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W. VON BEZOLD. — Ueber die Vergleichung von Pigmentfarben mit Spectralfarben (Comparaison des pigments et des couleurs spectrales); Ann. de Pogg., t. CLVIII, p. 165; 1876. Eine neue Methode der Farbenmischung (Nouvelle méthode pour le mélange des couleurs

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HAL Id: jpa-00237221

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237221

Submitted on 1 Jan 1876

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W. VON BEZOLD. - Ueber die Vergleichung von Pigmentfarben mit Spectralfarben (Comparaison des pigments et des couleurs spectrales); Ann. de Pogg., t.

CLVIII, p. 165; 1876. Eine neue Methode der

Farbenmischung (Nouvelle méthode pour le mélange des couleurs); Ann. de Pogg., t. CLVIII, p. 606; 1876

E. Bouty

To cite this version:

E. Bouty. W. VON BEZOLD. - Ueber die Vergleichung von Pigmentfarben mit Spectralfarben (Comparaison des pigments et des couleurs spectrales); Ann. de Pogg., t. CLVIII, p. 165;

1876. Eine neue Methode der Farbenmischung (Nouvelle méthode pour le mélange des couleurs);

Ann. de Pogg., t. CLVIII, p. 606; 1876. J. Phys. Theor. Appl., 1876, 5 (1), pp.350-353.

�10.1051/jphystap:018760050035001�. �jpa-00237221�

(2)

près 4,8

à

5,I,

le

poids spécifique provisoirement,

trouvé pour le

gallium paraissait pouvoir

s’accorder assez bien avec une théorie classant ce métal entre l’indium et l’aluminium.

Cependant

les calculs établis par M.

TVIendeleefl’ pour

un corps

hypothétique qui

semble

correspondre

au

gallium (du

moins

d’après plusieurs

de ces

propriétés)

conduisaient à la densité

5,9.

Le

gallium

cristallisé sous l’eau

décrépite quelquefois quand

on

le chauffe. Peut-être mon

premier

métal contenait-il des vacuoles

remplies

d’air ou d’eau.

Quoi qu’il

en

soit, j’ai

évité

depuis

cette

cause d’erreur en chaufiant fortement le métal et le solidifiant dans

une atmosphère

sèche.

En

employant quelques centigrammes seulement, j’obtins

d’abord

pour la densité des nombres variant de

5,5

à

6, 2 .

Je viens enfin

d’opérer

sur 58

centigrammes

à la fois.

Il n’est pas besoin

d’insister, je

pense, sur l’intérêt

qui

s’attache

à la comfirmation des vues

théoriques

de M.

Mendeléefl

en ce

qui

concerne la densité du nouvel élément.

W. VON BEZOLD. 2014 Ueber die Vergleichung von Pigmentfarben mit Spectralfarben (Comparaison des pigments et des couleurs spectrales); Ann. de Pogg., t. CLVIII,

p. I65; I876. Eine neue Methode der Farbenmischung (Nouvelle méthode pour le

mélange des couleurs); Ann. de Pogg., t. CLVIII, p. 606; I876.

Dans un Mémoire antérieur

(1),

M. Von Bezold a

exposé

com-

el) Annales de Pogendorff, t. CL, p. 93 et 121 (Voir Journal de Physique, t. III,

p. 155, l’analyse de ce Mémoire).

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018760050035001

(3)

ment une sensation colorée déterminée

peut résulter,

d’une infinité

de

manières,

du

mélange

de couleurs

spectrales

ou de

pigments,

et comment on

peut, indépendamment

de son

origine,

la définir à l’aide de trois

quantités

seulement : le ton, c’est-à-dire la

longueur

d’onde de la couleur

spectrale correspondante (ou,

pour les tons

pourpres

qui

n’existent pas dans le

spectre,

la

longueur

d’onde du

vert

complémentaire

l’intensité totale et le

degré

de saturation.

Si les lois

qui président

au

mélange

des couleurs étaient

parfaite-

ment connues, on

pourrait, d’après

les

principes exposés

dans le Mé-

moire

auquel j e renvoie,

dresser un tableau

chromatique rationnel, permettant

de réduire une sensation colorée

quelconque

à ses élé-

ments, ou

d’opérer

la

composition

et la

décomposition

des couleurs de toutes les manières

possibles.

C’est en vue de la

préparation

de ce tableau que l’auteur a

imaginé

les méthodes que noms allons décrire.

Pour comparer un

pigment

aux couleurs

spectrales (ton),

M. von

Bezold

remplace

l’échelle du

spectroscope

ordinaire par un carton blanc à

grain très-fin,

recouvert à moitié d’un

papier noir,

de

manière que la

ligne

de

séparation

soit horizontale. Une fente verticale d’un millimètre de

largeur

est taillée dans la

partie

noire.

C’est à travers cette fente

qu’on peut apercevoir

la couleur

pig-

mentaire étudiée.

D’autre

part,

on recouvre la fente du collimateur par un écran opaque sur la moitié de sa

hauteur,

de telle sorte que le

spectre

soit

superposé

à

l’image

du carton

blanc,

et

placé

au-dessus de

,

l’image

du carton noir. On comparera ainsi le

pigment

avec les

couleurs d’un

spectre plus

ou moins lavé de

blanc,

et, en faisant varier l’éclairement du carton et

glisser

la fente à droite ou à gau-

che,

on arrivera aisément à établir une identité

complète

entre

l’image

de la fente et la couleur

spectrale qu’elle prolonge

dans le

champ

de vision

(1).

On

peut

aussi

remplacer

l’échelle du

spectroscope

par un écran entièrement

noir, portant

une fente de

longueur égale

à celle du

collimateur,

et laisser celle-ci entièrement libre.

L’image

de la fente colorée forme alors une tache brillante que l’on

peut

faire coïncider

avec une couleur

quelconque

du

spectre

par un

léger déplacement

(1) Bien entendu, cette méthode n’est pas applicable aux tons pourpres.

(4)

du carton. L’identité de ton est manifestée par une réaction très- sensible.

Soit,

par

exemple,

un

pigment

vert, dont la teinte est à peu

près

celle de la raie

E ;

le moindre

déplacement

du carton à

droite ou à

gauche

de la coïncidence fera virer

l’image

de la fente

au jaune

ou au

bleu,

relativement au fond sur

laquelle

elle se dé-

tache

(1).

Pour trouver le ton résultant du

mélange

de deux

couleurs,

on

emploie,

le

plus

souvent, un

disque

de

NevVton,

divisé en deux sec-

teurs

égaux

ou

inégaux,

que l’on revêt des couleurs à composer, et l’on cherche par tâtonnements à couvrir le centre du

disque

d’un

pigment tel,

que

l’appareil

animé d’un

rapide

mouvement de rota-

tion

présente

la même teinte au centre et au bord. M. von Bezold

trouve que la méthode suivante est d’un

emploi plus rapide

et

plus

sûr.

Un tube noirci à l’intérieur est fermé à l’une de ses extrémité par

une

plaque percée

de

quatre

ouvertures carrées

A, B, C,

D

(fig. i).

Fig. 1. -

A l’autre extrémité du tube est

disposé

un

prisme achromatique

de

spath,

orienté de

façon

que l’on

puisse

faire coïncider

l’image

ordinaire de B avec

l’image

extraordinaire de

A,

et monté sur un

tirage. Quand

la coïncidence est

établie, il y

a dans le

champ

six

images disposées

comme

l’indique lafig.

2.

Soit maintenant à trouver la couleur résultant du

mélange

des

deux

pigments

A et B donnés : on

place

ces

pigments

sous les ou-

vertures de même nom, et l’on

aperçoit

en A et en B les teintes

composantes

avec les intensités - I 2 et I’ 2, et en

A’ +

B leur

mélange,

(1) L’auteur fait observer que rien ne prouve, a priori, que ces deux méthodes doi- vent donner des résultats identiques, si ce n’est pour les couleurs qui n’excitent pas d’une manière sensible la fluorescence de la rétine.

(5)

avec

l’intensité I + I’ 2.

· On cherche alors par la

peinture

à donner

à une

plaque

recouvrant les ouvertures C et D une couleur

telle,

que

les

images A’-+

B et

C’-+

D

paraissent identiques

à l’oeil. La cou-

leur

employée présente alors,

avec

l’intensité I+I’ 2,

la teinte ré- sultante des couleurs A et B.

Fig. 2.

Cette méthode intéressante

permet

d’obtenir aisément toute l’é- chelle des intensités pour des couleurs de ton et de saturation dé- terminées. Voici comment on pourra

pr océder :

oblitérons l’ouver-

ture

C,

par

exemple,

avec du velours

noir,

et

plaçons

le même

pigment

sous les ouvertures A et

B; l’image

moyenne

présentera

l’intensité

1,

et il faudra

placer

en D la même couleur avec l’inten-

sité 21 pour obtenir l’identité de

A’ + B

et de D. Fermant alors l’ouverture

A,

et

portant

le

pigment primitif

en

C,

on obtiendra

une

image

moyenne

C’+

D

d’intensité 31 2,

et il faudra

placer

en B

la couleur de même teinte et d’intensité 31 pour obtenir encore

l’égalité

des

images

moyennes, etc. On voit

qu’on

pourra

opérer

de nombreuses vérifications : la couleur d’intensité

4I,

par

exemple,

devra être la

même, qu’elle

ait été obtenue par l’addition de 2I et de

2I,

ou par celle de 1 et de 3I.

E. BOUTY.

PFAUNDLER, professeur à l’Université d’Innsbruck. -- Sur la chaleur dégagée par le

mélange d’acide sulfurique et d’eau (travail présenté à l’Académie des Sciences de Vienne, dans la séance du I4 janvier I875).

M. Pfaundler a

présenté,

dans le courant de l’année

I875,

à l’A-

cadémie de

Vienne,

trois Mémoires relatifs aux

mélanges

d’acide

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