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La démystification de l’Histoire

De l’Histoire et de la fiction

3.2. La démystification de l’Histoire

Tout en mettant en valeur l’importance de l’histoire l’auteur remet en cause la légitimité de cette dernière. Ainsi, le discours de l’histoire est soumis à une remise en cause fondamentale. Relevant, de prime abord, que la question de la légitimation de l’histoire comme récit véridique, totalisant et scientifique fait l’objet d’un important débat. Beaucoup de théoriciens à l’image de Paul Veyne ou encore, entre autres, Michel de Certeau explique que le récit historique est nécessairement limité car puisant dans des événements choisis, simplifiés et organisés, ne pouvant pas décrire une totalité événementielle :

En aucun cas ce que les historiens appellent un événement n’est saisi directement et entièrement ; il l’est toujours incomplètement et latéralement, à travers des documents ou des témoignages, disons à travers des Tekmeria, des traces248

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Tahar el Gomri, dans Le Démantèlement249, est fier de garder pendant toute sa vie une photo de lui et de ses amis combattants pendant la guerre d’Algérie. À travers cette photo l’auteur retrace une période cruciale de l’histoire de l’Algérie. Le personnage principal Tahar el Gomri, ne porte pas sur lui une carte d’identité ni tout autre document permettant de le Au-delà de ce débat d’idées, il est indéniable que l’œuvre de Rachid Boudjedra incruste l’Histoire dans l’ère du soupçon du moment que le rapport entre fiction et réalité devient problématique.

Comme le fait remarquer Jean-Yves Tadier la fonction du romancier a profondément changé car il « n’est plus à l’ère de l’engagement mais à l’ère de la responsabilité. La survivance et le renouvellement du genre repose sur la faculté des auteurs à créer un univers romanesque signifiant et cohérent, à construire une machine narrative suffisamment organisée pour engager notre adhésion, notre croyance et répondre à notre besoin de fiction 250».

Dans l’œuvre de l’auteur le réel n’apparaît plus comme une donnée acquise mais plutôt comme un fait qui reste en permanence à conquérir voir même à reconquérir. Dans cette perspective les notions de fiction et de réalité ne relèvent plus de l’ordre du discontinu, mais d’un continuum, comme le souligne la pensée postmoderne. Par son ancrage quasi-obsessionnel dans l’Histoire de l’Algérie l’œuvre de l’auteur mène une stratégie métadiscursive qui vise la subversion du réel, et avant tout du réel historique.

S’il existe des œuvres qui nous interpellent et qui nous engagent à une relecture de l’histoire, l’œuvre de Rachid Boudjedra est bien de celle-là, qui

249 Le Démantèlement, Paris Denoël.1982

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nous pousse à nous poser des questions fondamentales sur les liens indissolubles entre la fiction et le réel, le texte le contexte, la littérature et l’Histoire. Son œuvre traite principalement de la récupération, de l’appropriation de la mémoire par le biais de la création.

Au-delà de ce débat d’idées, il est indéniable que l’œuvre de Rachid Boudjedra incruste l’Histoire dans l’ère du soupçon du moment que le rapport entre fiction et réalité devient problématique.

Comme le fait remarquer Jean-Yves Tadier la fonction du romancier a profondément changé car il « n’est plus à l’ère de l’engagement mais à l’ère de la responsabilité. La survivance et le renouvellement du genre repose sur la faculté des auteurs à créer un univers romanesque signifiant et cohérent, à construire une machine narrative suffisamment organisée pour engager notre adhésion, notre croyance et répondre à notre besoin de fiction 251».

Dans l’œuvre de l’auteur le réel n’apparaît plus comme une donnée acquise mais plutôt comme un fait qui reste en permanence à conquérir voir même à reconquérir. Dans cette perspective les notions de fiction et de réalité ne relèvent plus de l’ordre du discontinu, mais d’un continuum, comme le souligne la pensée postmoderne. Par son ancrage quasi-obsessionnel dans l’Histoire de l’Algérie l’œuvre de l’auteur mène une stratégie métadiscursive qui vise la subversion du réel, et avant tout du réel historique.

S’il existe des œuvres qui nous interpellent et qui nous engagent à une relecture de l’histoire, l’œuvre de Rachid Boudjedra est bien de celle-là, qui nous pousse à nous poser des questions fondamentales sur les liens indissolubles entre la fiction et le réel, le texte le contexte, la littérature et

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l’Histoire. Son œuvre traite principalement de la récupération, de l’appropriation de la mémoire par le biais de la création.

Au-delà de ce débat d’idées, il est indéniable que l’œuvre de Rachid Boudjedra incruste l’Histoire dans l’ère du soupçon du moment que le rapport entre fiction et réalité devient problématique.

Comme le fait remarquer Jean-Yves Tadier la fonction du romancier a profondément changé car il « n’est plus à l’ère de l’engagement mais à l’ère de la responsabilité. La survivance et le renouvellement du genre repose sur la faculté des auteurs à créer un univers romanesque signifiant et cohérent, à construire une machine narrative suffisamment organisée pour engager notre adhésion, notre croyance et répondre à notre besoin de fiction 252».

Au-delà de ce débat d’idées, il est indéniable que l’œuvre de Rachid Boudjedra incruste l’Histoire dans l’ère du soupçon du moment que le rapport entre fiction et réalité devient problématique.

Comme le fait remarquer Jean-Yves Tadier la fonction du romancier a profondément changé car il « n’est plus à l’ère de l’engagement mais à l’ère de la responsabilité. La survivance et le renouvellement du genre repose sur la faculté des auteurs à créer un univers romanesque signifiant et cohérent, à construire une machine narrative suffisamment organisée pour engager notre adhésion, notre croyance et répondre à notre besoin de fiction 253».

Dans l’œuvre de l’auteur le réel n’apparaît plus comme une donnée acquise mais plutôt comme un fait qui reste en permanence à conquérir voir même à reconquérir. Dans cette perspective les notions de fiction et de réalité ne relèvent plus de l’ordre du discontinu, mais d’un continuum, comme le

252 Tadier Jean-Yves, Cerquiglini Blanche, Le roman d'hier à demain éd Gallimard, 2012. P.428.

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souligne la pensée postmoderne. Par son ancrage quasi-obsessionnel dans l’Histoire de l’Algérie l’œuvre de l’auteur mène une stratégie métadiscursive qui vise la subversion du réel, et avant tout du réel historique.

S’il existe des œuvres qui nous interpellent et qui nous engagent à une relecture de l’histoire, l’œuvre de Rachid Boudjedra est bien de celle-là, qui nous pousse à nous poser des questions fondamentales sur les liens indissolubles entre la fiction et le réel, le texte le contexte, la littérature et l’Histoire. Son œuvre traite principalement de la récupération, de l’appropriation de la mémoire par le biais de la création.

Au-delà de ce débat d’idées, il est indéniable que l’œuvre de Rachid Boudjedra incruste l’Histoire dans l’ère du soupçon du moment que le rapport entre fiction et réalité devient problématique.

Comme le fait remarquer Jean-Yves Tadier la fonction du romancier a profondément changé car il « n’est plus à l’ère de l’engagement mais à l’ère de la responsabilité. La survivance et le renouvellement du genre repose sur la faculté des auteurs à créer un univers romanesque signifiant et cohérent, à construire une machine narrative suffisamment organisée pour engager notre adhésion, notre croyance et répondre à notre besoin de fiction 254».

Dans l’œuvre de l’auteur le réel n’apparaît plus comme une donnée acquise mais plutôt comme un fait qui reste en permanence à conquérir voir même à reconquérir. Dans cette perspective les notions de fiction et de réalité ne relèvent plus de l’ordre du discontinu, mais d’un continuum, comme le souligne la pensée postmoderne. Par son ancrage quasi-obsessionnel dans

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l’Histoire de l’Algérie l’œuvre de l’auteur mène une stratégie métadiscursive qui vise la subversion du réel, et avant tout du réel historique.

S’il existe des œuvres qui nous interpellent et qui nous engagent à une relecture de l’histoire, l’œuvre de Rachid Boudjedra est bien de celle-là, qui nous pousse à nous poser des questions fondamentales sur les liens indissolubles entre la fiction et le réel, le texte le contexte, la littérature et l’Histoire. Son œuvre traite principalement de la récupération, de l’appropriation de la mémoire par le biais de la création.

une histoire à laquelle on ne tient tant que parce qu’elle n’est plus tout à fait à soi. C’est un membre fantôme.255

Nous relevons le caractère plurivoque, voire même équivoque de la mémoire dont le rapport à la réalité est pour le moins problématique ; « qui se bâtit sur la blessure, le disjoint, l’hétérogène256».

Dans le même ordre d’idées, Benjamin Stora et Mohammad Harbi affirment que si la mémoire mène à l’histoire celle-ci relève de la subjectivité :

Les mémoires ont toujours une dimension subjective. Elle fonctionne comme un discours de légitimation, de sorte qu’elles sont à la fois rappel d’événements et miroir déformant. L’historien ne peut ni les dédaigner ni s’y soumettre. Le propre des souvenirs c’est d’être une évocation d’un vécu passé, mais aussi un discours sur le contemporain. Chaque groupe, chaque segment organisera son roman passé pour dire la misère d’une morale ou la grandeur de son présent. Ainsi les différentes évocations ne s’organisent pas comme un tout explicatif, mais

255 Pierre Nora, entretien dans le journal Le Monde du 02 févriers 2006.

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comme une rhapsodie des plaintes des victimes. C’est le chant funèbre des nostalgiques du passé et des déçus du présent.257

Les romans de Rachid Boudjedra se situent dans un carrefour pluridirectionnel qui engendre un espace d’interactions multiples entre littérature et Histoire, réalité et fiction, histoire personnelle et représentation collective entre autres.

Au-delà de ce débat d’idées, il est indéniable que l’œuvre de Rachid Boudjedra incruste l’Histoire dans l’ère du soupçon du moment que le rapport entre fiction et réalité devient problématique.

Comme le fait remarquer Jean-Yves Tadier la fonction du romancier a profondément changé car il « n’est plus à l’ère de l’engagement mais à l’ère de la responsabilité. La survivance et le renouvellement du genre repose sur la faculté des auteurs à créer un univers romanesque signifiant et cohérent, à construire une machine narrative suffisamment organisée pour engager notre adhésion, notre croyance et répondre à notre besoin de fiction 258».

Dans l’œuvre de l’auteur le réel n’apparaît plus comme une donnée acquise mais plutôt comme un fait qui reste en permanence à conquérir voir même à reconquérir. Dans cette perspective les notions de fiction et de réalité ne relèvent plus de l’ordre du discontinu, mais d’un continuum, comme le souligne la pensée postmoderne. Par son ancrage quasi-obsessionnel dans l’Histoire de l’Algérie l’œuvre de l’auteur mène une stratégie métadiscursive qui vise la subversion du réel, et avant tout du réel historique.

257 Préface de Harbi, Mohamed, Stora Benjamin. La guerre d’Algérie 1954-2004, la fin de l’amnésie, Ed Robert Laffont, Paris. 2004.p10.

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S’il existe des œuvres qui nous interpellent et qui nous engagent à une relecture de l’histoire, l’œuvre de Rachid Boudjedra est bien de celle-là, qui nous pousse à nous poser des questions fondamentales sur les liens indissolubles entre la fiction et le réel, le texte le contexte, la littérature et l’Histoire. Son œuvre traite principalement de la récupération, de l’appropriation de la mémoire par le biais de la création.

Au-delà de ce débat d’idées, il est indéniable que l’œuvre de Rachid Boudjedra incruste l’Histoire dans l’ère du soupçon du moment que le rapport entre fiction et réalité devient problématique.

Comme le fait remarquer Jean-Yves Tadier la fonction du romancier a profondément changé car il « n’est plus à l’ère de l’engagement mais à l’ère de la responsabilité. La survivance et le renouvellement du genre repose sur la faculté des auteurs à créer un univers romanesque signifiant et cohérent, à construire une machine narrative suffisamment organisée pour engager notre adhésion, notre croyance et répondre à notre besoin de fiction 259».

Dans l’œuvre de l’auteur le réel n’apparaît plus comme une donnée acquise mais plutôt comme un fait qui reste en permanence à conquérir voir même à reconquérir. Dans cette perspective les notions de fiction et de réalité ne relèvent plus de l’ordre du discontinu, mais d’un continuum, comme le souligne la pensée postmoderne. Par son ancrage quasi-obsessionnel dans l’Histoire de l’Algérie l’œuvre de l’auteur mène une stratégie métadiscursive qui vise la subversion du réel, et avant tout du réel historique.

S’il existe des œuvres qui nous interpellent et qui nous engagent à une relecture de l’histoire, l’œuvre de Rachid Boudjedra est bien de celle-là, qui

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nous pousse à nous poser des questions fondamentales sur les liens indissolubles entre la fiction et le réel, le texte le contexte, la littérature et l’Histoire. Son œuvre traite principalement de la récupération, de l’appropriation de la mémoire par le biais de la création.

Au-delà de ce débat d’idées, il est indéniable que l’œuvre de Rachid Boudjedra incruste l’Histoire dans l’ère du soupçon du moment que le rapport entre fiction et réalité devient problématique.

Comme le fait remarquer Jean-Yves Tadier la fonction du romancier a profondément changé car il « n’est plus à l’ère de l’engagement mais à l’ère de la responsabilité. La survivance et le renouvellement du genre repose sur la faculté des auteurs à créer un univers romanesque signifiant et cohérent, à construire une machine narrative suffisamment organisée pour engager notre adhésion, notre croyance et répondre à notre besoin de fiction 260».

Dans l’œuvre de l’auteur le réel n’apparaît plus comme une donnée acquise mais plutôt comme un fait qui reste en permanence à conquérir voir même à reconquérir. Dans cette perspective les notions de fiction et de réalité ne relèvent plus de l’ordre du discontinu, mais d’un continuum, comme le souligne la pensée postmoderne. Par son ancrage quasi-obsessionnel dans l’Histoire de l’Algérie l’œuvre de l’auteur mène une stratégie métadiscursive qui vise la subversion du réel, et avant tout du réel historique.

S’il existe des œuvres qui nous interpellent et qui nous engagent à une relecture de l’histoire, l’œuvre de Rachid Boudjedra est bien de celle-là, qui nous pousse à nous poser des questions fondamentales sur les liens indissolubles entre la fiction et le réel, le texte le contexte, la littérature et

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l’Histoire. Son œuvre traite principalement de la récupération, de l’appropriation de la mémoire par le biais de la création.

Yann Venner explique que dans tous les récits de Rachid Boudjedra

« un souvenir en appelle un autre ou bien entraîne une idée ; une réflexion

conduit elle-même à une autre pensée, un autre souvenir. Cette réitération constitue une frise, une arabesque tressée dans le récit comme forme signifiante de la quête identitaire, tressée elle-même aux spirales de l’Histoire 261».

Au-delà de ce débat d’idées, il est indéniable que l’œuvre de Rachid Boudjedra incruste l’Histoire dans l’ère du soupçon du moment que le rapport entre fiction et réalité devient problématique.

Comme le fait remarquer Jean-Yves Tadier la fonction du romancier a profondément changé car il « n’est plus à l’ère de l’engagement mais à l’ère de la responsabilité. La survivance et le renouvellement du genre repose sur la faculté des auteurs à créer un univers romanesque signifiant et cohérent, à construire une machine narrative suffisamment organisée pour engager notre adhésion, notre croyance et répondre à notre besoin de fiction 262».

Dans l’œuvre de l’auteur le réel n’apparaît plus comme une donnée acquise mais plutôt comme un fait qui reste en permanence à conquérir voir même à reconquérir. Dans cette perspective les notions de fiction et de réalité ne relèvent plus de l’ordre du discontinu, mais d’un continuum, comme le souligne la pensée postmoderne. Par son ancrage quasi-obsessionnel dans

261 Venner, Yann, Boudjedra et le roman de l'histoire : une guérilla de l'écriture mémorielle pour une

histoire décolonisée in Esprit Créateur Vol.XLI.N°4,2004. pp.80-81.

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l’Histoire de l’Algérie l’œuvre de l’auteur mène une stratégie métadiscursive qui vise la subversion du réel, et avant tout du réel historique.

Au-delà de ce débat d’idées, il est indéniable que l’œuvre de Rachid Boudjedra incruste l’Histoire dans l’ère du soupçon du moment que le rapport entre fiction et réalité devient problématique.

Comme le fait remarquer Jean-Yves Tadier la fonction du romancier a profondément changé car il « n’est plus à l’ère de l’engagement mais à l’ère de la responsabilité. La survivance et le renouvellement du genre repose sur la faculté des auteurs à créer un univers romanesque signifiant et cohérent, à construire une machine narrative suffisamment organisée pour engager notre adhésion, notre croyance et répondre à notre besoin de fiction 263».

Au-delà de ce débat d’idées, il est indéniable que l’œuvre de Rachid Boudjedra incruste l’Histoire dans l’ère du soupçon du moment que le rapport entre fiction et réalité devient problématique.

Comme le fait remarquer Jean-Yves Tadier la fonction du romancier a profondément changé car il « n’est plus à l’ère de l’engagement mais à l’ère de la responsabilité. La survivance et le renouvellement du genre repose sur la faculté des auteurs à créer un univers romanesque signifiant et cohérent, à construire une machine narrative suffisamment organisée pour engager notre adhésion, notre croyance et répondre à notre besoin de fiction 264».

Dans l’œuvre de l’auteur le réel n’apparaît plus comme une donnée acquise mais plutôt comme un fait qui reste en permanence à conquérir voir même à reconquérir. Dans cette perspective les notions de fiction et de réalité ne relèvent plus de l’ordre du discontinu, mais d’un continuum, comme le

263 Tadier Jean-Yves, Cerquiglini Blanche, Le roman d'hier à demain éd Gallimard, 2012. P.428.

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souligne la pensée postmoderne. Par son ancrage quasi-obsessionnel dans l’Histoire de l’Algérie l’œuvre de l’auteur mène une stratégie métadiscursive qui vise la subversion du réel, et avant tout du réel historique.

S’il existe des œuvres qui nous interpellent et qui nous engagent à une relecture de l’histoire, l’œuvre de Rachid Boudjedra est bien de celle-là, qui nous pousse à nous poser des questions fondamentales sur les liens indissolubles entre la fiction et le réel, le texte le contexte, la littérature et l’Histoire. Son œuvre traite principalement de la récupération, de l’appropriation de la mémoire par le biais de la création.

L’entrecroisement de ces faits historiques génère une mémoire traumatisante mais surtout plurielle, gigogne, fragmentaire.

Ces mêmes faits historiques constituent des intervalles d’ancrage de la mémoire collective.

L’auteur exprime un sentiment de désenchantement à travers des personnages marginalisés mais surtout qui souffrent des affres et des traumatismes de la guerre. L’auteur met l’accent sur le funeste destin de ceux qui ont été témoins de la violence, à savoir la population civile qui a payé un