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Figure 1 : les rythmes circadiens chez un sujet humain synchronisé et en libre-cours. ... 73 Figure 2 : distribution temporelle de plusieurs fonctions biologiques chez l’Homme. ... 74 Figure 3 : courbe de réponse de phase (chez les individus diurnes) à un stimulus lumineux appliqué à

différents moments du cycle circadien chez des individus placés en obscurité constante, et donc en libre cours. ... 75 Figure 4 : régulation circadienne et homéostatique du sommeil. ... 81 Figure 5 : enregistrement des oscillations circadiennes de la bioluminescence de 25 fibroblastes en

culture primaire pendant 11 jours. ... 81 Figure 6 : régulation circadienne et homéostasique des performances cognitives, mnésiques et

psychomotrices. ... 85 Figure 7 : régulation circadienne de l’humeur. ... 86 Figure 8 : approche multifactorielle des impacts des horaires de travail de nuit ou postés sur la santé

des salariés et la qualité du travail... 95 Figure 9 : approche multifactorielle et systémique des effets des horaires de travail (adapté de

Quéinnec, Teiger et de Terssac, 2008). ... 96 Figure 10 : logigramme d'évaluation des éléments de preuve relatifs à un effet donné dans les études

chez l’Homme. ... 128 Figure 11 : schéma de classement des effets sanitaires. ... 130 Figure 12 : diagramme d’évaluation du niveau de preuve concernant les troubles du sommeil. ... 138 Figure 13 : classement de l’effet du travail de nuit sur la qualité de sommeil. ... 139 Figure 14 évaluation du niveau de preuve concernant l’effet du travail de nuit sur la réduction du

temps de sommeil total. ... 143 Figure 15 : évaluation de l’effet du travail de nuit sur la réduction du temps de sommeil total. ... 144 Figure 16: évaluation des études épidémiologiques portant sur la somnolence. ... 155 Figure 17 : classement de l’effet du travail de nuit sur la somnolence... 156 Figure 18 : évaluation des études épidémiologiques portant sur les performances cognitives. ... 157 Figure 19 : classement de l’effet du travail de nuit sur les performances cognitives. ... 159 Figure 20 : évaluation des études épidémiologiques portant sur la santé psychique. ... 171 Figure 21 : classement de l’effet du travail de nuit sur la santé psychique. ... 172 Figure 22 : travail posté alternant de nuit et risque d’obésité et de prise de poids dans l’étude Nurses’

Health Study II. ... 176 Figure 23 : courbes survie de Kaplan – Meier pour l’intolérance au glucose parmi les travailleurs

postés selon le mode de rotation (Oyama et al., 2012). ... 177 Figure 24 : incidence cumulée du syndrome métabolique chez des travailleurs postés de nuit et de

jour (d’après Pietroiusti et al., 2010). ... 182 Figure 25 : études épidémiologiques, portant sur la relation entre le travail posté et les maladies

cardiovasculaires chez l’homme, revues par Bøggild et Knuttson (1999). ... 189 Figure 26 : modélisation du travail posté avec horaire de nuit chez les animaux (d’après Opperhuizen

et al. (2015). ... 198 Figure 27 : évaluation des études épidémiologiques portant sur l’obésité et/ou le surpoids. ... 201

Figure 28 : classement de l’effet du travail posté incluant la nuit sur l’obésité. ... 202 Figure 29 : évaluation des études épidémiologiques portant sur le diabète ou la glycorégulation ... 203 Figure 30 : classement de l’effet du travail posté incluant la nuit sur le diabète de type 2 ou les troubles

de la glycorégulation. ... 204 Figure 31 : évaluation des études épidémiologiques portant sur les dyslipidémies. ... 205 Figure 32: classement de l’effet du travail posté incluant la nuit sur les dyslipidémies. ... 206 Figure 33 : évaluation des études épidémiologiques portant sur le syndrome métabolique. ... 207 Figure 34 : classement de l’effet du travail posté incluant la nuit sur le syndrome métabolique. ... 208 Figure 35 : modèle des mécanismes physiopathologiques impliqués dans les maladies

cardiovasculaires liées au travail posté avec horaires de nuit (d’après Puttonen et al., 2010). . 209 Figure 36 : évaluation des études épidémiologiques portant sur les maladies coronariennes (ischémie

coronaire et infarctus du myocarde). ... 211 Figure 37 : classement de l’effet du travail posté incluant la nuit sur les maladies coronariennes

(ischémie coronaire et infarctus du myocarde). ... 212 Figure 38 : évaluation des études épidémiologiques portant sur l’hypertension artérielle. ... 213 Figure 39 : classement de l’effet du travail posté incluant la nuit sur l’hypertension artérielle. ... 214 Figure 40 : évaluation des études épidémiologiques portant sur l’accident vasculaire cérébral

ischémique. ... 215 Figure 41 : classement de l’effet du travail de nuit sur l’accident vasculaire cérébral ischémique. .... 216 Figure 42 : figure schématisant les 5 hypothèses de mécanismes de cancérogénèse (Levi et al.,

2010). ... 240 Figure 43 : hypothèses de mécanismes de cancérogénèse (Fritschi et al., 2011). ... 241 Figure 44 : diagramme d’évaluation des études épidémiologiques pour le cancer du sein. ... 242 Figure 45 : diagramme d’évaluation des études épidémiologiques pour le cancer de la prostate. .... 243 Figure 46 : diagramme d’évaluation des études épidémiologiques pour les autres cancers. ... 244 Figure 47 : diagramme d’évaluation de l’effet du travail de nuit sur le risque de cancer. ... 245 Figure 48 : taux d'incidence relatif des blessures accidentelles au travail selon la fréquence du travail

de nuit, l’âge des salariés, la gravité (en nombre de jours d’arrêt), Eurostat. ... 253 Figure 49 : taux d'incidence relatif des blessures accidentelles au travail selon la gravité (en nombre

de jours d’arrêt), la fréquence du travail posté et l’âge des salariés (taux moyen UE = 100 pour chaque gravité). ... 254

Glossaire

Incidence : l’incidence est le nombre de nouveaux cas de maladie, rapporté à la taille de la population, survenant pendant une période donnée, généralement une année.

Intervalle de confiance (IC) : l'approche estimative de l'analyse statistique vise à quantifier l'effet étudié et le degré de certitude de cette estimation grâce à un intervalle de confiance (IC), qui identifie généralement une fourchette de valeurs situées de part et d'autre de l'estimation. Un IC 95 % représente l’intervalle dans lequel on peut être sûr à 95 % de trouver la valeur réelle.

Si l'intervalle de confiance inclut 1, on considère qu'il n'y a pas de différence significative entre les deux groupes étudiés.

Prévalence : la prévalence est le rapport entre le nombre de personnes atteintes d'une maladie à un moment donné et l'effectif de la population.

Risque relatif (RR) : le risque relatif correspond à la proportion de malades chez les personnes exposées au facteur de risque étudié rapportée à la proportion de malades chez les personnes non exposées.

Le risque relatif permet d'exprimer l'association entre une exposition (à un traitement ou un facteur de risque) et une maladie : c'est le facteur par lequel le risque de maladie est multiplié en présence de l'exposition.

Odds ratio (OR) : l'odds ratio (abrégé « OR »), également appelé rapport de cotes en français, est l’une des façons de quantifier l’association entre une propriété A (par exemple : existence ou non d’une maladie) et une propriété B (par exemple existence ou non d’une exposition) déterminées chez l’ensemble des individus d’une population. L’odds ratio correspond au rapport entre la cote « présence de A / absence de A » parmi les individus exposés à B et la cote « présence de A / absence de A » parmi les individus non exposés à B. Il s’interprète dans certaines circonstances de la même façon qu’un Risque Relatif.

Principaux types d’études épidémiologiques :

les études écologiques examinent l’association entre exposition et maladie sur des données agrégées par unité géographique ou temporelle ;

les études transversales examinent à un instant donné, pour chaque individu de l’étude, son exposition et la présence de maladie ;

les études cas-témoins consistent à comparer la fréquence de l’exposition antérieure d’un échantillon de cas (malades) à celle d’un échantillon témoin de personnes non atteintes de cette maladie, qui doit être représentatif de la population dont sont issus les cas ;

les études de cohorte consistent à comparer la survenue de maladies entre des individus non exposés et des individus exposés à l’exposition d’intérêt, en suivant dans le temps l’apparition des maladies.

1 Contexte, objet et modalités de traitement de

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