• Aucun résultat trouvé

Journal de chimie-physique ; - T. II, n° 1 à 5 ; 1905 (suite)

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Journal de chimie-physique ; - T. II, n° 1 à 5 ; 1905 (suite)"

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00241102

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241102

Submitted on 1 Jan 1906

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Journal de chimie-physique ; - T. II, n° 1 à 5 ; 1905 (suite)

G. Roy

To cite this version:

G. Roy. Journal de chimie-physique ; - T. II, n° 1 à 5 ; 1905 (suite). J. Phys. Theor. Appl., 1906, 5

(1), pp.225-227. �10.1051/jphystap:019060050022501�. �jpa-00241102�

(2)

225 mérations : en effet, ces ions, précipités par condensation, se renou- vellent immédiatement tant que la radiation agit.

Pour les faibles ionisations, ces ag glomérations sont éphémères.

Mais. pour les fortes ionisations, la pression cinétique due aux cor- puscules peut devenir suffisante pour produire les agglomerations persistantes que l’on observe. Quand la radiation est très forte, les a~glon1érations ont des dimensions très variées, comme si elles étaient construites de noyaux colloïdaux de plus en plus petits.

Cette formation de noyaux d’abord éphémères, pais persistants.

mais sans transition brusque, accompagnerait toujours 1 ionisation, quelle soit produite par émission ou arrachement de corpuscules

! radium, rayons de Rontgen, flammes, métaux incandescent, ou bien par la pression due aux vibrations à conrtes longueurs d onde

de réthcr rayons ultra-violets). Mais les ionisations corpusculaires

seules donneraient des noyaux subissant l’action du champ élec- trique.

Ces idées, on le voit, sont assez difié1-enies de celles qui sont g-énl’ralcmcnt admises sur le mécanisme de l’ionisation.

H. BÉNARD.

JOURNAL DE CHIMIE-PHYSIQUE ;

T. II, 1 à 5 ; 1905 (suite).

PH.-A. CUYE. 2013 Nouvelle méthode pour la détermination physico-chimique

exacte du poids moléculaire et des poids atomiques des eaz. 2013 P. 321.

MM. ( ~uye et Friderich ont montré (’) que, si l’on rapporte l’équa-

tion d’état au volume unité, on doit avoir :

M étant le poids moléculaire du gaz dans le système 112 = 3 > et L le poids du litre de ce gaz dans les conditions normales. Les cons-

tantes cr et /) peuvent être calculées au moyen des données critiques,

’Il ph.-~. CrC‘i~ et L. PRIDEFTICII.. ~’il’Ctl. ries ac. phys, et nal. de UenttfP.

À. serie, t. 1~, p. :j 0:5: t~} 0 0 .

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019060050022501

(3)

226

soit par résolution de l’équation du 3e degré, soit par les méthodes

plus simple- et plus rapides de l’auteur ou de ~1~. Ilaentchel 1’ ).

On peut énoncer rigoureusement la règle d’Avogadro en disant

qme les volume des divers gaz. considérés à 0° et sous la pression

de 1 atII1IJ"Idl"}’(’. conteuant rigoureusement le même nombre de

mol. ni’ - ’"-!llll ’-ntit’ ~m~ comme les nombres :

Si 1 on multiplie ces nombres par L, ils représentent à un facteur près les poids moléculaires ; ce facteur n’est autre que la constante des gaz parfaits et on retrouve la relation ( 1 .

La relation des densités limites, ainsi qu’ la formule proposée, est

contenue irnplicite~nent dans l’équation 1’>tat de Van der Waals, et

on peut démontrer que :

A,,’ étant le coef’ficient moyen d’écart à la loi de Mariotte du gaz étudie entre la pression 1 et la pression 0.

Il s’agit ici de corriger les valeurs de « et h obtenues aii n10yen des données critiques et d’obtenir les ao et 1)~, à ()° et sous la pression de 1 atmosphère. Les formules proposées par M~Bl. Ama-

g~’,It(*2,~ et 11>iiigiinnm (~~) présentent de grandes difficultés pour le calcul.

On peut, pour le but proposé, cherclier des formules plus simples.

I)ans le cas des gaz permanent, n oB on peut remarquer que, si

on porte en abscisses les températures critiques absolues et en ordon-

nées les valeurs numériques de ~1 j (i -+- a) (1

---

b), ces dernières se

trouvent très approximativement sur une droite dont l’ordonnée à

l’origine coïncide avec le nombre 22,412; on peut donc écrire :

()ii (1,’~termine ¡Il 011 faisant dans le cas de l’oxygène ~1 = 32,

1’:’:

-

H}O~.

N " B

1

1.

,

1,1

’>’

I

,. 1.1.... 1

-7 ~ i.

,q Hl’:1:BI. · ’~~IflOl~ f,

(4)

227 L -= 1,4~H ; alors 1/2 = U;vVUv623, ce qui donne pour le calcul du

poids moléculaire de ces gaz :

Pour les gaz liquéfiables à 0°, la correction est plus difficile ;

’t

l’auteur adi>iet pour «~ la ,>aleur fi~ = fi /T.B~

~z

intei,médiaire entre l’auteur admet pour ~ la valeur ~ ==: ~ ~ (le)2 intermédiaire entre

celles qu’ont employées M. D. Herthelot : ct, = ~ r*. et Clausius :

Quant au covolume, on a :

~ .- 0,0032229 d’après les données relatives à l’acide carbonique.

L’emploi de ces formules donne des résultats très concordants,

soit avec les déterminations gravimétrique, soit avec les autres

méthodes physico-chinliques, sauf pour l’azote, dont la valeur adinise

est d’ailleurs sujette à revision. Wu peut également calculer par la même méthode le rapport des volumes entre composés chimiques

gazeux,.

Cette métliode de calcul par réduction des éléments critiqua a o

et à 1 atmosplière mérite donc d être employée concurremriieiit avec

les autres. G. ROY.

A HAGENBACH et KONEN. 2014 Atlas des spectres d’emission des élements Traduction française de H. Veillon.2014Paris Masson et Ce

Cet atlas comprend la reproduction exacte, sans retouchas, des spectres de tous les corps simples, à 1 exception d’une dizaine ol> 1 .iiii,

j m~ l~l~à ce jour en quantité insuffisante a 1 état pur (F, Ga, Ge, Kr, Ne, etc.). Pour claque élénietit, le spectre a été obtenu daii, JitT’

rentes conditions : arc, étincelle, tube à gaz raréfié, flamnlll. ~~rt est indispensable pour un atlas complet, car 1,~ simple examen d’une

des planches montre des différences capitales entre la lumière de l’arc et celle de l’étincelle par exemple : l’intensité des raies obte-

nues est essentiellement différente. Les auteurs ont reconnu en

Références

Documents relatifs

La tension superficielle à la limite de deux couches a été déter- minée par la méthode des gouttes, en étudiant pour un même vo- lume le nombre de gouttes du

dissociation x ou à la conductibilité tL pour une même concentration fut vérifiée pour les sels de potassium, mais moins bien pour ceux de. (1) Dissertation.. sodium,

Pratiquement, les auteurs recommandent d’éviter la dénivellation dans les deux compartiments et d’adopter, comme densité de courant,.. une valeur assez élevée pour

d’autant plus grande que la présence de ce composé dans l’eau. abaisse plus la constante de capillarité, y , _ ’~~z~~~ ,2 Il Il distinguer distmgue

Si les sels ne sont pas colorés, il faut employer la méthode des spectres d’étincelle, qui est encore plus sensible que celle des

Lors d’une variation de vitesse de la voiture, la masse mobile, soumise à la force d’inertie d’entrainement, va plus ou moins comprimer le cristal entrainant l’apparition

Chaque barre verticale (sauf la première et la dernière), regroupe les copies ayant obtenu des notes dans un intervalle d’un point.. Ainsi la barre centrée sur 10 regroupe les notes

Le tableau ci-dessous donne, pour chaque épreuve, les paramètres statistiques calculés sur les notes sur 20 des candidats présents... Les histogrammes suivants donnent la