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ENSEIGNÉE PAR M J J OUFFROY OUFFROY » »

ENSEIGNÉEPARM. JJOUFFROYOUFFROY » »

(Revue encyclopédique,

(Revue encyclopédique, juin et juillet-août 1833, 81 pages)juin et juillet-août 1833, 81 pages)

Le début de cet article, reproduit dans l’article « Éclectisme » de l’

Le début de cet article, reproduit dans l’article « Éclectisme » de l’E.N. E.N. en 1838, rappelle en 1838, rappelle que l’origine de la philosophie éclectique, devenue quasi offi cielle depuis 1830, est à que l’origine de la philosophie éclectique, devenue quasi offi cielle depuis 1830, est à chercher à l’École normale qui, sous l’Empire, s’employa à interrompre la tradition philo- chercher à l’École normale qui, sous l’Empire, s’employa à interrompre la tradition philo- sophique du

sophique du XVIIIXVIIIe siècle. La méthode en est une fragmentation des connaissances pa- siècle. La méthode en est une fragmentation des connaissances pa-

rallèle à la division du travail dans l’industrie. Les génies du

rallèle à la division du travail dans l’industrie. Les génies du XVIIIXVIIIe siècle ont été « consi- siècle ont été « consi-

gnés à la porte », et la philosophie a été remplacée par l’idéologie autrement appelée gnés à la porte », et la philosophie a été remplacée par l’idéologie autrement appelée psychologie. Royer-Collard importa

psychologie. Royer-Collard importa Reid et les Écossais ; Reid et les Écossais ; Cousin importa Cousin importa Hegel et les Hegel et les Allemands. Cette pensée dominée par l’analyse sert de philosophie au Doctrinarisme. Allemands. Cette pensée dominée par l’analyse sert de philosophie au Doctrinarisme. L’analyse tue la vie

L’analyse tue la vie

M. Jouffroy, formé à cette école, enseigne que l’âme peut s’observer elle-même. Mais M. Jouffroy, formé à cette école, enseigne que l’âme peut s’observer elle-même. Mais rejeter la communion de l’âme avec le corps, c’est en faire un cadavre, « attendu qu’il rejeter la communion de l’âme avec le corps, c’est en faire un cadavre, « attendu qu’il n’y a pas d’esprit vivant sans corps ».

Il a porté partout sa terrible analyse ; c’est qu’il déteste, c’est Il a porté partout sa terrible analyse ; c’est qu’il déteste, c’est qu’il méprise, c’est qu’il abhorre la synthèse. Il y a des esprits qui qu’il méprise, c’est qu’il abhorre la synthèse. Il y a des esprits qui voient plus ou moins confusément, mais qui voient tout ensemble ; voient plus ou moins confusément, mais qui voient tout ensemble ; il y en a qui ne peuvent voir que des parties : ceux-ci sont plus il y en a qui ne peuvent voir que des parties : ceux-ci sont plus facilement clairs, mais ils deviennent parfaitement faux lorsqu’ils facilement clairs, mais ils deviennent parfaitement faux lorsqu’ils prennent pour

prennent pour vivant vivant le fragment de cadavre qu’ils ont détaché le fragment de cadavre qu’ils ont détaché avec leur scalpel ; car

avec leur scalpel ; car la vie est dans le tout ensemble, la vie est dans le tout ensemble, et elle n’est et elle n’est que là. [...]

que là. [...]

Quand on sépare ainsi toutes choses, et qu’on donne à ses Quand on sépare ainsi toutes choses, et qu’on donne à ses abstractions une valeur absolue, on se met en dehors de

abstractions une valeur absolue, on se met en dehors de la science la science de la vie

de la vie ; car la vie, je le répète, est dans le tout ensemble, et car la vie, je le répète, est dans le tout ensemble, et elle n’est que là. Elle est dans l’action continuelle de Dieu sur ses elle n’est que là. Elle est dans l’action continuelle de Dieu sur ses créatures, elle est dans l’action continuelle de l’humanité collective créatures, elle est dans l’action continuelle de l’humanité collective sur chaque homme, elle est dans l’union de l’esprit et du corps, sur chaque homme, elle est dans l’union de l’esprit et du corps, elle est dans l’union du corps et du monde extérieur mais elle n’est elle est dans l’union du corps et du monde extérieur mais elle n’est dans aucune des abstractions que notre esprit peut faire ; elle n’est dans aucune des abstractions que notre esprit peut faire ; elle n’est pas dans le monde sans Dieu, elle n’est pas un homme isolé de pas dans le monde sans Dieu, elle n’est pas un homme isolé de l’humanité, elle n’est pas dans l’esprit sans le corps, elle n’est pas l’humanité, elle n’est pas dans l’esprit sans le corps, elle n’est pas dans le corps sans le monde extérieur. « Les parties du monde, dit dans le corps sans le monde extérieur. « Les parties du monde, dit Pascal, ont toutes un tel rapport et un tel enchaînement l’une avec Pascal, ont toutes un tel rapport et un tel enchaînement l’une avec l’autre, que je crois impossible de connaître l’une sans l’autre et l’autre, que je crois impossible de connaître l’une sans l’autre et sans le tout. »

sans le tout. »

Les tendances de la nature humaine ne sont pas invariables Les tendances de la nature humaine ne sont pas invariables Le premier article s’achève sur l’espoir que « la noblesse de cœur » de M. Jouffroy Le premier article s’achève sur l’espoir que « la noblesse de cœur » de M. Jouffroy l’amènera à renoncer à l’éclectisme et à rejoindre la cause du peuple et l’idée de la l’amènera à renoncer à l’éclectisme et à rejoindre la cause du peuple et l’idée de la perfectibilité. Le second article est consacré à la réfutation des

perfectibilité. Le second article est consacré à la réfutation des Mélanges de Mélanges de Jouffroy. Jouffroy. Leroux lui reproche surtout d’ignorer la loi du progrès ou de ne la concevoir que de façon Leroux lui reproche surtout d’ignorer la loi du progrès ou de ne la concevoir que de façon mécanique dans les idées, en croyant que la nature est immuable. Cette erreur n’est mécanique dans les idées, en croyant que la nature est immuable. Cette erreur n’est plus permise comme au temps de Pascal où « la géologie et plusieurs autres sciences plus permise comme au temps de Pascal où « la géologie et plusieurs autres sciences naturelles n’existaient pas ». Leroux affi rme même que l’évolution biologique affecte naturelles n’existaient pas ». Leroux affi rme même que l’évolution biologique affecte l’l’Homo sapiensHomo sapiens.

Il y a plus : il croit et il affirme positivement que l’univers Il y a plus : il croit et il affirme positivement que l’univers n’est pas sujet à une loi de changement et de progrès. « L’univers, n’est pas sujet à une loi de changement et de progrès. « L’univers, dit-il, est une machine qui tourne toujours et n’avance jamais. » dit-il, est une machine qui tourne toujours et n’avance jamais. » C’est un cercle éternel et immuable. Ainsi il ne sent aucunement C’est un cercle éternel et immuable. Ainsi il ne sent aucunement la vie dans l’univers. Il ne voit pas que la vie

la vie dans l’univers. Il ne voit pas que la vie crée crée continuellement continuellement sur la terre et dans les cieux. Tous les changements que la science sur la terre et dans les cieux. Tous les changements que la science a découverts et découvre à chaque instant dans les anciens êtres a découverts et découvre à chaque instant dans les anciens êtres

du globe, dans les êtres actuels qui le peuplent, et jusque dans la du globe, dans les êtres actuels qui le peuplent, et jusque dans la matière des astres, ne lui font pas même soupçonner dans l’univers matière des astres, ne lui font pas même soupçonner dans l’univers une vie continuellement créatrice ; il ne voit dans le monde hors une vie continuellement créatrice ; il ne voit dans le monde hors de l’humanité qu’une éternelle immobilité, et le constant retour des de l’humanité qu’une éternelle immobilité, et le constant retour des mêmes phénomènes. C’est encore une manière d’abstraire profon- mêmes phénomènes. C’est encore une manière d’abstraire profon- dément l’humanité du monde où elle existe.

dément l’humanité du monde où elle existe.

Mais tout en opposant à l’immobilité de l’univers la muabilité Mais tout en opposant à l’immobilité de l’univers la muabilité de l’humanité, M.

de l’humanité, M. Jouffroy n’admet pas réellement que l’humanité Jouffroy n’admet pas réellement que l’humanité change et progresse. Nous l’avons déjà dit, il réduit uniquement la change et progresse. Nous l’avons déjà dit, il réduit uniquement la mobilité du genre humain à un certain développement des idées mobilité du genre humain à un certain développement des idées de l’humanité ; et il affirme positivement que « les tendances de de l’humanité ; et il affirme positivement que « les tendances de la nature humaine restent éternellement les mêmes ». C’est nier la nature humaine restent éternellement les mêmes ». C’est nier implicitement le progrès de l’humanité.

implicitement le progrès de l’humanité.

« DE L’INDIVIDUALISME ETDUSOCIALISME »

« DE L’INDIVIDUALISME ETDUSOCIALISME »

(Revue encyclopédique,

(Revue encyclopédique, printemps 1834, printemps 1834, daté d’octobre-décembre 1833, 24 pages) daté d’octobre-décembre 1833, 24 pages)

Cet article commence par un cri d’indignation contre les massacres de la rue Transno- Cet article commence par un cri d’indignation contre les massacres de la rue Transno- nain, le 13 avril 1834 (à la suite de l’insurrection des canuts lyonnais du 9 avril et des nain, le 13 avril 1834 (à la suite de l’insurrection des canuts lyonnais du 9 avril et des mesures antirépublicaines prises par

mesures antirépublicaines prises par Thiers, ministre de l’Intérieur, un soulèvement se Thiers, ministre de l’Intérieur, un soulèvement se produisit à Paris. Il fut brutalement réprimé et les habitants d’une maison furent tous produisit à Paris. Il fut brutalement réprimé et les habitants d’une maison furent tous massacrés) : il est donc postérieur à cet événement, bien qu’il fi gure dans la livraison massacrés) : il est donc postérieur à cet événement, bien qu’il fi gure dans la livraison (antidatée) d’octobre-décembre 1833 de la

(antidatée) d’octobre-décembre 1833 de la R.E. R.E. Aboutissement des réfl exions de Le-Aboutissement des réfl exions de Le- roux depuis sa rupture avec

roux depuis sa rupture avec Enfantin en novembre 1831, ce texte fondamental servait Enfantin en novembre 1831, ce texte fondamental servait de présentation au « Cours d’économie politique » que Jules Leroux avait prononcé à de présentation au « Cours d’économie politique » que Jules Leroux avait prononcé à l’Athénée de Marseille.

l’Athénée de Marseille.

L’Inquisition, dit Leroux, tuait jadis au nom de la foi on le fait désormais par avidité. C’est L’Inquisition, dit Leroux, tuait jadis au nom de la foi on le fait désormais par avidité. C’est le règne des marchands. « Le palais de la Bourse a remplacé Notre-Dame. » Pourtant, le règne des marchands. « Le palais de la Bourse a remplacé Notre-Dame. » Pourtant, dans la seconde partie, l’auteur entreprend de réhabiliter l’appétit des biens matériels. dans la seconde partie, l’auteur entreprend de réhabiliter l’appétit des biens matériels. Que leur devise soit encore la nôtre !

Que leur devise soit encore la nôtre !

C’est sa dignité, c’est sa qualité d’homme, c’est sa liberté, c’est C’est sa dignité, c’est sa qualité d’homme, c’est sa liberté, c’est son indépendance, que le prolétaire revendique, lorsqu’il aspire à son indépendance, que le prolétaire revendique, lorsqu’il aspire à posséder des biens matériels ; car il sait que sans ces biens il n’est posséder des biens matériels ; car il sait que sans ces biens il n’est qu’un inférieur, et qu’engagé, comme il l’est, dans les travaux du qu’un inférieur, et qu’engagé, comme il l’est, dans les travaux du corps, il participe plus de la condition des animaux domestiques corps, il participe plus de la condition des animaux domestiques que de celle de l’homme.

C’est le même sentiment qui pousse ceux qui possèdent ces C’est le même sentiment qui pousse ceux qui possèdent ces biens à les conserver. Certes nous ne sommes pas les apologis- biens à les conserver. Certes nous ne sommes pas les apologis- tes des classes riches, nous sommes avec le peuple, et nous se- tes des classes riches, nous sommes avec le peuple, et nous se- rons toujours pour les pauvres contre les privilèges des riches ; rons toujours pour les pauvres contre les privilèges des riches ; mais nous savons que, quels que soient la mollesse et l’égoïsme mais nous savons que, quels que soient la mollesse et l’égoïsme qui règnent dans ces classes, les hommes absolument corrompus qui règnent dans ces classes, les hommes absolument corrompus et mauvais sont l’exception. Dans la lutte actuelle des prolétaires et mauvais sont l’exception. Dans la lutte actuelle des prolétaires contre la bourgeoisie, c’est-à-dire de ceux qui ne possèdent pas les contre la bourgeoisie, c’est-à-dire de ceux qui ne possèdent pas les instruments de travail contre ceux qui les possèdent, la bourgeoisie instruments de travail contre ceux qui les possèdent, la bourgeoisie représente même, au premier aspect, plus évidemment que les pro- représente même, au premier aspect, plus évidemment que les pro- létaires, le sentiment de l’individualité et de la liberté. Les riches létaires, le sentiment de l’individualité et de la liberté. Les riches possèdent cette liberté, et ils la défendent, tandis que les prolétaires possèdent cette liberté, et ils la défendent, tandis que les prolétaires sont si malheureux et en sont tellement privés qu’un tyran qui leur sont si malheureux et en sont tellement privés qu’un tyran qui leur promettrait de les affranchir en les enrichissant pourrait peut-être, promettrait de les affranchir en les enrichissant pourrait peut-être, dans leur ignorance, en faire quelque temps ses esclaves.

dans leur ignorance, en faire quelque temps ses esclaves.

Certes, les philosophes qui ne veulent tenir pour bonne, dans Certes, les philosophes qui ne veulent tenir pour bonne, dans la nature humaine, que la face du dévouement, doivent trouver la nature humaine, que la face du dévouement, doivent trouver notre époque déplorable à tous égards. Car le dévouement pur, où notre époque déplorable à tous égards. Car le dévouement pur, où le trouveraient-ils ? Dans leur cœur sans doute, et dans le cœur le trouveraient-ils ? Dans leur cœur sans doute, et dans le cœur d’un certain nombre d’hommes généreux qui prennent en main la d’un certain nombre d’hommes généreux qui prennent en main la cause du peuple. […]

cause du peuple. […]

Mais la société, vue en masse, et sous son aspect le plus vrai, Mais la société, vue en masse, et sous son aspect le plus vrai, ne répondrait pas à leur attente. Le dévouement tel qu’ils le sanc- ne répondrait pas à leur attente. Le dévouement tel qu’ils le sanc- tifient, ils ne le trouveraient ni dans les classes riches ni dans les tifient, ils ne le trouveraient ni dans les classes riches ni dans les classes pauvres, ni dans la bourgeoisie ni dans les prolétaires. classes pauvres, ni dans la bourgeoisie ni dans les prolétaires. Les uns veulent conserver, les autres veulent acquérir : où est le Les uns veulent conserver, les autres veulent acquérir : où est le dévouement ?

dévouement ?

C’est que le dévouement pur, quelque noble qu’il soit, n’est C’est que le dévouement pur, quelque noble qu’il soit, n’est qu’une passion particulière, ou, si l’on veut, une vertu particulière qu’une passion particulière, ou, si l’on veut, une vertu particulière de la nature humaine, mais n’est pas la nature humaine tout entiè- de la nature humaine, mais n’est pas la nature humaine tout entiè- re. Un homme qui, dans toute sa vie, serait placé au point de vue re. Un homme qui, dans toute sa vie, serait placé au point de vue du dévouement, serait un être insensé ; et une société d’hommes du dévouement, serait un être insensé ; et une société d’hommes dont la règle unique serait le dévouement, et qui regarderait com- dont la règle unique serait le dévouement, et qui regarderait com- me mauvais tout acte individuel, serait une absurde société. Toute me mauvais tout acte individuel, serait une absurde société. Toute théorie donc qui voudrait se fonder sur le dévouement comme sur théorie donc qui voudrait se fonder sur le dévouement comme sur la formule la plus générale de la société, et qui déduirait ensuite de la formule la plus générale de la société, et qui déduirait ensuite de cette formule des lois et des institutions qu’elle aurait l’espérance cette formule des lois et des institutions qu’elle aurait l’espérance d’appliquer de force a la société, serait fausse et dangereuse. d’appliquer de force a la société, serait fausse et dangereuse.

Mais au contraire, un principe général qui représente et for- Mais au contraire, un principe général qui représente et for- mule la nature humaine complète, c’est le principe de liberté et mule la nature humaine complète, c’est le principe de liberté et d’individualité.

Nos pères avaient mis sur leur drapeau :

Nos pères avaient mis sur leur drapeau : Liberté, Egalité, Fra-Liberté, Egalité, Fra- ternité

ternité. Que leur devise soit encore la nôtre.. Que leur devise soit encore la nôtre.

Deux pistolets chargés l’un contre l’autre Deux pistolets chargés l’un contre l’autre

Ces pages résonnent comme un manifeste. Elles défi nissent une fois pour toutes les Ces pages résonnent comme un manifeste. Elles défi nissent une fois pour toutes les termes fondamentaux de la pensée politique de Leroux. On y voit que sa plus grande termes fondamentaux de la pensée politique de Leroux. On y voit que sa plus grande originalité est d’avoir identifi é deux formes de corruption du lien social et montré l’ambi- originalité est d’avoir identifi é deux formes de corruption du lien social et montré l’ambi- valence propre à chacun des « deux pôles de la science sociale ».

valence propre à chacun des « deux pôles de la science sociale ». Rappelons que les saint-simoniens ont forgé le mot

Rappelons que les saint-simoniens ont forgé le mot individualisme individualisme en 1825 pour fustiger en 1825 pour fustiger le désordre né de la Réforme et de la philosophie. Il arrivait au contraire aux libéraux de le désordre né de la Réforme et de la philosophie. Il arrivait au contraire aux libéraux de se réclamer de ce terme pour l’opposer à la théocratie.

se réclamer de ce terme pour l’opposer à la théocratie. Liberté

Liberté et et Société Société sont les deux pôles égaux de la science so-sont les deux pôles égaux de la science so- ciale. Ne dites pas que la société n’est que le résultat, l’ensem- ciale. Ne dites pas que la société n’est que le résultat, l’ensem- ble, l’agrégation des individus ; car vous arriveriez à ce que nous ble, l’agrégation des individus ; car vous arriveriez à ce que nous avons aujourd’hui, un épouvantable pêle-mêle avec la misère du avons aujourd’hui, un épouvantable pêle-mêle avec la misère du plus grand nombre. Théoriquement vous auriez pis encore ; car, plus grand nombre. Théoriquement vous auriez pis encore ; car, la société n’étant plus, l’individualité de chacun n’a pas de limite,