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Sur le rayonnement γ du radioactinium

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HAL Id: jpa-00233613

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Submitted on 1 Jan 1938

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Sur le rayonnement γ du radioactinium

J. Surugue

To cite this version:

(2)

439

Transformation Ac.B -~ AcC. - Les

rayonne-ments y admis

précédemment

pour cette

transfor-mation avaient pour

énergie : 65,2,

403,8,

425,7,

829,5

ekV. Les mesures actuelles conduisent à

admettre les

rayonnements

du tableau suivant : TABLEAU II.

Ces différents

rayonnements

conduisent à un

schéma cohérent de niveaux

d’énergie

nucléaire,

associant d’une

façon

satisfaisante leurs

énergies

et leurs intensités.

Fig. 1.

On remarque que les raies Ab et

De,

interprétées

comme des raies

M,

ont des intensités bien

grandes.

D’autre

part,

on ne trouve pas les raies

qui

devraient

les accompagner si elles étaient

produites

dans un

niveau K ou

Ll.

Il est donc

probable

que les valeurs

indiquées

pour leur intensité sont

trop

élevées. Transformation AcO -+- AcC". - On connaît à

coup sûr pour cette transformation le

rayonnement

y de 350

ekV.,

correspondant

à une raie intense du

spectre

magnétique

des rayons «, et donnant

quatre

raies de conversion interne. On avait

signalé

(6)

deux raies «

douteuses,

les différences

d’énergie

avec la

raie

principale

étant de 85 et 213 ekV. Nos nombres

indiquent

seulement un

rayonnement

y

possible

de

85 ekV. sans aucune certitude

puisqu’on

ne trouve

qu’une

seule raie p.

(6) M. CURIE et S. ROSENBLUM. C. R., 1932, ~94, p. 1232. Manuscrit reçu le 29 juin 1938.

SUR LE RAYONNEMENT 03B3 DU RADIOACTINIUM

Par J. SURUGUE

Nous avons donné dans une

publication précédente (1)

les

rayonnements

y déduits de l’étude des

rayons ~

de conversion interne du Radioactinium et de ses dérivés.

Un travail récent de

Frilley

(2),

utilisant la diffrac-tion des rayons y sur un

cristal,

a fourni en

parti-culier un

rayonnement

de 240 ekV. que nous n’avions

pas

indiqué

et

qui

permet

d’interpréter

correctement les deux raies

N1

et

Oc,

de notre tableau :

(~) J. SURUGUE. Ann. de Physique, 1937, 8, p. 484.

(~) FRiLLEY. C. R. 1938, 206, p. 1013.

Nl :

énergie

136 ekV +

103,8 ( K 88)

= 240 ekV

Oc3 :

énergie 220,8

ekV + 193

(Ll 88)

=

240,1

ekV

La

première

de ces raies devient ainsi une raie

dou-ble,

ce

qui explique

son intensité

trop

grande

pour auu

raie

L2

du

rayonnement

de 154 ekV de l’actinium X.

La seconde n’avait pas reçu

d’interprétation.

Frilley

indique

de

plus

un

rayonnement

y de 50

ekV,

très

intense,

qu’il

est

impossible

de retrouver

par ses raies de conversion

interne,

et pour

lequel

par

conséquent

le coefficient de conversion interne doit être

exceptionnellement

faible.

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