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D. KAEMPFER. — Ueber die Messung electrischer Kräfte mittellst des electrischen Flugrades (Mesure des forces électriques au moyen du tourniquet électrique); Wied. Ann., t. XX, p. 601; 1883

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00238237

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238237

Submitted on 1 Jan 1884

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D. KAEMPFER. - Ueber die Messung electrischer Kräfte mittellst des electrischen Flugrades (Mesure des

forces électriques au moyen du tourniquet électrique);

Wied. Ann., t. XX, p. 601; 1883

C. Gomien

To cite this version:

C. Gomien. D. KAEMPFER. - Ueber die Messung electrischer Kräfte mittellst des electrischen Flu- grades (Mesure des forces électriques au moyen du tourniquet électrique); Wied. Ann., t. XX, p.

601; 1883. J. Phys. Theor. Appl., 1884, 3 (1), pp.265-267. �10.1051/jphystap:018840030026501�.

�jpa-00238237�

(2)

265

grâce

au passage

prolongé

de la

décharge

et aux ébranlements

mécaniques qui l’accoinpagnent.

Une preuve de la

parfaite

dessic-

cation du tube consistait dans la

possibilité

de pousser le vide assez

loin pour que le tube de Geissler s’illuminât entièrement.

Pendant la

préparation

du

baromètre,

les

phénomènes optiques

observés dans le tube de Geissler

passent

par différentes

phases.

A un certain

degré

de

vide,

le tube commence à luire. A mesure

que le vide se

poursuit,

l’intensité de sa lumière

augmente jusqu’à

un

maximum, puis

décroît. Dans le

spectre

du tube

disparaissent

peu à peu les raies

caractéristiques

de

l’azote,

alors

qu’on

voit en-

core les raies F et G de

l’hydrogène

et

quelques raies.du

mercure,,

qui

à leur tour

disparaissent

aussi. Le vide continuant à se

faire,

le tube commence à s’illuminer

d’abord,

à son extrémité

négative, puis

à son extrémité

positive, puis

dans toute sa

longueur;

enfin

ou bien la

décharge

est

arrêtée,

ou bien il ne passe

plus

que des

décharges interrompues.

Le baromètre normal étant établi avec toutes les

précautions possibles,

un autre baromètre lui a été

comparé.

Dans une pre-

mière série

d’expériences,

on a constaté des différences bien

supé-

rieures aux erreurs accidentelles de l’observation. Ces différences tiennent surtout à

l’inégalité

de la

température

dus mercure dans

les différentes

régions

de la colonne : une incertitude de 0°, 07 c.

dans

l’appréciation

de la

température

du mercure entraîne une

erreur de

omm,

01 I dans l’évaluation de la hauteur

barométriclue.

La détermination de la

température

du mercure au moyen d’un thermomètre

unique

est donc insuffisante si l’on

opère

dans un

lieu dont la

température

n’est pas constante. Une série

d’expé- riences, pendant laquelle

cette constance de la

température

était

réalisée,

a donné au contraire des résultats très concordants.

J. PIONCHON.

D. KAEMPFER. 2014 Ueber die Messung electrischer Kräfte mittellst des electrischen

Flugrades (Mesure des forces électriques au moyen du tourniquet électrique);

Wied. Ann., t. XX, p. 601; 1883.

Pour mesurer les forces

électriques,

M.

Kaempfer emploie

un

tourniquet

formé par un fil de laiton terminé par deux

poinles, qui

sont recourbées en sens

contraire;

il est

suspendu

par un fil

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018840030026501

(3)

266

de

platine

vertical à une

pince

en laiton. Cette

pince

étant mise

en communication avec le

pôle positif

d’une machine de

Holtz,

dont l’autre

pôle

est relié au

sol,

le fil de laiton tourne et se fixe

dans une

position d’équilibre quand

la torsion

développée

dans le

fil de

platine

est

égale

aux réactions de J’électricité sur les

pointes.

1,’an-le

d’écart avec la

position

initiale se mesure au moyen d’un index

qui

se

déplace

sur un cercle divisé horizontal. Les forces

électriques

et, par

suite,

les travaux

qu’elles

sont

susceptibles d’effectuer,

sont

proportionnels

aux

angles

d’écart. Il en résulte

que, les travaux

accomplis

par deux masses

électriques Q

1 et

Q,

étant

proportionnels

aux carrés de ces masses, les masses four-

nies dans le même temps par deux sources constantes seront

proportionnelles

aux racines carrées des

angles

d’écart.

La loi

précédente

s’accorde aussi bien avec

l’hyp’othèse

de Riess

qu’avec

celle de M. Mascart sur la manière dont se

produit

la réac-

tion de l’électricité par les

pointes.

Elle

permet

de comparer les intensités de deux sources élec-

triques

constantes fournissant dans le même

temps

des

quantités

différentes d’électricité.

Les intensités seront

proportionnelles

aux racines carrées des

angles

d’écart du

tourniquet.

Pour

justifier

ce

principe,

l’auteur a

employé

une machine de Holtz en

interposant,

sur le

trajet

du fil

que reliait un de ses

pôles

au

tourniquet,

un micromètre à dé-

charbes,

dont les boules étaient

plus

ou moins

éloignées.

L’inten-

sité croît en même

temps

que la distance des boules et que la déviation du

tourniquet,

et les intensités sont sensiblement entre

elles comme les racines carrées des déviations

correspondantes.

Pour des distances des boules de

0m,06, 0m,08, 0m,

20, les

angles

d’écart sont

respectivement

et les intensités

on bien

Le

tourniquet électrique peut

encore servir à comparer des

masses

électriques

en

équilibre

sur des conducteurs ou leurs po- tentiels. Il suffit de faire

communiquer

le conducteur électrisc

avec le

tourniquet

et de déterminer

l’angle d’impulsion, qui

est

(4)

267

d’autant

plus grand

que la masse

électrique

sera

plus grande.

Il

est,

d’ailleurs,

facile de voir que les masses

électriques

ou leurs

potentiels

sont encore

proportionnels

aux racines carrées des

impulsions;

on suppose les masses à comparer

toujours réparties

sur le même

conducteur,

de

façon

que la

capacité électrique

soit

invariable. C. GOMIEN.

A. WINKELMANN.2014Ueber die durch die Polarisation bewirkte Phasenänderung

von Wechselströmen (Sur le changement de phase de courants alternatifs ob- tenu par la polarisation) ; Annales de Wiedemann, t. XX, p. 91.

M. K-ohirausch a montré que,

y lorsqu’on dispose

un

liquide

po- larisant sur le

trajet

de courants

alternatifs,

il en résulte pour ceux-ci : i ° un

déplacement

de la

phase;

un

changement

d’in-

tensité. Il a

appliqué

ce dernier

phénomène

à la mesure de la

polarisation.

M. Obcrheck a eu recours, dans le même

but,

au

cliangernent

de

phase.

Au lieu des

appareils qu’ils

ont

employés,

on va voir

qu’il

est

facile de mettre en évidence le

déplacement

de la courbe des in- tensités de courants d’induction

produits

par les

procédés

ordi-

naires.

L’appareil

se compose de trois

diapasons,

d’accord autant que pos-

sible, A, B,

C. Dans le circuit d’une

pile

sont

placés

le

diapason A.

servant

d’interrupteur

et l’hélice inductrice d’une bobine d’induc- tion. En dérivation sur ce

circuit,

les électro-aimants du

diapason B,

monté

électronlagnétiquen1ent.

Dans le circuit de la bobine induite est

placé

le

diapason C,

ainsi

qu’un

commutateur

permettant d’y

introduire le

liquide polarisant

F ou une résistance W.

B et

C,

montés de la même

façon,

sont horizontaux et

disposés perpendiculairement

l’un à l’autre.

Une

pointe

de C

porte

un

point lumineux;

une

pointe

de B

porte l’objectif

d’un

microscope

visant le

point

lumineux.

Dès que les communications sont

établies,

on voit dans le mi- croscope une courbe lumineuse con tinue dont la forme et les dimensions

dépendent

des

diapasons,

de la

pile

et de la résis-

tance introduite par le commutateur. Si l’un de ces facteurs vient à

changer,

il entraine non seulement des

changements d’ampli-

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