OVERBECK. — Ueber eine neue Méthode die Leitungsfähigkeit von Flussigkeiten für die Elektricität zu bestitnmen (Nouvelle méthode pour déterminer la conductibilité électrique des liquides); Pogg.'s Annalen, t. CLV, p. 595; 1875

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Submitted on 1 Jan 1876

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OVERBECK. - Ueber eine neue Méthode die

Leitungsfähigkeit von Flussigkeiten für die Elektricität zu bestitnmen (Nouvelle méthode pour déterminer la conductibilité électrique des liquides); Pogg.’s Annalen,

t. CLV, p. 595; 1875

A. Potier

To cite this version:

A. Potier. OVERBECK. - Ueber eine neue Méthode die Leitungsfähigkeit von Flussigkeiten für die Elektricität zu bestitnmen (Nouvelle méthode pour déterminer la conductibilité électrique des liquides); Pogg.’s Annalen, t. CLV, p. 595; 1875. J. Phys. Theor. Appl., 1876, 5 (1), pp.230-231.

�10.1051/jphystap:018760050023002�. �jpa-00237187�

230

une

ampoule

^{de verre. Cette cause} d’erreur avait été

mentionnée,

mais non élinminée _{par M.}

Regnault.

L’exactitude de la loi de

Dulong

^{et Petit comme} loi limite res- sort donc des

expériences

^{de l’auteur.}

G. LIPPMANN.

F. SCHAACK. 2014 Zur Construction von Blitzableitern für telegraphen-Leitungen (Con-

struction de paratonnerres pour les lignes télégraphiques); Poggendorff’s Annalen, t. CLV, p. 624; 1875.

M. Scllaack propose de substituer ^au

système employé

^ordinaire-

ment la

disposition suivante ;

^une

portion

^{du fil de}

ligne

^{est recou-}

verte d’une faible

épaisseur

d’une substance isolante

(de

^{la soie}

imbibée d’une dissolution de

caoutchouc) ;

^cette

portion

^{du fil est}

placée

^{dans un vase}

métallique plein

^{d’eau et en} communication

avec la terre. A. POTIER.

OVERBECK. 2014 Ueber eine neue Méthode die Leitungsfähigkeit ^von Flussigkeiten ^für

die Elektricität zu bestitnmen (Nouvelle méthode pour déterminer la conductibilité électrique ^des liquides); Pogg.’s Annalen, ^t. CLV, p. 595; 1875.

Les deux électrodes d’un

appareil

d’induction sont terminées par des boules

métalliques

dont la distance variable

peut

^être

mesurée,

ce

qui

^{constitue un} micrométre à

étincelles ;

^{ces deux électrodes}

sont encore réunies par ^une dérivation dans

laquelle

^on

interpose

une colonne du

liquide

^à

étudier;

^un

liquide

^étant

^{donné ,}

^on

cherchée,

pour ^une intensité constante et connue de courant induc- teur, la distance maximum à

laquelle

^on

peut

^écarter les boules

sans que les étincelles d’induction cessent de

jaillir

d’une manière continue.

Si,

pour deux colonnes

liquides différents,

^{cette distance}

est la

même,

^{l’auteur en} conclut que ^ces deux colonnes ont la même résistance.

La difficulté d’avoir un courant inducteur constant, l’incertitude

sur la mesure de la distance maximum définie

plus

^{haut ne sem-}

blent pas autoriser ^à croire à la

précision

^{de cette}

méthode ;

^l’auteur

ne donnant que des moyennes ^{et non tous} les nombres

observés,

on ne

peut

^{avoir une}

opinion

^{motivée à ce}

sujet.

^Pour

l’eau,

^l’au-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018760050023002

23I

teur, ^{comme ses}

prédécesseurs,

^m’a pu vaincre les difficultés pro-

venant des sels divers

qu’elle

^tient

toujours

^en

dissolution;

pour

l’étller, l’alcool,

^l’auteur

indique

des résistances

40ooo

^et 13 ooo fois

plus grandes

que celle d’une solution neutre et saturée de sulfate

de cuivre. A. POTIER.

MACH ^ET MERTEN. 2014 Bemerkungen ^{über die} Anderung ^der Lichtgeschwindigkeit ^im Quarz durch Druck (Remarques ^{sur les} changements qu’éprouve ^{la vitesse} de pro-

pagation ^{de la lumière dans le} quartz par l’effet de la pression) ; ^{Ann. de} Pogg.,

t. CLVI, p. 639; I875.

Les auteurs ont

répété,

^{en les}

complétant,

^les

expériences

^de

Pfaff

(4)

^{relatives â} l’effet de 1 a

pression

^{sur les}

propriétés optiques

du

quartz. Quand

^{on observe à l’aide de}

l’appareil

^de

Norremberg

^un

quartz perpendiculaire

^à l’axe dans la lumière convergente, ^{on voit} les anneaux sans croix ^se dédoubler dès

qu’on

exerce une

pression perpendiculairement

^à

l’axe,

^{et former une,}

figure bipolaire.

^La

ligne

^des

pôles

^{coïncide avec} la direction de la

pression.

^{Si l’on}

observe

dansla

lumière

circulaire,

^la

figure

^{connue, en}

spirale,

^se

dédouble en deux

spirales

^{autour des mêmes}

pôles.

^{Ainsi le}

quartz

devient biaxe par la

pression.

^Une

pression,

exercée dans un sens

perpendiculaire

^au

premier,

^fait

disparaître

^ces

phénomènes,

^{et le}

quartz

redevient uniaxe.

Si l’on observe ^une lame de

quartz gauche

dans la lumière

paral-

lèle et

qu’on

exerce une

compression perpendiculaire à l’axe,

^la

teinte

plate

^obtenue

change

^{dans un sens}

correspondant

^{à un accrois-}

sement de

rotation,

accroissement d’ailleurs assez

faible;

^{les auteurs}

l’évaluent

approxinlativenlcnt à 1 10000 de

la rotation

primitive.

Les rayons circulaires interférents

qui

^se

propagent

^{dans le}

quartz

avec des vitesses

inégales

^{dans le sens de l’axe se trouvent}

rempla-

cés au

voisinage

^des nouveaux axes

développés

^{par la}

pression,

par des rayons

elliptiques,

^{comme ceux}

qui correspondent

^{à une} propa-

gation oblique

^{de la} lumière dans le cristal ^non

comprimé.

^Ces

deux

composantes elliptiques éprouvent

^{un retard} par ^la

pression,

mais le retard

éprouvé

^{par le} rayon

elliptique gauche

^est

plus

^fort

que celui du

rayon droit,

à peu

près

^{dans le}

rapport

^{de trois à}

deux,

d’où l’accroissement

apparent

de rotation. E. BOUTY.

(’ ) ^{PpAFF, Ann. de} Pogg., ^t. CXVII, p. 333, ^{et t.} CXYIII, p. 598.