HAL Id: jpa-00238014
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Submitted on 1 Jan 1882
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VoN FREY et VON KRIES. - Ueber Mischung von Spectralfarben (Sur le mélange des couleurs spectrales);
Archiv für Phys., p. 336; 1881
J. Macé de Lépinay
To cite this version:
J. Macé de Lépinay. VoN FREY et VON KRIES. - Ueber Mischung von Spectralfarben (Sur le
mélange des couleurs spectrales); Archiv für Phys., p. 336; 1881. J. Phys. Theor. Appl., 1882, 1 (1),
pp.513-514. �10.1051/jphystap:018820010051301�. �jpa-00238014�
513
Regnault;
ils s’enrapprochent
vers 220°, en se confondant aveceux dans le
voisinage
de cettetempérature.
Les nombres obtenus sont, au-dessous de
80°, plus grands
queceux de 31.
Hagen (1) ;
ils concordent avec eux entre 80° et ioo’, ils sontplus petits qu’eux
au delà.Entre 0° et
4o’,
la forceélastique
de la vapeur de mercure varie deOmm, 00019
à Omm, oo63.Il en résulte
qu’aux températures
ordinaires del’atmosphère,
laforce
élastique
de la vapeur de mercure est moindreque
demillimètre.
Ce résultat est très
important
pourl’emploi
desbaromètres,
ma-chines et tubes de Geissler. E. DRINCOURT.
VoN FREY et VON KRIES. - Ueber Mischung von Spectralfarben (Sur le mélange
des couleurs spectrales); Archiv für Phys., p. 336; 1881.
L’appareil employé perinetualu
d’obtenir deux surfaces voisineséclairées,
l’une par unmélange
de deux couleursspectrales,
l’autresoit par un
mélange
de lumière blanche et d’une couleurspectrale quelconque,
soit par de la lumière blanche seule. La lumière éclairante était celle des nuées.Les auteurs, en étudiant les couleurs
complémen taires,
ontobtenu des résultats en tout semblables à ceux de Helmholtz
(2)
:si l’on construit une courbe en
prenant
pour abscisses leslongueurs
d’onde des diverses
radiations,
pour ordonnées leslongueurs
d’ondedes couleurs
complémentaires,
on obtient deux branches de courbeayant
la formegénérale d’hyperboles équilatères.
Cequi
est nou-veau dans le travail que nous
analysons,
c’est que les courbes obte-nues dans les mêmes conditions par les deux observateurs ne sont pas
identiques :
elles secoupent
dans lejaune
bleu.Des différences
analogues
se retrouvent dans lesexpériences
faites pour
reproduire
les difl’érentes teintes duspectre
par lemélange
de deux couleursspectrales.
Enmélangeant
parexemple
(’ ) HAGEN, _4nn. der Physik, t. XN-1, p. 610 ; 1882.
(2) HELMHOLTZ, Optique physiologique, p. 365.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018820010051301
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le vert de b au rouge de
C,
et cherchant àreproduire
les teintesintermédiaires,
M. von Kries était constammentobligé d’employeur plus
de vert que 31. vonFrey.
L’inverse seproduisait
pour les mé-langes
du vert de h avec le violet de G.Tous ces résultats
s’expliquent
en admettant que l’un des obser-vateurs était
plus
sensible aujaune
que l’autre. Les auteurs attri- buent ce fait à uneabsorption inégale
par lepigment
de la tachejaune.
J. MACÉ DE LÉPINAY.TITO MARTINI. 2014 Dei suoni prodotti all’ efflusso dei liquidi (Des sons produits
par l’écoulemeut des liquides) ; Atti del R. Istituto veneto, 5e série, t. VIII;
1882.
Un
long
tube de verre, deOm,02
àom, 06
dediamètre,
estfermé à sa
partie
inférieure par undisque métallique
de om, 002à
om,003 d’épaisseur.
Il estpercé
en son centre d’un troucylin- drique
dont le diamètre estégal
àl’épaisseur.
On leremplit d’eau, qu’on
laisse ensuitecouler,
et l’on entend des sonsqui,
pour cer- taineslongueurs
de la colonneliquide,
sontcomparables
à ceuxd’un
tuyau d’orgue.
Savart avait
déjà
trouvé que les nombres devibrations,
corres-pondant
aux différents sons, sontproportionnels
à la racinecarrée de la
charge
duliquide
au-dessus del’orifice,
et en raisoninverse du diamètre de celui-ci.
M. Martini a constaté que, dans de telles
expériences,
on n’ob-tient pas une série de sons de hauteurs
décroissantes,
commedans la
sirène,
bien que lacharge
duliquide
dtminue sans cesse;on entend un certain nombre de sons
distincts,
comme avec untuyau d’orgue.
Ces
expériences rappellent
celles deMasson, lorsqu’il
faisaitparler
untuyau
fermé à son extrémité par undisque métallique
troué,
endirigeant
un courant d’air dans son intérieur. Dans les deux cas, les résultats sont sensiblement les mêmes. M. Martinitrouve que la loi de
Savart,
relative auxcharges
est sensiblement vérifiée.Comme dans un