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ORGANISATION DES TRAVAUX DE TERRAIN ET ÉQUIPEMENT

Prospections géophysiques à la Chaume et aux Grandes Portes

ORGANISATION DES TRAVAUX DE TERRAIN ET ÉQUIPEMENT

La méthodologie des travaux de terrain ainsi que l’équipement sont les mêmes que lors des campagnes précédentes (Milo 2013, p. 45-46, ill. 2-4). Les prospec- tions ont été réalisées dans le cadre d’un réseau de polygones contigus et les surfaces prospectées ont été divisées en un carroyage de 30 m de côtés. Certains des carrés n’ont pu être mesurés dans leur totalité en raison de la présence d’obstacles sur le terrain. Un magnéto- mètre fluxgate Ferex de marque Foerster a été utilisé pour les prospections magnétiques. La magnétométrie a été effectuée avec un maillage de 0,25/0,5 m. Pour les prospections géoradar, un appareil RAMAC X3M avec antenne blindée de fréquence 500 MHz a été utilisé. Les mesures ont été effectuées avec un maillage de 0,10/0,25 m.

RÉSULTATS

Les Grandes Portes (ill. 2)

Secteur peu exploré jusqu’alors, les Grandes Portes semblent constituer l’une des portes principales de Bibracte, pendant sud de la Porte du Rebout (Bul- liot 1899, vol. 2, p. 237-238, 242 ; Schubert 1991). Des prospections géophysiques au détecteur à métaux

ont précédemment été effectuées le long du rem- part interne par A.  Hesse en  1990 dans l’optique de rechercher des clous de murus gallicus (Hesse 1999 ; ill. 2A).  Quelques fouilles archéologiques ont éga- lement été pratiquées en 1864 par X.  Garenne (Garenne 1867, p. 149-150), en 1865 par E. d’Aboville et J.-G.  Bulliot (Bulliot 1899, vol. 2, p. 230) et plus récemment par I. Ralston et O. Buchsenschutz en 1992 (Buchsenschutz, Ralston  1992  ; Boyer  et  al.  1995, p. 226-232), uniquement sous la forme de sondages exploratoires qui n’ont révélé qu’une occupation peu importante du secteur. Aussi, comme l’indique Fr. Schubert (Schubert 1999, p. 282), tel qu’il est conservé à cet endroit, le rempart ne présente à première vue aucune des marques typiques indiquant une porte ancienne. Pourtant, quelques indices témoignent de la présence d’une entrée en tenaille qui aurait été com- blée ultérieurement. Il s’agit notamment d’un chemin creux venant du plateau et qui atteint le rempart en passant entre deux buttes bien visibles topographique- ment et situées immédiatement en arrière de celui-ci (ill. 2B). Ces deux buttes semblent constituer les restes des ailes rentrantes d’une porte (B4) de type Zangentor (comme la Porte du Rebout). L’un des sondages effec- tués en 1992 sur le côté interne de la butte nord a par ailleurs permis de retrouver une fiche de type murus

gallicus qui confirmerait cette hypothèse. Une porte de

ce type, dont les ailes auraient été taillées au moment où le passage aurait été barré, aurait donc bien exis- té. Afin de conforter cette hypothèse, plusieurs types de prospections géophysiques ont été menés (voir également Quiquerez ce volume). Le couvert végétal extrêmement dense du secteur, bien que nettoyé avant la venue de l’équipe, a limité l’extension des pros- pections. Toutefois, 14 750 m2 ont pu être couverts en

prospection magnétique et 4 860 m2 en géoradar.

Prospection magnétique

La prospection magnétique s’est déroulée dans un secteur compris entre le rempart intérieur et sa porte sud-ouest supposée (B4), et une plateforme d’environ 5 500 m2 située à une centaine de mètres en amont, à

l’est (ill. 2C). Cette terrasse est délimitée à l’est par un relief qui s’apparente au front de taille d’une carrière d’extraction et à l’ouest par un talus bien marqué dont le dénivelé peut atteindre localement 3 à 4 m. Plusieurs anomalies, qui correspondent à des structures de dif- férentes origines, ont été détectées (ill. 2D). Sur les secteurs de prospection communs à ceux de l’équipe dijonnaise (Quiquerez ce volume, ill. 5), les résultats sont identiques. Nous retrouvons ainsi les deux anoma- lies linéaires fortement négatives également repérées sur les relevés Lidar et correspondant à deux voies. La première, au nord, d’orientation nord-est/sud-ouest,

778200 778300 778400 6647100 6647300 6647200 F 778200 778300 778400 6647100 6647300 6647200 6647100 6647300 6647200 E 750 B4 A8 Les Grandes Portes Roche aux Lezards 778200 778200 778300 778300 778400 778400 6647100 6647300 6647200 Piquets de carroyage Parement du rempart Voie Voies Éboulis du rempart ? ? D 750 B4 A8 Les Grandes Portes Roche aux Lezards 778200 778200 778300 778300 778400 778400 6647100 6647300 6647200 6647100 6647300 6647200 A 750 B4 A8 Les Grandes Portes Roche aux Lezards 778200 778300 778400 6647100 6647300 6647200 C 6647100 6647300 6647200 750 B4 A8 Les Grandes Portes Roche aux Lezards 778200 778300 778400 6647100 6647300 6647200 B Rempart intérieur B (talus du rempart et fossé) Rempart extérieur A (talus du rempart et fossé) Limite d'un système de terrasse

Chemin actuel

Interprétation géophysique

Prospection magnétique (int. 892) Prospection radar (int. 892) Prospection magnétique (int. 895)

Prospection pôle-pôle (int. 895) Profil électrique (int. 895)

Prospection géophysique antérieure Emprise de fouille moderne

0 50 100 m

2. Bibracte, Mont-Beuvray. Prospections géophysiques à la Chaume et aux Grandes Portes. Les Grandes Portes.

A : plan de localisation des sondages archéologiques et des différentes prospections géophysiques ; B : plan de localisation de la prospection magnétique ; C : magnétogramme (Foerster Ferex, -4/4 nT, noir/blanc) ; D : interprétation des anomalies identifiées ; E : Sky-View Factor (SVF) ; F : Modèle de Relief Local (LRM).

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RappoRtinteRmédiaiRe 2018 dupRogRammequadRiennaldeRecheRche 2017-2020 suRle mont BeuvRay 2 - lesgRoupesdetRavailetleuRsactions – caRtogRaphieetaRchéologieextensive

pRospectionsgéophysiquesàla chaumeetaux gRandes poRtes (inteRv. 892)

contourne la terrasse par le nord et est toujours active. Plus au sud, une seconde voie de même orientation, mais passant au travers de la terrasse, se prolonge en aval de celle-ci en direction des remparts et se rac- croche à la précédente au niveau de l’ouverture dans le rempart intérieur. De même, dans la partie sud-est du magnétogramme, nous retrouvons l’anomalie linéaire positive d’une dizaine de mètres de long, ainsi que celle formant un angle droit juste au-dessous. Ces deux anomalies sont difficilement interprétables.

Le magnétogramme révèle aussi de nombreuses anomalies ponctuelles fortement positives qui cor- respondent à des fiches métalliques concordant avec l’ancien carroyage de 10 x 10 m mis en place dans les années 1980 et implantées ici lors des sondages effec- tués en  1992. Dans la partie sud-ouest, le parement du rempart est clairement visible sous la forme d’une anomalie linéaire fortement positive. L’utilisation de la rhyolite fortement magnétique pour le construire, expliquerait que le rempart soit aussi bien visible. Sa largeur, variant entre 1,3 et 2,5 m, laisse même à pen- ser qu’il s’agit de l’éboulis du parement. Aucune trace du fossé en avant du rempart n’a été perçue. Une autre anomalie fortement positive, formant un ovoïde d’environ 10  x  8 m, se situe juste en arrière du rem- part interne, là où il est recoupé par le chemin actuel. Il pourrait s’agir des vestiges du parement interne, éboulé vers l’intérieur. Aussi, alors que le rempart est clairement interrompu sur les relevés Lidar là où passe le chemin actuel, le magnétogramme montre que le rempart est continu, donc bien conservé sous le chemin. De plus, bien que perturbée par les fiches métalliques de l’ancien carroyage, une anoma- lie linéaire négative est décelable dans la partie est du magnétogramme, entre les deux talus. Il s’agirait donc de la voie associée à la porte en tenailles, éga- lement mise en évidence par les profils électriques de l’équipe dijonnaise (Quiquerez ce volume, ill. 6,  7), qui passait originellement à cet endroit lorsque la porte était encore ouverte.

Prospection géoradar

La prospection géoradar s’est concentrée sur la terrasse artificielle, dans la partie orientale étudiée par magnétométrie (cf. supra, ill. 2A, 3). Dans la par- tie occidentale du radargramme, les anomalies de forte réflexion mises en évidence peuvent être inter- prétées de deux manières : il s’agit soit du rocher naturel qui descend lentement vers l’ouest, soit de la limite du système de terrasse artificielle, dont le bord semble être renforcé par un mur en pierre, au moins à un endroit. Dans les deux cas, la forme en entonnoir que prend cette anomalie et qui se rétrécit

vers l’est ne semble pas naturelle. Il pourrait ainsi s’agir d’un système d’entrée entouré des deux côtés par des terrasses aménagées artificiellement. Le trai- tement des données Lidar par le calcul des indices

Sky-View Factor (SVF) et Relief Local Moyen (LRM)

(ill. 2E, F ; Quiquerez ce volume, ill. 3) semble cor- roborer cette hypothèse. Sur la terrasse elle-même, la prospection géoradar n’a pas permis de détecter d’anomalies significatives pouvant être interprétées comme des vestiges archéologiques, bien que leur présence ne puisse être exclue, comme le suggère l’analyse des mesures géoélectriques de l’équipe d’A. Quiquerez.

La Chaume

Ce secteur n’a bénéficié que d’une prospection géoradar sur une superficie de 5 510 m2 focalisée

autour de la chapelle Saint-Martin, juste avant le décapage mécanique du sondage effectué cette année dans ce secteur (Goláňová ce volume). Le but de cette prospection était notamment de com- pléter les informations relatives aux fossés fouillés l’an dernier (Goláňová  2017) et dont le tracé avait été repéré lors de prospections géophysiques pré- cédemment menées (Milo, Goláňová  2012). De nombreuses anomalies ont été identifiées. Les plus importantes, qui apparaissent dès 20 cm et qui sont encore visibles jusqu’à environ 140 cm de profon- deur, correspondent aux constructions maçonnées du complexe  gallo-romain fouillé par J.-G.  Bulliot entre 1872 et 1875, qu’il qualifia de « temple » (sous l’actuelle chapelle Saint-Martin  ; Bulliot 1899, vol. 2, p. 175-203) et de «  forum  » (pour les bâtiments périphériques ; Bulliot 1899, vol. 1, p. 223-262). Pour la plupart, le radargramme recolle au plan du XIXe siècle, bien qu’il révèle une orientation différente

pour certaines pièces (ill. 4, 5, 6 ; référentiel). Le plan des boutiques occidentales reconnues par Bulliot est par ailleurs beaucoup plus régulier que sur le relevé du XIXe siècle et l’orientation des structures locali-

sées de l’autre côté de la voie bordant le complexe diffère également. Orientées nord-ouest/sud-est, elles recoupent la voie antique, ce qui laisse à penser qu’il s’agit de structures plus tardives que le complexe gallo-romain. L’orientation quasiment identique du bâtiment  [132], d’époque médiévale ou moderne, mis au jour plus au nord cette année (Goláňová ce volume), renforce cette hypothèse. Au nord-ouest, la localisation de la maçonnerie relevée au XIXe siècle

et identifiée comme un « mur de terrasse du camp de

Marc-Antoine » a également pu être précisée, le plan

du XIXe siècle s’avérant très approximatif sur ce point.

Un tronçon de cette maçonnerie [282] a également été mis au jour cette année dans le sondage.

Mur de terrasse ? Mur de terrasse ?

0 12,5 25 m

Réflexion

Faible Forte

3. Bibracte, Mont-Beuvray. Prospections géophysiques à la Chaume et aux Grandes Portes. Les Grandes Portes.

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RappoRtinteRmédiaiRe 2018 dupRogRammequadRiennaldeRecheRche 2017-2020 suRle mont BeuvRay 2 - lesgRoupesdetRavailetleuRsactions – caRtogRaphieetaRchéologieextensive

pRospectionsgéophysiquesàla chaumeetaux gRandes poRtes (inteRv. 892)

0 15 30 m

Réflexion

Faible Forte

4. Bibracte, Mont-Beuvray. Prospections géophysiques à la Chaume et aux Grandes Portes. La Chaume. Coupes horizontales au géoradar de 10 cm à une profondeur d’environ 0,7 – 1,1 m. Emprise de la prospection localisée sur l’ill. 1.

0 5 10 m

5. Bibracte, Mont-Beuvray. Prospections géophysiques à la Chaume et aux Grandes Portes. La Chaume. Plan du « forum »

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pRospectionsgéophysiquesàla chaumeetaux gRandes poRtes (inteRv. 892)

Voie

Chapelle St-Martin

«Mur de terrasse du camp de Marc Antoine»

Fossé [108] Maçonnerie [282] Bâtiment [132] Sondage 2018

Structure mise au jour en 2018

Structure post-antique relevée au XIXe siècle structure antique relevée au XIXe siècle

Chemin récent Fossé

Structure archéologique probable Emprise de la prospection géoradar

Fouilles Géoradar 0 10 20 m 778900 778875 778850 778825 778800 778900 778875 778850 778825 778800 6647350 6647325 6647300 6647275 6647250 6647350 6647325 6647300 6647275 6647250 Fossé [108] Sondage 2017 Fossé [135] Fossé [135] ?

6. Bibracte, Mont-Beuvray. Prospections géophysiques à la Chaume et aux Grandes Portes. La Chaume. Plan des structures archéologiques connues avec l’interprétation des anomalies identifiées par géoradar.

Dans la partie nord-ouest du secteur prospecté, on a détecté une autre partie du grand fossé [108], dont le tracé avait été identifié les années précédentes et en partie fouillé l’an dernier et cette année, ainsi qu’un tronçon probable du plus petit fossé [135]. Les autres anomalies repérées ne peuvent pas être interprétées plus précisément, si ce n’est au sud-ouest et au nord- est de la zone étudiée, où les grandes traces de forte réflexion qui apparaissent dans les coupes les plus profondes (principalement entre 160 et 280 cm de pro- fondeur ; ill. 7 ; voir référentiel) et qui semblent être de formation homogène, pourraient correspondre à des éléments de terrassement.

CONCLUSION

Aux Grandes Portes, les résultats des deux types de prospection qui ont été menées sont comparables

et indiquent une occupation relativement peu impor- tante dans cette partie de l’oppidum. Elles corroborent les résultats des sondages des années 1990, notamment sur la terrasse, où ils avaient livré des traces manifestes d’extraction de la pierre et des matériaux superficiels, sans association remarquable avec du mobilier. Les éléments repérés aux abords de la porte B4 sont quant à eux beaucoup plus conséquents, avec notamment la mise en évidence de la voie antique passant entre les deux buttes qui correspondent aux ailes rentrantes de la porte avant qu’elle ne soit bloquée. Il est certain qu’une fouille dans ce secteur apporterait de nouveaux éléments significatifs sur l’évolution des défenses de l’oppidum. À la Chaume, la prospection géoradar a permis de repérer la continuité des fossés reconnus ces dernières années. Elle a aussi permis de préciser le plan du complexe antique mis au jour par J.-G. Bulliot au xixe siècle et d’apporter des nouveautés sur la data-

tion de certaines structures qui semblent plus récentes que le plan originel ne le laissait penser.

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0 15 30 m

Réflexion

Faible Forte

7. Bibracte, Mont-Beuvray. Prospections géophysiques à la Chaume et aux Grandes Portes. La Chaume. Coupes horizontales au géoradar de 10 cm à une profondeur d’environ 1,7 – 1,9 m (en haut) et 2,2 – 2,4 m (en bas).

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