HAL Id: jpa-00238237
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Submitted on 1 Jan 1884
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D. KAEMPFER. - Ueber die Messung electrischer Kräfte mittellst des electrischen Flugrades (Mesure des
forces électriques au moyen du tourniquet électrique);
Wied. Ann., t. XX, p. 601; 1883
C. Gomien
To cite this version:
C. Gomien. D. KAEMPFER. - Ueber die Messung electrischer Kräfte mittellst des electrischen Flu- grades (Mesure des forces électriques au moyen du tourniquet électrique); Wied. Ann., t. XX, p.
601; 1883. J. Phys. Theor. Appl., 1884, 3 (1), pp.265-267. �10.1051/jphystap:018840030026501�.
�jpa-00238237�
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grâce
au passageprolongé
de ladécharge
et aux ébranlementsmécaniques qui l’accoinpagnent.
Une preuve de laparfaite
dessic-cation du tube consistait dans la
possibilité
de pousser le vide assezloin pour que le tube de Geissler s’illuminât entièrement.
Pendant la
préparation
dubaromètre,
lesphénomènes optiques
observés dans le tube de Geissler
passent
par différentesphases.
A un certain
degré
devide,
le tube commence à luire. A mesureque le vide se
poursuit,
l’intensité de sa lumièreaugmente jusqu’à
un
maximum, puis
décroît. Dans lespectre
du tubedisparaissent
peu à peu les raies
caractéristiques
del’azote,
alorsqu’on
voit en-core les raies F et G de
l’hydrogène
etquelques raies.du
mercure,,qui
à leur tourdisparaissent
aussi. Le vide continuant à sefaire,
le tube commence à s’illuminer
d’abord,
à son extrémiténégative, puis
à son extrémitépositive, puis
dans toute salongueur;
enfinou bien la
décharge
estarrêtée,
ou bien il ne passeplus
que desdécharges interrompues.
Le baromètre normal étant établi avec toutes les
précautions possibles,
un autre baromètre lui a étécomparé.
Dans une pre-mière série
d’expériences,
on a constaté des différences biensupé-
rieures aux erreurs accidentelles de l’observation. Ces différences tiennent surtout à
l’inégalité
de latempérature
dus mercure dansles différentes
régions
de la colonne : une incertitude de 0°, 07 c.dans
l’appréciation
de latempérature
du mercure entraîne uneerreur de
omm,
01 I dans l’évaluation de la hauteurbarométriclue.
La détermination de la
température
du mercure au moyen d’un thermomètreunique
est donc insuffisante si l’onopère
dans unlieu dont la
température
n’est pas constante. Une séried’expé- riences, pendant laquelle
cette constance de latempérature
étaitréalisée,
a donné au contraire des résultats très concordants.J. PIONCHON.
D. KAEMPFER. 2014 Ueber die Messung electrischer Kräfte mittellst des electrischen
Flugrades (Mesure des forces électriques au moyen du tourniquet électrique);
Wied. Ann., t. XX, p. 601; 1883.
Pour mesurer les forces
électriques,
M.Kaempfer emploie
untourniquet
formé par un fil de laiton terminé par deuxpoinles, qui
sont recourbées en senscontraire;
il estsuspendu
par un filArticle published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018840030026501
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de
platine
vertical à unepince
en laiton. Cettepince
étant miseen communication avec le
pôle positif
d’une machine deHoltz,
dont l’autre
pôle
est relié ausol,
le fil de laiton tourne et se fixedans une
position d’équilibre quand
la torsiondéveloppée
dans lefil de
platine
estégale
aux réactions de J’électricité sur lespointes.
1,’an-le
d’écart avec laposition
initiale se mesure au moyen d’un indexqui
sedéplace
sur un cercle divisé horizontal. Les forcesélectriques
et, parsuite,
les travauxqu’elles
sontsusceptibles d’effectuer,
sontproportionnels
auxangles
d’écart. Il en résulteque, les travaux
accomplis
par deux massesélectriques Q
1 etQ,
étant
proportionnels
aux carrés de ces masses, les masses four-nies dans le même temps par deux sources constantes seront
proportionnelles
aux racines carrées desangles
d’écart.La loi
précédente
s’accorde aussi bien avecl’hyp’othèse
de Riessqu’avec
celle de M. Mascart sur la manière dont seproduit
la réac-tion de l’électricité par les
pointes.
Elle
permet
de comparer les intensités de deux sources élec-triques
constantes fournissant dans le mêmetemps
desquantités
différentes d’électricité.
Les intensités seront
proportionnelles
aux racines carrées desangles
d’écart dutourniquet.
Pourjustifier
ceprincipe,
l’auteur aemployé
une machine de Holtz eninterposant,
sur letrajet
du filque reliait un de ses
pôles
autourniquet,
un micromètre à dé-charbes,
dont les boules étaientplus
ou moinséloignées.
L’inten-sité croît en même
temps
que la distance des boules et que la déviation dutourniquet,
et les intensités sont sensiblement entreelles comme les racines carrées des déviations
correspondantes.
Pour des distances des boules de
0m,06, 0m,08, 0m,
20, lesangles
d’écart sont
respectivement
et les intensités
on bien
Le
tourniquet électrique peut
encore servir à comparer desmasses
électriques
enéquilibre
sur des conducteurs ou leurs po- tentiels. Il suffit de fairecommuniquer
le conducteur électriscavec le
tourniquet
et de déterminerl’angle d’impulsion, qui
est267
d’autantplus grand
que la masseélectrique
seraplus grande.
Ilest,
d’ailleurs,
facile de voir que les massesélectriques
ou leurspotentiels
sont encoreproportionnels
aux racines carrées desimpulsions;
on suppose les masses à comparertoujours réparties
sur le même
conducteur,
defaçon
que lacapacité électrique
soitinvariable. C. GOMIEN.
A. WINKELMANN.2014Ueber die durch die Polarisation bewirkte Phasenänderung
von Wechselströmen (Sur le changement de phase de courants alternatifs ob- tenu par la polarisation) ; Annales de Wiedemann, t. XX, p. 91.
M. K-ohirausch a montré que,
y lorsqu’on dispose
unliquide
po- larisant sur letrajet
de courantsalternatifs,
il en résulte pour ceux-ci : i ° undéplacement
de laphase;
2° unchangement
d’in-tensité. Il a
appliqué
ce dernierphénomène
à la mesure de lapolarisation.
M. Obcrheck a eu recours, dans le mêmebut,
aucliangernent
dephase.
Au lieu des
appareils qu’ils
ontemployés,
on va voirqu’il
estfacile de mettre en évidence le
déplacement
de la courbe des in- tensités de courants d’inductionproduits
par lesprocédés
ordi-naires.
L’appareil
se compose de troisdiapasons,
d’accord autant que pos-sible, A, B,
C. Dans le circuit d’unepile
sontplacés
lediapason A.
servant
d’interrupteur
et l’hélice inductrice d’une bobine d’induc- tion. En dérivation sur cecircuit,
les électro-aimants dudiapason B,
monté
électronlagnétiquen1ent.
Dans le circuit de la bobine induite est
placé
lediapason C,
ainsi
qu’un
commutateurpermettant d’y
introduire leliquide polarisant
F ou une résistance W.B et
C,
montés de la mêmefaçon,
sont horizontaux etdisposés perpendiculairement
l’un à l’autre.Une
pointe
de Cporte
unpoint lumineux;
unepointe
de Bporte l’objectif
d’unmicroscope
visant lepoint
lumineux.Dès que les communications sont
établies,
on voit dans le mi- croscope une courbe lumineuse con tinue dont la forme et les dimensionsdépendent
desdiapasons,
de lapile
et de la résis-tance introduite par le commutateur. Si l’un de ces facteurs vient à