischen Eigenschaften ^der Flussigkeiten (Pro- priétés thermo-électriques ^des liquides); ^{Proceed. Roy. Soc., t.} XXVII, p. 5I3.

Les

expériences

^{ont été faites avec deux}

appareils

différents.

L’un consiste en un

cylindre

^{vertical de verre fermé} par deux

plaques

^de

platine,

^{d’or ou de}

palladium, rempli complétement

de

liquide purgé

^de gaz par

l’ébullition;

^la

plaque supérieure

porte ^un

cylindre

^dans

lequel

^on fait arriver de l’eau chaude. Le second

appareil

^{est un tube en U dont les}

branches, élargies

^{à la}

partie supérieure,

^{sont entourées} de caisses

qui

permettent ^de chauffer ou de refroidir les

liquides ;

des lames minces de

platine

enroulées en

spirale plongent

^{dans ces branches et sont reliées à}

un

galvanomètre.

Lorsqu’il n’y

^{a pas d’action}

chimique

^{entre les}

plaques

^{et le}

liquide,

^{le métal chaud est}

positif

par rapport ^{à l’autre dans} les dissolutions alcalines et

négatif

^{dans les} dissolutions

acides;

cependant

^l’acide

sélénique,

^l’azotate

d’argent,

^{l’alun de}

^chrome,

les sulfates de

nickel,

^de

manganèse,

^de

fer,

^de

cuivre,

font excep- tion à cette

règle.

Lorsqu’on

^{chauffe la}

plaque pendant quelque

temps, l’intensité du courant augmente ^en

général; parfois

^elle diminue. La direction

et l’intensité

dépendent

seulement du

liquide ;

^{la nature des mé-}

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018790080017901

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taux n’exerce aucune influence sur ces

quantités.

Avec les disso- lutions d’alun de chrome, ^{de sulfate et} d’azotate de

nickel,

^{la di-}

rection du courant peut s’intervertir

quand

^{on élève la}

température ;

d’autres

fois,

par

exemple

^{avec le} bromure de

nickel,

l’intensité atteint ^un

maximum,

pour ^une

température

déterminée.

L’auteur _pense

qu’on

^ne peut ^{attribuer les courants}

qu’il

^a

étudiés,

^{ni à des actions}

chimiques

^{ni à des} modifications dans la cohésion ou l’adhérence du

liduide ;

^{ce sont de} véritables cou- rants

thermo-électriques

^sur

lesquels

^l’action

chimique

^du

liquide

exerce une

grande influence, puisqu’en général

^{les acides et les}

bases se comportent ^{d’une manière inverse.}

Les résultats sont d’accord avec ceux obtenus par

Pfaff, Buff,

Pictet,

^{etc. C. DAGUENET.}

IL NUOVO CIMENTO.

(Suite ^et fin.)

Tomes III et IV. ^- Année iS78.

A. NACCARI ^et M. BELLATI. - Sur l’intensité de l’effet Peltier à diverses tempé- ratures, p. II5- I23.

L’effet va en croissant de i 8° à 1600 avec un

couple

cuivre-bis- muth. M. Le Roux avait

déjà

^{observé la même}

augmentation,

^mais

de zéro à 100°.

A. ROITI. - Sur la détermination des constantes des machines de Holtz et sur les conrants qu’elles donnent, p. 123-163.

A. ROITI. - Sur les décharges de la machine de Holtz dans les gaz raréfiés.

Réponse ^{au Dr} Feddersen, ^t. IV, p. 79-92.

On trouvera dans ce Journal

(t. IV,

p.

65) l’analyse

^{d’un tra-}

vail de M.

Rossetti, duquel

^{ressort avec} évidence l’assimilation de la machine de Holtz et d’une

pile hydro-électrique.

L’auteur avait

cru seulement que l’intensité ^{du courant} croissait

plus rapidement

que ^la vi tesse de

ro tation,

^{et avait attribué cet effet à une faible}

diminution dans la résistance intérieure.

Ce sont ces deux dernières conclusions que ^M. Roiti

iniirme,