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Journal de chimie-physique; t. XI, nos 4 et 5: 1913

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00241935

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241935

Submitted on 1 Jan 1914

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G. Roy

To cite this version:

G. Roy. Journal de chimie-physique; t. XI, nos 4 et 5: 1913. J. Phys. Theor. Appl., 1914, 4 (1),

pp.647-653. �10.1051/jphystap:019140040064701�. �jpa-00241935�

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647

P.-B. PERKINS. 2013 Détermination des périodes de transformation de l’émanation du thorium et de l’actinium. - P. ’~20-731.

Les méthodes électroscopiques ordinaires ne peuvent pas être

employées ici à cause de la rapidité de la transformation. On suivait alors la destruction de l’émanation en notant comment variaient les pertes à l’électroscope, quand des capacités de plus en plus faibles

étaient successivement connectées en parallèle avec la feuille de ce

dernier. Le rapport des capacités était déterminé ’expérimentale- ment, et les vitesses de déviation corrigées en ce qui concerne l’ac-

croissement du dépôt actif. Les valeurs ainsi déterminées sont de 54,53 ~. 0,041 pour le thorium et 3,0? ± 0,00fi)pour l’actinium.

CH. LEENHARDT.

JOURNAL DE CHIMIE-PHYSIQUE;

T. XI, nos 4 et 5: 1913.

E. MARCHAND. - Tension superficielle et complexité moléculaire du chlore.

-

P. 575.

Le chlore liquéfié a été étudié par la méthode des ascensions capil-

laires entre 0° et 500 ; la valeur de la tension peut être exprimée en dynes-centimètres par la formule :

a - ( 1

-

0,00~4~).

Le calcul de la constante K de Ramsay et Shields donne des valeurs comprises entre 2,07 et 2,14, ce qui permet de conclure que le chlore se comporte dans ces conditions comme un liquide normal.

A. BERTHOUD. - Formule de Maxwell généralisée.

-

P. 571.

Étude mathématique des coefficients de la formules de Maxwell (~ ), exprimant la loi de répartition des molécules d’un gaz d’après leur

(1) J. de Phys., 5e série, t. 1, p. 1064; 1911.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019140040064701

(3)

vitesse, dans le but de rendre cette formule applicable aux gaz non

monoatomiques .

M. SKOSSARREWSKI et F. C-ERMANN. - Dispositif pour réaliser la circulation automatique d’un gaz dans un circuit fermé. - P. 584.

Un récipient en verre communique par sa partie supérieure avec

un tube en U dont la branche éloignée est renflée en boule à sa’base,

avec un autre dont la partie soufflée en boule est sur la branche la

plus rapprochée ; si on réunit la partie inférieure de ce récipient avec

un réservoir à mercure, en élevant ou abaissant celui-ci, il y aura

aspiration de gaz d’un côté et refoulement de l’autre. La réunion dans le sens voulu, par un tube de verre rigide, de deux récipients

du même genre, dont les réservoirs de mercure sont fixés aux extré- mités d’un balancier, permet de réaliser un courant de gaz continu.

Dans un modèle plus simple, ce sont les récipients eux-mêmes qui

se déplacent avec le balancier; mais leur mobilité oblige à employer

comme raccords des tubes en caoutchouc.

MAURICE PRUDHOMME. - L’indice de réfraction au point critique. Relation entre

le poids moléculaire, le coefficient critique et la densité critique réelle.

-

P. 589.

La relation Ve = 3b exprime que, à l’état critique, les molécules occupent la même fraction du volume critique. De plus la fraction

du volume apparent réellement occupée par les molécules est aussi

, , n2-1 1 ., . n2 _ t

d lA.

représentée n -f- 1 au Point ne - 9 a donc la même

valeur, ne est une constante pour tous les corps. D’après Ph.-A. Guye,

on a aussi :

’B

1. 1 t Tg2_ 1

1 f. , . fi t

ou lie est le rapport P e ; n2

-

.

d a réfraction specl lque; on eut

e n2 + 2 cl p p

calculer nc, à partir des données critiques, ainsi que le volume

occupé par les molécules ; ce calcul donne pour le benzène et ses d’

..

1 l

1 ou nc2 _ 1

0 828 0 d dérivés 13 ogenes : ne - .,17 et n,.9- _ i = 0,0828.

.

On peut donc

î2‘,-’

(4)

649 poser:

A étant une constante. Cette constante, calculée d’après les données

relatives à un grand nombre de composés organiques, est égale à

22,02, très voisin du nombre 22,41, volume en litres occupé par une molécule gazeuse dans les conditions normales. Donc Kcrlc doit être

sensiblement égal au poids en grammes d’un litre de gaz normal.

Cette relation est suffisamment exacte pour autoriser à s’en servir à la vérification de certaines données critiques et au choix entre des

valeurs trop différentes les unes des autres.

E. BRINER et N. BOUBNOFF. - Réactions chimiques dans les systèmes gazeux fortement comprimés ; étude spéciale de la décomposition de l’oxyde d’azote.

Les réactions dans un système homogène gazeux et les « faux équilibres ».

-

P. 597.

La méthode expérimentale seule possible ici, par suite de l’action de AzO sur le mercure, est celle des tubes fermés. On remplit des

tubes capillaires gradués avec AzO purifié liquide et dans des condi-

tions expérimentales suffisamment précises pour pouvoir calculer la pression dans le tube revenu à la température ordinaire ou porté à

des températures plus élevées. La réaction se manifeste par l’appa-

rition, après un temps plus ou moins long, d’un liquide bleu dont le volume augmente avec le temps, ce qui permet de suivre la vitesse de la réaction globale. La réaction est en effet co mplexe et est le ré-

sultat de deux autres simultanées.

la première prédomine aux températures élevées. L’oxygène formé

se combine avec AzO et aboutit à la formation de qui se con- dense ; à partir de ce moment entrent enjeu des phénomènes pure- ment physiques, dissolution de Az2, AzO, dans la pliasse li- quide ; Az20 atteint une proportion telle qu"il subit lui-même une

véritable condensation.

L’analyse des produits était faite en partie en ouvrant le tube

maintenu à des températures basses appropriées dans un appareil

vide muni d’un manomètre où s’exerçait la pression du produit

J. de Phys., 51 série, t. IV. (Août-Septembre 1914.) 43

(5)

ayant à cette température une tension sensible. A la température de

l’air liquide, Az seul a une tension mesurable et la mesure de cette

tension permettant de calculer la quantité d’Az formé ; dans un bain cte pentane refroidi à --1~0°, l’appareil débarrassé de l’azote donne la tension de AzO, vers

-

100, celle de Az2O. Le liquide restant, qui est un mélange de AZ202 et de AzO3, était comparé par une mé- thode colorimétrique avec des tubes contenant des proportions

connues de ces deux gaz.

Cette réaction est de l’ordre 3,3 ; ce nombre fractionnaire résulte de la complexité du phénomène. Les résultats obtenus entre 50 et 400

atmosphères sont suffisamment nets pour être extrapolés et on trouve

que, si, sous une pression de 400 atmosphères, il faut huit heures pour que la décomposition affecte 1/00 du AzO, à la pression atmos- phérique il faudrait 910 ans. Contrairement à ce qui a été dit (1)7

les résultats ne sont pas favorables à la théorie des faux équilibres

chimiques.

-

E. CARDOSO et A.-F.-O. GERlBIANN. - Tension de vapeur de l’acide

chlorhydrique. - P. 632.

Comme complément à la détermination des constantes critiques

de l’acide chlorhydrique (2), les auteurs ont déterminé la tension de vapeur de ce corps entre

-

24° et B1 0,4 (température critique). La

tension en atmosphères peut s’exprimer par deux formules.

Entre

-

et ~0°, on a :

Les démonstrations données pour cette formule ne sont pas abso- lument rigoureuses. En prenant en considération la différence d’en-

~1~ Voir J. de 5, série, t. I, p. 8~3 ; 1911.

(2) Voir J. de Phys., 58 sél°ie, t. Ill, p. I8~~ ; 1913.

(6)

651

tropie d’un système qui passe d’un état à un autre, on arrive à une

démonstration rigoureuse, mais la formule doit être prise sous la

forme :

C’est-à-dire que la dérivée qui intervient est la dérivée partielle,

toutesles autres variables demeurant constantes, de .cB par rapport à T .

P. DUTOIT. - Sur les hyposulfites cupro-alcalins. - P. 650.

Étude, dans ce cas particulier, d’une anomalie que présente par- fois le titrage par les méthodes physiques (conductibilité, différence

de potentiel). Dans ce cas, il se forme des sels complexes plus ou

moins solubles qui déplacent le point d’inflexion et peuvent même

faire varier sa position suivant le temps employé à l’expérience.

B.-N. iIIENTSCHUTKIN. - Deuxième index des systèmes binaires étudiés par

l’analyse thermique dont un composant au moins est un corps organique.

-

P. 674.

Revue.

E:àI. ARCHIBALD. - Conductivité électrique des solutions d’alcools et d’acides

oiganiques dans l’acide chlorhydrique et dans solutions d’alcools et d’acides-

organiques dans l’acide chlorhydrique et dans l’acide bromhydrique liquides.

P. 741.

Les mesures ont été faites par la méthode de Kohiraush en em-

ployant des cuves à électrodes larges et très rapprochées, car les

résistances à mesurer sont très grandes. La température a varié de

-

18o à --- ’13° pour les solutions dans l’acide bromhydrique et de

-

930 à - 8 ~° pour les solutions dans l’acide chlorhydrique.

La plupart des alcools se dissolvent dans ces acides et donnent des solutions concentrées; pour les alcools de la série du benzène,

le pouvoir conducteur est en général plus grand quand le groupe

hydroxyle est dans la position méta ; pour les alcools de la série de la paraffine, le pouvoir conducteur est d’autant plus grand que l’alcool est plus bas dans la série. En général, la conductivité mo-

léculaire augmente avec la dilution, ce qui s’explique par la diminu-

(7)

tion de viscosité; dans certains cas, elle diminue, il faut alors admettre un électrolyte complexe. Les coefficients de température parfois considérables s’expliquent aussi par la variation de viscosité.

Les acides donnent également lieu à des résultats variables du même ordre. Ainsi la conductivité des solutions des acides monoba-

siques de la série de la paraffine dans l’acide chlorhydrique aug- mente à partir de l’acide butyrique en allant vers l’acide formique,

mais celui-ci a une conductivité beaucoup plus faible que les premiers

acides supérieurs à l’acide butyrique.

R, NÀSINI et V. BRESCIÀNI. - La matière à l’état surfondu et discontinuité dan certaines propriétés physiques au voisinage du point de fusion.

-

P. 782.

Les auteurs se sont proposés d’étudier avec soin le phénomène dit

de « Moreschini » qui a remarqué, en étudiant le refroidissement de certaines substances qui entrent facilement en surfusion, que la température du point de fusion était indiquée par un changement d’allure, correspondant à un ralentissement du refroidissement. Il résulte de cette étude (1) que le phénomène ne paraît pas très général,

il se manifeste nettement pour l’acide acétique, l’anéthol, le thymol,

mais non pour un grand nombre d’autres substances étudiées, sauf

dans quelques cas douteux, l’acide palmitique par exemple.

Le phénomène ne peut être mis en évidence que par la méthode de

Moreschini elle-même ; cette méthode revient à exprimer la vitesse

de refroidissement, c’est-à-dire le temps nécessaire pour parcourir

une division du thermomètre en fonction du temps ; on prend comme

ordonnée la dérivée de la température par rapport au temps au lieu de la température elle-même ; cette façon de procéder a l’avantage

de faire ressortir les variations dans l’allure du phénomène ; elle a

l’inconvénient de donner plus de poids aux erreurs expérimentales.

Quand le phénomène existe, on trouve aussi au voisinage de la température de fusion une variation de la chaleur spécifique; au

contraire, on n’a pu mettre en évidence aucune anomalie de la den-

,

sité.

5e série, vol. IX, 34t ; 1912.

(8)

653

G.-P. PANIFIL. - Pompe automatique à mercure. ~--- P. 800.

Le système fonctionne comme un pulsomètre, et le vide d’une trompe à eau suffit pour faire remonter le mercure par un tube ca-

pillaire bouclé, où il est aspiré en chapelet. Les gaz expulsés peuvent être récoltés et renvoyés dans un tube à analyse, le nombre

de coups de pompe est de 8 à 1 ~ par heure.

P. LENIOULT. - Sur le calcul des chaleurs de combustion des composés organiques. - P. 805.

Revue.

G. Roy.

ANNALEN DER PHYSIK ;

T. XLIII, nos 5, 6 et 7 ; XLIV, nos 5 à 8; 1914.

E. MERKEL. - La décharge en courant alternatif de faible intensité entre électrodes métalliques. - P. i2~-’i~8.

Dans une étude sur l’arc à courant alternatif de faible intensité, Guye et Monasch ont trouvé que, à intensité constante, la tension efficace entre électrodes varie linéairement en fonction de leur écar- tement, sauf pour les distances très courtes inférieures à a milli- mètres. Dans cette dernière zone qu’ils ont appelée « zone critique » t

la tension au lieu de décroître augmentait quand on diminuait l’écar-

tement : les valeurs observées présentaient d’ailleurs de grandes irré- gularités.

Les présentes recherches ont eu pour objet d’élucider les anoma-

lies de la zone critique. Les auteurs ont relevé à l’aide de l’oscillo-

graphe les courbes du courant de décharge et de tension aux élec- trodes.

Celle-ci présente la forme bien connue qui caractérise la différence de potentiel aux bornes d’un arc à courant alternatif. On y voit une

pointe aiguë appelée « bec d’allumage » et un palier correspondant

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