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Journal de chimie-physique; - T. II, nos, 6, 7, 8, 9 et 10; 1904

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HAL Id: jpa-00241130

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241130

Submitted on 1 Jan 1906

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1904

G. Roy

To cite this version:

G. Roy. Journal de chimie-physique; - T. II, nos, 6, 7, 8, 9 et 10; 1904. J. Phys. Theor. Appl., 1906, 5 (1), pp.496-503. �10.1051/jphystap:019060050049601�. �jpa-00241130�

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496

B.-J. 11.BIBHIB’IITclB’. - A 111l1dltl.’:ltion of Victor ~[eyer’s apparatus for the détermination of yapor-densities 1310dification de l’appareil de Victor Nieyer

pour la détermination des densités de ,-apeur). - P. 2~:j-:2~S.

Le récipient à air, court et horizontal, et le tube d’échappement

de l’air, recourbé en zigzag, peuvent être chauffés plus commodé-

ment à température uniforme dans une boite métallique pleine d’eau

bouillante. La hauteur de chute de l’ampoule pleine de liquide est

très faible.

F.-F. WrUGHT. 2013 The determination of the optical character of birefracting

n1Ïnel’al., 1>éterniination du caractère optique des minéraux biréfringents). -

P. 285-296.

Perfectionnements aux méthodes applicables à l’étude des cris- taux biaxes en lumière convergente, taillés en lames perpendicu-

laires à l’une des bissectrices des axes, perpendiculaires à un axe, ou

enfin parallèles au plan des axes.

H. BÉNARD.

JOURNAL DE CHIMIE-PHYSIQUE;

T. II, nos, 6, 7, 8, 9 et 10; 1904.

NI.-L. GODLEWSM. 2013 Sur la dissociation des électrolytes

dans les solutions alcooliques. - P. 393.

Les tentatives pour vérifier la loi de dilution d’ÜslByalJ. dans le

cas des dissolvants autres que l’eau, n’ont réussi que très rarement.

Il est vrai qu’on a souvent opéré dans des conditions oii elles ne se véri- fient p;i, llHBIHC pour les solutions aqueuses (solutions concentrées ou

él~e’trulvt~i-, 1’>it; .

L’auteur s’est proposé d’étudier la conductibilité des électt~c~lvtu~

fail>1~~~, plus spécialement des sels organiques, daiis l’alcool ~~tlyliy»~

absolu ou étendu d’eau.

Il a fallu employer des cellules très larges et des él~~~~tr«~lt~~ très

rapproclrées, parce qne les conductibilités à mesurer étaient f’ail3les,

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019060050049601

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t t --.r’1lB"enttenircon1ptedelaconductibililédudissolB"ant 1 . X>Ji 1>-’ Q-’

puur l’alcool absolu qui était employé,

Cette faible conductibilité permettait t ,±i,;> 1> calculer le

degré de dissociation par la formule sin1pll1iee :

qui a l’avantage de pouvoir mettre en évidence la concordance

avec la loi, même si la valeur (le p~ n’esl pas coiiiiii> j",¡,’t"1J1¡’IlL Il a reconnu ainsi :

Que l’ordre dans lequel se suivent les acides faibles quant à la

grandeur de la conductibilité moléculaire pour des solutions liiiies est différent suivant qu’on emploie l’alcool absolu ou l’alcuul dilué d’eau.

Cet ordre de grandeur est 10 -:t et i 1-2 de celle de la conductibilité dans l’eau pour les solutions de dilution moyenne et Io-, pour les dilutions plus grandes. - La loi d’Ustwald est applicable aux solu-

tions des huit acides organiques étudiés dans l’alcool absolu ;

-il Pour les mélanges d’eau et d’alcool, la loi d’Ustwalcl se vérilie

également. La constante de dissociation s’abaisse avec la croissance du pourcentage d’alcool, très lentement au début, puis de plus en plus vite.

P. DCTOIT et :~. LEYIEH, - Conductibilités limites de quelques t’ledl’IJI,ytes hinaires dan~ l’Ill ~~tm~~~. - P. 4~~â.

Les divergences suivant les auteurs sont pai,1>1> ~.’c ~ I1 ~ I ~ l~’ ~~at~l~js,

et c’est pour rechercher la cause de ces divergences (m un a repris

ces déterminations dans l’acétone en discutant avec soin les causes

d’erreur.

On a reconnu ainsi que la substitution d’électrodes massives aux électrodes platinées était nécessaire. En particulier pour des disso- lutions d’iodure de potassium, l’emploi des >1 iLd [11B’1’’’ eJBII1Ilt’

des résultats trop faibles quand on pr>cl>1» a mie >cric d essaie

en augmentant la concentration par addition de sel, trop forts au

contraire si on agit par dilution : ce qui - c les élec-

trodes platinées retiennent intimement Uile p(ll11t.: ue ILl ~~lutiQn pré- cédemment employées. Les électrodes massives donnent des résultats concordants.

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498

L’instabilité de certains sels peut aussi donner lieu à quelques

erreurs ; en particulier, la conductibilité des sels d’ammonium dis-

sous dans l’acétone varie avec le temps.

Les impuretés du dissolvant peuvent également avoir une influence

notable, surtout avec certains sels. L’acétone utilisée avait une con-

ductib,ltté variant entre 0,5 et 2. 10-7 à 18°.

La conductibilité moléculaire des sels devient constante aux grandes

dilutions (elles ont été étudiées jusqu’à V = 100.000 litres environ).

La conductibilité moléculaire limite est la somme des conductibilités

ioniques (loi de hohlraush) . Les vitesses des ions n’ont pas le même

rapport dans l’eau et dans l’acétone.

H-Aiti(Y-C. JONES. - L’existence d’hydrates dans les solutions aqueuses

d’électrolytes. - P. 455.

Les dissolutions un peu concentrées d’un grand nombre de sels présentent des abaissements du point de congélation tout à fait anor-

maux (la conductibilité restant parfaitement normale). Dans le but

de vérifier si la formation d’hydrates ne permettrait pas d’expliquer

ces anomalies, Jones et ses collaborateurs du laboratoire de chimie de Baltimore ont effectué un grand nombre de déterminations.

Ils ont pu constater que, lorsque la concentration augmente, l’abaissement moléculaire décroît d’abord, passe par un minimum, puis croît rapidement. Pour le chlorure d’aluminium, de concentra-

tion 2mo’, i 24 pour 1.000, l’abaissement moléculaire atteint 19,3~,

tandis que la valeur calculée n’est que 2,14.

L’étude des points d’ébullition donne des différences du même

ordre, mais le minimum a lieu pour une concentration plus grande,

ce qui conduit à admettre que les hydrates qui prennent naissance

sont moins stables qu’à la température de congélation.

On a également vérifié que les substances qui cristallisent de leurs solutions avec un plus grand nombre de molécules d’eau donnent un

abaissement notable.

Dans des dissolvants autres que l’eau, dans l’alcool par exemple,

on a pu constater des anomalies identiques qui s’expliqueraient de

même par la formation d’alcoolates.

Il faudrait donc rejeter la théorie de Mendeleef, qui admet seule-

ment la formation possible de quelques hydrates bien définis, et

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supposer l’existence d’hydrates dont la composition est fonction de la concentration et déterminée par une action de masse.

On indique comme complément quelques réactions colorées,

découvertes par 31. Loevis, et pouvant illustrer la théorie. Une solu- tion un peu concentrée de chlorure ou de nitrate de cobalt est colo- rée en rose (hydrates) ; en ajoutant quelques cristaux de cllorure

d’aluminium, on voit apparaître la couleur bleue du sel anhy dre ;

l’addition d’eau ramène la couleur rose. Une solution de bromure de cuivre passe dans les mémes conditions du bleu au vert.

PH.-A. GUYE et S. BOGDAN. 2013 Determtnadon elll p.-1,1,~ atomique de l’azote.

Analyse f!raYÏ1nétrique du protoxyde 1 ’,ii, >t.. - P. 537.

A. JAQUEIIOD et S. BOGDAX. 2013D’-t-i-min;)ti"n -111 j>>i,1, atomique de l’azote par 1anatysf en vohune dn prmt~~yHe 1’;ii,>tc. - P. :ifi2.

Les méthodes souvent indirectes employées en chimie ont fixé le poids atomique de l’azote à lj~.,0’~ (O = 16). Les méthodes physico- chimiques donnent toutes des nombres voisins de ~ ~,01.

En discutant la précision possible dans les déterminations

chimiques, qui dépend de celle avec laquelle on connaît le poids ato- mique d’autres éléments (Ag, CI, Br, K, Na, Li) servant d’inter- médiaires, les auteurs concluent qu’on ne peut pas affirmer l’exacti- tude de la seconde décimale.

Ils ont cherché une méthode plus simple, permettant de relier directement le poids atomique de l’azote à celui de l’oxygène, et se

sont arrêtés à l’analyse gravimétrique du protoxyde d’azote. L’appa-

reil se compose d’un récipient cylindrique rempli de charbon auquel

on a fait absorber une grande quantité de protoxyde d’azote pur. Ce

récipient est mis en communication par des joints de verre coniques (lutés au moyen d’une composition contenant 16 parties de caoutchouc,

8 parties de vaseline, 1 partie de paraffine) avec un récipient cylin- drique traversé dans toute sa longueur par un fil de fer, et un flacon

laveur à acide sulfurique. - On fait dégager lentement le gaz sur le fil de fer chauffé au rouge blanc par un courant électrique. La pesée

du récipient à protoxyde d’azote avant et après l’expérience donne

le poids de ce gaz qui a été décomposé. La pesée du cylindre à spirale

de fer vide, avant et après, donne le poids d’oxygène fixé.

La moyenne de cinq expériences a donné 14,007 à 1 pres, ce

qui permet d’admettre le nombre 14,01.

,

(6)

500

MM. Jaquerod et Bogdan ont procédé à une analyse volumétrique

par un procédé analogue. Les mesures étaient faites à volume cons-

tant au moyen d’un manomètre permettant de lire ~ de millimètre.

50

Il fallait, il est vrai, employer dans le calcul les densités du protoxyde

d’azote et de l’oxygène; mais on évitait les pesées sur lesquelles peut

exister une incertitude due à l’état des parois du verre. Ils se sont

assurés qu’à la température employée le fer ne forme pas d’azotures.

Le récipient à spirale de fer jaugé était rempli de protoxyde

. d’azote pur et maintenu dans la glace ,pendant la lecture du mano-

mètre ; puis l’oxygène était absorhé, et on mesurait la pression de

l’azote pur restant dans l’appareil.

Ils ont obtenu par cette méthode la valeur 14,015.

J. TRALBE. 2013 Osmose, diffusion, tension superficielle et solubilité. - P. ")83.

Traube est arrivé, dans ses recherches sur les relations entre

ces différents phénomènes, recherches plus spécialement poursuivies

pour l’étude des phénomènes vitaux, à des conceptions quelque peu

différentes des théories physiques actuelles.

Il remarque que la vitesse de l’osmose d’un composé soluble est

d’autant plus grande que la présence de ce composé dans l’eau

abaisse plus la constante de capillarité, y , _ ’~~z~~~ ,2 Il Il distinguer distmgue ainsiainsi

les substances capillairement actives (alcools, éther, etc...) des substances inactives à ce point de vue (albumine, gélatine, etc...1.

Si deux liquides se trouvent en contact, la différence des tensions

superficielles, qu’il appelle la « pression de surface », entre en jeu et

détermine le sens et la vitesse du passage ; il en résulte que la façon

dont la présence d’une substance modifiera la tension superficielle

déterminera également le sens de l’osmose.

Cette théorie remplacerait celle de la pression osmotique, dont la

valeur n’est qu’une limite pour un état d’équilibre acquis, mais la

vitesse de passage serait dépendante seulement de la pression de surface; elle est affranchie de l’influence des membranes semi-per-

méables.

C’est cette quantité qui déterminera la tension de dissolutions pour les solides comme pour les liquides, il a constaté que la constante capillaire d’une solution aqueuse saturée d’une certaine substance est

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à peu près la même que celle de la substance saturée d’eau. C’est elle également qui déterminera la valeur des coefficients de partage.

Il n admet pas la théorie J’()vertI1n. qui veut voir la cause de

l’osmose des substances dans les cellules, la facilité avec laquelle

elles se dissolvent dans les lipoïdes ,cholestérine, lécithine....

En général, les substances qui passent rapidement par osmose sont celles qui sont très solubles dans les lipoïdes, mais ce sont aussi

celles qui abaissent notablement la constante de capillarité, et cette

loiest plus générale que celle d’ÜB’erLon, ellt1 s’app1i(1ueaux peptones

et aux narcotiques.

,SIR BYILU BB1 H.B.~I~A Y. - L-n nouvel "lt’meiit, lr radictthorium. dont l’émanation est identijii ’ ’.’!h-du ttu~riutu - p, Eà1 ~.

L’auteur ayant pu se procurer 230 kilogrammes cl’un minerai de l’île de Ceylan, qui donnait 9 centimètres cubes d’l~élium par gramme, il a d’abord préparé par traitement au bisulfate de soude 1 mètre cube d’hélium destiné à des c~ptmi~3r~t~~~, ultérieures.

I~e traitement du minerai, mené systématiquement par plusieurs méthodes, a permis d’obtenir un corps nouveau qu’il appelle le radio-

thorium. Cette substance se distingue du thorium par son oxalate insoluble dans un excès d’oxalate d’ammoniaque. et du radium par

son sulfate soluble dans l’eau.

Ses propriétés radioactives sont les mêmes que ccHc~ d11 thorium, mais avec une activité un demi-million de fois plus grande. Ce serait

donc la substance généralement alliée au tliorium et lui donnant ses

propriétés radioactives.

"-

L. Blil’NER et St. TOLI,O(~7.E(1. - ~111’ la ,’itesse (le dissolution des coc~I~, ~~=lnlt~~. - 1’,1.2’"

:B1:B1. 1I’llIleI’ et Tolloczko ont véritK’ la loi de Noves et BY!ntnev dans des conditions particulièrement simples. MM. 1>mml,~~u te ~t~m~,t considérèrent dan;;; 1t3 phénomène Je I~~ dissolutions une fob ht 1>

passage. telle que la c-oiicentration varie depuis le contact aB ’ l’ h

corps qui se dissout jusqu’il une certaine distance ou la coiiceiitra- tion est la concentration de la masse. Ils ramèn?nt air,,1 1:1 1!~oht- tion à un phénomène de diffusion rogi par la II Ii d’ ’11-

firment illéoriquement la loi clc~ ~ ~ ~ ~-_ ~- t t ~~~ I ~ i t r7~ ~y . Mais il faut pur

(8)

502

cela que la couche de passage conserve toujours la même épaisseur.

Les expériences ont été faites sur des blocs de sel marin placés au

centre d’un tube cylindrique horizontal dans lequel on faisait passer

un courant d’eau uniforme, réglé de façon que la convection soit considérable et constante. La loi de Noyes et NN’hitney est parfaite-

ment exacte dans ces conditions.

Ces résultats semblent infirmer ceux de :B1. Schùrr 1"1 , qui admet

une loi différente, dont la loi de Noyés et iihitney serait la loi limite quand Ce - c est faible. Mais ce qui différencie les expériences

de Ni. Schürr, où la convection était assurée simplement par la pesan- teur, c’est que la vitesse de convection varie avec la densité des solu- tions saturées et dissolvantes, de sorte que la couche de passage devient plus épaisse pour les concentrations plus fortes et, conformé- ment aux idées de Nernst, la vitesse de dissolution est moindre.

’v. LO:~TGUI~1IN~. - Détermination des chaleurs latentes de vaporisation

du carvacrol et de l’anéthol. - P. 640.

La température d’ébullition du carvacrol est ~37°,91 sous la pres- sion normale, avec une variation de 0°,038 î par millimètres de pres- sion. La chaleur spécifique entre le point d’ébullition et la tempéra-

ture ordinaire est 0,577, et la chaleur latente de vaporisation 68(’,08.

Pour l’anéthol, les mêmes quantités sont respectivement 235°,02, 0~,0583 et ’11~,~1.

La formule de Trouton indique que ces deux substances ne sont pas polymérisées. La présence d’un oxhydrile ne correspond donc

pas toujours à une polymérisation (carvacrol), mais son absence indique sans exception connue jusqu’à maintenant que la molécule n’est pas polymérisée.

Ph. KOHNSTAMM. 2013Revue des travaux récents sur l’équation d état. - P. 665.

L’auteur n’admet pas que les théories énergétiques puissent per- mettre de déduire une équation d’état des seuls principes de la ther-

modynamique. La recherche d’une telle équation basée sur la théo-

rie cinétique, toute hérissée de difficultés qu’elle soit, lui semble seule conduire à des résultats utiles en eux-mêmes. Il propose de s’en tenir (1) Journal de Ch.-Phys., 4. série, t. III, p. 2-i5; ~.90~ : - J. de Phys.. 4- série, t. tV, p. i 1 ; 1905.

(9)

à l’équation de Van der ~l~aals, sauf à la modifier et à préciser la signification des constantes pour lui permettre de donner des résultats quantitatifs.

G. Roy.

MEMOIRS OF THE COLLEGE OF SCIENCE AND ENGINEERING ; KYOTO IMPERIAL UNIVERSITY.

YUKICIII O~ah.l. ~ On the listiil>iit 1> ii >1" Ít,d11l bdBB l’en two solvents (Sur le partage de l’io1> l’Il t l’l’ deux s>1;:ints).

L’auteur rappelle sommairement, en les critiquant, les travaux analogues de ses devanciers : Berthelot et Jungfleisch, Jakowkin,

Hantzch et ,r agt, Strômholm, etc...

11 étudie particulièrement le partage de l’iode entre l’alcool dilué

et le sulfure de carbone qui, pratiquement, peuvent être considérés

comme non miscibles. Dans une fiole d’environ 100 centimètres cubes étaient introduits successivement un poids connu d’iode,

~0 centimètres cubes de sulfiire de carbone et 75 centimètres cubes d’alcool aqueux de richesse déterminée.

La fiole, hermétiquement bouchée, était agitée mécaniquement dans

un bain à température constante de 25°, jusqu’à ce que l’équilibre

fût atteint.

Cinquante centimètres cubes de la solution alcoolique furent pré-

levés et l’iode dissous y fut titré à l’aide d’une solution normale

d’hyposulfite. La concentration de l’iode dans le sulfure de carbone était connue alors par différence.

En désignant par c et c’ les poids d’iode, en grammes, contenus dans 10 centimètres cubes d’alcool ou de sulfure de carbone et par

.

2013 le coeflicient de partage, on trouve :

. c

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