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la différenciation des situations fém inines et masculines révèle peut-être davantage l'existence d'une

DE UXIÈME APPROCHE DES EXMATRICULATIONS

4/ la différenciation des situations fém inines et masculines révèle peut-être davantage l'existence d'une

contrainte de société, plus sociale que psychologique. Celle-ci semble favoriser pour les hommes l'ascension dans une carrière professionnelle, ascension que la formation en SE vient coni01ter pour certains; elle paraît freiner les femmes dans la

construction d'une vie professionnel le. De plus, chez les femmes, le choix professionnel paraît plus investi sur le plan affectif et dans la quête de savoir, mais ne s'appuie jamais dans nos exemples sur le développement d'une promotion au sens de la carrière professionnelle. Les hommes paraissent bénéficier de parcours professionnels plus simples et trouvent une assise confortable dans le poste qu'ils occupent surtout s'ils font l'objet d'une promotion, reléguant du même coup la quête de savoirs de type universitaires au second plan.

Cette recherche s'est construite à partir de notre intérêt pour la formation des femmes et notre intention d'avancer dans la compréhension du fait qu'elles ne mènent pas leur études, universitaires ou non, aussi loin que les hommes. Plus encore dans le cas de la formation universitaire, la participation des femmes diminue au fur et à mesure de l'avancement dans les niveaux de formation, même dans les domaines les plus prisés par elles (lettres et sciences humaines).

Nous nous sommes rendu compte de plusieurs handicaps:

1 / l'ampleur du sujet et la nécessité de le délimiter;

2/ la nouveauté du sujet dans le cadre de la recherche, et, hormis ceux cités dans notre introduction au thème, la rareté de travaux préexistants sur lesquels appuyer notre étude;

3 / Sill' le plan statistique, une .relative pauvreté provenant du fait que Jes données existantes privilégient les éclairages ponctuels (le nombre de titres, le nombre de nouvelles étudiantes et de nouveaux étudiants) au détriment d'un suivi du processus de formation. De plus, certaines données relatives à la différenciation sexuelle sont simplement ignorées. Ainsi, nous avons découvert alors que notre étude était déjà largement engagée que l'université de Genève ne distinguait pas le nombre de femmes et d'hommes dans les candidats à la licence SE.

Ces handicaps ont entraîné des conséquences sur notre manière de travailler.

1 / Nous avons limité notre objet d'étude à une dimension de la diminution des effectifs féminins, celle de l'interruption des études universitaires. Ce choix a été motivé par le fait que l'interruption des études constitue un moment événementiel et repérable dans la dynamique individueJJe de formation.. Nous pensions qu'il nous ouvrirait un accès sur la compréhension des multiples courants (contradictoires ou convergents) impliqués dans la décision de poursuivre ou d'interrompre ses études.

Cette option a orienté notre quête d'un cadre théorique que nous avons voulu psychologique et psychanalytique tant il est vrai que ce sont ces disciplines qui offrent un outil de compréhension de la dynamique individuelle.

2/ Nous avons choisi un terrain d'étude relativement proche et ouvert à cette problématique.

3 / La méthode de récolte de données à la fois quantitative et qualitative nous est apparue comme la plus adéquate face à nos objectifs. De plus, elle nous a permis de contourner !'handicap statistique. L'enquête par questionnaire adressé aux exmatriculés nous a offert la possibilité de construire notre propre population de référence pour notre analyse tant quantitative que qualitative, tout en respectant la contrainte de la protection des données.

La thèse de Mosconi s'est avérée particulièrement fructueuse dans le dépouillement de nos entretiens.

Notre enquête auprès des étudiantes et étudiants exmatriculés de la section des SE situe globalement le taux d'exmatriculations à 12,62 % ce qui est largement inférieur au taux moyen des universités suisses annoncé par l'OFS. Il serait nécessaire pour cibler la politique de formation de la section de préciser ce taux par catégorie d'âge et de sexe en forgeant les outils statistiques adéquats.

La première partie de notre récolte de données nous ouvre sur une population de référence constituée de 73 % de femmes. Cette population est très variée dans sa distribution en catégorie d'âge : 44% des femmes et 53 % des hommes ont entre 26 et 35 ans; ces personnes se forment donc à l'université après l'obtention d'un premier titre de formation. Les hommes (13.3 %) sont deux fois moins nombreux que les femmes (26.5

%) à suivre les SE en formation de base.

L'analyse des caractéristiques de cette population nous a permis de préciser que les femmes étaient plus nombreuses à interrompre en premier qu'en second cycle universitaire, tandis que les hommes interrompaient autant en premier cycle qu'en second.

Les jeunes de 16 à 26 ans interrompent essentiellement en premier cycle dans le but de réorienter leur choix. Les ruptures dans les parcours de formations sont le plus souvent uniques et

les interruptions à caractère répétitif demeurent exceptionnelles.

La voie privilégiée pour entrer en SE est celle du baccalauréat "langues modernes" pour les femmes, tandis que les hommes, minoritaires, sont répartis dans les autres sections gymnasiales.

Le 65 % des étudiantes et étudiants exmatriculés sont célibataires, sans qu'une différence sexuelle n'apparaisse ici. Le quart des femmes sont mères et 29 % des hommes sont pères.

Les hommes sont plus nombreux (84 %) que les femmes (68 %) à être insérés professionnellement. Précisons que les deux-tiers des mères ont aussi un emploi.

L'analyse quantitative de ces significations des exmatriculations a permis de dégager des catégories

- l'argument de la réorientation est le plus prisé par les jeunes de moins de 26 ans. Ajoutons que 50 % des exmatriculées et des exmatriculés de la section des SE continue à se former ultérieurement;

- les hommes disent s'exmatriculer essentiellement pour des raisons professionnelles, tandis que les femmes avancent autant l'argument personnel que professionnel et dans une moindre mesure, celui du cumul des charges personnelles et professionnelles.

L'analyse qualitative établie à partir d'une trentaine d'entretiens semi-directifs, nous a permis de nuancer et affiner notre première approche.

Les entretiens réalisés auprès de la jeune génération montre que ce sont essentiellement des choix peu assurés qui s'infirment durant le début des études universitaires.

Dans les autres générations de femmes et d'hommes, nous rencontrons

- des choix d'abandons des études marqués par des différences entre les sexes, en l'occurrence des situations personnelles relativement complexes en raison des charges qui pèsent sur les femmes tandis que pour les hommes c'est la situation professionnelle qui est complexe mais elle se double d'une ascension vers un meilleur statut. Alors que la femme est freinée dans son mouvement de formation par des charges personnelles et professionnelles, l'homme est chargé lui aussi

mais par des responsabilités nouvelles liées à son ascension professionnelle;

- des femmes prises dans des situations plus ou moins complexes, mais ce qui est significatif c'est qu'elles affrontent un conflit intrapsychique lié à leur quête de savoir. La majorité réussit à dépasser ce conflit qui les freinait dans le mouvement de formation;

- des situations marquées par d'autres éléments que ceux pressentis dans notre démarche préalable , liées aux motivations et à la personnalité.

La seconde partie, qualitative, nous a ouvert de nouvelles voies :

1 / les hommes surévaluent leur carrière en tant que carrière professionnelle sans véritable lien avec la conquête du savoir; ce dernier reste pour eux un outil au service de leur carrière;

2/ les femmes valorisent davantage la conquête du savoir que leur carrière professionnelle. La conquête du savoir leur apparaît comme un chance de développement personnel. Mais la reconnaissance au niveau d'un meilleur statut professionnel ne se concrétise que très peu. Elle se présente davantage comme une étape supplémentaire à atteindre ultérieurement.

L'hypothèse générale nous ayant guidée tout au long de cette double approche, nous faisait supposer que les femmes se trouvent, au niveau de la formation universitaire, dans une

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dimensions de la complexité nous avons utilisé des indicateurs aisément repérables tels que la dimension personnelle (le nombre d'enfants et leur âge, le fait d'être seule ou seul à en porter la charge éducative, les événements relatifs à la santé de la personne ou des enfants) et la dimension professionnelle (emploi et taux d'emploi, éloignement, aléas de la conjoncture).

La thèse de Mosconi nous a stimulée à prendre en compte un élément supplémentaire, à savoir la dimension intrapsychique dans le rapport au savoir.

Au terme de la première partie, notre hypothèse ne s'est pas vérifiée. En nous tenant aux propos des exmatriculées et des exmatriculés, la situation professionnelle des hommes nous est apparue comme étant vécue de manière particulièrement

complexe, bien davantage que les femmes ne vivent le cumul des charges, leur situation personnelle ou professionnelle. La démarche qualitative d'approfondissement, en particulier la mise en relation des causes externes de l'exmatriculation notées dans la réponse écrite au questionnaire avec les réalités internes et la dimension intrapsychique s'est imposée à nous comme une exigence indispensable. Au terme de la seconde partie, nous pouvons affirmer que notre hypothèse se vérifie. Par aiJleurs, nous sommes convaincue de Ja nécessité de mettre en relation les causes nommées à l'exmatriculation avec l'analyse de la réalité interne à la personne pour entrer dans la compréhension du rapport au savoir propre à chacune et chacun. Car c'est bien le rapport au savoir tel qu'il s'établit et, par la suHe, l'usage qui en est fait dans la vie concrète qui différencie les genres certai nes femmes se trouvent confrontées à une difficulté supplémentaire du fait d'un conflit intrapsychique. Néanmoins, la p lupart surmontent ce handicap, voire y trouve une stimulation; leur rapport au savoir est davantage soutenu par un intérêt et un réel plaisir personnel alors que chez les hommes celui-ci paraît assez fortement arti ulé par des objectifs utilitaires professionnels, voire un certain carriérisme.

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UNIVERSITE DE LAUSANNE, PNR 33, Françoise Galley.

Dans la plupart des questions, il s 'agit de cocher la répouse qui convient dans la case correspomlante. Lorsque plusieurs réponses sont possibles, nous l'indiquo1ts da11s la formulation de la questfo,i.

Le contenu d 'un petit uombre de questions n 'a pu faire l 'objet d ',m classement préalable et demeure ouvert : dans ce cas, nous vous demandons d 'écrire lisiblement sur les pointillés prévus à cet effet, voire au verso du questionnaire si la place vous manque.

Nous vous garantissons la c01tfidentialité et l'anonymat dans le traitement des données que vous nous livrerez.

Nous vous remercions par avance de votre disponibilité et vous rappelons que nous attendons vos réponses d'ici au 25 novembre 1995.

1. Sexe Femme D Homme D

2. Age Indiquez votre année de naissance ... . 3. Domicile des parents : Suisse D indiquez le canton ... .

France D indiquez s'il s 'agit de la Haute Savoie D de l'Ain D

d'un autre département D Autre pays O indiquez lequel ... .

4. Quel titre de formation antérieure vous a-t-il permis d'accéder à l'Université ? Plusieurs réponses sont possibles si vous possédez plusieurs des titres mentionnés.

+Certificat de maturité fédérale D +Certificat cantonal de maturité et baccalauréat D

+ Maturité ou baccalauréat étranger D précisez le t:i;pe

Type A (Maturité littéraire, latin et grec) 0 Type B (Maturité littéraire, latin et langues modernes) 0

Type C (Maturité scientifique) 0

Type D (Maturité langues modernes) 0 Type E (Maturité sciences économiques) 0

+

Admission sur dossier et entretien individuel 0 Précisez le ou Les titres antérieurs que vous avez obtenu +Diplôme d'École Normale Primaire D +Diplôme d'École de Soins lnfirmi.e.rs 0 +Diplôme d'École Supérieure de Travail SociaJ 0 (éducateur, assistant social, animateur, ergothérapeute) +Diplôme d'École Technique Supériew-e 0

+Autre titre D Spécifiez lequel ... . 5. Avez-vous dû subir un examen complémentaire pour accéder à l'Université ? oui D non D

6. Quel laps de temps s'est-il déroulé entre le moment où vous avez