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Dans ce travail de recensement de la condition de la femme dans l’antiquité, l’ancillarité et la domestication de la femme est partout présente hormis dans la société égyptienne et à moindre égard dans la société scandinave. La société égyptienne et sa conception paritaire dans la famille et la communauté a, nous l’avons exprimé plus haut, certainement influencé la détermination dans la théogonie trilitère d’Osiris/Isis/Horus. Les sociétés méditerranéennes et orientales ont eu, et certaines ont toujours, considéré la femme

72 Cf. Tableau n°7 : Différence analogique des analyses par opposition et contraste, et épicènie.

comme subalterne et irresponsable. Cependant si ce principe est récurrent, il n’est pas universel, tant selon les époques, les pays et les climats sociaux apparaissent des différences notoires, que le chapitre précité recense et analyse.

Nous aborderons ce sujet en perspective. Autrement dit, le rapport entre le féminin et la conjugalité sera l’occasion d’interroger le modèle que nous développons au fil des pages depuis l’entame de cette thèse.

- Le féminin dans le conjugal à l’antiquité

Evoquer la conjugalité dans son effectuation ne peut s’analyser qu’en questionnant le principe de l’intimité de l’alliance ; et celui de la responsabilité de la filiation réalisé dans la parentalité. Le recensement choisi des modalités contractuelles du mariage qui va suivre n’est donc qu’un support à l’inactualité de la dialectique, dans l’illustration de l’énoncé de modèles politiques à l’égard du féminin ; comme le recensement de théogonies antiques n’était qu’un support pour illustrer, dans le déplacement anachronique, la synchronie actuelle des études sur la détermination du genre.

Si l’alliance et la filiation peuvent être interrogées, analysée, dans le lien, il est nécessaire d’en analyser le pendant ou le versus : la séparation ; l’épistémologie en ce sens nous enjoint à l’apodictique du double et de la dialectique.

La question du mariage est indissociable du rang social. Comme nous le verrons plus loin en ce qui concerne l’analyse de la criminalité, la réciprocité du mariage et du métier (de l’alliance et du service) amène à des répercussions telles que : l’impact du rang ou de la classe sociale sur l’exercice du métier et inversement.

Le témoignage d’Hérodote73 que les femmes en Égypte faisaient leurs affaires dehors, tandis que les hommes travaillaient à l’intérieur des maisons, concernait le bas peuple (la plèbe pour reprendre la terminologie latine).

Quant à celles de classe élevée, Plutarque nous rapporte qu’elles ne sortaient presque jamais. Les hommes leur ayant fait une coutume (un code) de décence de paraître les pieds nus en public, elles n’avaient garde, ajoute l’historien grec, de s’y montrer trop souvent. La crainte de se meurtrir les pieds, ou de blesser l’opinion en portant souliers, les retenait chez elles. Plus tard, Hakem Bamr Allah, troisième calife de la dynastie des Fatimites (fin du X° siècle de l’ère chrétienne), convertit cette coutume en loi positive et défendit, sous peine de mort, aux cordonniers, de faire aucune chaussure pour les femmes.

Cette loi que nos contemporains pourraient nommer scélérate s’est perpétuée dans le Ktab El Mescheïed (le livre sublime), sorte de Coran particulier aux Druzes, dont la religion eut pour auteur ce même Calife.

Où nous voyons comme le démontre Marie Andrée Bertrand que : « la criminalité (en son versant de criminalisation, incrimination, imputation) est relative dans le positivisme de son principe, et que le recensement comptable des faits n’a pas de valeur scientifique sans mise en rapport avec l’effet qui le constitue. »

Selon l’analyse que l’on pose, nous pouvons conclure à l’inégalité sociale. (La femme affidée à l’homme) ou une défense coutumière contre une parité civile instituée. C’est cette dernière hypothèse que nous retiendrons. La ruse que suggérait la jalousie maritale n’indique-t-elle pas

l’impuissance de la force devant un droit (un code) reconnu.

Permettons- nous derechef ici un intermède (un aparté) pour questionner la différence épistémologique qu’instaure Gaston Bachelard entre le fait et l’effet d’une part, et la notion de Stratagème dans la théorie de la médiation de Jean Gagnepain d’autre part :

-Du Stratagème

En ce qui concerne le rapport fait Fait/effet, par simplicité de synthèse et ce malgré l’inexactitude de celle-ci, nous dirions suite à l’analyse de la dialectique de la non coïncidence structurale et de la correspondance conjoncturale : l’effet rend compte de l’effectuation conjoncturale de l’efficience structurale ; le fait est relatif au contexte dans lequel l’observateur donne sens à l’effet. Autrement dit il n’y a pas de fait en soi, pas plus que d’évènement d’ailleurs, que de beurre à la cantine.

En ce qui concerne le Stratagème ou non fait (dans le sens ou l’acte posé ne coïncide pas à l’intention de l’ébranler) nous énonçons à la suite de Jean Gagnepain qu’il relève d’un recoupement de l’incidence axiologique sur le plan ergologique, opération et fabrication comprises. Ce de manière analogue au Code – recoupement de l’incidence sociologique sur le plan de l’axiologie par légalisation de la légitimité.74 De même que de façon analogue nous avons fait état de la modélisation du Transfert et de l’Hégétique dans le Tableau No 12 :

Recoupement de l’incidence axiologique sur la sociologie.

Jean Gagnepain met en évidence dans sa théorisation de la clinique anthropobiologique, l’analogie de recoupement de l’incidence axiologique entre le discours – non dit, le stratagème- non fait et le transfert- non être. Dans le discours, la psychanalyse l’a démontré

et éprouvé, l’intention du discours ne coïncide pas avec l’énoncé du dit.75; l’intention du stratagème ne coïncide pas avec le fait produit ; dans l’orientation du transfert, les imagos et fantômes parentaux et conjugaux projetés sur le thérapeute ne coïncident pas avec la Personne établie du thérapeute.

De même Jean Gagnepain démontre cette fois l’incidence sociologique dans le recoupement des autres facultés dans la langue, le style et le code : comme appropriation et légalisation du langage, de la production, du droit – prescription et prohibition comprises.

Où nous voyons de nouveau que si l’humain dans ses réalisations tente de faire correspondre ses effectuations, la réalité se charge de lui renvoyer la non coïncidence initiale, comme le faisait remarquer Lacan en traduisant la Verweigerung : Refus initial.

Où, par ailleurs nous voyons que les théogonies ou les constitutions antiques sont autant révélatrices que les écrits cliniques contemporains.

Le stratagème est beaucoup utilisé en dans le cadre de l’accompagnement psychiatrique et dans certaines psychothérapies, notamment l’ergothérapie ou l’art thérapie, dans le sens où le moyen du travail effectué n’est pas la fin et le mobile de l’opération, de l’intention thérapeutique. Il est utilisé dans la guidance projective, où le thérapeute induit le cadre de son questionnement clinique dans la projection de son offre au patient. Ce qui lui importe et qui guidera la cure, n’est pas la pertinence de la réponse à la question, mais la manière dont le patient se saisira de celle-ci. Par ailleurs le thérapeute transformera et réajustera sa position, sa langue et son discours en fonction du retour ou du non retour de la part du patient à sa prescription. Prescription qui peut être active, et pas seulement la prescription médicamenteuse ; ou passive, comme dans l’écoute psychanalytique orthodoxe. L’énoncé « Dites tout ce qui vous passes par la tête, parlez sans entrave, laissez venir vos associations d’idées », non seulement est une prescription, mais en plus une sacrée prescription, dans le sens de dévoiler l’interdit.

Nous nous sommes par le passé commis dans un article ayant pour titre : « La reprise d’expertises : un stratagème thérapeutique. »

Ici la ruse est plus un stratagème induit par le fait que le code apparaisse comme une contrainte et amène au contournement de l’usage – des conventions sociétales en vigueur. Nous postulons là encore, que : à un problème rencontré dans l’effectuation d’un principe l’humain recours à un autre principe. Proposition proche, mais cependant différente, de

75 cf. La dissociation lacanienne de l’énonciation et de l’énoncé etc. Voir particulièrement l’analyse du

l’énoncé des mécanismes de défense usité par certains psychanalystes. Ici le principe de légalité étant contraignant, la Personne, en sa définition épicène femme-homme, recourt au principe de légitimité. Autrement dit, elle s’autorise (légitime ses actes, sa position, sa doxa etc.) pour compenser un usage restrictif et contraignant. Ce recours à la légitimité n’est pas le seul recours, et la déhiscence n’est pas inhérente à l’axiologie, nous le développerons plus à même dans le dernier chapitre. Ainsi peut-on postuler dans le délire schizophrénique, une déhiscence glossologique qui peut se remarquer par l’hermétisme des énoncés langagiers. L’effet tuyau de poêle de l’enchaînement conceptuel, l’association de jeu de mots à l’excès et à l’envi, montre que la capacité de langage, non seulement n’est pas atteinte, mais tourne à plein régime. Le fait que l’interlocuteur nomme son observation du manifeste langagier débridé « Trouble du Langage », montre qu’il se focalise sur un aspect symptomatique qu’il induit (du particulier au général) dans son inclusion clinique. S’il pose théoriquement dans son inclusion la bi-facialité analytique de l’inclusion ; induction (du particulier au général) et déduction (du général au particulier), autrement dit s’il met en rapport et en contraste son analyse : alors il perçoit que le trouble n’est pas de la locution mais de l’interlocution. Autrement dit penser la rationalité diffractée lui permet de ne pas confondre trouble de la langue et trouble du langage. Que le trouble de l’échange se constate dans le contenu langagier de l’échange est une autre histoire. De même, le trouble de l’échange peut se constater dans la violence de l’échange à partir de la déhiscence axiologique. Last but not least, de manière analogue pouvons nous questionner le trouble de la liberté (autocontrôle) et constater celui-ci dans son propre plan (déhiscence émotionnelle – pulsionnelle) ou dans un autre plan : par exemple l’injure langagière, l’activité- agi débridée.

Nous avons voulu commencer par l’exemple d’un stratagème masculin (égyptien), mais le stratagème est androgyne ou plutôt épicène bien entendu, commun à la femme et l’homme, bien que la malignité diabolique, autrement nommée perfidie soit mise en exergue à l’encontre du féminin dans le recensement du contournement, dans notre savoir endormi. Nous verrons plus loin, que la figure célèbre d’Aspasie, égérie de Périclès et interlocutrice de Socrate, contournait aussi les contraintes du code hellène en vigueur, qui restreignait la place de la femme à demeure (Oïkos) en sa version domestique. Est-ce d’ailleurs ne faire qu’un jeu de mots que d’énoncer que celle-ci fût considérée demeurée, quand le caractère insolite (insolitus – hors des usages et de la coutume) l’a enfermée pendant des siècles dans la fantaisie et l’irresponsabilité ? Pourtant qu’elle participait au Munus- service public, mais sans munéra- rémunération, ou sans reconnaissance politique.

- Contournement/Détournement ; Abrogation/Destruction.

Par ailleurs nous différencierons le contournement syncratique du détournement pathologique, notamment pervers, tel qu’en parle Claude Balier. De même que nous distinguerons l’abrogation ou résiliation de la loi (précédemment évoquée) de la destruction pathologique notamment psychotique. Cependant, le détournement et le contournement peuvent être inhérents au principe de légalité (Loi, Personne, Sujet) comme au principe de légitimité (Norme, Droit, Projet). Et pour clore ce raisonnement, nous faisons l’hypothèse, en fonction de notre expérience clinique psychiatrique et carcérale, que contournement/abrogation et détournement/destruction ont le même fonctionnement dialectique ; ce qui les différencie est l’équilibre ou la carence/détérioration structurale et son métabolisme. Autrement dit, détournement et destruction ne sont pas en soi pathologiques, mais effet d’une pathologie. Cela invite le clinicien à retravailler ardemment les notions surdéterminées de Manipulation, d’Emprise, de minimisation et de banalisation, pour ne citer que les plus usitées actuellement.

La question de la proximité dans le constat entre le pathologique et le critique, notamment dans la situation critique et extraordinaire (au sens de hors du commun ; d’insolite monstrueux parfois) peut s’exprimer dans la déclinaison du contournement/détournement dans l’agi du trafic.

- Du Trafic

L’image de la vénalité de la femme profiteuse et intéressée ne date pas d’aujourd’hui. De nouveau, l’analyse du modus opérandi, du constat naïf de la matérialité des faits peut recenser le mode opératoire féminin, comme on enfile des perles ou comme Blanche Neige comptait ses nains. Si l’on tient compte du modus vivendi, du rapport de la contrainte et de l’inventivité légitime de l’autonomie, le contournement n’est pas un fait mais un effet. Analysons d’autres situations de servitudes en perspective et nous verrons les efforts d’invention de l’échange. Primo Lévi76 nous en donne une parfaite illustration dans le témoignage de trafic dans la situation abominable des camps de concentrations et des camps de la mort.

Où l’on en déduit que le contournement n’est pas la seule propriété des démunis, que leur indigence ou précarité soit économique ou politique. Peut-être peut-on évoquer un contournement par action dans le cas du démuni, femme, précaire, exclu ; et un

contournement par réaction pour les nantis. Au désir de transformation synallactique* de l’un répond la conservation anallactique* de l’autre. Dans le premier cas peut-on supposer la compensation d’un manque à être par un désir de gain ; ici le gain de statut et d’autonomie. Dans le second cas peut-on supposer la compensation d’une crainte de la perte du fait d’une position sociale sans réciprocité. (*Allactique de allos : autre.)

Quand Marie Andrée Bertrand énonce que : « la criminalité (en son versant de criminalisation, incrimination, imputation) est relative dans le positivisme de son principe, et que le recensement comptable des faits n’a pas de valeur scientifique sans mise en rapport avec l’effet qui le constitue. » nous abondons dans son sens. Il y a, nous semble t’il, un gain heuristique à dynamiser la mise en rapport, par ailleurs chère au Tao du chemin faisant inhérent à la pensée chinoise, et la mise en modélisation inhérente à la pensée grecque. Autre façon de parler de la déconstruction (coupe) et de la redistribution provisoire (lien) mises en question dans la clinique épistémologique.

C’est pourquoi la dissociation, induite par la clinique, entre l’incidence du principe et ses recoupements d’autres principes qui alors deviennent contenus de l’effet de l’incidence est épistémologiquement à prendre en compte, pour en rendre compte théoriquement, tout en en tenant compte dans le transfert psychanalytique ou le programme cognitiviste. Ceci étant dit, les deux plans qui ressortent le plus sont celui de la société et du contrat et celui de la morale et de l’interdit, autrement dit du sacré et du secret. Comme le fait remarquer Jean Gagnepain la morale et le sacré n’ont rien de religieux en soi, qu’on les retrouve dans l’anthropo théologie tient au fait qu’il n’y ait de théologie qui ne se disjoncte de l’anthropologie, c'est-à- dire ce qui est incident à l’humain. En s’en prenant à la morale taxée de religieuse nous ne faisons qu’inverser, comme Freud le faisait en ce qui concerne son acception de la Libido, le problème.

- Contracté/Consacré

La différence entre le Contracté et le Consacré, entre le Consentement et le Sacrement, entre Déontologie et Chrématologie (cf. Tableau no 4 : Non coïncidence structurale et correspondance conjoncturale), paraît évidente et l’on pourrait croire que les cliniciens la questionnent. A lire les écrits actuels dans les domaines de la clinique zététique (neurosciences par exemple), la clinique thérapeutique (psychanalyse, cognitivisme, systémie), les cliniques juridiques (justice pénale, criminologie), force est de conclure qu’il n’en semble rien.

La confusion entre la prohibition et la définition de l’inceste, relevée par Jean Gagnepain, dans l’anthropologie structurale (Claude Lévi-Strauss), entre l’appétit et la sexualité dans la libido freudienne et les avatars du Désir, de la Jouissance et de la Loi lacaniennes ; les distorsions cognitives et la notion de fantaisies sexuelles etc. … montrent les confusions réifiées à l’envide l’analyse sociologique du contrat et de l’analyse axiologique de l’interdit, du sacré ; sacré habilité dans, et approprié tendancieusement par la religion, ou du moins les hiérarchies cléricales.

Rappelons à ce propos qu’au latin Libido correspond le grec Thumos- appétit et épithumia- Désir. Le désir hellène ne se réduisait pas au désir sexuel pas plus que l’appétit à la nourriture ; au demeurant pas plus qu’aujourd’hui, quant on voit comment certains courent sans vergogne après les honneurs, le pouvoir, l’argent ou le risque vital. Platon dans son opposition de l’éristikos- irascible et de l’ épithumia- concupiscible, comme le rappelle Jean Gagnepain, présageait la dichotomie freudienne Eros- pulsion de vie et Thanatos- pulsion de mort, sans induire une inclusion spécifique au sexuel.

Nous nous permettons de rappeler les notions de déduction/induction en ce qui concerne le particulier et le général dans l’inclusion.77

Nous ne venons pas dire que l’analyse freudienne est fausse ou abusive. Nous postulons qu’au regard de son génie et de son cadre clinique, Freud a pris pour point d’attaque l’hystérie. L’hystérie marque un défaut de dialectique axiologique compensé par une déhiscence sociologique, Personne et Sujet compris et par là sexualité et génitalité. Freud a probablement conçu le désir en fonction d’un des contenus particuliers d’effectuation chrématique qui turlupine l’hystérique : à savoir le sexe. Encore que se défrayant des méfaits des dogmes religieux et de leurs morales afférentes qui promouvaient le désir de génitalité par la reproduction et abhorraient la jouissance sexuelle, et en promouvant l’inverse, il n’a fait que renverser le problème. Encore une fois nous n’avons pas la prétention de décrier son génie, nous avons la prétention de postuler un constat que la clinique anthropobiologique et la diffraction rationnelle qui en découle, nous permet. Nous sommes plus critiques envers nombre de ses successeurs qui ne rendent pas compte de son génie heuristique, en ne continuant pas une remise en cause et une remise en question qu’il n’a cessé d’exercer à son propre endroit et celui de sa théorie. Le dogme pensons nous est moins heuristique que la polémique, le débat fut-il éristique.

- De la domination masculine, Kyrios et Dominus

La souveraineté de l’homme était un acquis, voire un préjugé, si bien établi dans la pensée générale, commune et philosophique y compris ce que l’on nomme aujourd’hui les sciences, que Platon et Aristote, à l’encontre des Cyrénaïques cités par Michel Onfray78, les deux génies les plus indépendants, sans contredit, de l’antiquité, n’avaient pu se garantir. Ils jugèrent la femme parce qu’ils voyaient, et en vertu d’une longue habitude de servitude et d’obéissance, ils prirent pour faculté et vice d’origine ce qui n’était qu’accidentel.

En définissant la femme « comme être incomplet » il n’a pas plus montré de vraie philosophie qu’en définissant « l’homme animal sans plumes » comme le faisait remarquer ironiquement Jules Bayssac ou comme le fait remarquer Jean Gagnepain « l’homme ne meurt pas de noyade mais de n’avoir pas de branchies ».

Nous percevons là une formule identique, bien qu’elle ne fut pas même au mariage égyptien dans la dynastie des Lacides (Ptolémées) au demeurant d’origine grecque.

Nous notons à nouveau l’effet de la réciprocité de la filiation et de l’alliance, dans la mesure