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Toutcommence àprendreforme auseuil des années70. Avecunplan deformation initiale portéàdeux ans,lesécolesnormales départementalessevoient alorsconfir¬

mées dans leurs missions de formation professionnelle. Bientôt, dès 1972, va se mettre en place la formation continuée des instituteurs en exercice. C'est dans ce contextequeles Conseilsgénéraux vont, les unsaprèslesautres, doterleurs écoles normalesde circuits fermés de télévision(CFTV),équipementsmodernesqui leurper¬

mettront de remplir leurs nouvellesmissions. S'appuyantsurlesexpériences étran¬

gères connuesetsurfout surcellesqui,enFrance(2),ontdéjà commencéd'explorer quelques voies dans ce domaine, notammentau Centre audiovisuel de l'ENS de Saint-Cloud, l'Inspection générale de la formationdesmaîtres (3)organise, à cette époque, à l'adressedesdirecteursd'écolenormale, toute une séried'actionsdesen¬

sibilisation. Elles commencenten 1970 : c'estlevéritable coup d'envoi de l'opéra¬

tion CFTV. Ces actions n'ont pas seulement pour objetd'informer sur les niveaux d'équipement et leurs fonctionnalités respectives, sur l'éventail des perspectives de

2 - L'école normale académique deLille, équipéedès 1964, aconstitué le premier terrain d'expérimentation.

3 - CitonssurtoutA.BiancherietR.Duma.

JI

RECHERCHEet FORMATION 23 - 1996 GérardMOTTET

premièrefois, unevéritablemiseen réseaudesécoles normales.Chaqueétablisse¬

ment,dèslorsqu'ilvenaitde s'équiper,avaitlapossibilité departiciper,parlebiais deseséquipes de formateurs,àcetteconfrontationpermanentedespratiques defor¬

mation. Au sein même de chaque établissement, la concertation et le travail en équipedevenaient, avec la vidéo, unenécessité; sansdouted'abordenraison de la complexitétechnique des installations, maistrèsvite surgissent des raisonsd'ordre méthodologique: lesprojets d'utilisationdelavidéo, dès lorsqu'ils visaient às'in¬

sérerdans lesprogrammes deformation,impliquaient le concoursde multiplescom¬

pétences,cellesliéesauxdifférentes disciplines,cellesdesmaîtres-formateursautant quecellesdes professeursd'école normale. Enfin, aufuretà mesurequese déve¬

loppaientles expériences devidéo-formation, s'estaccentuéeau niveaumême des

«formés»cettedimension detravailengroupe:lavidéon'apportaitpasseulement uneperspective d'individualisation de la formation, elleouvraitaussi pour les sta¬

giaires une possibilité nouvelled'échange etdemiseen commun deleurs propres essais pédagogiques, dans leur préparation et dans leur analyse. Il n'est guère aujourd'hui de pratiquesde vidéo-formation qui n'impliquentdans leurs principes méthodologiques cettemédiationdugroupepar laquelle s'opère, dansleprolonge¬

ment mêmedel'objectivationqueprovoquelavidéo,la socialisation del'acted'en¬

seigner.

OPERATION

CFTV

Toutcommence àprendreforme auseuil des années70. Avecunplan deformation initiale portéàdeux ans,lesécolesnormales départementalessevoient alorsconfir¬

mées dans leurs missions de formation professionnelle. Bientôt, dès 1972, va se mettre en place la formation continuée des instituteurs en exercice. C'est dans ce contextequeles Conseilsgénéraux vont, les unsaprèslesautres, doterleurs écoles normalesde circuits fermés de télévision(CFTV),équipementsmodernesqui leurper¬

mettront de remplir leurs nouvellesmissions. S'appuyantsurlesexpériences étran¬

gères connuesetsurfout surcellesqui,enFrance(2),ontdéjà commencéd'explorer quelques voies dans ce domaine, notammentau Centre audiovisuel de l'ENS de Saint-Cloud, l'Inspection générale de la formationdesmaîtres (3)organise, à cette époque, à l'adressedesdirecteursd'écolenormale, toute une séried'actionsdesen¬

sibilisation. Elles commencenten 1970 : c'estlevéritable coup d'envoi de l'opéra¬

tion CFTV. Ces actions n'ont pas seulement pour objetd'informer sur les niveaux d'équipement et leurs fonctionnalités respectives, sur l'éventail des perspectives de

2 - L'école normale académique deLille, équipéedès 1964, aconstitué le premier terrain d'expérimentation.

3 - CitonssurtoutA.BiancherietR.Duma.

JI

RECHERCHEet FORMATION 23 - 1996

Duvoiraufaire

formationqueceséquipementsrendentpossibles,ellesvisentdéjààdévelopperun esprit decoopération etd'échangeentrelesétablissements(4).

Menéesdemanière concertéeparl'équipeduCAVdeSaint-Cloud(5) et ladivision

« Formation » de l'OFRATEME, ces actions de formation, conduites durant une semaineauseinmêmedesétablissementsnouvellementéquipés,sepoursuivrontjus¬

qu'en 1978. D'abord centrées sur la prise en mainsdu matériel, sur les règles à suivre en matière de préparation des enregistrements, elles vont progressivement évoluer vers une formation méthodologiquedes formateurs, lesencourageant à se lancer dansdespratiquesd'analyse desituations,d'aufoscopie, de micro-enseigne¬

ment, pratiques qui précisémentétaientencoursd'essai etde développement dans lesautresécolesnormales,déjà engagéesdans le processus.

Cartelleestbien la caractéristique majeurede cetteopération : engagerlesécoles normales dansunprocessuscollectif de recherche-innovation visantà renouvelerles pratiques deformationdes maîtres.Àl'origine,point de doctrine, outrèspeu: tout serésumeencettenotedu 10janvier1972 intitulée«Recommandationrelativeaux circuits fermésde télévisionpour la formationdesmaîtres ».Etpuis,événementcapi¬

tal, estcréé le 27mars 1973, pararrêté ministériel, un « Comité de coordination chargé d'assurer le développement des actions entreprises pour la formation des professeurs d'école normale aux emploisdes techniques modernes d'éducation et notammentdestechniquesaudiovisuelles»,instancequ'on prendrabien vite l'habi¬

tude d'appeler « Comité de coordinationdes écoles normales ». Prévu à l'origine pourmettre ensynergie, au bénéficedelaformationdesmaîtres,lesdifférentescom¬

pétences institutionnelles existantesen matière de« techniques modernes d'éduca¬

tion »,toutenlesarticulantàl'Administration centrale,sonprincipaleffef^erad^ins^

*2

taurer entreleséquipesde formateursunvéritableréseaucoopératifleurpermettant d'échangerenpermanenceleurs expériencesetleursréflexions. Sont assignéesà ce Comitélesmissions suivantes:

«

-

organiseruneliaison régulière avec

-

etente

-

lesécolesnormales équipéesen matériels audiovisuels, les centés régionaux de recherche et de documentation pédagogiques, lesécolesnormalesen instanced'équipement;

-

normaliserleséquipementsausein desacadémies;

-

organiserledéveloppementdesactionsdeformation,la confrontation permanente des recherches en formation etdesexpérimentations (notammentl'organisation de la circulation de documents écrits etaudiovisuels), la constitution et ladiffusion de dossierspédagogiques et techniques et utilisantles différents médias. »

4 - Voir,par exemple, l'allocution del'InspecteurgénéralA. Biancheri du4juin 1970 aux directeursd'école normale, ainsi que la notedu10 janvier1972(BOEN).Le 18de la revue Média(décembre 1970) rend compte,sousletitre« Un messageauxmessagers »,dupre¬

mier stage de sensibilisationdesdirecteursd'écolenormale.

5 - M. Fauquet, S. Strasfogel,C. Schlienger,J.J. Renault et S. Lacroix. Cf. Média, n" 48, sept.73.

RECHERCHEetFORMATION N° 23 - 1996 Duvoiraufaire

formationqueceséquipementsrendentpossibles,ellesvisentdéjààdévelopperun esprit decoopération etd'échangeentrelesétablissements(4).

Menéesdemanière concertéeparl'équipeduCAVdeSaint-Cloud(5) et ladivision

« Formation » de l'OFRATEME, ces actions de formation, conduites durant une semaineauseinmêmedesétablissementsnouvellementéquipés,sepoursuivrontjus¬

qu'en 1978. D'abord centrées sur la prise en mainsdu matériel, sur les règles à suivre en matière de préparation des enregistrements, elles vont progressivement évoluer vers une formation méthodologiquedes formateurs, lesencourageant à se lancer dansdespratiquesd'analyse desituations,d'aufoscopie, de micro-enseigne¬

ment, pratiques qui précisémentétaientencoursd'essai etde développement dans lesautresécolesnormales,déjà engagéesdans le processus.

Cartelleestbien la caractéristique majeurede cetteopération : engagerlesécoles normales dansunprocessuscollectif de recherche-innovation visantà renouvelerles pratiques deformationdes maîtres.Àl'origine,point de doctrine, outrèspeu: tout serésumeencettenotedu 10janvier1972 intitulée«Recommandationrelativeaux circuits fermésde télévisionpour la formationdesmaîtres ».Etpuis,événementcapi¬

tal, estcréé le 27mars 1973, pararrêté ministériel, un « Comité de coordination chargé d'assurer le développement des actions entreprises pour la formation des professeurs d'école normale aux emploisdes techniques modernes d'éducation et notammentdestechniquesaudiovisuelles»,instancequ'on prendrabien vite l'habi¬

tude d'appeler « Comité de coordinationdes écoles normales ». Prévu à l'origine pourmettre ensynergie, au bénéficedelaformationdesmaîtres,lesdifférentescom¬

pétences institutionnelles existantesen matière de« techniques modernes d'éduca¬

tion »,toutenlesarticulantàl'Administration centrale,sonprincipaleffef^erad^ins^

*2

taurer entreleséquipesde formateursunvéritableréseaucoopératifleurpermettant d'échangerenpermanenceleurs expériencesetleursréflexions. Sont assignéesà ce Comitélesmissions suivantes:

«

-

organiseruneliaison régulière avec

-

etente

-

lesécolesnormales équipéesen matériels audiovisuels, les centés régionaux de recherche et de documentation pédagogiques, lesécolesnormalesen instanced'équipement;

-

normaliserleséquipementsausein desacadémies;

-

organiserledéveloppementdesactionsdeformation,la confrontation permanente des recherches en formation etdesexpérimentations (notammentl'organisation de la circulation de documents écrits etaudiovisuels), la constitution et ladiffusion de dossierspédagogiques et techniques et utilisantles différents médias. »

4 - Voir,par exemple, l'allocution del'InspecteurgénéralA. Biancheri du4juin 1970 aux directeursd'école normale, ainsi que la notedu10 janvier1972(BOEN).Le 18de la revue Média(décembre 1970) rend compte,sousletitre« Un messageauxmessagers »,dupre¬

mier stage de sensibilisationdesdirecteursd'écolenormale.

5 - M. Fauquet, S. Strasfogel,C. Schlienger,J.J. Renault et S. Lacroix. Cf. Média, n" 48, sept.73.

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GérardMOTTET

Grâceàcettemise en réseau« l'opérationCFTV»allaitprendre touteson ampleur.

Dès1973,aveclamise enplace de séminaires nationauxpuisrégionaux (6),les uti¬

lisateursdescircuits fermésde télévision, paraissaient s'orienter dans trois directions sensiblementdifférentes. Si lavidéo permet l'observation de situations et decom¬

portements, elle permetaussi deproduireetd'exploiter desdocumentsà intention didactique, elle peut être égalementun moyen d'expression ef decommunication.

Ainsi, comme le meten évidence letout premier bulletin de liaison Formation des maîtes(7),à côté de lavidéo-formation,entantqueméthodologied'analyse àvisée référentielieou reflexive,s'annoncentd'autresvoiesd'utilisation de la vidéo. Lesfor¬

mateurs l'utilisentaussi pour produire, ou faireproduire par leurs stagiaires, des documents didactiques; ils sontencore peu nombreuxcar les moyensde montage sont relativement rudimentaires et les copies souvent de qualité médiocre : cette direction conduira plus tard à l'opération « Réseau », opération qui visera, entre autres, à échanger entre lesétablissements lesdocuments produits,à recueillir les réactionsdesutilisateurs etainsi,pareffeten retour,àréfléchirsurlesconditionsde transmissibilitéd'undocument. Uneautrevoie d'utilisation delavidéo, encoretimide dans lesdébuts, inciterales formateurs à réintégrer dans leurapprochelesmoyens audiovisuels dits« légers» :il s'agitd'abord,pardespratiques sémiotiques d'ana¬

lyseetd'expression, deformerlesstagiairesà l'audiovisuel, ils'agira plustard de lesamener à introduiredansleurs classesleslangagesdel'image;ceseral'opéra¬

tion« Média-langages »,à laquelle serontassociées plusieurscentaines deforma¬

teurs.L'opérationCFTVauraétéainsiun déclencheur. En 1980, quand«Média-for¬

mation » prend la relèvedu Comitéde coordination, on ne parleplus de circuits fermés de télévision, mais de technologie éducative, decentres de ressources, de multimédia, devidéo-formation ou encore de laboratoires d'essais pédagogiques.

Lesmatérielsontévolué,lespratiquessesont diversifiées,etlescadresinstitutionnels

ont de nouveau changé.

"

De toutes les pratiques initiales d'utilisation de lavidéo, ce sontincontestablement celles que l'on rassemble aujourd'hui sous leterme générique de « vidéo-forma¬

tion»quis'avéreront à la foislesplusoriginalesmaisaussilesplusdépendantesdes fluctuations institutionnelles. Lavidéo-formationelle-même enferme unepluralité de pratiques, pour ne pasdire de« méthodologies », quionttoutes en commun de retentirsur le processus même de formation. Ainsi,dès le second bulletin de liai¬

son (8),les pratiques devidéo-formation seconfrontentauseindetrois

probléma-6 - Ces séminairespermettent, selonlesmotsd'A.Biancheri, « derécupérer,demettre en formeetd'éluciderl'énorme expériencequis'approfondit ainsiaujourd'hui ausein des écoles normales»,«Circuitsfermésdetélévisionet écoles normales », in LesamisdeSèvres, n°3, septembre 1975.

7 - S.MaireetG.Mottet, Formationdesmaîtres, 1,Ofrateme, 1975.VoiraussiMédia, 75-76,décembre 1975.

8 - S.MaireetG.Mottet, Formationdesmaîtres,2,Ofrateme, 1976.

RECHERCHEet FORMATION N° 23 - 1996 GérardMOTTET

Grâceàcettemise en réseau« l'opérationCFTV»allaitprendre touteson ampleur.

Dès1973,aveclamise enplace de séminaires nationauxpuisrégionaux (6),les uti¬

lisateursdescircuits fermésde télévision, paraissaient s'orienter dans trois directions sensiblementdifférentes. Si lavidéo permet l'observation de situations et decom¬

portements, elle permetaussi deproduireetd'exploiter desdocumentsà intention didactique, elle peut être égalementun moyen d'expression ef decommunication.

Ainsi, comme le meten évidence letout premier bulletin de liaison Formation des maîtes(7),à côté de lavidéo-formation,entantqueméthodologied'analyse àvisée référentielieou reflexive,s'annoncentd'autresvoiesd'utilisation de la vidéo. Lesfor¬

mateurs l'utilisentaussi pour produire, ou faireproduire par leurs stagiaires, des documents didactiques; ils sontencore peu nombreuxcar les moyensde montage sont relativement rudimentaires et les copies souvent de qualité médiocre : cette direction conduira plus tard à l'opération « Réseau », opération qui visera, entre autres, à échanger entre lesétablissements lesdocuments produits,à recueillir les réactionsdesutilisateurs etainsi,pareffeten retour,àréfléchirsurlesconditionsde transmissibilitéd'undocument. Uneautrevoie d'utilisation delavidéo, encoretimide dans lesdébuts, inciterales formateurs à réintégrer dans leurapprochelesmoyens audiovisuels dits« légers» :il s'agitd'abord,pardespratiques sémiotiques d'ana¬

lyseetd'expression, deformerlesstagiairesà l'audiovisuel, ils'agira plustard de lesamener à introduiredansleurs classesleslangagesdel'image;ceseral'opéra¬

tion« Média-langages »,à laquelle serontassociées plusieurscentaines deforma¬

teurs.L'opérationCFTVauraétéainsiun déclencheur. En 1980, quand«Média-for¬

mation » prend la relèvedu Comitéde coordination, on ne parleplus de circuits fermés de télévision, mais de technologie éducative, decentres de ressources, de multimédia, devidéo-formation ou encore de laboratoires d'essais pédagogiques.

Lesmatérielsontévolué,lespratiquessesont diversifiées,etlescadresinstitutionnels

ont de nouveau changé.

"

De toutes les pratiques initiales d'utilisation de lavidéo, ce sontincontestablement celles que l'on rassemble aujourd'hui sous leterme générique de « vidéo-forma¬

tion»quis'avéreront à la foislesplusoriginalesmaisaussilesplusdépendantesdes fluctuations institutionnelles. Lavidéo-formationelle-même enferme unepluralité de pratiques, pour ne pasdire de« méthodologies », quionttoutes en commun de retentirsur le processus même de formation. Ainsi,dès le second bulletin de liai¬

son (8),les pratiques devidéo-formation seconfrontentauseindetrois

probléma-6 - Ces séminairespermettent, selonlesmotsd'A.Biancheri, « derécupérer,demettre en formeetd'éluciderl'énorme expériencequis'approfondit ainsiaujourd'hui ausein des écoles normales»,«Circuitsfermésdetélévisionet écoles normales », in LesamisdeSèvres, n°3, septembre 1975.

7 - S.MaireetG.Mottet, Formationdesmaîtres, 1,Ofrateme, 1975.VoiraussiMédia, 75-76,décembre 1975.

8 - S.MaireetG.Mottet, Formationdesmaîtres,2,Ofrateme, 1976.

RECHERCHEet FORMATION N° 23 - 1996

Duvoiraufaire

tiquesdifférentes : l'analysedesbesoinsenformation,l'analyse dessituationsédu¬

catives, le micro-enseignement. Déjà,commeonlevoit,ce nesont plus des utilisa¬

tionsdelavidéo quel'onprésente et discute, maisdes«dispositifs deformation », c'est-à-diredes systèmesoù viennent s'articulerdemanièredynamique, autour de l'instrumentvidéo, toutunensemblede médiationsetde supports detravail.

Delavidéo«passe-muraille»quipermetdevoirsansêtrevu jusqu'à la vidéo-pro¬

cessusqui s'incorporeau faire commeune capacitéd'analyse et de régulation, le trajet delavidéo-formation dansles écoles normales fut sinueux etparseméd'em¬

bûches. Lechemin parcouru donneaujourd'hui toutson sensàce défiqu'A. Bian¬

cheridécelaitdéjà danslespremierspasdelavidéo-formation: «Mais quisaurait circonscrireà l'avancelesprocessusd'inventionquipeuvents'instaureraujourd'hui dansles écolesnormales? » (9)