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CHAPITRE 3. LA DIMENSION ETHIQUE DU SUJET 250-316

I. La rupture des liens d’appartenance au groupe 251-259

1. Schéma 1 : Caractérisation à travers les sphères de parcours de vie 252-257 2. Caractéristiques attachées au recours aux PSR 258-259

II. Vignettes cliniques 260-297

3. Kadi, décédée à 27 ans. «L’acceptation dépressive » 261-265 4. Na, 28 ans. « La négation du recours avec demande

de reconnaissance victimale » 266-271

5. Chibania, 52 ans. « La banalisation, malédiction de la Femme » 272-276 6. Si, 18 ans et Kh, 19 ans. « La revendication active » 277-284 7. Lei, 26 ans. « L’affirmation coupable » 285-289 8. Fa, 26 ans. « Destruction maternelle et maternité réparatrice» 290-294 9. Commentaire sur les vignettes cliniques 295-297

III. Autre vignette : Nadia, « D’une domination soumise ? » 298-310

10. Présentation…D‟une rencontre qui s‟est mal terminée 298-299 11. Antécédents personnels et familiaux 300-301

12. Anamnèse 302-303

13. Histoire du recours : Entrée/espace/définition 304-305 14. Construction identitaire 305-306 15. Eléments sur l‟organisation de la personnalité 306 16. Construction subjective du sens des PSR 307 17. Position subjective : D‟une domination soumise ? 307-308

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18. Légitimations politiques 308 19. Les sphères du parcours de vie de Nadia 309-310

IV. Discussion 311-316

CONCLUSION 317-321

BIBLIOGRAPHIE 322-358

« ce n’est pas le doute, mais la certitude

qui rend fou »

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INTRODUCTION

« DIEu ne change rien dans les hommes tant qu’ils n’ont pas changé ce qui est en eux. » SOURATE l’entree. XIII, II

Dans cette recherche, nous souhaitions en premier lieu mettre en évidence, une réalité, liée à l‟émergence de nouveaux contextes sociaux, dans la mondialisation, avec des phénomènes massifs d‟occidentalisation, et résistances, par le maintien et l‟extrêmisation, parfois, de valeurs culturelles, dites traditionnelles.9Ce en tant que réalité vécue, et s‟organisant subjectivement. Le culturel influant sur la construction identitaire du sujet, et par là même sur sa santé psychique, nous ne pouvions qu‟envisager des problématiques particulières dans ces nouveaux contextes sociaux, et un nouveau rapport à l‟autre, en tant qu‟autre « étranger » ou « étrange » (en partie assimilé), nécessitant parfois des néo constructions, soutenant un maintien de l‟équilibre psychologique du sujet. « La prostitution », peu exploré dans le champ de la psychologie dans le contexte marocain, a été visé ici comme étude empirico-réflexive, dont l‟élément clé était l„altérité rencontrée, nécessitant un certain nombre d‟ajustements et réduction des biais liés au chercheur, à la situation, la thématique10

La motivation de ce travail est née, de ce désir, de mieux comprendre l‟autre dans ce qui le différencie, en tant qu‟autre/subjectif, autre/culturel, ce dans l‟objectif probable de mieux penser et favoriser du lien social, où la partiellisation des objets participe à un processus de subjectivation parfois douloureux.

L‟intérêt premier qui nous est apparu dans ce projet, résidait dans le dévoilement d‟une forme de clandestinité d‟une réalité, mettant en exergue les différences/ressemblances socioculturelles, sexuelles et individuelles, dans des pratiques hors-normes, sollicitant alors des modalités défensives particulières.

Au fil de mes recherches, des intérêts nouveaux ont pu émerger. La confrontation au silence qui entoure cette thématique souterraine liée au statut de la femme, de la sexualité dans la société, en pleine mutation, a suscité d‟autant plus, une volonté de mise en exergue du phénomène dans sa dimension psychologique. L‟éclairage scientifique du phénomène en question permettant dès

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« Cette représentation est prise en charge dans des univers sociaux et politiques antagonistes produits d’une part

par un discours religieux qui cherche à attacher la femme à la « tradition » et d’autre part par un discours sur les valeurs des droits de l’homme qui aspire à la « modernité ». Le corps de la femme incarne pour les premiers les valeurs ancestrales à conserver et, pour les autres, tous les tabous qu’il importe de briser. » Bouyaakoubi L, « Ijawwan n tayri « Les siroccos de l’amour » de Brahim Lasri », publié le 22 janvier 2009.

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lors d‟approcher des dimensions parfois sous-estimées par les politiques sociales : Espaces de légitimation, poids du regard social, croyances sur les rapports de genre et la sexualité, rapport du sujet aux interdits et aux normes… Nous pouvons aussi parler d‟un intérêt idéologique qui reste présent, visant la dénonciation des effets de domination et de violence que peut produire l‟invalidation du sujet « prostitué ». Enfin, il paraît aussi nécessaire de parler d‟un intérêt thérapeutique, s‟agissant aussi de s‟interroger sur les modalités de soutien envisagées pour aider ces femmes à dépasser les mécanismes de la Culpabilité, de la Honte, ou de la Persécution qui accompagnent souvent le recours à des pratiques sexuelles récompensées.

Les objectifs de ce travail de recherche se catégorisaient alors deux points essentiels :

Aider à la compréhension11 du phénomène, en :

- En reconnaissant et valorisant la problématique psychique, dé-stigmatiser grâce à une meilleure connaissance de la diversité des parcours.

Prévenir les répercussions psychologiques et offrir un espace de réflexion sur l‟accompagnement psychologique possible, en :

- mettant en perspective des indices de « pratiques sexuelles récompensées » : A travers des ruptures de liens, des aménagements spécifiques, un mode de fonctionnement psychique.

- interrogeant l‟intime (la sexualité, l‟affectivité...), les modes de détournement possible du symptôme (en tant qu‟expression du conflit psychique), et les possibilités de dépassement du conflit.

Nous n‟envisagions pas de solutions à apporter aux pratiques sexuelles hors-mariage et récompensées, mais des lignes de force communes, favorisant la relève des spécificités de ces pratiques, et des variations des vécues qu‟elles sous-tendent et qu‟elles entraînent.

Notre perspective se fondait aussi sur la possibilité d‟envisager des pratiques de prévention du risque psychologique et d‟aide s‟adaptant aux mieux au sujet pris dans la culture ? Par la mise en évidence aussi de processus alternatifs favorables au bien-être psychologique.

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Cerner la complexité de cette pratique revient à une tentative d‟approcher le problème en fait social, à travers les différents discours, pour ensuite pouvoir envisager, comment il est intégré à un niveau psychologique.

« Le débat posé par la prostitution de rue souffre de généralisations peu productives : il laisse souvent dans l’ombre les histoires personnelles, et du point de vue spatial, la diversité des modes d’exercice et des situations quotidiennes (…) » Emmanuel Redoutey12

L‟actualité du problème posait en premier lieu la question d‟une autorisation à être femme dans ce contexte, s‟adjoignant de passivité, de révolte, et de victimisation expiatoire ? Dans ce contexte d‟émergence d‟un statut de la femme hors de la dimension familiale, voire d‟une culture de la femme, quels éléments de discours pouvaient échapper à la légitimation ? Bachelard, nous dit à ce propos, dans « La formation de l’esprit scientifique », que la recherche se fait dans une quête de variations et non plus que de variétés.13 Le sujet clinique se devait d‟être interrogé, dans une mise en perspective du rapport de la souffrance avec les dispositifs socio-culturels caractérisant la société marocaine, grâce à des analyses sur ces variations de contenus de discours, profilant du mythe, de l‟histoire et des espaces vides colmatés par des aménagements spécifiques.

En tant qu‟étude en « psychocriminologie », menée dans une rencontre interculturelle, il s‟agissait d‟une étude psychodynamique d‟une déviance dans ses implications culturelles et sociales : Définir un contexte social, culturel et juridique institué, pour y interroger une problématique psychologique, dans l‟analyse d‟une attaque du lien social, ou la manière dont le sujet expérimente ce lien. C‟est-à-dire, replacer les « pratiques sexuelles récompensées » dans l‟histoire, la mémoire et l‟environnement culturel et social actuel du sujet.

Dans un premier chapitre de contextualisation du sujet, il nous a été nécessaire d‟interroger, questionner au maximum, l‟espace social, en constante dialectique avec les mouvances et invariants culturels, en tant qu‟espace de régulations des normes sociales dans le lien, et espace de représentations de soi, de l‟autre. Contexte de crise non sans effet, participant à des modifications des pratiques, ayant existées sous différentes formes et à différentes époques ;

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Redoutey E., « Trottoirs et territoires : les lieux de la prostitution à Paris », in La prostitution à Paris, op.cit.

p.53-54.

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Contexte propice au développement du phénomène dans une conception de légitimation portée par l‟émergence des femmes dans la vie extérieure et un contexte économique spécifique ; La question soulevant le développement de ce chapitre était alors :

« Si nous cherchons le sens que ces femmes donnent à leur recours aux pratiques sexuelles

récompensées, dans leur histoire et parcours, cela nous entraine à chercher les « portes14 » que la société leur offrent et comment elles se les approprient pour s’inscrire tout en maintenant un équilibre psychique avec les normes culturelles qui les définissent ? »

Répondre à cette grande interrogation ne pouvait se faire aussi, qu‟à travers une description fine d‟un modèle culturel présent dans l‟inconscient collectif, celui de l‟Islam, fondant l‟appartenance à une communauté de croyants ; Et, influant sur les représentations sociales, et les modes de régulation du lien social. Ce modèle se présente en constante dialectique avec l‟inconscient intra-psychique du sujet, et par là, participe à l‟élaboration de son Surmoi, aux prises avec le ça et l‟Idéal, issus de l‟intrafamilial. Dans un second temps, nous ne pouvions nous absoudre d‟une deuxième dialectique : « Islam, Sexualité, Genre »15

, contribuant à donner sens aux aménagements opérés par des femmes ayant recours aux pratiques sexuelles récompensées dans le contexte de Marrakech. Ainsi, il nous a été nécessaire de déconstruire un champ culturel, ses axes, ses interdits, ses figures mythiques, sa consistance dans la dimension psychique.

O. Douville nous dit que les mythes et les rites sont compris dans leur définition « officielle », comme de simples données à transmettre, constituantes du sens pour le monde, et « jamais ne

fut interrogée par Devereux, Laplantine, Odongo, Nathan ou Moro l’ambiguïté des opérations par lesquelles l’homme livre son assentiment et peut-être sa croyance dans le discours qui l’institue au sein des mascarades identitaires »16

.

L‟interrogation se devait de porter ici sur les croyances collectives, instituant le sujet, et déterminant, la manière dont il les agence, pour soutenir sa position subjective et une identité sociale acceptable. 14 Opportunités. 15 Partie I. Chapitre 2. 16

Douville O. (1993). Interculturel et clinique de subjectivation et de désubjectivation du corporel, Les cahiers de

cliniques psychologiques, n°18, p.11.

Les difficultés de ce travail se sont rapidement fait sentir. La première nécessité se constituait de la volonté de développer un outil de travail pluridisciplinaire, faisant interagir de nombreuses informations, et nécessitant une recherche exhaustive avec nombreux supports et lieux. Pour construire la problématisation, il fallait confronter les référents théoriques, les combinaisons possibles et critiquables, ce que nous nous sommes alors attelés à faire dans un troisième chapitre, tentant de sortir du flou des dichotomies disciplinaires, d‟une territorialisation massive des disciplines, profilant parfois une impossibilité de liens, hors de laquelle nous envisagions un chemin. La multiplicité des paramètres à prendre en considération, avec les influences et conflits disciplinaires sur le sujet, les influences des discours politiques visant soit à éradiquer la prostitution, la réglementer, toujours à travers des discours moralisateurs devaient apparaître dans ce chapitre, permettant de situer notre discours.

Notre mode d‟appréhension du Sujet et son approche devaient nous introduire à une éthique du sujet, grâce à sa clinique et celle du lien, à travers les processus mis en œuvre pour maintenir l‟équilibre.

Au niveau de la clinique, les difficultés étaient aussi nombreuses, s‟agissant d‟une part, de faire accepter la problématique, non tant du côté des universitaires marocains, mais du côté de l‟administration marocaine ; De construire une connaissance approfondie, cerner le contexte socio-juridique, institutionnel, avec ses représentations, tout en se centrant sur le parcours existentiel des femmes ; Et rencontrer des femmes désireuses ou acceptant de témoigner de leur parcours. Ensuite, il nous fallait construire une méthodologie claire, capable d‟apporter un matériel clinique riche sur les représentations, croyances, conflits…

Sur le terrain de Marrakech, il nous a aussi fallu faire face à l‟isolement scientifique, loin de nos référents, posant nos interrogations seuls, sur notre position même de chercheur et les influences de notre participation sur le positionnement du sujet, les conflits liés à l‟expression de ce qui peut faire honte, de quelque chose qui ne peut se dire, tout simplement, n‟importe où, n‟importe comment et avec n‟importe qui ; Nous adapter à la situation de traduction au départ particulièrement déroutante ; Analyser aussi le système d‟échanges17 dans lequel nous nous

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étions introduit pour créer du lien avec la population et analyser nos difficultés instaurer des limites entre le travail et notre voie intime.

Le choix terminologique était aussi essentiel, tant dans sa conceptualisation rédactionnelle que dans la rencontre clinique. Nommer telle quelle « prostitution » risquait de nous amener à trouver un simple filtre, faisant écran à une multiplicité de pratiques, non reconnues comme telles. Distinguer des parcours et des pratiques, permettant à la fois de reconnaître des personnes derrière ces pratiques et de mieux cerner les problématiques qui s‟y lient, sociologiques, politiques, psychologiques, voilà ce qui devait émerger de la terminologie choisie. De cette manière, nous évitons aussi l‟amalgame qui s‟opère généralement sur le facteur pauvreté, ne permettant plus de reconnaître le sujet, figé derrière un statut de victime. Le travail se focalisait sur cette rencontre avec l‟Altérité, si bien que les termes se devaient d‟être reconnus, intégrés et usités par les femmes que nous allions rencontrer. Parler de « Pratiques Sexuelles Récompensées », de « femmes qui sortent », participait de nos objectifs et de la reconnaissance de l‟autre18

.

À travers la lecture des écrits littéraires arabophones (contemporains), des articles médiatiques, nous avons envisagé, en premier lieu, un regard social posé sur ces pratiques, les personnes aux prises avec ces situations, et des termes aussi utilisés par les uns et rejetés par les autres :

-Politique, la lutte féministe (victimisation social)

-Religieux,

-Médiatique,

-Scientifique,

Puis, le choix méthodologique s‟est porté sur la méthode inductive et compréhensive, l‟objectif étant au final de pouvoir envisager comment ces femmes s‟aménage une position tenable dans le recours aux PSR.

Aux vues des difficultés visées plus haut, il paraissait plus judicieux d‟interroger le groupe social et dans les lieux de contrôle, ou d‟affiliation, autour de la sexualité et des femmes. Dans un premier temps, nous souhaitions donc rencontrer des professionnels de l‟Ordre Public et du

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champ médico-social, puis dans un second les femmes ayant recours à des pratiques sexuelles récompensées.

La méthode était envisagée sous trois abords :

-L‟immersion et l‟observation participante, tant dans les associations, que dans les quartiers19, que dans des discothèques ou des bars de la nouvelle ville. L‟objectif étant de mieux cerner les pratiques et des typologies de liens en fonction des espaces, et enfin de créer des contacts. -L‟entretien de type semi-directif, avait le plus souvent un aspect formel (peut-être trop parfois ?).

-L‟étude de cas, l‟objectif étant ici de développer un éventail clinique, sur la position du sujet, ses modes de maintien d‟un équilibre psychique et psychologique d‟être à la fois sujet psychique et sujet du social, ce de manière plus élaborée grâce à l‟observation, les entretiens, rencontres avec les personnes qui constituent son rapport au monde (lien familial, lien social), pour une mise en rapport ensuite avec les autres vignettes cliniques. Il s‟agit là de la rencontre avec Nadia.

Le tout, ayant nécessité plus d‟une année de terrain, à observer, créer, consolider et parfois perdre des réseaux.

Grâce à la rencontre avec des professionnels, nous avons envisagé des représentations plus spécifiques à un champ disciplinaire, et liées à une pratique professionnelle auprès de cette population, assignant les personnes ayant une sexualité marginale ou infractionnelle à une place éthico-sociale, en réitérant certains systèmes de croyances culturels, sociaux, voire personnologiques.

De ces entretiens, des discriminations de pratiques pouvaient émerger, avec ces différentiels des systèmes de référence professionnels comme conscience de certains aménagements positionnels chez ces femmes.

Chez les Femmes, la mise en perspective d‟un rapport au culturel dans le lien familial, social et économique, sous-tendu la question de fond, à savoir : Quels aménagements défensifs sont mis

en place pour faire avec la culture d’appartenance ?

Dans une lecture qualitative, analysant la part subjective, initiant cette lecture, nous avons tenté de faire émerger dans le discours, ces modalités défensives, contribuant à dévier le coût psychique, lorsque la légitimation de l‟agir « déviant » ne peut s‟élaborer dans la dimension

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subjective. S‟agissant ici du chapitre concernant la dimension éthique du sujet20. Pourquoi ce découpage ? Au vue du contexte particulièrement « politisé », il apparaissait nécessaire d‟appréhender le sujet dans son double assujettissement (sujet psychique et sujet institué), à travers un axe politique (légitimations et variabilités) et un axe éthique (dans sa singularité historique et psychique).

Cette recherche ne pouvait se faire sans notre regard, d‟où l‟intérêt d‟une analyse de nos attentes dans ce travail, pour mieux relativiser les effets de celles-ci. A un niveau éthique, garder une certaine distance face aux discours politiques, concernant la prostitution (ce qui n‟était pas simple). Sans cesse garder à l‟esprit que nos idéaux, nos valeurs propres se trouvent déstabilisés dans cette confrontation, mais doivent se reconstruire, sans interférer, ni envahir la recherche.

Dès lors, nous pouvons dire que les derniers chapitres21 se centrent sur un sujet politique, participant à construire du social et un sujet éthique, aux prises avec une conscience ultime de la transgression promouvant le maintien dans une forme de répétition.

« Le véritable commencement de l’activité scientifique consiste plutôt dans la description des phénomènes, qui sont ensuite rassemblés, ordonnés et insérés dans des relations. » S. Freud22

Le travail scientifique se construit dans une première confrontation phénoménologique, dans l‟observation de l‟activité humaine aux prises avec des réseaux dimensionnels complexes, nécessitant un recueil global, puis centralisé sur des éléments d‟analyse du problème posé. C‟est ainsi que nous définissons notre démarche dans ce travail exploratoire, dans une mise en dialectique des phénomènes exposés et des théories déjà établies.

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Partie II. Chapitre 3.

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Partie II. Chapitre 2 et 3.

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PARTIE I. PERSPECTIVES Théoriques :